Une fois qu’ils ont repris de forces, les quatre protagonistes, retournent à leurs ébats. Serge dit en souriant :
-Ma chérie, j’aimerais te faire connaitre une autre pratique sexuelle, la double pénétration, tu en penses quoi ?
Les yeux je Justine s’illuminent, elle regarde son mari en écarquillant les yeux et dit :
-Tu veux dire deux membres en même temps dans mon corps, mais cela doit être terrible, bien sûr que je le veux !
Marion fait une grosse moue et demande :

-Et moi, est-ce que j’aurai droit aussi à une double comme maman ?
Serge regarde sa belle fille en souriant, réplique :
-Oui bien sûr, mais avant il faut t’ouvrir le passage, comme tu es vierge du cul, je vais me faire un plaisir de te déflorer l’anus ma chérie, pendant que Lucas s’occupera de celui de ta maman ?
Marion jubile en attendant impatiemment l’estocade anale. Elle suit les conseils de son beau-père. Elle s’allonge sur le dos avec un gros coussin sous les reins, jambes repliées sur son ventre. La position prise laisse voir les deux orifices, en même temps. Serge frotte ses doigts en faisant de petits cercles sur l’anus de sa belle-fille de temps en temps, il humecte ses doigts pour qu’ils glissent plus aisément sur le muscle rectal. L’anus se met à avoir de multiples contractions, qui font frémir Marion.
Serge crache sur la pastille brune, et fait pénétrer de la salive à l’intérieur de l’anus avec son doigt. lentement, il enfonce son doigt dans la gaine étroite, jusqu’à la dernière phalange, et commence un très lent va-et-vient. Marion se met à geindre doucement, en se cambrant davantage. Serge accélère le ramonage, sa belle-fille grogne de plus en plus fort. Serge ajoute un second visiteur, malgré qu’elle grimace un peu, Marion commence à agiter sa croupe en suivant le rythme que son beau-papa donne. La tension monte de plus en plus, Serge se penche et demande :
-Ma chérie, c’est comment un petit doigtage de cul ?
Marion répond entre deux gémissements :
-Oh, c’est merveilleux beau-papa, pourquoi ne pas l’avoir fait plus tôt !
Serge en souriant répond :

-Ma chérie, sache qu’il n’est jamais trop tard, pour prendre du plaisir. Mais je t’assure, que lorsque ce sera mon engin, qui te forera le cul, tu jouiras comme jamais, tu ne l’as fait !
Marion un peu à cran dit :
-Oui, oui, beau-papa, fais-moi jouir avec ta grosse queue , je meurs d’impatience !
Serge tourne ses doigts dans la gaine en cherchant à l’assouplir le plus possible. Marion bouche entrouverte, geint en agitant sa croupe. Serge retire les intrus et présente à l’anus entrouvert son gland qu’il a pris soin de décalotter. Il s’accroche aux haches de sa belle-fille et pousse. Marion se cabre, en grimaçant, des larmes emplissent ses yeux, elle fait une moue affreuse, bien que la douleur soit terrible, elle ne crie pas. Lentement, la verge épaisse s’enfonce, en dilatant fortement la gaine anale qu’elle fore. Serge fait une pause, pour que sa belle-fille puisse s’habituer à l’engin qui lui distend l’anus. Elle supporte avec beaucoup de mal le mandrin de chair qui reprend sa progression dans son rectum.
Serge constate que sa belle-fille est courageuse, car le bougre est bien membré. Soudain, il donne un coup de reins brutal, sa bite s’enfonce jusqu’aux couilles, dans le fondement de sa belle-fille qui pousse un hurlement de douleur. Serge reste un instant sans faire de mouvement. Marion souffle comme un dragon, c’est en grimaçant, qu’elle tire sur ses cuisses pour bien les plaquer contre son ventre. Enfin, Serge commence un très, très lent va-et-vient. Pendant de longues minutes il maintient ce rythme lent, avant de commencer à en augmenter la vitesse. Marion souffre beaucoup moins, elle agite doucement sa croupe en regardant son beau-père dans les yeux. Il lui fait un clin d’œil, et accélère. Ses coups de reins deviennent de plus en plus puissants, Marion geint comme un animal blessé.
Plus Serge lui laboure le cul, plus elle geint, elle finit par marmonner :
-Oh putain comme tu m’ouvres le cul, ouah comme c’est bon, vas-y, vas-y, éclate-moi beau-papa, oui, oui, c’est bon !
Maintenant Serge se lâche totalement, ses coups de reins sont dévastateurs, à chaque enfoncement de son pieu dans les corps de Marion, celle-ci pousse un grognement comme celui, d’un animal tombé dans un piège. Serge se déchaine, il démonte sa belle-fille en poussant des hans de bucherons. Justine intervient :
-Vas-y mon chéri, travailles bien le cul, oh la vache, elle va jouir, vas-y, vas-y !
En effet, en hurlant, Marion jouit analement. Serge s’acharne, il cherche à jouir à son tour. Enfin, il déverse dans les entrailles de sa belle-fille, sa semence épaisse. C’est au tour de Justine de subir les assauts de son jeune amant, elle se met à quatre pattes sur le sol et attend le bon vouloir de Lucas. le bougre, lui enfonce sans préliminaire sa queue profondément dans le rectum. Les coups de reins que le jeunot donne sont redoutables. Justine gémit, elle adore que cela soit brutal, elle encourage même son amant :
-Tape fort mon chéri, vas-y tape fort, tape, tape !
Lucas se déchaine, il pilonne sa maitresse comme un malade, elle couine à chacun de ses coups de bélier. Pendant de longues minutes, elle subit les assauts répétés de Lucas, et cela produit son effet, elle se cabre et explose de jouissance, en hurlant comme une bête blessée, Lucas la démonte jusqu’à ce qu’il jouisse à son tour, un flot de sperme remplit l’intestin de son amour.
Après un moment de récupération, Serge s’allonge sur le sol. Il invite sa femme à venir s’empaler sur sa queue encore recouverte de résidus visqueux. Sans se faire prier, elle l’enjambe, saisit sa verge et s’empale brutalement sur sa queue, en se laissant tomber de tout son poids. Serge la plaque sur son torse, Lucas s’approche et enfonce sa queue dans le trou qu’il vient de remplir de sperme. prise en double pour la première fois, Justine délire :
-Mon Dieu, que c’est bon mes chéris, je vous sens bien dans mon corps, c’est merveilleux, deux bites en même temps en soi, c’est le bonheur maximum, ne me ménagez pas mes salauds, faites de moi une machine à jouir !
Les deux hommes la démontent, comme des sauvages. Les membres voyagent en elle en lui arrachant de gémissements terribles. Justine est hors sol, se yeux sont révulsés, un filet de bave s’échappe à la commissure de ses lèvres. Elle marmonne :
-ça vient, ça vient, oh oui, oui !
Une violente brulure lui travers le ventre, suivit d’une jouissance monstrueuse, qui la fait hurler. Les amants continuent de lui ravager les entrailles, jusqu’à ce qu’ils déchargent dans les orifices de la jouisseuse.
Marion est fébrile, elle regarde les deux hommes malmener sa maman, elle est traitée comme un sac à foutre, et cela l’excite terriblement. Elle attend son tour avec impatience. Et finit par recevoir les mêmes faveurs que sa maman avec autant de violences. Ils explosent, ses hurlements sont inhumains, tout autant que ses jouissances.
Linsee
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