Les vacances inachevées
Dès mon arrivée en ce premier jour de vacances d’été je suis attiré par une sublime créature, assise au coin de la grande cour collective, une belle jeune dame aux longs cheveux couvrant un joli visage blanc, des yeux verts, des sourcils noirs, une fine bouche rouge, a travers ses sourires on distingue joyeusement la blancheur de ses dents, une véritable déesse de beauté, je suis tellement ébloui que je n’arrive pas à la quitter des yeux, en me levant, le spectacle devient de plus en plus attrayant, environ un mètre 70, à travers sa belle robe, je distingue de longues jambes, des cuisses et des mollets fascinants, une belle poitrine, des fesses bien rondes, une véritable bombe sexuelle comme on dit, après les bises d’accueil données à ma mère et mes sœurs, elle rentre chez elle, bien sûr elle a remarqué mes regards envers elle, renseignement pris c’est la femme de mon cousin fraîchement marié, ouah super, je suis encore plus excité, car de notre balcon j’ai bonne vision sur la chambre de mon cousin, je me rappelle de toutes les histoires de voyeur que j’ai eu le plaisir à lire, et surtout que nous sommes en plein été, la saison des chaleurs. Le soir comme prévu, après le dîner je m’installe dans notre balcon en obscurité, les volets d’en face sont ouverts, il fait nuit, soudain une lumière s’allume, c’est comme…
Si je m’arrache d’un long sommeil, je suis très excité la lumière s’éteint de nouveau, je me calme un peu, mon cousin rentre, allume la télé, porte juste un short et s’allonge sur le lit, dieu merci la fenêtre est toujours ouverte, elle rentre, oh la je la vois en train de retirer sa robe, elle est en sous-vêtement, elle est splendide, croquante, elle ôte son soutif, deux jolis obus, c’est comme deux airbags d’une auto après un choc, elle met une nuisette blanche transparente, je vois à travers, sa toute petite culotte noire, elle vient s’allonger près de lui, c’est fabuleux, ils oublient la fameuse fenêtre, il la serre dans ses bras, il l’a fait monter sur lui, il l’embrasse longuement, ses mains jouent sur les belles fesses bien bombées, il fait descendre la culotte et fait monter la nuisette, ma verge veut transpercer mon jean, elle est toute nue, ils font l’amour, ils se caressent, elle lui ôte le short, elle le suce, puis à son tour il lui bouffe la chatte bien rasée, puis de terribles pénétrations en diverses positions, je ne pouvais plus retenir ma queue, j’ai éjaculé en même temps avec eux, un vrai orgasme a trois. Ainsi j’ai passé de merveilleux jours, avec le temps elle a su que je la draguais, que j’admirais ses ébats nocturnes, et que mon seul rêve maintenant c’est de l’avoir dans mes bras.
Le rêve de l’avoir dans mes bras ne me quitte plus, j’ai continué à suivre chaque soir les ébats érotiques que m’offre cette charmante et belle dame. Bien que maintenant le rideau ne soit ouvert que partiellement, j’arrive quand même ont admiré ses belles cuisses et splendides jambes, j’arrive même à voir sa merveilleuse poitrine plantureuse, en pliant ses jambes j’imagine bien l’état de sa fente qui doit certainement avoir des ressemblances avec sa fine bouche. Chaque matin avec une nouvelle et belle tenue, ses belles lèvres pulpeuses teintées du rouge vif brillent sous les rayons solaires du matin. Ma présence quotidienne sur le balcon et mes regards l’intrigue un peu et doute de mes intentions. Elle commence elle aussi à surveiller mes gestes et faits, je constate une silhouette cachée derrière le rideau, oui c’est bien elle, pendant que j’exerce mes activités sportives, elle reste la jusqu’à la fin, je porte souvent un short bien serré, comme celui que portent les cyclistes, on distingue facilement cette grande bosse au bas de mon ventre, je ne sais plus quoi faire, admire-t-elle mon corps d’athlète, ou cette fameuse bosse sous mon short ? Je pense qu’une étincelle a fait naître une flamme entre nous. Et depuis on joue la fameuse histoire du chat et de la souris. Un beau jour elle rentre chez nous venue rendre visite à ma mère et discuter un peu avec mes sœurs, a sa sortie je la croise dans le couloir avec ma petite sœur, elle est tout rouge, je sens un super parfum, cette rougeur n’a fait qu’à accroître sa beauté, ma frangine me la présente et en serrant sa main, j’ai senti comme si un courant électrique traversa nos deux corps, nous avons continué à nous regarder mutuellement chacun de son côté bien sûr, c’est trop difficile de tomber amoureux. Ce jour étant seul à la maison, elle tape à la porte, vêtue d’une légère robe d’été, j’ouvre, elle devient toute rouge, et arrive difficilement à prononcer quelques mots, rentre lui dis-je, elle est très surprise de ne trouver personne à l’intérieur, elle hâte de repartir, à peine arrivée à la porte que je l’attrape par la main, attend, elles vont arriver d’un moment à l’autre, ne sois pas timide, viens prendre un rafraîchissant, non merci je reviendrai tout à l’heure, c’est à ce moment que je la serre contre moi, non tu es fou ou quoi ? Je ne pouvais m’arrêter, je lui colle ma bouche sur la sienne, ses lèvres pulpeuses sont toutes chaudes, mes mains se chargent de ses fesses bien rondes, je pousse ma langue dans sa bouche, avec mes muscles bien travaillés, elle ne peut me résister, elle se lâche complètement, elle ferme les yeux et m’embrasse, je lui fais monter sa robe, je lui caresse les cuisses, je mets un doigt dans sa chatte tout en écartant sa petite culotte, elle est toute mouillée, je sors ses deux nichons, je les malaxe bien, puis je les suce, je descends à son bas-ventre, je baisse sa culotte, une belle fente, comme je… L’imaginais, je la suce, elle prend ma verge, elle mord ses lèvres, elle ne peut pas la contenir d’une seule main, elle lui fait certainement de l’effet en la voyant pendant mes exercices de sport, elle la tient de ses deux mains et me suce, comme elle, comme moi, nous ne pouvons résister, je la prends au salon, sur un canapé, je la pénètre, je lui fais une levrette, elle a crié, elle a gémi, je l’ai bien défoncé, bien que ma verge est énorme, elle a bien baisé, elle a adoré, nous avons fait l’orgasme ensemble, c’était merveilleux comme rêve.
Brigitte
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