Mes chers lectrices et lecteurs, je reviens comme promis, pour vous raconter la suite de ma journée avec « D » et Nono.
Après avoir pris une bonne douche salvatrice avec ces chaleurs insupportables de ce début septembre, j’ai pris une petite collation et je suis retourné vers le camping-car de tous les délices qui m’attendait avec ses deux merveilleux occupants.
À mon arrivée je trouve « D » et Nono prenant le café. Nono est entièrement nue et attend que les choses sérieuses recommencent.
Nous quittons nos vêtements et on se retrouve devant cette femme qui n’attend qu’une seule chose : que l’on prenne son corps de toute part.
Bien entendu, nous avons pu recharger nos batteries et nos bourses et nous n’allons pas attendre qu’elle nous appelle pour partir de nouveau à la conquête de ses seins et de ses courbes et autres lieux de luxure qu’elle nous donne à explorer.

Nous débutons par butiner sa poitrine qui est si sensible, ses tétons pointent et ne demande qu’à être excité, bien entendu nous ne faisons pas que cela, mais conjointement telle des Shiva nous nous attaquons également à son entre-jambe. Pendant que l’un embrasse et titille les seins, l’autre doigte avec douceur la fleur de Nono qui se cache, plus pour très longtemps, entre ses cuisses lisses. Bien entendu nous lui roulons des pelles bien baveuses pour ne pas oublier sa bouche.
À cause, ou avec ce traitement, Nono, se contorsionne et nous comprenons qu’elle est atteinte de micro jouissance et qu’elle ne va pas pouvoir rester encore bien longtemps debout.
J’invite Nono à se diriger vers le lit pour plus de commodité et pour mieux la déguster. Bien entendu elle ne se fait pas prier et file rapidement se mettre en position sacrificielle sur l’hôtel de la luxure qu’est devenu le lit de ce camping-car providentiel.
Avec « D » nous prenons nous aussi le même chemin. « D » a déjà la queue bien raide, il s’invite donc vers la chatte de Nono qui s’ouvre comme un fruit mûr et qui l’accueille dans un bruit de succion et d’humidité digne des pluies sous les tropiques.
Moi de mon côté je vais aider à l’accouplement de ses deux êtres en chaleur, en introduisant deux doigts en même temps que la queue de « D » dans la chatte de Nono, bien entendu ma manœuvre est saluée par des feulements féminins et de râles masculins.
Mes doigts coulissent le long de la queue de « D » je vais jusqu’à son gland que je caresse doucement. Je passe la pulpe d’un doigt sur son frein, je le sens réagir dans la seconde.
Je caresse en même temps les parois du vagin humide et dégoulinant de ma belle salope, elle en redemande et se dandine autant par les coups de boutoir de « D » que par mes l’effet de va-et-vient de mes doigts en train de branler la queue raide qui la besogne.
Il va sans dire qu’avec un traitement de la sorte, la cadence s’accélère rapidement, et les feulements se transforment en cris de jouissance pour Nono.
Son sexe nous prend en étau « D » et moi et nous oblige à redoubler d’efforts pour aller et venir dans ce vagin devenu étroit d’un coup.

Bien entendu ce qui est prévisible, c’est que « D » ne puisse plus contrôler son bassin et c’est en criant son bonheur qu’il se décharge les couilles au fond du vagin de Nono qui est aux anges en recevant ses belles giclés de sperme chaud.
« D » se retire doucement de la chatte chaude et humide qu’il vient de remplir, moi de mon côté je m’approche de l’entre-jambes de Nono, et je commence à lui dévorer sa chatte encore endolorie.
Mais cela ne la dérange pas, bien au contraire, elle m’ouvre bien ses cuisses pour que je puisse à ma guise me délecter des nectars et des sécrétions qui s’écoulent de son puits d’amour.
Et je vais donc avec ma langue et mes doigts, gentiment au départ, juste un puis deux doigts, me mettre à récolter et à butiner ce fruit que j’adore.
Elle n’en revient pas de mon appétit, elle retourne encore en phase montante et se met à jouir de nouveau, et à crier son bonheur. Pour ma part je n’arrête pas en si bon chemin, et je continue mon nettoyage et mon inspection avec minutie et doigté. Des doigts j’en ai maintenant quatre qui parcourent les méandres de cette chatte en chaleur.
Je sens qu’elle va encore jouir une nouvelle fois, j’ai son clito qui est gonflé à son maximum, et qui fait facilement la taille d’une noisette entre ma langue, mes lèvres et mes dents. Je lui inflige des succions suivies de petit coup de dents, et pour finir un bon léchage de chien en rut.
Elle n’en peut plus et lâche encore des râles puissants indiquant à ses deux mâles qu’elle est de nouveau en train de jouir.
Je sais qu’elle en veut encore et qu’elle en veut plus. Elle me regarde et me fait un petit signe de la main : son poing fermé. J’en connais que trop bien la signification.
Je me dirige vers le pot de gel et je m’en tartine la main. « D » n’a pas compris tout à fait notre petit jeu. Il est en train de baiser la bouche de Nono avec délicatesse.
Je me présente donc avec mes doigts bien enduit vers cette vulve bien ouverte et bien dégoulinant. Elle sait très bien que j’ai compris à la seconde où elle m’a fait le geste, que je vais m’empresser de la fister. Elle le sait et le veut au plus profond de son corps.
Je commence à m’enfoncer doucement et délicatement dans sa chatte. « D » a maintenant compris ce qui va se dérouler devant ses yeux. Il regarde avec attention ce que je suis en train de faire, et il n’en loupe pas une seconde.
Pour ma part je me régale et je sens ma main qui commence à glisser à l’intérieur du ventre de ma douce. Elle gémit et continue a sucer de plus belle la queue de « D »
J’ai mis du gel pour la forme, elle est tellement humide et a été défoncée depuis le matin, que sa chatte est ouverte comme jamais.
Je me retrouve aspiré par sa chatte et je peux maintenant commencer à faire des allez et venu pour bien lui faire sentir mon poing dans son sexe.
Elle ondule et écarte encore plus les jambes, ma main et prisonnière de ce vagin si doux et accueillant. C’est un véritable paradis, un bonheur que de prodiguer ce geste à cette jeune femme qui n’attend que cela et qui est si réceptive à mes caresses.
Je ne sais pas si c’est le fait que l’on ne se soit pas vu depuis longtemps ou le fait que nous avons abusé de son corps depuis le matin, et « D » depuis la veille au soir, ou alors les trois combinés, mais je n’ai jamais été aussi facilement dans sa chatte et aussi bien accueilli que maintenant.
L’instant et d’une telle intensité que je n’ai plus aucune autre notion, je ne sens que mon poing et son ventre c’est tout.
Je n’ai qu’une envie c’est la faire jouir de façon la plus puissante possible, je commence alors à lui masser délicatement son clito qui est sorti depuis longtemps de son capuchon et qui n’attend que cela, se faire caresser.
J’accélère mes mouvements et j’atteins le point de non-retour rapidement, elle est surexcitée et moi je commence à avoir des crampes dans l’avant-bras tellement je lui démonte le ventre.
Elle hurle son bonheur, « D » reste interdit devant tant de puissance. J’ai le poing qui est compressé comme dans un étau. Je ne bouge plus, je n’ai que mon pouce qui a encore la possibilité de malaxer le bouton de la déchainée.
Elle me demande d’arrêter mes mouvements, mon poignet me fait mal, et je sens qu’elle vient d’avoir un orgasme exceptionnellement puissant. Hors norme même.
Je reste là immobile, mon poing dans sa chatte qui pulse comme un cœur, et qui est bouillante comme un volcan en éruption.
Je n’ose plus faire un mouvement. Je reste ainsi quelques minutes pour que la tension retombe un peu.
J’attends l’ordre de Nono pour dégager mon poing de sa prison d’amour.
Dans un souffle elle me demande de sortir de son vagin comprimé, ce que je fais avec le plus de douceur et d’amour possible.
Une fois fait, je m’approche de ma douce et lui donne des baisers, c’est alors que je me rends compte du ras de marré qu’a déclenché son orgasme. Nono est en quasi en transe, elle a les larmes qui coulent le long de ses joues, des larmes de bonheur, bien entendu elle sourit en même temps et m’embrasse fougueusement.
Elle me dit dans un souffle qu’elle n’a jamais connu une aussi forte sensation lors d’un fist et qu’elle n’a pas de mot pour me remercier de ce que je viens de lui faire vivre.
Je la rassure et lui dis que je suis le plus heureux des hommes d’avoir pu lui donner autant de bonheur de cette manière et que ce n’est pas fini, qu’il y aura d’autres moments aussi forts, voire même bien plus.
Nous nous câlinons encore un moment avant de nous séparer à regret.
En espérant que ce récit vous a plu, n’hésitez pas à mettre des commentaires.
À bientôt.
Moinoe38
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