Comme promis chers lecteurs, je reviens vers vous, avec cette suite de week-end passée chez mon parrain ce début octobre 2021, espérant que cette dernière ne vous paraisse pas trop longue, mais j’avais trop envie de vous faire profiter de tous ses supers moments qu’avant parrain je n’avais jamais connu avec personne.
Pour déjà en revenir à la première partie que si j’espère vous aurez profité à lire et ne vous aura pas trop déplu, cette dernière, c’était terminée lorsque nous serons allés nous coucher ensemble dans le lit de ce dernier, et où même avec nos âges, lesquelles dans ses moments ont oublie, bien blottis l’un contre l’autre, ne manquant de se couvrir encore de petits bisous et de caresses jusqu’à finir par s’endormir, la nuit aura été trop cool. Si arrive alors ce samedi matin, réveillé pour ma part difficilement vers 7hrs 30, étonné de ne plus avoir près de moi mon coquin d’amant, je m’étire encore un peu, lorsque surgit ce dernier, déjà tout habillé, qui me fait alors, bonjour mon petit filleul… me dépose quelques bisous et m’informe avoir déjà fait le nécessaire pour le petit déjeuner, lui faisant alors part que j’allais sortir de ce lit pour aller me rafraîchir, m’habiller et très vite le rejoindre.
Et si une dizaine de minutes passent encore, où nous voilà tous deux attablés à profiter de ce petit déjeuner, je remercie encore parrain chéri d’avoir préparé ce dernier avec toute sa gentillesse. Et s’il ne manque de me demander si j’avais bien dormi, je lui réponds que je me serais senti comme une petite pute dans ses bras et que j’aurais en effet dormi comme un loir avec de plus, quelques rêves très coquins nous concernant, ce qui le laisse à sourire et venir près de moi échanger un instant un tendre bisou. Si alors même il n’est que 8hrs 30 juste passé, que le soleil brille au dehors, ce dernier me confie que vu la belle météo il aura préparé dans une glacière, tout le nécessaire, à savoir l’apéro, quelques sandwichs et une bonne bouteille pour un petit pique nique après 11 hrs, ce qui m’aura fait sourire, lui disant tu es un vrai amour parrain. Si ensuite pour me rassurer un peu je pense, il me fait part, qu’il estime, qu’un voyage bien chargé devrait sans problème nous suffire et que même bien sur à devoir faire le retour et décharger, nous devrions terminer pour au plus tard vers 15hrs pour ensuite encore bien profiter de notre week-end intime et coquin.
Si je remarque de plus, par la fenêtre que ce dernier avait déjà préparé son tracteur et accroché la remorque, il ne manque de me donner des gants pour me dit-il éviter d’abimer mes petites mains douces dont en souriant il avait encore bien besoin. Et sans plus, assis près de parrain sur son tracteur nous voilà partis, où si trois petit quart d’heures de routes auront été nécessaires pour arriver sur les lieux, je ne me serais déjà privé à bien des reprises sur le trajet de promener mes mains entre les jambes de mon coquin de chauffeur, qui tout en surveillant malgré cela la route, semblait bien apprécier le jeu de son pervers petit filleul, allant jusqu’à écarter un léger ses dernières pour mieux sentir mes mains. Et si enfin arrivés sur place où il faisait trop bon avec le superbe soleil, descendant tous deux du tracteur si parrain un peu excité du trajet coquin, n’aura manqué de me bloquer contre lui, profite à me bouffer quelques instants ma bouche et ma langue, pour après cela, nous mettre tranquillement à commencer le chargement de ses buches, même si de temps à autre nous aurons faits une petite pause, n’ayant malgré tout plus vingt ans tous les deux.
Si la suite de l’opération se passe bien sur au mieux, arrivant pas loin de 11hrs, voyant que nous avions bien avancé, le tas de bûches ayant en effet considérablement baissé, parrain chéri, décide alors de faire la pause principale avant de finir le restant du chargement. Et souriant, il me fait alors juste part, qu’il était à présent l’heure de l’apéro et de profiter un moment de ce superbe soleil pour un petit pique nique, même rapide. Si pour cela, nous prenons alors place à l’arrière de la remorque, à prendre l’apéro et trinquer à cette belle journée ensemble tout en conversant, nous profitons ensuite à nous régaler avec quelques bons sandwichs et un bon petit vin qu’il nous avait emporté. Si cela perdure encore une bonne demi heure, où me sentant à nouveau fin prêt pour ma part à reprendre la suite, le coquin me fait souriant « doucement mon chéri…, doucement.., laisses nous encore quelques minutes, lui répondant comme tu voudras mon petit chef adoré. Et si jusqu’alors parrain ne m’avait pas encore appelé « mon chéri » même avec mes 51 berges, cela m’aura fait sourire.
Mais voilà que si à un moment, toujours sur cette remorque, par confort et besoin je profite à m’étirer un peu ce qui m’aura fait du bien, voilà que le petit pervers et heureusement du moins nous espérant bien à l’abri dans cette forêt, se met alors à me câliner un peu, où si très vite, il se jette ensuite sur moi, me fait « j’ai trop envie de te faire du bien ma petite pute… » Et là, s’il me bloque simplement contre les battants de cette remorque, s’empare avec gourmandise de ma bouche, pour en même temps laisser partir ses mains entre mes jambes où il finit par réussir à ouvrir la tirette de mon jeans, qu’il se met à faire glisser ce dernier un léger le long de mes jambes, pour ensuite s’emparer de ma petite queue bien sage jusque là, mais qui très vite au contact des mains de mon petit salaud se met en totale érection et qu’il se laisse par faire glisser dans sa bouche pour me la sucer comme un petit dément durant quelques sublimes minutes.
Alors même si bien sur ce moment restait pour moi un plaisir combien agréable, même allongé sur quelques sacs vides de pommes de terre dans cette remorque, me tortillant comme un chat, allant jusqu’à bloquer de mes mains la tête de ma petite salope sur ma queue, où même avec un peu l’angoisse qu’un promeneur, joggeur où autre ne surgisse à l’improviste, je ne me retins à des « Oh ouiiiiii…, ouiiiiii…, encore parrain…, encore…, continues…, » où si de plus ce dernier laisse partir sa main entre mes fesses, et très vite glisse un doigt dans mon trou de cul, écartant au plus fort mes jambes, cela prend encore quelques sublimes instants où dans une explosion de jouissance démentielle, je laisse gicler mon sperme au fond de la gorge de mon parrain chéri, qui toujours à mes branler le trou de cul, se délecte quelques instants, où relâchant ensuite ma queue, toujours son doigt dans mon trou, la bouche encore baveuse de sperme, il se jette sur la mienne pour profiter ensemble de ce sperme restant durant quelques torrides minutes, où enfin nous nous relâchons tous deux de ce divin moment de plaisir partagé au fond de cette forêt.
Et si je n’aurais en partant ce matin, jamais pensé aller si loin, combien je remercie parrain chéri qui s’il se met à s’excuser de ce soudain débordement fous, je le rassure que cela m’aura fait un bien énorme dont je n’aurais jamais imaginé un jour profiter en pleine nature et lui dépose encore quelques tendres bisous. Si après ce petit moment de débauche, il aura rapidement rangé les victuailles, nous nous remettons enfin tous deux souriant à charger le restant de bois, où après tout de même encore trois bons petit quart d’heures, ce dernier était terminé. Et si nous ne manquons aussi de remettre au mieux le site dans son état initial, après cela et avec trop de plaisir nous nous déposons cette fois un gentil et tendre petit bisou, pour ensuite nous mettre tranquillement sur le chemin du retour.
A présent nous voilà à nouveau tous deux assis dans le tracteur, où s’assurant que nous n’aurons rien oublié échangeant un sourire heureux, même s’il nous restait le déchargement à faire, nous voilà reparti, où tout en roulant et à converser tous deux, voilà qu’à un moment, parrain me dit qu’après avoir malgré tout le reste, un peu cogité en matinée à une solution plus cool et combien déjà satisfait d’avoir eu mon aide pour dégager ce bois de la forêt, me fait ensuite part, qu’une fois de retour, il se laissera à juste stationner sa remorque en marche arrière dans le hangar à bois, où sans se fatiguer, il déchargera ce dernier lui-même en deux trois matinées, la semaine prochaine. Et si je lui dis alors en souriant « comme tu voudras parrain…, c’est toi le chef…, » mon coquin alors combien souriant de son idée et ravi, rajoute, « tu en auras fait bien assez pour aujourd’hui mon chéri…, alors après cela, laissons nous passer à des plaisirs bien plus agréables…. »
Et si j’avoue avoir été même sans lui dire tout aussi content de sa décision que lui, je lui fais « tu es trop choux et je t’aime trop fort parrain… ». Alors bien sur avec la remorque chargée, nous roulions depuis un moment moins vite bien sur que ce matin, parrain estime qu’il nous restait à présent une petite demi-heure avant d’arriver à la maison. Et si là, me revient alors ce moment de débordement de mon pervers coquin en forêt, où si ce dernier roule tranquille et sérieux toujours en bavardant, comme déjà sur le chemin ce matin, je ne résiste à laisser à nouveau partir ma main entre ses jambes, le voyant très vite à nouveau grimacer et de plus se remet à écarter un peu celles-ci, où si de plus je me laisse cette fois, lentement à lui défaire les boutons de sa braguette, ce dernier souriant me fait, « je vois que mon petit filleul chéri n’en a jamais assez….., alors continues mon coquin sans toutefois oublier que je roule…., »
Et sans lui répondre, je laisse ensuite ma main partir derrière son pantalon, où si mon petit salaud semble adorer cela, il relève un instant un léger ses fesses, ce qui fait un peu se baisser un peu son pantalon et me permet de plus facilement extirper sa petite queue bien dure, qu’ensuite très vite et avec une envie insensée, je glisse au fond de ma bouche et m’en délecte de longues minutes où ce dernier tout en poursuivant sa route, ne manque de gémir et de grimacer. Et si de plus, ma langue sans retenue se roule autour de cette queue déjà toute humide de sperme, le dessus de son pantalon ouvert sur ses genoux me permet de plus, de lui palper ses petites couilles, cela dure encore un moment, où si mon petit salaud se laisse soudain à des « ça me viens…., ça me viens mon chéri…, continues… encore…, encore ma petite pute…., » n’y tenant plus il met son warning, se stationne et arrête un moment sur le bord de la chaussée, où s’il se laisse à « tu l‘auras voulu ma petite salope…, » se relevant un léger de son siège, toujours les jambes un peu écartées, et se laisse partir dans une jouissance démentielle, où tout en gémissant du plaisir ressenti son sperme gicle alors bien au fond de ma bouche et ma gorge, où combien alors je me délecte de ce moment torride durant quelques sublimes instants.
Et si combien encore ce plaisir aura été partagé, après encore un moment, je relâche alors la queue de mon parrain chéri, que je glisse à nouveau dans son pantalon, pour remonter vers lui se dévorant cette fois encore nos bouches et nos langues où de la mienne nous profitons encore de profiter des quelques gouttes qu’auront laisse son sperme. Et si heureusement aucune voiture n’aura passé durant ses quelques minutes de folies, parrain me souriant se remet bien en place pour ensuite reprendre la route, où après une dizaine de minutes encore, nous arrivons enfin à l’entrée de la propriété de ce dernier. Si je descends ensuite du tracteur pour déjà ouvrir le hangar à bois, parrain, se met avec prudence à rouler en arrière faisant entrer entièrement la remorque où je remarque en effet, que le déchargement auquel il se laissera la semaine prochaine, lui restera assez facile. Sil décroche et va stationner son tracteur dans son hangar habituel, à l’arrière de la maison, notre mission était à présent terminée, il est vrais que malgré nos petits débordements coquins de la matinée en forêt et ceux sur le chemin, nous avions malgré cela bien bossé, où même si jetant un œil à l’heure il était à présent 15hrs passé.
Si parrain revient ensuite et nous nous entrons dans la maison, retrouvant à présent toute notre intimité, nous nous serons tous deux rendus dans un premier temps à la salle de bains pour déjà nous rafraichir et où si bien sur le coquin, après ce moment de jouissance torride que je venais de lui faire passer sur le tracteur, m’en remercie encore et ne manque avec envie et besoin de me dévorer quelques instants, pour ensuite me dire tout souriant « je n’en ai pas fini avec toi ma petite pute chérie, alors attends toi sous peu à mon tour de te rendre la pareille.. ». Et si je lui réponds juste « tout ce que tu voudras mon coquin chéri… ». Si toutefois encore en tenue de travail, tous deux, nous décidons d’un commun accord, d’aller nous changer et nous mettre à l’aise, où après cela, parrain me convie à reprendre bien tranquille un bon petit verre petit verre, me précise de champagne bien mérité et aussi qu’en en soirée nous dinerons à nouveau dans son petit resto ce qui bien sur ne manque de me réjouir.
Si alors chacun de son coté, nous partons nous changer, où pour ma part et surtout après les dires de mon petit pervers, je retire mon boxer, pour juste me couvrir d’un petit short bien cool et d’un polo propre, où après une dizaine de minutes, je reviens au salon, où déjà surpris je vois que la table à l’arrière du salon sur laquelle jusqu’alors il y avait une joie nappe, le petit salaud aura très vite profité à recouvrir cette dernière d’une couette, où sans lui demander les raisons de cette dernière à présent étalée sur la table, je retrouve mon petit pervers, déjà affairé combien aguichant dans le canapé, ayant déjà rempli nos flûtes, lui lance un sourire coquin, surtout à voir que lui aussi ne ce sera pas trop embarrassé, s’étant juste couvert d’un joli peignoir, ce qui me laisse sans plus à fantasmer qu’il ne devait porter grand-chose derrière ce dernier.
Et si aux petites pensées perverses qui me viennent, je ne peut me retenir à très vite bander, je prend alors place en face de mon coquin, où très vite il ne manque de me dire « je te trouve super mignon dans ton joli short mon petit chéri…, » pour alors trinquer tout en conversant de cette journée de boulot, où il ne manque encore de me remercier de mon aide. Et si je lui réponds tout à fait normal parrain et même si résidant loin l’un de l’autre, je serais toujours là pour toi et prêt à te rejoindre en en cas de besoin et tout en lui souriant, je rajoute où d’envies coquines….. Si ce dernier nous reverse alors un autre verre, et par la même se laisse à me demander « tu ne veux pas venir un peu près, de moi que je puisse juste te câliner un peu … ». Et si je me lève alors, toujours ma petite bosse bien voyante entre mes jambes sur laquelle pour exciter encore mon petit salaud, je me laisse à y promener ma main, ce dernier ne me laisse le temps de m’asseoir pour très vite empoigner mes cuisses et me bloquer contre lui, laisse partir ses mains sur moi, qui ensuite lentement glissent le long de mes jambes, pour aller se promener autour de cette bosse, où si toujours debout je ne me laisse à me tortiller, changer de position, ce dernier finit par réussir à me faire tomber mon short, d’où à présent à poil, émerge alors ma queue tout en érection que sans plus il laisse partir dans sa bouche, pour me la sucer et s’en délecter de sublimes secondes.
Et si bien sur la situation dégénère très vite, où si mon coquin qui bien sur avait prémédité la suite perverse de ses envies, s’il se lève alors, m’empoigne et me serre contre lui, son peignoir ouvert, me dévorant le cou de sa bouche et de sa langue, où si de suite je sens sa queue se promener autour de mes fesses, je ne peux me retenir à des gémissements et à des « Oh ouiiiiii…, ouiiiiii… mon parrain chéri…., continues…continues…, j’adore trop mon petit salaud…». Et si ce dernier tout en prenant avec une envie partagée ma bouche dans la sienne, arrivant près de la table, je me laisse à lui dire « « j’ai trop envie d’être encore ta petite pute…, alors vas-y mon parrain chéri…, baises moi…, baises moi…., » où à ses dires, quelques secondes suffisent mon petit pervers me fait alors basculer sur cette table, allongé sur le dos, les bras en croix, les jambes écartées et pendantes, me sentant à présent avec plaisir à la merci de mon petit pervers parrain adoré.
Et sans plus, partant de dessous mon cou, il continue à me bouffer le torse de sa bouche, me couvrant de caresses où finissant par se positionner entre mes jambes, empoignant mes cuisses, il me fait glisser un léger vers le bas de cette table, où là, mon petit cul juste bien à sa hauteur, il se saisit ensuite de sa queue qu’il promène quelques secondes autour de mes fesses jusqu’à la faire glisser entre mes fesses pour enfin me la faire sentir lentement sur mon trou de cul et sans plus, me faire sentir cette queue s’enfoncer lentement jusqu’au plus profond de ce trou de cul, ne pouvant me retenir à des gémissements et râles déments, « ouiiiiii…, oh ouiiiiii…, comme c’est bon mon petit salaud.., continues…, encore…, encore…. ». Et si cela ne semblait pas suffire à ma petite salope, voilà que ce dernier se saisit de mes jambes, pour les poser sur ses épaules, pour encore mieux s’enfoncer en moi, tout en se laissant alors à des va et viens effrénés, qui dans cette position me procurent un plaisir insoutenable.
Et si bien sur toujours à gémir de plus en plus fort tout en me branlant ma petite queue, quelques secondes encore suffiront à mon pervers parrain, qui me lance alors, « ça me viens… ça me viens ma petite pute…, » et tout en grimaçant se laisse partir dans une jouissance démentielle où toujours dans des va et viens torrides, il laisse alors gicler son sperme au fond de moi qui sentant ce dernier m’envahir, me laisse à cet instant à un sentiment et plaisir insoutenable. Si toutefois j’étais toujours à me branler ma queue, parrain se retire lentement de mon trou de cul, il retire alors mes mains de ma queue, pour y jeter sa bouche et tout en me palpant les couilles il me suce, me laissant à des petits hurlements de ce plaisir fous, jusqu’à l’instant prévenant ce dernier qui ne relâche en rien, je me laisse à mon tour à jouir comme un dément laissant gicler avec force mon sperme au fond de la gorge de mon petit salaud qui ne manque de s’en délecter de longues et sublimes secondes.
Et si je reste encore allongé quelques secondes à me reprendre de ce torride moment, mon petit amant adoré ayant à présent relâché ma queue, il ne manque de profiter à encore laisser promener ses lèvres encore un peu baveuses de mon sperme sur mon torse, autour de mes petits seins et enfin il remonte pour reprendre avec cette envie toujours autant partagée nos bouches et nos langues pour se dévorer encore quelques torrides minutes. Après cela si je me relève de cette table, s’il était à présent 18hrs passé, nous nous rendons tous deux à la salle de bains pour nous rafraîchir et pour ensuite aller nous rhabiller puisque parrain nous avait gentiment pour cette dernière soirée encore réservé dans son petit resto. Et si bien sur sans rentrer dans les détails, nous aurons encore passé tous deux une soirée et nuit encore bien mouvementée n’ayant manqué d’innover encore divers autres pervers petits plaisirs. Si enfin, arrive ce dimanche où en début d’après midi avec bien sur un peu de regrets, je quitte mon parrain chéri pour me mettre sur le chemin du retour, ne manquant toutefois de nous promettre de se revoir, dés le début du prochain printemps, où si parrain m’informe avoir encore à part le bois d’autres petits travaux plus agréables à faire à deux, espérant que d’ici là, nous aurons encore autant lui que moi, cette bonne forme pour pouvoir à cette occasion encore baiser ensemble.
FIN
Gérard où Gégé.
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