Je n’ai pas pour habitude de raconter ma vie et encore moins de l’étaler sur Internet. Mais comme je prends mon pied à lire vos histoires taboues, j’apporte ma pierre à l’édifice avec ma confession. Je suis professeur de lycée et j’ai vécu une aventure sexuelle avec une élève de 18 ans.
Elle n’arrêtait pas de me chauffer lorsque nous étions en cours et il est très difficile de résister à une jeune femme au corps pulpeux rempli d’hormones. Lors du premier trimestre, la jeune Caroline avait comme toutes les autres filles, le syndrome du professeur. Très souvent, les élèves tombent amoureuses de leur prof et c’est tout à fait normal. On n’y prête pas attention et surtout on évite au maximum de répondre aux différentes avances que l’on peut avoir.
C’est que Caroline ne me laissait pas indifférent et que petit à petit, l’idée d’avoir une aventure avec elle a germé en moi. Je me masturbais sur son compte le soir d’autant plus qu’elle me faisait des petites remarques salaces dont la dernière a été le déclencheur de notre relation. Elle est venue à mon bureau, car je devais la réprimander suite à son devoir. Je lui ai dit qu’elle devait prêter beaucoup plus d’attention à ses interrogations et qu’elle prenne le temps de se relire avant de me rendre la copie sans quoi, je devrais sévir et la punir. Elle s’est penchée et m’a glissé dans le creux de l’oreille qu’elle adorerait cela ! Voilà voilà ! Et là je me suis retrouvé avec une trique d’enfer à tel point que j’ai dû attendre un bon moment avant de pouvoir me lever.
Un soir après les cours, je me dirigeais vers mon véhicule. Caroline m’attendait et m’a donné son numéro de téléphone en me disant qu’elle serait seule chez elle ce soir et que je pourrais l’appeler. Je n’ai pas pensé un seul instant qu’elle était toujours dans son histoire de séduction. Je pensais qu’elle voulait négocier ses notes. Une fois rentré chez moi, j’ai fait ce que j’avais à faire et j’ai pris mon portable pour composer son numéro. Elle m’a dit qu’elle était amoureuse de moi et que je l’excitais. Je suis bien évidemment resté sur mes gardes parce qu’honnêtement j’ai pensé ce moment que c’était un piège. Elle m’a dit avoir pris très au sérieux ma remarque faite en cours et voulait savoir si j’acceptais de donner des cours particuliers pour remonter son niveau.
Nous avons donc pris rendez-vous et je me suis rendu chez elle quelques jours plus tard. Évidemment, elle m’était des tenues coquines et n’arrêtait pas de me chauffer. Au fil des rendez-vous, je prenais soin de bien observer les lieux en m’assurant qu’il ne s’agissait pas d’un piège. Je vérifiais qu’il n’y avait pas de caméra cachée ou ce genre de choses. De toute façon, je me disais qu’elle était majeure et vaccinée. On aurait pu simplement me reprocher la relation prof élève, mais absolument pas de choses plus graves.
C’est au bout du quatrième rendez-vous que nous avons consommé notre relation. Elle avait effectivement un corps jeune et pulpeux dont je me suis régalé. Je lui ai enseigné tout un tas de choses, mais elle aussi ! Elle m’a même bouffé le cul ! Elle avait une souplesse d’enfer et elle aimait lorsque le sexe était bestial</p>. Je lui ai mis des fessées et on a pu approfondir la relation prof élève. Je l’ai baisée ainsi toute l’année scolaire. Cela a continué pendant l’été et je pensais qu’à la rentrée suivante, cela continuerait. Sauf qu’elle a jeté son dévolu sur un autre prof et qu’elle m’a jeté comme un vulgaire mouchoir.
J’ai quand même vécu plusieurs mois extraordinaires à baiser, parce que c’est vraiment le terme, à baiser avec une jeune fille de 18 ans alors que j’en ai moi-même 45. Elle était consentante, elle était majeure, mais c’était mon élève. Je plaide coupable pour ça, mais uniquement pour ça !
Nathan 45 ans Mulhouse
Hum une petite cochonne
hummmmmmm
toute ressemblance avec un couple présidentiel n’est qu’une coincidence (roles inversés dans cette histoire)