Si comme cela leur arrive lorsque le mercredi je suis à mon bureau embauché à temps partiel par une Entreprise dont je tairais le nom et ce, depuis pas mal d’années, voilà que vers 10hrs 30, combien surpris, arrive la petite cousine Ghislaine et surtout avec elle, son frère mon petit neveu Gauthier, pour me disent-ils une petite visite. Si nous nous embrassons bien sur du plaisir de se revoir, sachant que si envers mon Gauthier j’aurais toujours eu bien des fantasmes interdits qui sera allé depuis plus de deux mois, à une petite liaison secrète mais jusqu’alors toujours platonique, l’occasion en effet, ne ce sera pas encore présenté de pouvoir une fois se retrouver juste tous les deux, même si nous ne manquons depuis quelques temps toujours en secret, à se téléphoner où encore échanger de temps à autre, quelques mails parfois bien coquins, dans lesquels en effet, tous deux ne manquons de souvent nous faire part de nos fantasmes réciproques.
Et si ce dernier me sourit, m‘embrasse comme l’aura fait sa petite sœur, pour sa part, ne manque de profiter à me passer un petit coup de langue derrière mon oreille, ce qui bien sur ne me laisse aucunement indifférent, me jette à cet instant, de plus un petit clin d’œil combien coquin et ce malgré notre différence d’âge, où si en effet mon petit neveu est âgé de trente quatre ans, alors que pour ma part j’en ai la soixantaine passée, malgré cela notre attirance était combien partagée. Si toutefois avec la présence de sa sœur, nous en restons à converser un moment du boulot, si tout allait bien pour moi, etc.…, arrive un moment, où cette dernière nous fait part, aller régler quelques petits papiers avec les employées filles du magasin, mon Gauthier pour sa part reste avec moi, se retrouvant alors seul dans mon bureau, je ne résiste de m’emparer de ce dernier, le bloque contre l’armoire derrière, ne me retenant en rien, lui disant « j’ai bien remarqué ma petite salope ton petit coup de langue derrière mon oreille en arrivant, où s’il me sourit, profitant à être seuls, je jette pour la première fois ma bouche sur la sienne, où s’il m’offre sans un mot la sienne, nous nous dévorons alors durant quelques sublimes et torrides minutes, ne manquant réciproquement à laisser partir nos mains l’un sur l’autre dans un moment dément.
Si toutefois très vite par sécurité, nous reprenons nos esprits, se remettant à converser, mon Gauthier me remercie déjà de mon invitation à se joindre un jour prochain à moi, pour une partie de pêche ensemble ce qui je me doute déjà ne manquera d’être animée. Il me fait aussi part, être assez cool en ce moment, vu que son père avait vendu l’un de nos magasins dans lequel, il bossait jusqu’alors il reste à présent simplement à superviser la bonne marche de nos quelques autres Etablissements. Et s’l était avec sa sœur Ghislaine ce matin, c’est que c’était son jour de congés, cela lui permettait de profiter à passer avec cette dernière, pour me faire un petit coucou. Si je lui demande ensuite comment allait sa copine qui avait reprise ses études, il me dit souriant que si leur liaison aura perduré quelques mois, mais que cette dernière, trop collante, toujours à le surveiller et être derrière lui, cela aura fini par ne plus lui convenir et ils auront fini par se séparer, rajoute qu’il adore de loin à présent être libre et faire depuis, tout ce qui lui plait, sans être obligé de se justifier ou autre, ce qui ne manque de me faire sourire.
Mais voilà que sans que je ne pensais à mal, tout en conversant, ma petite pute à ma grande surprise, me demande alors ce que je faisais habituellement le mercredi après mon job, sachant bien sur que je ne bossais que la matinée, où combien étonné, je lui réponds, que comme chaque semaine, je rentre bien sur chez moi. Si le coquin, me répond alors, se douter que ma route devait passer par le petit patelin dans lequel il réside, ce qui de plus est bien vrais, il me propose mais seulement si j’en avais envie et un peu le temps, de m’arrêter un moment chez lui, prendre l’apéro, être un peu intime et passer un moment tous les deux et rajoute qu’il pourrait nous commander une petite pizza et ainsi déjeuner ensemble.
Et si je lui fais part en souriant que même marié, de plus depuis des lustres, j’étais malgré cela bien sur tout comme lui, assez libre de mes mouvements, mais ne voudrais en rien le déranger, si le coquin ne manque alors d’insister, je finis par accepter, il rajoute toutefois et me remercie de ne parler de cela à personne, souhaitant garder ce petit secret juste entre lui et moi, ce que je ne manque sans problème de lui promettre. Je lui fais toutefois part que j’allais juste prévenir ma moitié tout en lui précisant, sans bien sur lui parler de toi mon Gauthier, mais juste la rassurer que je rentrerais plus tard, vu que simplement j’aurais aujourd’hui invité à déjeuner un représentant, avec lequel si j’aurais bossé ce matin, nous avions encore en début d’après midi quelques papiers à compléter et à signer, et rentrerais donc aujourd’hui plus tard, ce qui ne manque de faire sourire mon Gauthier.
Et si combien il semble ravi, mon petit neveu se jette cette fois à son tour quelques secondes sur ma bouche pour me remercier de lui faire ce plaisir, et rajoute m‘attendre pour vers 12hrs 15 et se réjouit trop de passer un peu de temps juste tous les deux. Si nous entendons alors arriver à nouveau notre Ghislaine, souriante et satisfaite d’avoir réglée ses problèmes avec les employées, n’imaginant pour sa part, à aucun instant ce qui ce sera passé durant son absence, elle me dit on va donc te laisser Gérard et si tous deux me saluent comme il se doit, gentiment, mon petit neveu chéri ne manque de me jeter un clin d’œil cocasse lui répondant par un petit sourire. Et si combien je l’avoue, j’avais trop hâte d’être à 12hrs, pour me retrouver avec ce dernier et cela en toute intimité, où déjà je fantasme à tous les plaisirs qui pouvaient nous attendre.
Si arrive alors midi, je quitte alors mon bureau, récupère ma voiture au parking et reprend la route, ne manque de bander comme jamais sur tout le chemin, un petit quart, t d’heures me suffira pour entrer dans le petit patelin de mon Gauthier, où s’il était alors 12hrs 20, très vite je me retrouve devant cette belle résidence où habite au 1er étage ce dernier. Et si je sonne alors, puis grimpe les quelques marches jusqu’au premier, ce dernier m’ouvre, où je remarque ses yeux souriants combien brillants, heureux et surtout un peu excité de me revoir, me fait entrer, referme la porte et de suite se jette presque sur moi, pour à nouveau m’embrasser, où encore plus que ce matin, sans témoin ni personne, nous ne manquons de nous laisser ensuite sans plus à se dévorer avec fougue nos bouches tout comme nos langues qui se roulent avec une fougue terrible l’une dans l’autre.
Si après cela, je lui dis « mais que nous arrive-t-il mon petit neveu ???, « il me répond je ne sais tonton, mais malgré notre différence d’âge et bien sur conscient que cela reste un peu de l’inceste, cela faisait trop longtemps que j’avais envie de cela et que ce fantasme me hantait à chaque fois que nous nous serons rencontrés à ton bureau tonton où si je lui réponds alors que cette attirance est de longue date pareille pour moi, mais n’ayant jamais osé m’extérioriser. Si alors il me débarrasser de ma pochette ma veste et me convie alors à une petite visite de son bel appart, nous finissons dans son joli salon, où si je retrouve un grand et joli canapé, il m’invite à prendre place pour ensuite aller nous chercher l’apéro qu’il avait bien sur préparé. Après quoi, si nous voilà assis à converser de tout et de rien, cela ne dure où si la même envie me prend qu’il y à peu, je me ressaisi de mon petit pervers et sans plus, reprend avec fougue et une envie démesurée sa bouche dans la mienne de longues et torrides minutes, ne se retenant cette fois à laisser nos mains se promener partout l’un sur l’autre.
Et si nous prenons ensuite un verre à trinquer à ce moment dément, où n’y tenant plus, prenant l’initiative, je continue mes petits jeux sur ma petite pute qui semblait n’attendre que cela, qui rajoute combien j’avais envie que tu me touches tonton, se laisse aller, où si je lui défais sa jolie chemisette, le coquin se laisse tomber en arrière dans le canapé et si sans plus, mes mains partent entre ses jambes, où si a petite pute fait semblant de se débattre, je lui défais et lui retire son joli jeans, où surpris, ce dernier était alors à poil. Et si j’empoigne mon Gauthier, pour ensuite le faire s’allonger dans ce grand canapé, de suite je me jette sur cette queue bien sur en érection, que je glisse alors dans ma bouche pour lui la sucer, où si là, mon petit neveu ne manque de ne se retenir à des gémissements et des petits cris déments, n’ayant jamais connu ce plaisir et me lance « oh ouiiiiii tonton.., encore…., encore…, continues…, continues tonton.., suces moi encore…., j’avais tellement envie de cela.., » il ne manque de plus d’écarter ses jambes, où alors, toujours sa petite queue au fond de ma bouche, à rouler ma langue autour de cette dernière, je laisse de plus, partir une main autour de ses jolies fesses que je lui caresse, jusqu’à finir par laisser mon index, lentement pénétrer son petit trou de cul que si je lui branle doucement, combien j’ai plaisir à voir mon pervers Gauthier, grimacer et ne se retenir à des râles de plus en plus fort de ce plaisir que je lui prodiguais.
Et si après encore quelques minutes à lui prodiguer mes petits jeux , toujours à gémir comme une petite pute, il me fait alors « je n’en peut plus mon tonton chéri ….., je ne vais plus pouvoir me retenir…, . Et si je lui réponds laisses toi aller mon chéri.., ne te retiens pas…, où si de plus j’accélère le petit jeu de mon index au fond de son petit trou de cul, sa queue bien a fond de ma gorge, il se laisse sans plus partir, dans une jouissance et dans des râles extrêmes et sans retenue laisse gicler avec un plaisir démesuré et des jets saccadés, son sperme au fond de ma gorge, durant de sublimes secondes dont je me délecte avec un plaisir presque insoutenable. Si après quelques minutes encore de ce délicieux moment, à se reprendre, nous nous levons tous deux, mon petit coquin repasse son pantalon, pour alors venir vers moi, me remercie de ce moment démentiel, jette sa bouche dans la mienne et profite des quelques gouttes de son sperme restant autour de ma langue. Et pire lorsque la petite salope me fait part, qu’elle aussi, même sans expérience, avait envie de profiter un peu de son tonton, mais avant cela allons profiter à manger une bricole et déguster les pizzas qu’il nous avait commandées.
Et si tout en déjeunant, à converser de mille choses, il arrive un moment où je dis à mon Gauthier imagine si nos familles avaient le moindre soupçon de notre relation où ce dernier me répond qu’en effet cela ne manquerait de faire un petit scandale. Mais sachant que personne ne pourra jamais imaginer cela, autant en profiter aujourd’hui mon tonton chéri. Si une petite heure aura passée, ayant à présent finis de déjeuner, mon Gauthier m’invite à retourner au salon, me propose un café que très vite il nous sert, il revient ensuite lui aussi puis reprend place dans le canapé, cette fois bien près de moi, nous remettant à converser de mille choses, où si je lui raconte quelques anecdotes coquines qui le font sourire, je sens soudain, l’une des mains de mon petit neveu se poser sur ma cuisse, où si nos yeux coquins se croisent, je lui dis « je vois que tu n’en a pas encore assez, » où le petit salaud se met tout en me souriant à continuer son jeu, ouvre ma braguette pour alors y glisser sa main jusqu’à finir par en extirper à présent ma queue tout en érection, sur laquelle sans plus il laisse se promener sa petite langue, où ne me retenant à quelques gémissements, même à lui dire « arrêtes mon Gauthier…, arrêtes….. » ce dernier n’entend rien et continue, laisse alors ma queue glisser lentement dans sa bouche pour s’en délecter à son tour, comme un petit dément de longues et sublimes minutes.
Et si ce moment alors était pour moi divin de sentir les mains de ma petite pute me caresser comme il pouvait, , toujours ma queue bien au fond de sa bouche, je le laisse continuer non sans me déhancher jusqu’à ne plus en pouvoir, où si heureusement ce dernier relâche un instant cette queue pour reprendre du souffle, cela me permet alors de me relever pour sans plus me saisir de lui où quelques secondes suffiront pour se retrouver cette fois, tous deux à poil à se dévorer de partout , très vite j’entraîne alors ma petite salope vers sa jolie chambre à coucher, pour ensuite, le faire basculer sur son lit défait où très vite les ébats les plus fous deviennent une vraie orgie entre les deux petites salopes que nous étions alors , se dévorant de partout, où si arrive un moment, nous finissons l’un au dessus de l’autre, nus voilà, à nous sucer nos queues réciproquement se doigtant par la même très vite nos trous de culs, où là encore mon petit neveu chéri, qui n’avait jamais connu ce jeu à deux, tout en gémissant, relâche un instant ma queue et me lance, « encore tonton…, encore…, oh ouiiiiii…., ouiiiiii tonton…, continuons ….., j’adore trop cela et combien encore envie que tu m’inities à tus ses jeux… ». Et là si à ses oh suppliques, je ne me retiens en rien à lui dire, « tu l’auras voulu ma petite salope…, je vais à présent te sodomiser et te faire sentir ma petite queue te déflorer ton petit trou de cul, où si ce dernier n’ayant jamais pratiqué ce jeu, se laisse malgré cela à des, « ouiiiiii…., oh ouiiiiii tonton…, fais de moi ce que tu voudras…., mais fais moi encore du bien….. » Et si là, relâchant nos queues, je me saisi de mon coquin, pour alors le faire basculer et être à présent allongé sur le ventre, les jambes bien écartées, se laisse faire comme une poupée, j’empoigne une tête d’oreiller, que je lui glisse sous son ventre, ce dernier se trouve à présent dans une position démente et combien perverse,
Et si je me jette alors entre es jambes, très vite je commence par laisser partir ma langue le long de la petite raie de son cul, jusqu’à la faire entrer dans ce petit trou offert, limant de ma langue les entrailles de ma petite salope qui se remet à des « comme c’est bon mon tonton….., ouiiiiii…., continues…, encore…, encore…, je suis à toi…, » où si après de bonne minutes de ce jeu, je retire ma langue de ce petit trou, lance à mon petit neveu, « bouges pas ma petite pute…, je vais te donner et te faire ce dont je me doute tu n’auras jusqu’alors jamais goûté, pour alors me saisir de ma queue combien dure comme jamais, que lentement je laisse entrer dans ce trou de cul, où si mon Gauthier ne se retient à presque hurler de ce plaisir, je me laisse très vite à des petits va et viens, pour par la même laisser partir ma main sous le torse de ce dernier, où si j’empoigne alors sa queue elle aussi tout en érection, je lui la branle alors tout en palpant ses couilles, où ma petite proie, se remet à des râles indescriptibles. Et si ce jeu partagé perdure encore de torrides et sublimes minutes, je ne manque de laisser mes va et viens de plus en plus forts, continue à branler mon petit pervers chéri, quelques secondes suffiront ensuite pour dans des gémissements combien partagés, nous laisser tous deux à exploser dans une jouissance démentielle, emplissant de sperme le cul de mon petit neveu qui pour sa part ne manque de m’inonder ma main de son sperme.
Et si combien à présent nous étions tous deux apaisés de cette envie démente que nous avions depuis tant de temps l’un de l’autre, allongé sur le lit nous nous remettons de ce moment sublime mon petit neveu chéri ne manque de me remercier, me fait promettre que nous remettrons cela à très vite et finit par se jeter sur ma bouche pour se dévorer encore quelques torrides minutes, pour ensuite se rhabiller, après quoi si nous aurons encore pris un petit verre pour se rafraichir, je quitte ensuite mon Gauthier, ne manquant tous deux de se jurer de remettre cela à très vite et bien sur dans le plus grand secret.
FIN
Gégé
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