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Une famille incestueuse chaude partage ses aventures libertines Partie 10

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Suite de la partie 9

Bien contente d’être rentrée, mais encore excitée de mon exhibition avec Julien au salon, malgré la fatigue j’avais envie d’une petite gâterie, je suis montée en chambre pensant que Muriel était dans la chambre avec Manon, je l’ai retrouvé dans ma chambre avec Julie, les deux s’embrassaient à pleine bouche.

J’ai alors relaté ce qui m’est arrivé au salon, ce récit les excitait et Muriel me demanda de venir m’allonger au milieu, Muriel à ma droite et Julie à ma gauche, Muriel précisa que nous allons nous masturber.

Julie voyait la chose autrement ; pourquoi laisser Manon, papa et maman hors du jeu ? Pourquoi pas les invités à participer ?

Alors, Julie se leva, allait dans le couloir et appela Manon et ses parents à venir dans la chambre de Marie Claude.

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Julie reprit alors sa place et se remit à se masturber, avant qu’ils arrivent.

Manon arrivait la première suivie de maman et de papa. Je leur dis, choisissez votre partenaire :

Manon se coucha entre les jambes de Marie Claude, papa entre les jambes de Muriel et maman entre les miennes. C’était parti pour un cuni chronométré pour deux minutes chacune. Après ces deux minutes papa devait lécher la chatte de Marie Claude, Manon la mienne et maman celle de Muriel ; deux minutes après nouveau changement : Manon et Muriel, maman et Marie Claude, papa et moi.

Au bout des deux minutes, inversion des rôles, ceux qui suçaient prenaient la place des sucés et c’était reparti pour deux minutes, par couple.

Ensuite papa devait subir les assauts des cinq femmes. Celle qui arrivera à faire éjaculer son sperme dans sa bouche gagnera une nuit entière dans son lit. Pour cette mission le temps sera de 45 secondes par fellation, toutes les 45 secondes, vous changer jusqu’à l’éjaculation. Ça peut aller vite comme ça peut être long.

Le verdict est tombé : Muriel nommée la meilleure suceuse du jour à gagner une nuit d’amour avec son beau-père.

Marie Claude a donné à Philippe quelques recommandations à respecter concernant sa grossesse.

Tu peux la baiser sans avoir peur de lui faire du mal, baise la de préférence en levrette ou en ciseaux.

Va doucement et si elle commence à avoir mal tu arrêtes.

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Aller tous au lit c’est l’heure surtout pour celles qui se lèvent tôt pour bosser.

La nuit fut malgré tout courte pour Julie et Marie Claude.

Marie Claude râla, car ils auraient dû donner la journée de libres pour ceux et celles qui reçoivent une médaille. Après la remise du travail, il y a le diner, ce qui fera encore une fois une seconde nuit blanche.

Julie me dit qu’en rentrant du travail elle va inaugurer la piscine.

Marie Claude : J’allais te le proposer ! J’ai le temps, car la réception n’est qu’à dix-huit heures.

Ce sont les échanges qu’elles ont fait lors du trajet à domicile lieu de travail pour ne pas s’endormir.

Arriver sur le parking de l’entreprise, Marie Claude et Julie furent accueillies par Martine. Ce n’est pas son habitude de nous attendre sur le parking, aurait — elle oublié le pass pour franchir la porte d’accès ?

Mauvaise déduction, elle voulait juste nous montrer qu’elle a changé de tenue. Elle portait une mini jupe raz de touffe qui ne cachait pas grand-chose et un cache-cœur dos nu, sans soutien-gorge et sans culotte. En se déplaçant, ses seins se balançaient de droite à gauche et de haut en bas.

Marie Claude lui demanda où elle veut aller dans cette tenue. Ben travailler comme vous deux !

Tu n’as pas peur d’avoir des problèmes avec ton chef ?

Non, car c’est lui qui m’a demandé de m’habiller ainsi !

Méfie-toi Martine c’est un conseil que je te donne !

Allez viens c’est l’heure !

Partout ou Martine passait les critiques fusaient, les hommes cessaient de travailler et même dans au bureau ou elle travaille, le personnel était troublé.

D’habitude à la pause, Martine nous rejoignait au réfectoire, mais aujourd’hui elle n’était pas là, nous apprenons par une employée du même service qu’elle, Martine a été convoquée par la direction ! Nous lui avons dit pourtant, personne ne lui défend de porter une mini jupe, mais pour travailler elle est plus longue, alors sa collègue elle nous dit que ce n’est même pas la mini jupe, mais son cache-cœur transparent et parce qu’elle ne porte pas de soutien-gorge.

À la fin de la pause, Martine arriva avec des larmes aux yeux, elle me dit qu’elle vient d’avoir une mise à pied d’une semaine et si je reviens dans cette tenue c’est la porte ! Nous t’avons prévenu Martine. C’est à cause de la mini jupe ? Non à cause du haut. Car mes seins sont trop visibles, cela perturbe le travail. Alors tu rentres, mais oui je ne suis pas payé !

Là elle a quand même exagéré, nous aussi nous sommes nues sous nos robes ou nos minis, mais nous restons sages pour travailler.

Cependant je critique aujourd’hui Martine, alors que j’étais la même, et même pire qu’elle.

Julie, je te raconterais après le travail ! Elles regagnèrent chacune leur poste de travail, cependant cette histoire nous trottait dans notre tête ; qu’elle mouche la piquée ? Elle qui rejetait le port de la robe ou jupe ou cachait toujours ses seins, le décolleté n’existait pas pour elle.

Elle c’est féminisé grâce à nous en portant jupe, robe et depuis lundi elle venait au travail en jupe aux genoux et brusquement aujourd’hui elle vient en mini jupe (cela ressemblait plutôt à une large ceinture) même debout on apercevait le rebond de ces fesses. Julie tout comme moi nous étions aussi en mini robe, mais pas aussi courte. Mais ce qui la mise dans la merde c’est son cache-cœur qui ne cache rien de ces seins au travail. Nous en portons aussi des chemisiers robes, etc., qui dévoilent nos seins, mais il est hors de les porter au travail.

La fin de la journée de travail pour le poste du matin est à treize heures, j’attendais aux vestiaires Julie qui se faisait attendre, elle était en discussion avec son chef d’équipe, elle a essayé de négocier la durée de la mise à pied de Martine en demandant qu’elle reprenne son poste demain à la place de mercredi prochains. Il ne peut rien faire, faut voir avec la direction.

Aller Julie dépêche toi, tu sais très bien que j’ai cette remise du travail.

Oui Marie Claude j’arrive et j’espère que tu va me raconter en détail ce que tu m’as promis.

Après tout Julie je préfère te la raconter à la maison, car comme je te connais tu voudras te caresser et moi aussi.

Arrivez à la maison, papa, maman, Muriel et Manon était assise devant la piscine, ils venaient de se baigner.

Nous les avons rejoints, nous avons enlevé nos robes et avons plongé dans la piscine, après quelques brasses nous sommes nous sommes sécher et pour ne pas rester avec eux Marie Claude à

trouver comme excuse qu’elle doit se préparer pour la remise, mais avant elle voudrait faire une sieste.

Marie Claude a pris Julie par la main et elles sont allées dans la chambre de Marie Claude.

Aller chérie, raconte, je suis tout ouïe !

J’adore me masturber, ça tu t’en rends compte Julie, que ce soit en solo ou à plusieurs, j’ai toujours tout ce qu’il me faut pour me faire jouir. Et comme par hasard ces anecdotes ont principalement débuté à l’époque où je me suis mariée et n’ont jamais cessé depuis. Au contraire elles se sont amplifiées après la mort de mon mari, lorsque j’ai fait le vœu avec Muriel de vivre à présent ensemble elle et moi et que je ne me marierais plus jamais. Ce qui ne m’empèche pas d’avoir quelques relations sexuelles avec un homme, et là encore ce ne sera jamais avec le premier venu.

Je me masturbais tous les jours au minimum deux fois, je crois bien qu’une fois le record était battu et il devait monter à six ou sept masturbations.

Je ne sais pas pourquoi, chaque fois après avoir fait l’amour avec mon cher et tendre mari, j’allais me masturber soit dans la cuisine soit ailleurs dans la maison sauf l’endroit où nous avons baisé. Pourtant, mon mari me comblait, il m’arrivait de baiser toute la nuit ou toute la journée, mais la masturbation post-baise était comme une obligation pour moi. Mon mari trouvait cela bizarre ! Mais c’était ainsi faut pas chercher à comprendre. Il n’y avait que les jours où j’avais mes règles ou je m’abstenais.

Un jour, j’ai franchi une nouvelle étape dans la pratique de la masturbation : je me suis masturbée au bureau.

C’est cette raison que j’invoquais en disant que j’étais pire que Martine.

Oui Marie Claude continue, tu m’excites !

A l’époque j’étais mutée du service comptabilité au service expédition pour remplacement d’une employée partie en congé de maternité. Nous n’étions que deux femmes dans ce bureau. La première journée était considérée comme formation,, mais à partir de la seconde journée tout s’accéléra. Le travail était plus cool ici, moins stressant, ne m’étant pas masturbé ce matin avant de venir ici, c’est comme si j’étais en manque.

J’avais terminé un dossier et avant de traiter le suivant, je me suis mise sur un site traitant la masturbation féminine et les différentes façons de se masturber, quand ma main s’est glissée dans ma petite culotte pour me caresser ma chatte.

Je n’en reviens toujours pas que j’ai pu faire une chose pareille dans un bureau avec ma collègue assise à trois mètres de moi.

Ma collègue fixait tout comme moi son ordinateur. Elle n’avait aucune idée de ce qui se passait derrière ma table, pourtant plusieurs signes montraient clairement que j’étais ailleurs qu’assise derrière ce bureau. Il suffisait de voir dans mes yeux ou encore de remarquer la lenteur avec laquelle je répondais aux questions qu’elle me posait. Je n’avais qu’une seule envie que cette femme sorte du bureau.

Cependant elle resta encore, continua son travail en me jetant de temps en temps un regard furtif, et en me demandant ou se trouve ce dossier ou l’agrafeuse, je lui répondais avec dix secondes de retard.

Qu’elle emmerdeuse celle-là alors que j’avais déjà les deux doigts au fond de ma chatte. Puis, j’ai remarqué que quelque chose changea dans son regard, elle s’est rendu compte que je fermais les yeux, que je mordais mes lèvres. J’étais démasquée. Je m’attendais à avoir une remarque, mais finalement elle se contenta de me dire qu’elle allait faire une pause de dix minutes. Quelle aubaine !

Dix minutes étaient largement suffisantes, pour jouir, pour me masturber librement.

Dès qu’elle referma la porte derrière elle, j’écartais mes jambes pour accéder plus amplement à ma chatte. J’écartais ma petite culotte et j’enfonçais trois doigts dans ma chatte. Ma respiration s’accéléra, le plaisir était total et chaque bruit me faisait sursauter, mais je continuais.

J’avais la chatte toute trempée, ma cyprine coulait le long des cuisses. À chaque fois que je me doigtais le bruit que produit une bite dure dans une chatte trempée était de plus en plus intense. Ce bruit m’excitait et me poussait à accélérer ma masturbation. En sentant l’imminence de la venue de l’orgasme, je finis par enfoncer mes doigts le plus profonds possible dans ma chatte pour jouir le plus intensément possible.

Je savais bien que la porte du bureau n’était pas fermée à clé, la peur de me faire surprendre procurait une sensation unique, la montée de l’adrénaline était au plus haut niveau jamais atteint auparavant. Ma collègue revint trente secondes après que j’eus retiré mes doigts dans la chatte.

J’avais tout le mal au monde à retrouver mon souffle. Elle me regarda à peine en se mettant de suite à pianoter sur son clavier.

J’avais la certitude que ma collègue savait que je venais de me masturber dans le bureau.

Je savais aussi que ça va vite se répéter et qu’il y aurait des répercussions.

Voilà Julie c’était la première fois et la dernière fois que je me suis masturbé sur le lieu de travail même si l’envie ne manquait pas.

Tu as été sanctionnée ?

Non pas de sanction, — personne n’était témoin direct même pas ma collègue avait de preuve suffisante. La seule chose qu’ils ont faite, c’est de me remettre à ma place en comptabilité, ce qui m’arrangeait, car je connaissais tout le monde et c’était moins monotone qu’à l’expédition.

Julie, mon récit ne t’a pas excitée ?

Oh que si, pourquoi cette question ?

Je ne t’ai pas vue te caresser !

Rassure-toi, je vais le faire.

Julie croit tu que ta robe de soirée me va ?

Je ne sais pas, viens, nous allons l’essayer !

Tu parles de la bleue, celle qui est fendue sur le côté droit ?

Oui ! Elle l’enfila, mais la trouva un peu trop serrer, si elle s’assoit, elle a peur que les coutures cèdent.

Tu sais qu’elle est élastique, le seul problème c’est quand tu es assise en voiture c’est gênant surtout si tu conduis tu as intérêt à la troussée.

Assieds-toi pour voir ?

Oui effectivement elle ne permet pas de grand mouvement ni pour se mettre au volant ni pour sortir.

Alors tu fais comme moi avant de monter dans la voiture tu l’as trousse que le bas t’arrive aux genoux. Marie Claude a suivi les conseils de Julie, elle conseillait aussi à Marie Claude de mettre un porte-jarretelles et des bas, c’est plus sexy.

Julie, tu n’y penses pas, c’est tout comme je venais au boulot vêtu ainsi !

Nous avons fait ce matin la morale à Martine et ce soir je viens habiller ainsi !

Mais ou est le problème tes seins ne sont pas visible et ils ne se balancent pas elle n’est pas mini, elle t’arrive au mollet !

La robe est fendue jusqu’au haut des cuisses, ils verront le porte-jarretelles et les bas ? Et alors laisse-les voir si tu n’es pas au boulot, cela n’a aucune incidence sur le rendement.

Et puis si quelqu’un critique, laisse-le, ne lui répond pas.

Bien Julie je vais m’habiller, me maquiller et je vais y aller, avant de partir va te montrer aux autres.

Julie et Marie Claude descendirent ensemble, et se dirigèrent vers la piscine, lorsqu’une voiture s’arrêta devant le portail.

Qui peut bien venir sans prévenir et les autres à la piscine sont tous nus et ont certainement oublié d’emmener de quoi se vêtir.

Attends Julie, je vais voir !

Mais que fait Martine ici ? En plus elle n’a pas changé de tenue.

Elle ouvrit le portail et la laissa entrer, comme je n’avais plus le temps, je suis partie sans demander ce qu’elle voulait.

Julie s’en occupait alors.

Martine, que désires-tu ?

J’ai quelque chose à demander à ton père et à ta mère ! Va s’y, ils sont au bord de la piscine !

Qu’a-tu Julie, tu es fâchée ?

Oui il y a de quoi l’être !

Tu restes ?

Non, je n’ai pas le temps !

Elle alla voir papa et maman, leur fit la bise et elle demanda si ça les intéresse toujours d’acheter un chien ?

Aie ça va recommencer la guerre du sexe !

Maman demanda quoi comme chien,

Un berger allemand de 6 mois. Il est très gentil, et il commence à… enfin vous voyer de quoi il s’agit.

Oui, oui !

Chéri s’il te plait tu ne va pas recommencer ?

Et vous le vendez combien ?

200 € il est vacciné pucé.

Vous l’avez avec vous ?

Non, il est encore chez mon oncle.

Bon d’accord !

Demain matin je vous l’amène.

Pour remercier papa, maman à du sucer papa se faire baiser et enculer au bord de la piscine et ensuite en seconde partie faire la même chose, mais dans la cuisine et comme dit le proverbe « jamais deux sans trois » dans le salon après le diner.

À suivre !

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