Ah la chaleur est toujours là. Les corps se sont dénudés pour le plus grand plaisir des yeux. L’autre jour je faisais les boutiques en centre-ville, habillée d’une légère petite robe blanche. Au détour d’une rue, j’ai croisé un superbe étalon. Il portait un Marcel moulant qui mettait en valeur son impressionnante musculature. Il avait la peau mate, les cheveux bruns et de beaux yeux verts. Lorsqu’il m’a regardé, j’n’ai pas pu m’empêcher de me mordre les lèvres. Et chacun a continué sa route. J’ai fait une halte dans une librairie et j’ai commencé à lire le résumé d’un bouquin lorsque j’ai senti une présence dans mon dos.
– Très bon choix. A dit un homme.
Je me suis retournée. C’était le bel étalon sur lequel j’avais salivé dans la rue.
– Ah, ah oui… Ai-je timidement bégayé.
– Oui surtout les moments coquins entre les deux principaux personnages.
J’ai senti le rouge me monter aux joues. Nous avons continué à parler littérature et l’homme qui m’a dit s’appeler Mehdi m’a invité à l’accompagner à un concert le soir même. Je n’avais rien de prévu alors j’ai accepté.
La nuit tombée nous nous sommes retrouvés dans le café où jouait l’artiste. Un homme seul avec une guitare acoustique et je dois dire que j’ai apprécié ce qu’il faisait, mais un autre sujet a très vite accaparé mon attention. Nous étions assis à une table et tout à coup j’ai senti une main frôler ma cuisse. Pensant que ce n’était pas volontaire, je me suis décalée un peu sur le côté, mais la main est revenue à la charge. J’ai compris là que c’était bien volontaire, j’ai souri et il a bien compris que j’aimais ça. Je ne sais pas ce qu’i m’a pris, mais j’ai écarté les jambes, pour qu’il remonte plus haut. Il n’a pas perdu de temps, les doigts sont lentement remontés sous ma robe. Ils ont écarté la ficelle de mon string et ont fouillé mon petit abricot puis se sont enfoncés dans mon vagin. J’ai légèrement sursauté en les sentant glisser en moi, mais personne n’a rien remarqué. Il a commencé de vas et viens me rendant de plus en plus chaude et humide. J’ai agrippé la table, je luttais pour ne rien laisser transparaitre de mon plaisir, je continuais à sourire. Il a approché sa bouche de mon oreille et m’a demandé si j’avais envie de m’éclipser aux toilettes. J’avais trop envie de lui pour refuser et je lui ai emboité le pas (ce n’est pourtant pas mon genre de me faire baiser dans les toilettes).
Dès que la porte des cabinets a été refermée, il a collé ses lèvres sur les miennes et nos langues se sont rencontrées. L’une de mes mains a glissé jusqu’à son entre jambes et j’ai été surprise de découvrir une grosse bosse. J’ai défait sa braguette et libéré son membre de l’étreinte du tissu. Je lui ai demandé s’il avait une capote. Aussitôt il en a sorti une de sa poche et l’a enfilé sur son membre. Il a baissé mon string et m’a plaqué contre le mur. Mes jambes se sont naturellement entourées autour de sa taille et il m’a pénétré d’un lent coup de reins. Sa tige a glissé toute seule dans mon antre humide. Je me suis accrochée à ses épaules. Il a débuté ses allées et venues, s’enfonçant de plus en plus dans mon intimité. Il a attrapé le haut des parois du cabinet pour s’aider dans ses mouvements pour me prendre plus fort. C’était tellement excitant de se faire prendre ainsi par un homme que je connaissais à peine et je ne voulais pas que ça s’arrête, mais mon partenaire s’est soudainement retiré de mon petit abricot trempé.
Il a baissé l’abatant des toilettes et s’est assis dessus puis il m’a attiré vers lui. J’ai empalé non pas mon vagin sur sa verge dressée, mais mon petit trou. Doucement son sexe a glissé dans mon étroit conduit, jusqu’à ce que je sois complètement assise sur mon partenaire. J’ai commencé à monter et à descendre mes fesses en m’aidant de mes jambes. Ma grotte s’ouvrait de plus en plus et j’ai accéléré le rythme. Il a saisi mes hanches et m’a aidé dans mon mouvement puis tout à coup il m’a complètement soulevé.
– Je veux me finir dans ta bouche. M’a-t-il avoué.
Alors je me suis agenouillée et j’ai enfourné son membre dans ma bouche après avoir enlevé le préservatif. Il a empoigné mes cheveux et m’a imposé un rythme de vas et viens rapides. Son sexe s’enfonçait si profondément que son gland frottait mes amygdales. Il a soudain bloqué ma tête et a déversé sa semence sur ma langue. Je n’ai pas perdu une goutte de cet épais liquide blanc.
Nous sommes retournés à notre table l’air de rien et ce n’est qu’une fois assise que je me suis rendue compte que j’avais oublié mon string dans les toilettes.
Nous nous sommes quittés après avoir échangé nos numéros et je dois le revoir ce soir. J’ai hâte !
Bisous à tous.
belle petite aventure qui rappelle tous les plaisirs que l’on découvre durant l’insouciance de notre jeunesse…..
Hum une petite coquine
J’adore cette photo