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Une bourgeoise dans le confessionnal d’un curé pervers

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La baronne Viviane de L. est une jolie brune piquante de 30 ans, mariée au baron de L., de 25 ans son aîné. Celui-ci vit au gré de ses passions que sa jeune épouse n’est pas invitée à partager. Certes, la baronne sait fort bien que son époux lutine et renverse à l’occasion Amélie, la bonne.

     Elle-même ne se prive pas d’amours ancillaires. Elle n’ignore plus rien de la généreuse virilité de son chauffeur, et elle offre parfois son intimité aux manières frustes du jardinier, dans la serre aux orchidées. Elle accepte souvent, à l’heure de son déshabillé, les voluptueuses et féminines caresses de sa camériste, dont l’habilité linguale ravit le minou épilé de la baronne. Mais ce sont là des plaisirs qui, pour une personne du rang de la baronne, ne prêtent ni à conséquence ni à péché.

     À l’occasion d’une visite faite à son amie la comtesse Marie-Cécile de la M., la baronne Viviane s’est trouvée prise, si l’on peut ainsi s’exprimer, de toute autre façon, acceptant, avec la lubrique complicité de la comtesse, de recevoir en même temps l’hommage de trois vigoureux braquemarts, appartenant à de jeunes ouvriers réalisant des travaux dans le château de la comtesse.

     Pour tout dire, elle avait surpris la comtesse en pleine action, et après quelque hésitation, mais sous les encouragements dévergondés de Marie-Cécile, elle s’était vite retrouvée en guêpière et jarretelles à donner généreusement de sa noble personne à ces gueux bien montés. Ses trois trous furent explorés, comblés, remplis, inondés avec délices, sans compter les saphiques attouchements de sa vicieuse amie.

     Viviane conservait de cet après-midi orgiaque, certes un excellent souvenir sensuel ayant finalement beaucoup apprécié d’être traitée de salope, de grosse cochonne, de jouisseuse de la haute, mais son éducation lui commandait de ne pas demeurer seule avec ce grave péché de luxure, d’où sa décision de se confesser.

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     Elle conçut donc le projet de se rendre en l’église d’un bourg voisin, où si son nom était connu, sa personne ne l’était pas. Elle attendit son tour près du confessionnal et vis les quelques bigotes qui la précédaient entrer et sortir rapidement.

     Elle se fit la réflexion que ces dames compassées et sèches n’avaient probablement pas à avouer à leur curé qu’elles s’étaient livrée, corps et âme, et surtout le corps, à une partouze débridée.

     Puis ce fut à elle d’entrer dans le confessionnal, de s’agenouiller et de tirer le rideau.

     – Mon père, je viens me confesser, car il me semble avoir beaucoup péché.

     – Je vous écoute ma fille,

     – C’est que mon père, mes péchés sont délicats à avouer.

     – C’est si grave que cela ma fille ?

     – Ho oui, j’ai commis un péché capital mon père.

     – N’hésitez pas ma fille je puis tout entendre et si vous voulez être pardonnée, il faut tout avouer. Avez-vous péché en pensée ma fille ? Par omission ou par action ?

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     – Bien mon père, j’ai euh plutôt péché par action et aussi en pensée bien sûr.

     – Oui ?

     – Voilà je me suis vautré dans la luxure mon père et j’ai fait l’amour avec plusieurs hommes et une femme.

     – En même temps ma fille ?

     – Euh oui, mon père, et euh en trompant mon mari par la même occasion.

     – Ho en effet, c’est très grave vous encourrez l’enfer. Dites-moi tout.

     – Eh bien, mon père, je visitais mon amie, Marie-Cécile.

     – Vous voulez dire la comtesse ma fille ?

     – Euh oui c’est elle.. Vous, vous.. la connaissez ?

     – Bien sûr, ma jolie pécheresse, elle vient souvent se confesser, mais continuez je vous prie…

     – Eh bien donc, vous disais-je, je visitais mon amie en sa demeure. Je sonnais, personne ne vient m’ouvrir et je pensais qu’elle avait donné son après-midi à la bonne. Je rentrais, elle n’était pas au salon ni à la bibliothèque. Je montais le grand escalier et soudain je perçus des gémissements et des voix d’hommes. j’arrivais aux appartements de Marie-Cécile. La porte de son boudoir était ouverte et ce que je vis me renversa. Un homme nu de dos. Je voyais ses fesses puis plus bas ohh deux paires de testicules poilues. Je compris que mon amie la comtesse se faisait prendre par deux sexes à la fois, un par devant et un par-derrière. Et elle avait l’air d’aimer cela. Elle criait, elle gémissait, elle les suppliait de continuer. Un autre homme nu était debout devant la bouche de Marie-Cécile. Il se masturbait en frottant sa queue sur la langue sortie de mon amie qui lui caressait ses fesses. Tous ils disaient des cochonneries et Marie-Cécile aussi, elle n’arrêtait pas de dire qu’elle aimait se faire mettre par tous les trous, qu’elle adorait se faire défoncer le cul par des grosses bites etc… et eux grognaient de plaisir insultant la comtesse et la traitant de salope, de belle putain, de cochonne, de jouisseuse et tout..Une bourgeoise dans le confessionnal d'un curé pervers

     Je restais à regarder ce spectacle et je me sentais très excitée. Je voyais les deux queues entrer et sortir de la chatte et du cul de la comtesse et je mouillais. Alors, j’ai mis ma main sous ma jupe et je me suis caressée en regardant, retirant même ma culotte trempée de mon excitation.

     Nue, excepté ses bas blancs, Marie-Cécile attendait que ces trois rustres qui se branlaient sur elle jouissent et répandent leur sperme sur son ventre, quand elle m’aperçut.

     – Oh…. Viviane, mais que fais-tu là ?

     Les trois hommes nus me virent et me découvrirent la main entre mes cuisses gainées de noir, excitée cette orgie.

     Un des gaillards vint me chercher et je me retrouvais bientôt en guêpière et bas, allongée à côté de Marie-Cécile attendant que ces coquins lâchent leur semence de plaisir sur nous. Les trois hommes se branlaient sur nous et la main de Marie-Cécile caressait ma chatte.

     – Eh, quelles salopes elles font, ces deux aristos. Oui, elles aiment çà, les belles garces… ouiiii, lâchez-nous votre purée hurlait Marie-Cécile, folle de perversité.

     Puis mon père, je fus à mon tour. Les trois cochons eurent vite fait de reprendre de la vigueur et je me retrouvais bientôt dans la même position que celle de Marie-Cécile lorsque je l’avais surprise.

     Ces trois hommes alternèrent dans la bouche de Viviane, dans son con et son cul et l’ont fait jouir comme jamais.

     – Oh mon père, j’avais bien honte, mais que c’était bon et j’ai joui comme jamais chez mon amie Marie-Cécile qui se branlotait doucement en me regardant subir ces vigoureux assauts.

     Elle caressait les fesses des hommes qui me limaient par mes trois trous et à nouveau, ils jouirent, sur mon cul, mon ventre, dans ma bouche. Puis la comtesse vint lécher le foutre de ces coquins répandu sur tout mon corps et s’en délecta de nouveau.

     Les ouvriers partirent et nous laissèrent nues et pantelantes de plaisirs et de jouissance.

     – Eh bien, dit Marie-Cécile, puis-je vous offrir du thé ma chère amie ? Nous descendîmes à l’office pour chauffer l’eau et nous prîmes un délicieux thé fumé, encore nues avec nos bas plein de traînées blanches de plaisir de nos trois coquins.

     – Voilà mon père, j’ai fini. Vous voulez que je vous parle de moi avec le chauffeur aussi ?

     – Non, non petite dévergondée, ça suffit comme çà vicieuse…

     Le père avait depuis longtemps relevé sa soutane (Viviane le comprit plus tard en se remémorant les bruits de tissu entendus dans le confessionnal) et s’astiquait vigoureusement la queue en écoutant la confession gratinée de la baronne.

     – Votre pénitence sera à la hauteur de votre grave péché ma fille. Suivez-moi dans la sacristie, ordonna le confesseur.

     Je le suivis dans la sacristie et sitôt la porte fermée il me demanda de relever ma jupe et de retirer ma culotte.

     – Un aussi gros péché, ma fille, ne peut s’absoudre que par la voie où il est venu. Allez, exécution.

     Je n’osais désobéir et me trouvais assise sur la table de chêne, les cuisses écartées devant mon confesseur. Je le vis relever sa soutane et jaillir une énorme queue qu’il branla un instant.

     – Voilà le saint goupillon me dit-il et sans plus de cérémonie, me l’enfonça dans ma chatte.

     Et celui-ci commença ainsi à ramoner la baronne, la limer comme il devait, dans diverses positions qu’il imposait à la baronne à mesure de ses désirs coquins. Certes, il baisait souvent ses pénitentes, mais la baronne était sûrement un meilleur coup que la boulangère et la femme du notaire, les deux plus vicieuses de sa paroisse.

     Soudain, le grincement de la porte de la sacristie attire l’attention de deux luxurieux protagonistes et le joli visage de sœur Marie-Ange se dessine, ses yeux étonnés fixant la scène scabreuse de son curé avec une paroissienne chevauchant le saint goupillon.

     – Ho, mon père, dit-elle observant les nobles fesses de la baronne coulisser sur le chibre vigoureux, je ne savais pas que vous pouvez aussi bénir à l’intérieur.

     – Voyez, sœur Marie-Ange, approchez-vous et regardez comme Madame la baronne Viviane, qui est bien punie de ses péchés, se trouve à subir ce ramonage purificateur.

     Sœur Marie-Ange se pencha et la nonne prit entre ses doigts les couilles du curé en caressant les fesses de Viviane.

     L’abbé qui mangeait les seins de la baronne continuait de la limer, appréciant la douce main de la novice sur ses bourses.

     – Sœur Marie-Ange, sortez mon goupillon de la chatte de cette paroissienne et mettez-la dans votre bouche.

     La religieuse s’exécuta immédiatement et la baronne Viviane sentit le front de sœur Marie-Ange aller et venir contre ses fesses ouvertes.

     Le curé ne tarda pas à exploser entre les lèvres de la nonne qui aspira un premier jet de sperme blanc et dirigea les autres sur son visage extatique.

     – oh oui, mon père, bénissez-moi.

     La baronne se retira pour voir ce spectacle inouï dans la sacristie, s’assit sur la table, cuisses écartées, et se branla noblement, mais avec maestria en regardant la novice se faire gicler le foutre du confesseur sur les joues.

     – Léchez la chatte de la baronne Viviane ordonna bientôt le curé paillard. Sœur Marie-Ange ne se fit pas prier et plaqua immédiatement sa bouche sur l’abricot odorant et dégoulinant d’excitation de Viviane qui jouissait déjà, excitée au plus haut point. Jamais elle n’avait imaginé se faire brouter par une jolie bonne sœur aussi lubrique.

     Elle revient naturellement plusieurs fois raconter au vicieux curé ses exploits amoureux et partager avec lui une pénitence bien méritée.

Chris

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4 Commentaires

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  • HO mon dieu je suis scandalisée et profondément choquée que des personnes qui ont donner leur àme et leur foie au sacristin puissent se laisser aller à autant de débauche, non je rigole je souhaiterai adresser les félicitations à Chris pour cette sympathique histoire, eh bien oui les religieuses et religieux ont eu aussi droit à une vie sexuelle débridée, n’empèche je ne regarderai plus le pretre de ma paroisse de la meme façon

  • Excellent récit. Ma femme elle-même a été en confession régulièrement lorsqu’un nouveau curé plus jeune que l’ancien est venu remplacer l’ancien.
    Je me rappelle qu’elle allait à confesse plusieurs fois par semaine, toujours le soir et lorsqu’elle revenait de cette confession, elle était toujours très excitée et trempée de la chatte.
    Je n’ai su que 3 ans plus tard qu’elle suçait le curé à chaque fois qu’elle allait à confesse.
    J’avoue que j’étais content pour elle car je sais qu’elle adore (encore maintenant) d’avaler du sperme

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