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Une famille hors normes Chapitre 1

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Justine à une fille, Marion d’un premier mariage. Elle épouse en seconde noce Serge, qui considère Marion comme sa propre fille. Les trois, sont très fusionnels. Les années passent, et l’entente est toujours parfaite. Maintenant Marion a 34 ans, elle est prof de math dans une université, depuis plusieurs années, ses élèves filles et garçons, ont dix-huit ans, E voir un peut plus. Très serviable, après ses cours, elle donne bénévolement des cours de soutiens. Elle consacre son temps aux autres, sans penser à elle. Serge l’encourage de sortir, pour qu’elle se fasse des amis. Mais, Marion très timide, dit à chaque fois :

-Oui, oui !

Mais reste cloitrée derrière son bureau à rédiger des devoirs. Serge, quelques fois reluque sa belle fille, il la dévore des yeux, il à envie d’elle, mais n’ose s’aventurer.

C’est enfin les vacances, et en plus, la fête au village. Serge et Justine, décident de l’emmener au un repas dansant, qu’organise une association, pour la décoincer. Marion a le cœur qui bat, elle est contente, mais un peu stressée quand même. Sous les conseils de sa maman, elle enfile une jupe courte qui lui arrive à mi-cuisses, et qui lui moule les fesses à la perfection. Toujours conseillée par sa maman, elle ne met pas de soutien gorge, ses seins sont assez fermes, et peuvent se passer du carcan de tissu. Justine, l’aide a passer sur son torse un chemisier, en laissant volontairement quelques boutons ouverts, pour que l’on aperçoit une petite partie des lobes mammaires. Marion se tourne devant le miroir en faisant une grosse moue, elle dit en regardant a maman :

-Mais habillée comme ça, je vais péter la honte maman, on voit une partie de mes seins, et ma jupe courte qui cache même pas mes cuisses. Oh la vache, je ressemble à une pute, et si je rencontre quelques un de mes élèves, hein, ça va jaser !

paragraphe 4 rose

Justine appelle son mari :

-Serge, mon chéri, viens voir une seconde s’il te plait !

Serge rejoint les deux femmes de sa vie et demande :

-Qu’est-ce qu’il y à mes chéries !

Justine répond :

-Comment que tu trouves Marion, habillée comme ça ?

Serge écarquille les yeux et réplique :

-Oh la vache une bombe, là ma chérie je ne te reconnais plus, tu vas faire des ravages !

Puis en souriant il dit :

Une famille hors normes Chapitre 1
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-Dommage que tu sois ma belle-fille sinon hum !

Justine répond en souriant:

-Mais, veux-tu te calmer gros cochon !

Marion regarde son beau-père et demande :

-Tu crois que je suis présentable comme ça ?

Serge lui répond :

-Tu es canon ma chérie, tu es si jolie, que tes prétendants, sont se bousculer pour t’inviter à danser. Je te conseille d’en profiter ma chérie !

Marion sursaute et répond :

-Je ne sais même pas danser !

En souriant, sa maman répond :

-Pour les hommes ce qui compte, ce n’est pas la danse, mais c’est avec qui, il évolue sur la piste !

Marion n’est pas très convaincue. Mais elle accepte de se rendre au bal dans cette tenue. Le chemin qui les mène au restaurant n’est pas très long. Comme les places sont retenues, les trois profitent de la douceur de la soirée pour flâner en route, bras dessus bras dessous. Enfin ils arrivent, une personne les même à leur table, qui est près de la piste de danse. Pour fêter l’évènement, d’avoir réussi à faire sortir Marion, le champagne et de rigueur.

Les trois trinquent en faisant tinter les verres. Les yeux de Marion font le tour de la salle, elle aperçoit un couple de ses élèves, et cela la stresse terriblement. Les deux jeunes la repèrent et viennent jusqu’à elle pour saluer la tablée. La fille se prénomme Noémie, et son frère Lucas, la conversation s’engage, les deux jeunes semblent très sympathique. Justine les invite à s’assoir et de prendre un verre. Les deux font rougir Marion, en la trouvant très sexy et en ventant ses formes. La musique commence, Lucas invite Justine, cela surprend Serge, qui se rabat sur Noémie. Un homme s’approche de Marion et l’invite. En rougissant, elle répond :

-Je suis désolée, monsieur, mais je ne sais pas danser !

L’homme lui prend la main, et lui dit :

C’est un slow, il suffit de vous laisser guider, c’est pas compliqué, essayez !

Pas rassurée, Marion se lève et main dans la main, elle accompagne l’inconnu sur la piste. L’homme l’enlace et la serre dans ses bras. Marion frissonne, les deux corps se frottent l’un contre l’autre au rythme lent de la musique. Quelques fois Marion écrase le pied de son cavalier, mais dans l’ensemble, elle s’en sort bien, l’homme la félicite même. Serge de son côte drague, il évolue sur la piste en serrant dans ses bras la jeune fille, entre deux phrases, les deux ne cessent de se sourire.

Lucas, lui, ne cesse de dévisager Justine, le jeune coquin, la trouve à son goût, la différence d’âge en semble pas l’inquiéter. Justine se sent rajeunir, bien serrée par des bras puissants, elle frissonne. Le jeune dragueur la complimente, en lui murmurant à l’oreille de petits mots doux, qui la font rougir. Enfin la danse se termine, Marion est ravit d’avoir osée se lancer sur la piste, son visage rayonne. Serge lui est souriant, son charme opère sur la jeune Noémie, qui ne le quitte pas des yeux. Justine, elle, fond de bonheur, malgré l’âge important qui les sépare, elle se sent désirée par le jeune homme, qui d’ailleurs ne s’en cache pas.

Serge demande que le repas des deux jeunes soient servi à la même table. Pour le serveur cela ne pose pas de problème. Les cinq font plus ample connaissance, Serge fait les yeux doux à Naomie, qui lui répond de même. Marion elle attend avec impatience la danse suivante car son partenaire la lui réserve. Le repas à débuté de puis quelques temps. Dès qu’une nouvelle danse commence, Lucas se rue sur Justine, les deux serrés l’un contre l’autre, se frottent le bas ventre. Le jeune coquin au fil des danses devient plus audacieux. Il lui mordille le lobe de l’oreille et lui donne de nombreux baisers sur le cou. Justine frissonne, elle retrouve ses vingt ans.

Serge ne peut faire une danse avec sa femme, car, elle est accaparée immédiatement pas le jeune homme. Mais d’un côté cela l’arrange, il frotte Naomie, qui semble apprécier cet homme d’âge mûr. Marion elle est aux anges, son danseur lui dit des mots doux, et la fait souvent rire.
Les trois femme, ne peuvent ignorer, les membres qui durcissent dans les pantalons de leur danseurs. Les bougresses se frottent encore plus fort contre leur partenaires, en poussant de gros soupirs.

Enfin Serge réussit à faire une danse avec sa belle-fille. Il lui demande :

-Alors ma chérie tu t’amuses ?

En se serrant fortement contre lui, elle répond :

-Oh oui, merci de m’avoir forcé à venir, je suis heureuse, Paul est un homme charmant !

Serge lui relève le menton avec deux doigts, et lui dit :

-Oh mais ma chérie tu tombes amoureuse !

Marion sans rependre, se blottit contre son beau-père en soupirant fortement. Il sent les mamelons épais de sa belle-fille, lui labourer le torse. Le bougre frotte son mandrin tendu contre le bas-ventre de Marion qui agite mécaniquement son bassin. Enfin la danse prend fin. Serge fait du pied sous la table à Naomie qui répond à ses avances en lui faisant elle aussi du pied. Justine est dévisagée constamment par Lucas, qui de temps en temps, lui fait des clins d’œil.

le repas, les danses et l’heure défilent trop vite, tout a une fin. Le chef d’orchestre signal la derrière danse. Là, les corps chauffés à blanc, se frottent sans retenues. Les verges durcies coulissent sur les ventres des femmes grisées par le champagne et l’excitation. A la fin de la danse, Marion se dirige vers le bar avec son cavalier, pour prendre un dernier verre avec lui.
Paul après avoir vidé son verre, enlace Marion et lui donne un baiser sur les lèvres, avant de prendre congé. Marion reste un instant sur place, elle vient de recevoir un coup de poignard.

Elle revient à la table, ses yeux sont humides. Serge en soupirant, et Justine rêveuse, ils regardent le frère et la sœur s’éloigner. Serge voit que Marion est peinée. Il lui demande :

-Ca ne va pas ma chérie ?

C’est en se pinçant les lèvres qu’elle répond :

-Paul, n’est que de passage, il doit repartir cet après midi !

Elle se jette dans les bras de son beau-père en reniflant fortement.
Sur le chemin du retour, aucune parole n’est échangée. Les deux femmes blottis contre Serge, poussent de temps en temps un gros soupir. Une fois à la maison, Justine se laisse tomber dans un fauteuil, Marion sur le canapé. Serge leur prépare un cocktail fruité, mais fortement alcoolisé. Justine presque somnolente, l’avale d’un trait, Marion plus raisonnable le sirote doucement. Justine s’endort profondément. Serge s’assoit près de sa belle fille, elle se plaque contre lui, et lui dit tendrement :

-C’est une la plus belle soirée que je viens de passer, merci beau-papa !

Serge lui pose sa main sur la cuisse, et en la caressant doucement lui demande :

-Cela fait combien de temps, que tu n’as pas fait l’amour ma chérie !

C’est en faisant une moue, que Marion répond :

-Depuis mes études en agrégation, avec un ami intime, que depuis j’ai perdu de vue !

Serge en lui pressant doucement la cuisse réplique :

-Ouh la, la, cela fait un bail, et cela ne te manque pas !

En baissant la tête, Marion répond :

– Un peu, je n’y pense pas, mais comme je ne suis pas de bois, j’ai mes doigts !

Serge ajoute :

-Ce soir avec Paul, tu l’aurais fait ?

Elle répond :

-Je t’avoue que oui, nous étions tellement excités !

La main se Serge disparait sous sa jupe, Marion ne resserre même pas les cuisses. Les doigts font quelques passages sur sa culotte humide. Serge lui murmure doucement :

-Ma chérie ta culotte est trempée, oh oui tu as du être vachement excitée !

Marion ravale bruyamment sa salive Serge insère deux doigts entre les grandes lèvres, et en entrainant le tissu monte à la recherche du clito, qui comme par enchantement et déjà très gonflé. Il appuie plusieurs fois sur la boule de chair, cela fait cabrer Marion qui réagit en repoussant la main audacieuse. Elle regarde sa maman dormir, et monte dans sa chambre. Serge est un peu déçu, il la suit du regard, Marion se déhanche comme un félin, en montant l’escalier.

Il reste un petit instant songeur, et monte aussi dans sa chambre après avoir vainement, essayé de réveiller sa femme. Il entre dans sa chambre et retire ses vêtements, le bougre bande comme un poney. Il prend une décision insensée, et va ouvrir la porte de la chambre de sa belle fille. La lumière est allumée, Marion est étendue en nuisette sur son lit, les yeux rivés au plafond.
Elle tourne la tête vers Serge, et sursaute en le voyant nu. Elle prend appuie sur ses coudes, elle ne quitte pas des yeux le manche dressé sur le bas-ventre de son beau-père, il s’assoit à côte d’elle.

Et dit avec beaucoup d’émotion dans la voix :

-Je n’en peux plus, j’ai trop envie de toi depuis trop longtemps, et toi tu es en manque, laissons nous aller ma chérie !

Marion reste sans voix, elle regarde la verge dressée comme un mât qui est secouée par de nombreux soubresauts incontrôlables. Elle est nue sous sa nuisette, Serge la regarde en salivant, il voit au travers du fin tissu, la toison humide. Marion a un corps quasi parfait, qui ferait bander un mort. Elle a était tellement excitée, qu’elle ne peut résister à l’appel des sens. Depuis le temps qu’elle n’a pas eu de verge dans le ventre, elle n’a pas le droit, de manquer l’occasion qui ce présente.

Lentement, elle se redresse, et tend la main vers le pieu de chair gorgé de sang. Elle le saisit, et le décalotte à fond pour l’observer. Elle le regarde un bon moment, avant de commencer à l’agiter fébrilement. lentement la masturbation prend de la vitesse, Marion ne quitte pas des yeux le membre tendue comme un arc qui va décocher sa flèche, de temps en temps, elle le presse pour expulser les gouttes visqueuses qui se cache dans la hampe. Soudain, elle cesse de branler, et sort de son étui le gland violacé. Elle se penche et lape les perles rosée, que le méat ne peut retenir. Elle ravale sa salive, et gobe le large champignon, qu’elle suce voracement. Cela faisait si longtemps qu’elle en avait oublié le goût.

La coquine semble se régaler, elle s’acharne sur le gland en geignant de plaisir. le beau-père est aux anges, il n’ose pas croire, que sa belle fille lui suce la bite, il a l’impression de rêver. Il geint en serrant les dents, et en se cramponnant au draps. Marion s’avère être une bonne fellatrice, elle dévore le gland sans se poser de questions. Sa langue passe sur le chapeau de chair plusieurs fois, titille le frein puis, elle reprend en bouche l’engin qu’il lui a fait défaut pendant des années. Les succions sont bruyantes et très appuyées. Serge gémit comme une bête en rut, soudain, il appuie sur la tête de sa belle-fille et lui remplit la bouche de sa semence brûlante, en grognant comme un fauve.

Marion se dégage, et en regardant son beau-père dans les yeux, avale par petites gorgées la décharge puissante. Elle sent coulée lentement dans sa gorge, la crème onctueuse. Elle ouvre la bouche pour faire voir à Serge qu’elle a tout avalée. Elle s’essuie d’un revers de la main les lèvres, et dit en esquissant un petit sourire :

-Je ne savait plus qu’elle goût le sperme avait, je me suis régalée, hum comme ta semence est bonne beau-papa !

Serge la bascule sur le lit, lui retousse la nuisette et lui ouvre les cuisses. Il s’approche sa tête de la vulve dégoulinante, la hume un long moment, puis plaque sa bouche sur le fruit trop mûr, qui rejette son jus. Il l’aspire avant d’enfoncer sa langue dans le puits débordant. Il le fouille si fort que sa belle-fille, se tortille en geignant comme une bête malade. Elle défaille :

-Oui, oui, oh comme c’est bon, je meurs de plaisir !

Serge fouille profondément l’antre de venus, en arrachant des gémissements rauques à Marion. Elle se cambre comme un pont en poussant un gémissement plus fort que les autres, lorsque beau-papa lui aspire le clito. les succions sont terribles, il suce et tète comme un affamé le clito, qui devient monstrueux. Marion reste en extension pendant l’action se son beau-père, elle agite son bassin en grognant fortement. Elle pousse un hurlement inhumain et explose de jouissance. Son corps retombe lourdement sur le lit, Marion halète comme un animal en rut.

Serge ne la laisse pas récupérer, il prend place entre ses cuisses, et enfonce sa queue jusqu’aux couilles, dans la vulve qui ne cesse d’avoir des contractions terribles. Marion s’accroche à son beau-père en geignant. le bougre lui pilonne les entrailles sauvagement, en poussant à chaque coup de reins, un han de bucheron. la verge puissante voyage dans le ventre de Marion, en lui arrachant des gémissements d’agonisantes. La gaine fortement lubrifiée par l’abondante cyprine qu’elle sécrète, facilite le va-et-vient, qui devient de plus en plus démentiel.

Marion est au bord de la syncope, ses yeux sont révulsés, sa bouche est grande ouverte, elle subit les assauts terribles du beau-père, qui lui rudoie les entrailles. Elle délire :

Oui, oui vas plus loin défonce-moi comme une chienne, oh mon dieu comme c’est bon, beau-papa, beau-papa, je vais jouir oui, oui, encore, encore !

Marion se cabre et explose comme jamais elle ne l’avait fait avant. Sa jouissance est extraordinaire. Serge continue de lui donner des coups de reins terribles, il se raidit, se bloque et en poussant un grognement de fauve, remplit le ventre de Marion, qui pâme de bonheur. Les deux amants restent un instant l’un dans l’autre en haletant fortement. Soudain la porte de la chambre s’ouvre. C’est Justine qui fait son apparition, elle regarde un long moment le couple enlacé, et sans dire un mot, sort de la chambre.

Elle retire ses vêtements et rentre dans son lit. Serge la rejoint, et tente de se justifier, elle l’interrompt :

-Ne dis rien j’ai vu, cela me suffit !

Au réveil, Marion à déjà préparée le petit déjeuner. Lorsque sa maman descend, elles échangent un long regard avant de prendre place à table. Marion veut s’expliquer. Sa maman lui dit :

-Tu as eu du plaisir, tant mieux pour toi, je ne veux rien savoir de plus !

Serge arrive son tour, il regarde les deux femmes, il semble extrêmement gêné. Sa femme ne lui pose aucune question sur ce qu’elle à vu. le petit déjeuner se passe comme d’habitude, les langues se délient mais n’abordent pas le sujet. Tout semble normal, les deux amants respirent mieux, eux qui craignaient la fureur de Justine sont rassurés. cela fait près d’une semaine que cela c’est passé, tout semble oublié.

En faisant ses courses dans un super marché, Justine tombe nez à nez avec Lucas, son cœur se serre. Lucas lui sourit et la salue. Fébrile, Justine répond au salut du jeune homme. Il lui propose de boire un verre à la cafétéria, elle accepte.

Ils s’installent dans un coin à l’abri le plus possible des regards. Les deux reparlent de la soirée, Lucas lui avoue son amour, et qu’il passe des nuits agitées. Justine déglutie, elle semble intimidée par Lucas, qui ne cesse de la flatter, elle ne sait si elle doit fuir ou rester. Pendant la conversation, il pose sa main sur la cuisse de la femme qu’il aime, et la caresse doucement. Justine pose sa main sur la sienne, et suit le mouvement que Lucas donne. Lentement la main glisse sous sa jupe, Justine se raidit, elle dit faiblement :

-Non Lucas, il ne faut pas !

Le jeune homme retire sa main, Justine est troublée, elle est rouge de honte. Elle se lève et se dirige vers la toilette dame , Lucas lui emboite le pas. Il ouvre un wc, et l’entraine à l’intérieur. Justine surprise par cet assaut, sursaute et dit:

– Lucas tu es fou, et si on nous surprend, tu te rends compte de la galère !

Sans l’écouter Lucas referme la porte et enlace Juste, il cherche ses lèvres en répétant sans cesse :

-Tu me rends fou, Justine je t’aime !

Il joint ses lèvres aux siennes, Justine l’enlace aussi et le serre dans ses bras. La baiser est fougueux, Lucas caresse le corps de sa bien aimée, il lui retrousse la jupe, et lui écarte la culotte, la chatte de Justine est trempée, elle a envie de lui autant que lui la désir. Elle pose un pied sur la cuvette des wc et s’accroche à lui. Lucas, sort sa verge tendue et lui enfonce dans les ventre. Justine pousse un long gémissement lorsque la verge invertit totalement sa gaine en surchauffe. Lucas la défonce comme un déchainé. Ses coups de reins détruisent Justine, qui ne sait plus ou elle en est. C’est si intense qu’elle jouit en poussant un très long gémissement, qu’elle étouffe en se mordant la main. Elle dit entre deux gémissements :

-Oh mon Dieu Lucas comme tu me déglingues, tu es un phénomène, une bête de sexe !

Lucas la défonce comme un forcené, il ne ménage pas son amour, il finit par lui remplir le ventre de sa semence épaisse, en grognant comme un animal sur sa proie. Justine avant de sortir de la toilette écoute s’il n’y a personne. Elle invite Lucas à sortir de la toilette dame. Elle se regarde dans le miroir, se rajuste, elle est rouge pivoine. Son cœur bat la chamade. Elle rejoint Lucas à la table. Les deux se regardent un long moment sans se dire un mot. En secouant la tête négativement Justine dit :

-C’est insensé, ce qui nous arrive, nous sommes fou, je pourrais -être ta maman !

Les deux parlent encore une bonne heure avant de se séparer. Il lui demande le numéro de portable, Justine est très réticente. Lucas est un beau parleur, il obtient toujours ce qu’il veut numéro.

Justine est toute perturbée, elle monte dans sa voiture et reste un moment au volant sans mettre le moteur en marche. Elle attendant que les tremblements qui la secouent cessent. Enfin elle arrive chez elle, elle ne semble plus la même, elle est pensive, voir ailleurs. Serge prend place à côté d’elle, il la connait très bien, il sait que quelque chose ne va pas. Il demande :

– C’est à cause de ce qui c’est passé avec ta fille, que tu es dans cet état ?

Justine en se pinçant les lèvres dit :

-J’ai revue Lucas aujourd’hui !

Serge en écarquillant les yeux répond :

-Et c’est à cause de cela que tu es toute drôle !

Justine baisse la tête et répond :

-Nous avant fait l’amour dans les toilettes du super marché !

Serge reste un moment sans dire un mot, puis dit :

-Eh bien nous sommes maintenant sur le même pied d’égalité, tu as eu du plaisir avec lui !

En ravalant sa salive, Justine répond :

-Oui je l’avoue, et même beaucoup de plaisir, c’est imaginable comme il est vigoureux, il m’a démonté comme une bête, j’en ai encore des frissons. J’ai encore son sperme dans le corps. Il m’a avoué qu’il m’aimait !

Serge s’inquiète, demande :

-Mais il est très jeune, il a dix-neuf ans et toi, soixante trois. Que comptes-tu faire ?

Très embarrassée, Justine répond :

-Je ne sais pas, nous avons rendez-vous demain !

Serge reste un long moment sans parler puis dit :

-Il te plait tant que ça, ce Lucas ?

-Les yeux de Justine s’emplissent de larmes, elle répond en reniflant :

-Devant lui, je me sens sans force, il m’envoute, je suis prête à faire n’importe quoi, s’il me me demandait !

Serge pâlit fortement, il demande :

-Tu vas le rejoindre, que pour le sexe, ou tu l’aimes aussi ?

Justine répond :

-Pour l’instant c’est sexuel, il m’attire mais delà à dire que je m’aime, il y a une marge !

Serge dit :

-Si c’est que pour le sexe, invite-le à venir chez nous, comme cela pas la peine de vous cacher !

Justine sursaute et en serrant les poings répond :

-Tu penses à ma fille, si elle me voyait faire l’amour avec un jeunot ?

Serge en souriant réplique :

-Pour ce qui est de ta fille, je m’en charge, j’ai encore le gout de sa bonne chatte dans la bouche !

Justine en fronçant les sourcils dit :

-Tu es près à recoucher avec ma fille vieux cochon !

En souriant Serge réplique :

-Toi tu vas te faire sauter par Lucas, et moi je ne serais que spectateur, alors là non ma chérie, je me rabattrais sur Marion, je crois que je lui est tapé dans l’œil!

Justine regarde son mari et dit :

-Je suis une maman indigne qui laisse sauter sa fille par son beau-père, mais puisque le premier pas a été franchi, je ne peux que me resigner. Je vais téléphoner à Lucas et je trouverai une excuse pour le faire venir chez nous !

Serge enlace sa femme et l’embrasse fougueusement, il lui passe la main sous la jupe et passe s doigts dans la culotte. Il sourit et dit :

-C’est vrai, ta chatte est pleine de sperme ma chérie. Il la bascule sur le canapé, lui retire sauvagement la jupe et la culotte, et lui plante sa bite dans le ventre, et la défonce comme un sauvage. Justine en état d’excitation à la pensée de retrouver Lucas le lendemain, jouit rapidement. Serge lui pilonne les entrailles, un bon moment avant de mêler son sperme à celui de l’amant de sa femme. Il se retire et dit :

Je vais bien allumer ta fille au diner, je suis certain qu’elle serait heureuse de participer demain aux ébats. Justine réplique :

-Tu veux qu’elle participe aussi, mais j’aurais honte de me donner devant elle à un autre homme !

Serge en souriant répond :

-Elle ne demanderait peut-être pas mieux de se joindre à nous, elle est en manque de sexe ta fille !

Justine hausse les épaules et va prendre une bonne douche. Le soir au diner, Serge fait du pied à sa belle-fille, la coquine après avoir goûtée à la queue de son beau-père en redemande. Cela rassure Serge pour la suite des évènements. Il se déchausse, et monte son pied le long de la cheville de sa belle-fille, jusqu’aux genoux. Marion ouvre les cuisses pour laisser le passage au visiteur. Le pied progresse entre les cuisses, les orteils atteignent enfin la vulve qui suinte terriblement, sa culotte est humide.

Serge joue des orteils, il taquine le clito pour le faire encore gonfler. Justine laisse tomber sur le sol sa fourchette et se penche pour la ramasser. Ce qu’elle voit la fait saliver. Elle se redresse, se lève de sa chaise et s’approche de sa fille, elle lui retrousse brusquement la jupe, et lui dit :

-Une première fois ne t’a pas suffit, tu en veux encore de ma bite de ton beau-père, eh bien je suis d’accord, se soir nous te rejoindrons dans ta chambre, Serge continue fais la jouir. Les orteils entrent en action, le clito très sollicité enfle encore. Justine regarde le pied s’activer sur la chatte de sa fille. Soudain Marion pousse un gémissement et explose de jouissance. Enfin le repas se termine, après une bonne douche, le trio monte à l’étage, les trois se retrouve dans la chambre de Marion.

Serge rayonne, Marion stresse. Justine est quand même nerveuse.

Linsee

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