Bi - Gay - Lesbien Fétiche - BDSM Histoires taboues Inceste

Un oncle et une tante d’amour

Teste le sexe au téléphone avec une vraie femme chaude : Voir les profils des femmes disponibles  

Un oncle et une tante d’amour.

Valériane, sa tante Isabelle, et son oncle jacques partent souvent en vacances. Jacques a loué un chalet, en montagne. Mais un imprévu fait qu’Isabelle ne peut les rejoindre que trois jours plus tard. Valériane et son oncle prennent possession des lieux, ils rangent leurs affaires dans leur chambre respective et prépare le diner. Après le diner, il font une petite virer mais font vite demi-tour car le temps s’assombrit. Ils décident de se coucher. Jacques se jette sur son lit en slip, il prend un bouquin pour passer le temps. Soudain un orage terrible éclate, le tonnerre gronde les éclairs zèbrent le ciel.

Soudain la porte de sa chambre s’ouvre, c’est sa nièce qui affolée se dresse devant lui, elle est en petite tenue, et dit en béguant :

-Tonton, j’ai peur, je peux rester dans ta chambre ?

Elle tremble comme une feuille. Jacques l’invite à s’allonger à côté de lui. Le tonnerre fait trembler les murs, les éclairs illuminent la pièce qui ne possède pas de volets. Valériane, instinctivement, se blottit contre son oncle. Elle s’accroche à lui comme un rapace sur sa proie. A chaque coup de tonnerre, elle sursaute en se cramponnant à son oncle.

Un oncle et une tante d'amour
Porn IA

Elle est allongée latéralement contre lui, et a sa jambe repliée sur le ventre de son oncle. Le frottement involontaire de la cuisse contre son bas-ventre met de jacques mal à l’aise. Une érection commence à naitre.
Lui pour la rassurer, lui caresse le flanc, ses doigts moites glissent, sur la peau qui se trouve entre le soutient gorge et la culotte. la pauvre fille est apeurée, elle sursaute à chaque coup de tonnerre et cache son visage contre le torse de son oncle, lorsque les éclairs illuminent la chambre.

Le tonnerre se fait moins violent, les éclairs diminuent, l’orage enfin disparait. Valériane reste accrochée à son oncle, elle ronronne comme une chatte, en laissant sa tête appuyée sur le torse de Jacques. Son souffle chaud réchauffe les pectoraux du tonton protecteur. Maintenant, le tonton caresse la hanche de la nièce, qui ne repousse pas les doigts, qui descendent lentement sur sa cuisse. La main contourne la hanche et passe plusieurs fois sur la fesse, qui se contracte nerveusement en étant secoué par de nombreux frissons. Jacques s’enhardit, le tranchant de sa main, glisse très lentement dans le large sillon fessier. Passe sur le muscle rectal qui se contracte au passage de l’intrus.

Valériane soupire profondément, elle sent sous sa cuisse, la verge de son tonton prendre du volume. Malicieusement, elle frotte sa jambe sur le manche qui grossit encore. Jacques donne un baiser sur la longue chevelure de sa nièce, qui, lui aspire le mamelon. Jacques se cabre, il serre les dents, la succion est vorace. Son mamelon devient épais et dur. Valériane semble s’acharner dessus. jacques souffle comme un dragon. Soudain, la nièce audacieuse, retire sa jambe et sans scrupule, saisit la verge cachée dans le slip de son oncle. Elle l’agite en serrant les dents, la bite devient énorme.

Valériane, tire sur le slip, et découvre la verge, qui se dresse d’un coup en oscillant sur le bas-ventre du tonton, surprit par l’audace de sa nièce. Elle saisit fermement l’engin et le branle férocement. jacques ne peut que geindre de plaisir, bien que Valériane soit une jeune adulte, elle sait y faire. Le bougre de tonton pâme de bonheur sous la main leste et habile de la jeunette. A chaque descente de son poignet, la coquine prend un malin plaisir à décalotter le gland.

Elle se redresse, décalotte le gland à fond et sans honte, elle gobe le chapeau de chair, le gland épais, lui fait mal mes mâchoires, mais la nièce est courageuse, elle suce et tète, en faisant gémir son oncle de plaisir. jacques dit faiblement :

-Arrête ma chérie, je vais décharger !

Cela encourage la suceuse, qui redouble les succions et les aspirations. jacques se cabre, pousse un long gémissement et remplit la bouche vorace de la suceuse. Valériane, recrache le gland, elle se pince les lèvres et en regardant son oncle avale la semence qu’il lui a généreusement offert. En fin de déglutition, elle ouvre la bouche toute grande, pour montrer à son oncle, qu’elle à bien tout avaler.

jacques la bascule sur le lit, lui arrache le soutient gorge et s’agrippe à la culotte, qui au niveau de la vulve est trempée. Il la descend et la jette sur le sol rejoindre la soutient gorge. Il regarde les atouts de sa nièce en ravalant sa salive. Il regarde la chatte aux fines lèvres rejeter son jus. Il ne peut s’empêcher de plaquer sa bouche sur la vulve en feu. Il aspire avec gourmandise, tout se que la chatte rejette. Le bougre se gave de la cyprine abondante, que produit la chatte surexcitée.

Il enfonce sa langue dans le conduit noyé, et le fouille à en faire geindre la nièce défaillante. Lorsqu’il lui aspire le clito, elle pousse un hurlement terrible:

Un oncle et une tante d'amour
Nouveaux profils

-Tonton, oui, oui, dévore-moi le clito, c’est trop bon vas-y, vas-y !

Plus il suce, plus la boule de chair prend du volume, il la tète férocement sans la ménager. Valériane se cabre et en poussant un grand râle rauque, explose de jouissance. Elle envoie dans la bouche de son oncle un flot de cyprine, que le gredin avale avec gourmandise. Il se redresse et se place entre ses cuisses, il frotte un instant son gland contre la fente humide et l’enfonce doucement. Valériane serre les dents, le tonton est bien membré. Il fois qu’il est enfoncé jusqu’aux couilles dans le ventre de la nièce soumise. Il commence à lui dévorer les mamelons, les étirer, et les mordiller. Valériane ne peut retenir ses gémissements de bonheur. Il suce et tète les petits mâts de chair pour les faire devenir les plus épais possible.

Les gémissements de la nièce, stimule l’oncle. il s’accroche aux hanches délaisse les seins et commence un pilonnage monstrueux, de la chatte de la soumise, qui geint encore plus fort. La bite ouvre le conduit, qui s’adapte au diamètre de la bite du tonton baiseur. Valériane se cabre, en gémissant, à chaque fois que le gland épais racle le col de son utérus. la ramonage devient de plus en plus violent, la soumise, implore son oncle :

-Plus fort tonton casse-moi la chatte, va le plus loin possible, éclate-moi avec ta grosse queue, oh putain comme tu es gros, vas-, vas-y je vais jouir, tape fort, oui encore plus fort, mon dieu, comme tu es puissant mon tonton d’amour !

Jacques lui remplit le ventre au même moment que sa nièce jouit. Elle se tortille, s’agite, comme une hystérique sur sa queue, en geignant comme une bête blessée. Une deuxième jouissance encore plus forte que la première la fait hurler.

-Oh mon tonton, je suis à toi, oui, oui je suis ta chose, fais de moi ce que tu veux, je subirai tout tes délires !

Jacques lui pilonne le ventre encore avec plus de violence, pour que la demandeuse jouit encore une fois. Enfin, il se retire, regarde le trou bien ouvert qui rejette le surplus de semence et dit en souriant :

-Tu es très bonne valériane, et demandeuse comme je les aime, je vais faire de toi une machine à jouir !

Le lendemain, les deux restent nus dans le chalet, Jacques déglingue sa nièce de nombreuses fois pendant la journée. La coquine ne refuse rien à son tonton d’amour comme elle l’appelle. Elle est même prête, à lui offrir son anus. Mais pour cela il faut que Jacques recharge ses batteries. La coquine se fait désirer, elle s’avance vers son mâle en tortillant son fessier comme une danseuse orientale. Elle se penche en avant pour lui montrer son œillet ridé, s’écarte ses fesses pour que le bougre se rince bien l’œil. Elle se met sur une chaise face à lui, ouvre largement les cuisses et se masturbe sans le quitter des yeux. Son sourire provocateur, charme le tonton qui la regarde se maltraiter le clito.

Elle se masturbe si fort qu’elle grimace de douleur, elle s’écrase le clito pour avoir une jouissance encore plus violente. La coquine réussit à obtenir des jouissances monstrueuses, devant son oncle émerveillé. Sa verge commence à reprendre du volume, il l’agite pour la rendre opérationnelle. Valériane sourit, elle sait que son anus va avoir son du dans peu de temps. Elle se presse la chatte pour atténuer le flot de cyprine qui s’y échappe. jacques se lève et s’approche de la provocatrice, elle se cambre en avant en prenant appuie sur la chaise, et offre à son tonton d’amour, son œillet très peu visité.

jacques se penche et observe l’anneau, il appuie dessus pour en connaitre l’élasticité, il est étonné par la souplesse du muscle. Doucement il enfonce la première phalange de son majeur, il le tourne dans le conduit qui semble très étroit. Valériane en geignant doucement, se cambre un peu plus. l’oncle enfonce le visiteur entièrement dans le conduit anal. Valériane pousse un petit gémissement. Le doigt fouille la gaine profondément, le petit ramonage fait geindre la nièce qui commence à agiter doucement sa croupe.

Jacques tente d’y en introduire un second, Valériane souffle comme un bœuf. Les deux doigts voyagent dans son fondement en la faisant gémir de plaisir. Le ramonage minutieux, prend de la vitesse, valériane dit entre deux souffles :

-Oh tonton, oh mon tonton, tu me fais mourir, prends-moi maintenant, j’en peux plus !

jacques place son engin contre l’œillet fripé et pousse. Sa nièce grimace, elle s’agrippe à la chaise, ses yeux s’emplissent de larmes, la douleur est atroce. Entre deux grimaces, Valériane hurle :

-Vas- à fond tonton vas à fond, oh putain que ça fait mal, vas-y, vas-y éclate-moi le cul !

Jacques donne un coup de reins violent et empale sa nièce jusqu’aux couilles. Il la sodomise comme un sauvage, son cul bien serré, enserre la verge qui le fore. Valériane est au bord de la syncope, elle geint en serrant les dents, mais la coquine veut jouir du cul, elle sait que c’est par là qu’elle a des jouissances monstrueuses. Soudain elle se tend comme un arc, et en poussant un cri terrible, jouit du cul. Jacques continue de lui démonter le cul, ses coups dont si violents qu’a chaque coup de reins, valériane manque de perdre l’équilibre. Elle jouit une seconde fois en hurlant son plaisir.

Jacques est au bord de l’éjaculation, il donne un grand coup de reins et se bloque, il déverse dans l’intestin de sa belle un flot considérable de sperme, en poussant un râle rauque. Soudain la porte s’ouvre et une voix se fait entendre :

-Coucou, c’est moi mes chéris !

C’est isabelle qui fait son apparition, elle rentre plutôt que prévu. Elle sursaute en voyant son mari défoncer le cul de sa nièce. Elle pose sa valise, mais au lieu de ruer, elle dit en arborant un large sourire:

-Alors mes cochons on joue sans Isabelle !

Surpris les deux amants restent sans voix, Jacques retire sa bite du rectum de sa nièce, le gland laisse échapper quelques gouttes de sperme sur le sol. Isabelle se penche et en riant dit :

-Oh la vache, il t’a bien éclater le cul ma chérie, le cochon t’a bien arrangé, mon Dieu comme ton trou est béant !

Isabelle caresse l’ouverture qui laisse échapper un filet de sperme. Elle y enfonce quatre doigts et ramone énergiquement le rectum qui se remet à bouillir. valériane reprend ses gémissements, Isabelle sourit et dit :

-Jouit ma chérie, jouit du cul c’est si bon !

Le ramonage ne dure pas longtemps, valériane se cabre et explose, sa jouissance et bruyante. jacques regarde sa femme qui ôte rapidement ses vêtements, elle bascule valériane sur le sol et s’agenouille face elle. Elle dit :

-Depuis que j’attendais ce moment, enfin il est arrivé !

Elle lui ouvre les jambes, et passe sa tête entre ses cuisses. Elle plaque sa bouche sur la fine toison humide, et fouille la vulve voracement en enfonçant sa langue dans le conduit détrempé. valériane se cambre et dit :

-Oui, oui tata bouffe-moi la chatte, je boufferai la tienne après, oh comme tu me fouille bien. Tante oui, oui, va plus loin, oh c’est bon, encore, encore !

Une fois que la langue à bien visitée chaque recoin, Isabelle gobe le clito gonflé et le suce sans le ménager. jacques regarde le couple en bandant comme un cerf. Il s’approche du duo, se place derrière sa femme et lui enfonce son mandrin dans la chatte jusqu’à la garde. Isabelles e cabre, elle affectionne la levrette, et Jacques ne s’en prive pas. Il laboure la gaine de coups de pilon brutaux. Isabelle pousse des gémissements, mais reprend vite en bouche la boule de chair de Valériane.

Isabelle jouit comme une bête sous les coups de reins de son mari, il déverse dans son ventre son sperme brulant. Il donne encore quelques estocades, avant de prendre sa femme par le cul. elle se cabre comme un cheval fougueux en offrant encore plus sa croupe à son amant. Valériane jouit encore, les aspirations que produit Isabelle sur son clito sont monstrueux. Enfin isabelle jouit du cul en poussant un hurlement incontrôlable. les vacances du trio commencent bien. Les trois vivent pratiquement nus. jacques est résistant, il honore plusieurs fois par jour Isabelle et Valériane.

Linsee

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Marre de la pub ?

Marre de la pub? tu as un gmail? Contacte nous

Crée tes images avec le générateur porno IA GRATUIT

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Les autres regardent

Marie Lou téléphone rose

Marie Lou téléphone rose

Tel rose de Marie Lou

tel rose de marie lou