Bonjour à toutes et tous, je reviens vous compter une aventure sexuelle qui vient de m’arriver le 06 septembre dernier. Bien entendu cette histoire est tout à fait vraie.
Je tiens à remercier en préambule, un des abonnés du site, il se reconnaîtra. C’est grâce à lui que tout a été possible et je l’en remercie chaleureusement.
Il ne s’agit en fait, ni plus ni moins, que de mes retrouvailles avec ma compagne du site Nono.
J’ai donc eu la bonne surprise d’avoir un jour un homme qui s’est proposé de venir à nous avec son camping-car. Ce dernier, comme les comètes dans l’espace, devait traverser nos départements respectifs entre le 05 et le 06 septembre. Je n’allais pas le laisser passer sans réagir.
Lors d’échange de plus en plus précis, sur le site, nous avons mis en place notre rencontre. Le 05 septembre il est allé rejoindre Nono chez elle. Cette partie de l’histoire fera l’objet d’un autre récit, par Nono lui-même. N’étant pas présent lors de leur rencontre, je ne peux pas écrire dessus.
Donc le 06 septembre au matin à 8 h 30, je me suis rendu à proximité de mon domicile, pour rejoindre Nono et notre hôte que je vais prénommer « D ». Je les ai trouvés au petit déjeuner, Nono, négligemment installé, avec des habits sur elle, ce qui m’a le plus surpris, je l’avoue, prenant son petit déjeuner.
Je salue chaleureusement « D », le remercie encore, il me sourit et me dis que tout le plaisir a été pour lui. Je regarde Nono et comprends du coin de l’œil que leur nuit a été courte et très chaude.
« D » est un quinqua très sympa, avec un corps de rêve, très sportif. Il est naturiste et donc sa peau a une belle teinte avec un superbe bronzage intégral. Il est musclé et très mince. Entre les jambes, il a un sexe de belle taille, qui a dû ravir Nono la nuit précédente. Je n’ai qu’une envie c’est de me mettre à genou et d’engloutir cette verge si appétissante.
Mais pour l’instant mon hôte me propose un café, que j’accepte volontiers. Nono termine le sien. Bien entendu la première chose que j’ai faite en montant dans le camping car, je me suis dirigé vers la bouche de ma douce qui n’attendait que la mienne. Nous avons échangé de longs baisés et nous avons mélangé nos salives avec beaucoup de délectation.
Mes mains ont vite retrouvé le chemin de sa poitrine et c’est avec beaucoup d’émotion que j’ai redécouvert la douceur et la sensibilité de sa poitrine, mais surtout le poids de ses seins, des seins lourd et énorme qui ne demande qu’a être peloté, caressé et malaxé.
Elle de son côté, étant assise, a vite eu une main baladeuse. Je porte un short de sport avec un slip intégré, de ceux que l’on utilise pour courir. Bien entendu, ma salope a vite compris qu’elle avait un accès direct à mon entre-jambes sans grande difficulté.
Elle en a donc pris le chemin pour commencer à me caresser mes bourses avec beaucoup de douceur et de doigté.
Cela faisait maintenant 11 mois qu’elle n’avait pas eu l’occasion de le faire, et sa joie et son bonheur étaient visibles, comme le mien bien évidemment, pour ces retrouvailles que nous attendions avec tellement d’impatience.
« D » nous rejoint et commence lui aussi à s’occuper d’un sein de la belle. Elle ronronne comme une chatte en chaleur. Je la connais et je sais pertinemment que son entre-jambes et complètement détrempé, et que sa chatte doit couler entre ses cuisses pour mieux nous accueillir dans quelques instants.
Nos étreintes durent une bonne dizaine de minutes, et nous finissons par nous mélanger les langues dans un trio très doux et agréable. Le temps est suspendu pour nous trois, je commence à me rapprocher également de « D » et je pars en exploration de ce corps qui me fait aussi envie.
Mes mains passent sur un corps d’athlète, ses muscles sont saillants. C’est un chat maigre comme l’on-dit dans mon milieu professionnel. Il est taillé et c’est un régal que de faire glisser mes mains sur sa peau.
J’arrive jusqu’à son entre-jambes et commence à lui caresser les couilles, elles sont douces et lourdes, et j’engage mes doigts autour de sa verge qui commence à prendre du volume.
N’étant plus trop à nos aises dans la cuisine du camping-car, nous nous dirigeons vers la chambre.
Le lit est surélevé ce qui me permet après que Nono y soit monté de lui demander de se mettre dans une position qui me donne un accès libre et sans entrave à sa chatte baveuse.
« D » quant à lui a pris place sur le lit également.
Pour ma part j’écarte les cuisses de ma louve, et je caresse délicatement les entrejambes de la petite chienne qui est devant moi.
Elle écarte largement les jambes, me donnant à voir et à sentir sa vulve bouillonnante.
N’y tenant plus, je sors ma langue et la pose délicatement sur son bouton. Elle réagit immédiatement en poussant des gémissements et en posant ses mains sur le dessus de ma tête.
La salope en veut plus, beaucoup plus…
Je m’enfonce alors de plus en plus dans son puits d’amour, en lapant comme un chien en rût devant sa femelle. Je la déguste, ma langue monte, descend, va à droite à gauche en bas vers son œillet en haut vers son clito.
Sa respiration devient de plus en plus rapide et ses gémissements se transforment en râle.
« D » est bien à son aise, également, la miss ayant pris la queue dans sa bouche et lui prodigue une pipe comme elle sait si bien les faire.
Il est aux anges, sa queue et bien gonflé et à pris des proportions très impressionnante qui a du combler ma salope la nuit dernière.
Je continue à m’occuper de cette chatte qui m’a manqué depuis tant de temps. Elle coule dans ma bouche, et je me régale avec sa mouille si abondante.
Bien entendu avec le traitement que je lui inflige, la petite ne sait pas retenir les orgasmes qui arrivent par salve dans son ventre. Elle gémit et se tortille à chaque déclenchement, jusqu’à ce qu’il arrive, l’orgasme que nous attendons tous les deux.
J’ai les mains de Nono qui plaquent ma bouche sur sa vulve gonflée, mes doigts sont dans sa chatte et je l’explore de tout côté. Ce traitement conjoint a pour effet de faire monter ma Nono au maximum de sa jouissance. Et dans ces cas-là, arrive l’inévitable fontaine qui inonde ma bouche et les draps.
« D » n’en revient pas de voir que j’arrive à lui faire gicler la chatte en la bouffant avec ma langue. Bien entendu la demoiselle est aux anges, et continue à sucer notre hôte avec douceur et dextérité.
Je me décide de la rejoindre, et nous commençons à sucer la bite de « D » conjointement.
Bien entendu ce dernier nous remercie en gémissant de plus belle.
Mon premier contact avec son gland me fait fondre et je m’applique a lui sucer avec beaucoup de douceur. Nous mélangeons nos langues sur le gland de « D » c’est l’extase.
Après quelques minutes de ce traitement, je propose « D » de prendre Nono qui a envie d’une bonne queue dans sa chatte.
Il ne se fait pas prier et Nono se couche sur le dos en ouvrant grand les jambes. « D » se place au-dessus d’elle et introduit son gland doucement en écartant bien les lèvres de la chatte bien trempée de notre femelle en chaleur.
Je m’empresse de lui caresser les reins et les fesses, pendant qu’il est en train de s’enfoncer dans la chatte brûlante de Nono.
Je regarde son pieu de chaire écarter la chatte de Nono qui est luisante et qui gémit et feule de plaisir.
« D » commence à augmenter le rythme de ses coups de reins, je lui caresse maintenant ses couilles et glisse mes doigts entre le clito de Nono et le pubis de « D ».
L’effet sur Nono est instantané, elle se tord de plaisir et ondule son bassin. Bien entendu le mâle qui la baise ne s’en laisse pas compter et continue a lui défoncer de plus en plus sa matrice. J’observe avec beaucoup de plaisir ce sexe tendu entrer et sortir de ce sexe féminin qui est malmené pour tous les plaisirs qu’il peut donner à sa propriétaire.
Je sens sous mes doigts le clito qui a pris des proportions hors norme. Je l’astique frénétiquement ayant pour effet de faire hurler Nono et de rendre prisonnier la queue de « D » qui après quelques instants de cet étau de chaire n’a d’autres solutions que de libérer en plusieurs jets puissants sa semence dans le fond de la chatte de Nono qui elle aussi jouit en continu.
Je laisse les deux amants reprendre leurs esprits. J’en profite, car moi la pression est toujours là, de monter moi aussi dans ce lit pour me délecter de la semence de « D » en mettant ma langue à l’intérieur de la chatte brûlante de Nono qui se laisse faire se nettoyage en douceur avec beaucoup de plaisir.
Après avoir récupéré le bon sperme de « D » en bouche, je me dirige vers la bouche de Nono pour lui faire partager ma trouvaille qu’elle accepte avec beaucoup de plaisirs.
C’est alors que j’indique vouloir passer à la vitesse supérieure. Je me dirige vers la valise de Nono pour prendre la gaine qu’elle a amenée pour moi.
Je glisse mon sexe à l’intérieur, ce qui fait que je me retrouve avec un membre digne de Rocco entre les cuisses.
À la vue de ce stratagème, « D » reste dubitatif, je lui dis alors qu’il regarde bien le spectacle qui va avoir lieu.
Je m’allonge sur le lit et laisse ma belle Nono se positionner au-dessus de mon sexe et de sa gaine. Après l’épisode de « D » et de sa belle queue, la chatte est largement ouverte et elle n’a aucune difficulté à engloutir complètement ma gaine sur toute sa hauteur.
« D » reste stupéfait de ce qu’il est en train de voire, et pour le scotcher un peu plus, Nono se met en transe et commence à monter et descendre sur mon sexe en cadence.
Le rythme commence à être vraiment très rapide, ce qui par conséquent entraîne un balancement du camping-car qui ne s’arrêtera qu’a la fin de l’exercice.
En attendant, je suis estomaqué par l’allure qu’elle maintient pendant de longues minutes.
On transpire à grosse goûte, et sa chatte est un véritable ruisseau, elle gémit de plus en plus fort.
Après quelques minutes, elle pousse un cri de jouissance et s’effondre sur moi.
Les amortisseurs du camping-car qui ont été mis à rude épreuve se reposent eux aussi.
Nous prenons tous un peu de repos, mais moi de mon côté la pression est trop forte. Nono le comprend de suite, et commence à me sucer et me glissant plusieurs doigts dans mon petit trou pour aller titiller ma prostate.
Elle y met tout son cœur, et elle me fait grimper au rideau en quelques secondes. J’ai les couilles pleines de plusieurs jours d’abstinence, mais cela ne gêne aucunement Nono qui va se faire remplir la bouche de ma semence.
« D » lui s’est mis en retrait, il sait que cela fait des mois que nous n’avons pas eu l’occasion de baiser ensemble. Il a une aura et un sens de l’hospitalité hors pair.
Nous profitons donc de nos retrouvailles à deux, Nono me suce avec douceur et sa langue parcourt chaque millimètre de ma queue en bavant comme il faut pour que je me sente comme un coq en pâte.
Nono sent la première que je suis sur le point de jouir avec ses doigts sur ma prostate qui a doublé de volume.
Bien entendu je suis tendu et crispé, et c’est avec un véritable soulagement et un crie de jouissance que je libère des jets énormes de sperme dans la gorge de l’amour de ma vie. Elle n’en perd pas une goutte et une fois qu’elle m’a bien nettoyé ma queue de la moindre trace de sperme, elle ouvre grand la bouche pour nous présenter à « D » et à moi le fruit de son dur labeur.
Je suis épuisé, par l’intensité et la force de mon orgasme.
Nous faisons une pause et nous décidons de prendre un rafraîchissement salvateur.
Bien entendu, il est prévu de reprendre les hostilités sexuelles durant l’après-midi, mais cela fera l’objet d’un second volet à venir…
Bonne lecture…
Moinoe38
Excellent récit qui me rappel bien de bons moments passés entre ma femme, mon pote et moi.
Merci et vivement la suite.