Marie Claude arriva sur le lieu de la réception, elle fut accueillie par ses collègues de travail et des membres de la direction. Plusieurs de ses collègues la trouvaient très belle dans sa robe de soirée.
L’une d’entre elles a précisé :
C’est la première fois que je te vois en robe longue, toi qui es toujours vêtue mini !
Oui pour moi aussi, c’est la première fois que je mets une robe longue et certainement la dernière fois.
Pourquoi tu es mignonne, tu devrais la porter plus souvent !
Je ne vais quand même pas la mettre pour bosser non ? Et en plus elle n’est pas à moi, elle est à Julie ! Et si je suis toujours habillée court ou mini, c’est que j’aime ça !
Tu ne vas quand même pas porter une mini jupe lorsque tu auras 70 ans ?
Et pourquoi pas ? Même à 80 ans tu crois que je vais me gêner ?
Vient ensuite la remise des médailles et des diplômes aux 60 collaborateurs et collaboratrices dont Marie Claude en faisait partie.
Pour Marie Claude cette discussion sur la façon de s’habiller l’énervait, elle essaya après la remise des médailles de trouver d’autres personnes, même si elle ne les connaissait pas, histoire de faire connaissance et de faire passer le temps jusqu’au diner. Bien, entendue, elle accepta les félicitations pour sa médaille et les compliments sur sa tenue. Je parie que si je m’étais habillé comme d’habitude, personne n’aurait critiqué ou commenté.
Je m’ennuyais en pensant à mes chéries qui devaient s’envoyer en l’air en ce moment même. J’avais une envie de faire l’amour, que ce soit avec un homme ou une femme, mais où ? Dans les toilettes ? Trop risqué, trop de monde, avec qui ? Que ce soit un homme ou une femme ils appartiennent tous à la même entreprise et je n’ais nulle envie de me faire virer. Alors il me restait que d’aller aux toilettes seule et de me masturbée.
En me rendant aux toilettes je tombes nez à nez avec une de mes collègues qui était avant dans la même équipe celle du matin , et qui depuis 6 mois a changer et se retrouve dans l’équipe de l’après midi.
Bonjour Marie Claude ! Mes félicitations !
Bonjour Caroline ! Merci c’est gentille ! Mes félicitations aussi !
Va faire pipi, je t’attends.
Mince encore ratée, décidément pas de chance.
Je n’allais quand même pas lui dire que je vais me masturber, et qu’elle risque d’attendre un bout de temps.
J’ai alors rejoint mon ancienne collègue, et tout en parlant avec elle, j’ai eut une idée, celle d’appeler Julie pour qu’elle vienne me chercher en trouvant une excuse bidon.
Je me suis adressé à Caroline ;
Attend moi ici j’ai un coup de fil à donner. M’éloignant d’elle j’ai appelé Julie :
Allo Julie, écoute-moi, je m’ennuie, j’ai envie que tu viennes me chercher en prétextant que Muriel a fait un malaise. En venant, tu m’amènes ma mini jupe que je portais ce matin et un chemisier. Je t’invite à diner en amoureuse.
Je t’attends à l’intérieure de la salle, tu rentres n’hésite pas beaucoup te connaissent.
Je lui ai laisser les coordonnées du lieu et lui a dit dans une heure, en finissant l’appel : Julie je t’aime ! Elle a compris ce que cela veut dire.
J’ai rejoins ma collègue et l’on nous annonça que nous devons nous installés pour le diner, Caroline me demanda si elle peut s’installer à mes cotés. Bien entendu Caroline ! Sachant très bien que d’ici quelques minutes j’allais devoir me lever et partir.
Nous étions tous installer dans une salle des fêtes et des tables de six personnes étaient dresser ! Avant de servir les entrées un membre de la direction pris la parole pour félicité les récipiendaires et nous souhaités un bon appétit, après avoir dressé le bilan financier du groupe.
Moi je n’attendais que l’arrivée de Julie.
L’entrèe fut servie et comme je tournais le dos à la porte d’entrée je n’avais pas vue arrivé Julie. Elle cherchait l’endroit ou je me trouvai et après m’avoir aperçu est vite accouru, elle à saluer en vitesse les occupants de la table, et elle m’annonça que Muriel a fait un malaise et qu’elle me réclame, je faisais semblant d’étre affolée, me suis levée, j’ai juste dit à Caroline que ma fille enceinte a fait un malaise.
Avant de sortir nous sommes passer chez la DRH qui était assise à la table avec les directeurs, pour m’excuser de devoir partir et si possible d’avoir une journée libre demain. La DRH en fit part au directeur de l’agence qui m’accorda la journée de demain jeudi et même celle de vendredi en souhaitant un bon rétablissement à ma fille.
En sortant, Julie me dit :
Chérie tu as quand même du toupet ! il faut avoir du courage de mentir ainsi !
Julie m’a-tu apporté mes habits ?
Oui, viens à la voiture, elle est garée à l’autre bout.
Arrivée à la voiture elle me tendit ma mini jupe, mon chemisier blanc transparent et je m’attendais qu’elle me donne le soutien-gorge, mais hélas rien ne vint.
Mince c’est vrai avec ce chemisier tu es obligé d’en porter un. Excuse-moi chérie tu avais prévu d’aller ou ? J’avais prévu d’aller à la pizzeria et après en boite de nuit.
Ecoute Julie vient avec moi je vais me changer, tu va faire le guet pendant que je retire la robe.
Marie Claude non pas ici, si quelqu’un sort de la salle et te vois tu seras dans la merde.
Oui tu as raison, cherchons un autre endroit.
À la sortie de la ville, Marie Claude s’arrêta dans un chemin menant à une ferme. En faisant vite, elle arriverait à se changer. Elle retira sa robe tant bien que mal la redonna à sa propriétaire enfila sa mini et mis la chemise.
Elle demanda à Julie si l’on ne voit pas que je porte des bas ? Non, debout c’est OK. Pour le chemisier je suis désolée ma chérie, j’ai tellement l’habitude que nous sommes toujours sans soutif !
Tant pis, nous irons à la pizzéria ainsi, après tout je ne suis pas au boulot.
Allons y, nous verrons bien s’ils nous refusent.
Avant de repartir, Julie j’ai encore une faveur à te demander :
Que ce soit à la pizzeria ou à la boite de nuit, nous ne sommes pas bisexuelles, nous ne sommes que lesbiennes !
Julie répondit :
Tu n’aimes plus les hommes ?
Si, mais pas aujourd’hui !
À la pizzeria, il n’y aura pas de problème, mais en boite.
Et si c’est un couple qui nous drague, pour une partie à trois, me demanda Julie ?
C’est non, uniquement femme pour maintenant si toi tu acceptes je ne peux pas te le défendre.
Dans ce cas, je resterais qu’avec toi marie Claude mon amour !
Nous arrivons à la pizzeria, pour rentrer Marie Claude demanda à Julie de la précéder. Marie Claude se colla presqu’au dos de Julie afin qu’une minorité de personne puisse apercevoir les seins nus sous le chemisier transparent. Elles n’avaient pas réserver mais trouvèrent une place qui avantageait Marie Claude car assise à la dernière table et face au mur.
Un apéritif ma chérie demanda Marie Claude ?
Oui ! Chérie, un Martini blanc, d’accord deux !
Et Marie Claude faisait exprès d’augmenter le son de sa voix surtout quand elle prononce : chérie ! Car à la table voisine, deux jeunes de l’âge de Julie zyeutaient non seulement sur les seins, mais sur nous en générale. Alors Marie Claude posa sa main au milieu de la table, Julie joignit la sienne, c’est main dans la main qu’elles consultèrent la carte des menus. De temps en temps elles s’envoyèrent des bisous, toujours sous les yeux des deux jeunes.
Un des jeunes celui assis du même coté que Marie Claude, en croyant apercevoir ce qu’il croyait être une cuisse de sa voisine, mais pour en être sur et certain que ce n’est pas un mirage, laissa tomber la petite cuillère, se pencha pour la ramasser et zyeuter sur ces jambes et le haut des cuisses découvertes par la mini jupe et dévoilant la peau nue au-dessus des bas et les jarretelles. Il croyait voir plus, mais la nappe de la table couvrait le restant.
Le serveur vint prendre la commande des pizzas et de la boisson. Toujours main main dans la main et toujours s’envoyant des bisous avec leurs lèvres, Julie se déchaussait et avança un pied en direction de Marie Claude, qui fit de même, elles jouaient bien le jeu de n’être que deux lesbiennes, écartant la chance aux deux jeunes de les draguer.
Julie et Marie Claude soulevèrent leur cul, pour se faire un bisou sur leurs bouches ; ce qui excitait encore plus le jeune assis à côté de Marie Claude, car là il n’avait plus besoin de laisser tomber sa petite cuillère, il avait les cuisses devant ses yeux. Brusquement, le jeune se leva et se dirigea vers les toilettes, puis il revint immédiatement avec un papier en main qu’il posa sur ma table en me souriant. Je le dépliai et je découvre ses mots :
« Vous avez de jolies jambes, de belles cuisses, merci de me montrer la couleur de votre culotte »
J’ai montré le papier à Julie qui se mit à sourire ; alors je me tournais vers le jeune, écarta rapidement mes cuisses et me repris de suite ma position initiale. J’ai sorti se mon sac à main mon stylo et griffonna sur le papier :
« Quelle est la couleur de ma culotte ? »
Il n’a jamais su répondre à ma question, car il n’y a pas de culotte donc pas de couleur !
Les deux jeunes voyant qu’ils ne sont pas arrivés à nous draguer se sont levés après avoir réglé l’addition et sont partis.
Marie Claude que je suis idiote, j’ai oublié de te dire ce que Martine voulait cet après-midi.
Elle a proposé à papa d’acheter un chien !
Aie et ta maman fait la grève du sexe ?
Non au contraire il a accepté de l’acheté à une condition que maman baise trois fois de suite la première à la piscine la seconde fois sur la table de la cuisine et la troisième dans le salon.
Une fois le diner terminé, elles sont parties rejoindre la voiture. Avant d’embarquer, Julie embrassa langoureusement Marie Claude tout en la pelotant, les mains se perdaient sous leurs jupes.
Julie plaqua Marie Claude contre la voiture, s’accroupissait, troussait la mini et lécha la chatte ; Marie Claude pelotait ses seins à travers son chemisier, les yeux fermer, elle gémissait ne se rendant même pas compte que des clients de la pizzeria pouvaient les surprendre en pleine action.
Marie Claude prit alors la place de Julie et les ébats continuèrent de plus belle.
Marie Claude et Julie ne se sont même pas rendu compte que depuis la sortie de la pizzeria elles étaient suivies par les deux jeunes qui ont assister à une séance gratuite et qui demandait maintenant leur part en se présentant devant elles la queue en main et leur demandant de se faire sucer.
Elles refusèrent cette demande, se rajustèrent et voulaient monter en voiture et furent empêchées par les jeunes.
Alors l’un des deux jeunes menaçait de faire passer une vidéo qu’il disait avoir filmée avec son smartphone sur les réseaux sociaux s’il n’obtenait pas satisfaction.
« Vous nous sucez et on vous laisse tranquille »
Son copain lui essayait de fourrer ses mains sous la jupe de Julie qui se débattait.
Marie Claude, alors céda, s’accroupit devant le jeune et lui suça sa bitte.
Julie fit de même avec l’autre jeune.
Elles ne sucèrent pas par passion, mais juste dans l’espoir de se débarrasser d’eux après. Celui qui se faisait sucer par Julie et qui était le plus timide à vite fait de lâcher sa semence, quand à l’autre il a interrompu, en voyant au loin des gyrophares bleus. Il prit peur et les deux jeunes ont pris la fuite.
Marie Claude a dit à Julie, vient, on rentre à la maison, nous ferons l’amour devant la piscine.
Elles remontèrent chacune dans leurs voitures et rentrèrent à la maison. Tout était noir, tous dormaient, nous étions jeudi, une heure du matin, nous sommes allés à la piscine, après nous être déshabillés, nous nous sommes allongés sur un matelas gonflable et nous avons fait l’amour pendant une bonne heure. Nous commençons à avoir froid, nous sommes rentrés, nous coucher.
Le matin nous nous sommes levés tard, maman et Manon étendaient le linge, papa bricolait après une porte du garage, Muriel assise dans une chaise longue lisait un roman.
Comme cette nuit Julie a dormi dans mes bras, au réveil nous nous sommes mis en soixante-neuf, puis la douche ensemble et le petit déjeuner ensemble. Puis nous avons lavé nos deux tasses toujours ensemble.
Julie, maintenant il va falloir que je te laisse !
Pourquoi Marie Claude ?
J’ai envie d’avoir une queue en moi et comme il n’y a qu’un seul homme dans la maison.
Cette nuit tu refusais et ce matin tu veux ! Tu es bizarre !
Tu n’a qu’à prendre la suite, je te le laisse après moi !
Marie Claude sortie de la maison et est aller directement chez Philippe et sans un mot, même pas un bonjour ou un baiser elle a pris la queue dans sa main l’a branlé et l’a prise en bouche. Après l’avoir sucé longuement elle l’entraina devant l’étendoir à linge ou Manon et Brigitte était en train de
s’affairer, il baisa Marie-Claude dans toutes les positions qu’il connaissait et fini par l’enculer. Pendant ce temps, Manon et Brigitte se doigtèrent mutuellement.
Après avoir baisé Marie Claude, Julie sauta sur son père, alors qu’il n’avait même pas le temps de souffler un peu.
Pour ménager son père, elle ne demandait pas la baise totale et dans une seule position la levrette. Elle avait espoir que maman, ou Manon viendraient s’allonger devant elle pour qu’elle puisse en même temps lécher la chatte. Maman s’allongea alors devant Julie, les jambes écartées et les ébats continuèrent. Quant à Marie Claude, elle rejoignit Muriel qui était en train de se masturber.
Sa maman s’agenouillait entre les cuisses de sa fille et lui lécha la chatte pendant un bon moment.
Puis Muriel demanda à sa mère d’arrêter un petit instant lui rappelant qu’elle a rendez-vous ce matin à l’hôpital pour une échographie.
Ah oui je n’y avais plus pensé, mais nous avons encore le temps ma chérie, et la tête de sa maman replongeât entre ses cuisses.
Julie en voyant que Marie Claude s’occupe de la chatte de Muriel demanda à Manon de remplacer papa qui avait auparavant éjaculé sur ses fesses. Manon est allée cherché un gode ceinture, qu’elle à mis autour de son ventre, elle a alors récupérer du sperme de papa pour lubrifié le trou de balle de Julie avant de l’enculé, alors qu’elle était toujours en train de brouter la chatte de sa mère.
Papa était le seul qui avait fini de baiser, il est retourner bricoler. Quand une voiture rentrait dans la cour, interrompant en catastrophe nos ébats.
Qui a laisser le portail ouvert ? Fit papa en sortant du garage.
C’est moi Julie ce matin, je m’excuse papa !
Heureusement ce n’étais que Martine qui nous amenait le chiot. Mais pensez y la prochaine fois de fermer le portail. Sinon nous aurons des ennuis, et il n’y aura plus de naturisme et encore moins des relations incestueuses.
Je vais d’ailleurs mettre en place un portail motorisé à détecteur infrarouge qui se ferme automatiquement lorsque la voiture est passer.
Martine après avoir rouler une pelle à tout le monde nous présenta Rocky un chiot berger allemand de 6 mois ; j’ai aussi amener un sac de croquette et le certificat du vétérinaire. Martine lui conseilla d’attendre une semaine ou deux avant de l’attirer entre vos cuisses, le temps d’adaptation à son nouveau territoire.
Marie Claude et Muriel demanda à ce que Martine tient en laisse Rocky le temps pour elles de sortir avec la voiture pour aller à l’hôpital.
Papa remit le chèque à Martine, Julie de son côté à soulever la jupe de Martine pour s’assurer si elle tient sa parole. Effectivement elle ne portait aucune culotte. Papa lui palpait les seins à travers son cache cœur, il détecta qu’elle ne portait aucun soutien-gorge. Alors papa prit Martine par la main et, sont allé en cuisine, il l’a déshabillée lui à demander : chatte ou cul ?
Le cul s’il te plait ! Et il l’encula et cracha sa semence au fond de son cul.
Manon quant à elle faisait découvrir à Rocky son territoire. Le restant de la journée se déroula, piscine l’après-midi et jeux avec notre nouveau compagnon à quatre pattes.
Demain vendredi, nous fêterons l’anniversaire de Julie.
Philippe emmène sa fille Julie au restaurant !
À l’occasion de l’anniversaire de Julie, qui fête aujourd’hui ses vingt-trois ans, son père Philippe a décidé de lui réserver une surprise.
Comme Julie travaille en équipe du matin, et qu’elle ne rentre qu’à treize heures, il a décidé de fêter cet évènement ce soir.
Pour que la surprise soit totale, il demande à ce que personne ne révèle quoi que ce soit à l’intéresser. Il nous informe aussi qu’il a réservé une table pour deux personnes au restaurant.
Il s’aperçoit que certaines comme Manon et Muriel sont déçues de ne pas être invitées.
Pour les calmer, il précise que dorénavant ce sera ainsi qu’il invitera la personne qui aura son anniversaire seule à seul.
« Manon, tu as quand ton anniversaire ? »
« Le vingt-cinq septembre papa »
« Et toi Muriel ? »
« Le treize novembre »
Voilà, mais rien ne vous empêche de lui souhaiter son anniversaire lorsqu’elle rentre du travail.
Lorsqu’elle est rentrée du travail, nous l’avons accueilli en chantant :
Après avoir embrassé tout le monde, maman annonça à Julie qu’elle doit être, présente ce soir à dix huit heures, papa à une surprise. Et de rajouter, papa aimerait que tu mettes ta robe rouge, celle qui t’arrive à mi-cuisses et qui a un décolleté plongeant.
Julie a déjà une idée en tête ; si elle doit s’habiller, c’est que nous sortons et il y a de fortes chances que ce soit dans un restaurant.
Julie prit sa douche, se maquilla et enfila la robe que papa avait demandée. Je me suis rendue ensuite dans le salon où tous étaient réunis et présents pour la surprise.
En rentrant dans le salon elles se mirent à me féliciter pour cette robe qui il est vrai me plait beaucoup très moulante, le décolleté en V descendait sous mes seins, la robe ne cachait pas grand-chose et m’arrivait sous les fesses.
Voilà papa tu me trouves comment ?
Julie ma fille tu es très belle, tu es une princesse et je te souhaite un « joyeux anniversaire », maintenant ma chérie découvre le cadeau que je t’ai ramené des USA !
Il est sur la table basse. Je savais pourquoi il la poser sur la table basse, il voulait voir mon cul lorsque je me penche.
Je me suis penchée, j’ai pris le paquet, emballé dans un papier noir et entouré d’un ruban rose.
J’étais déjà excitée alors que je ne savais même pas ce que le paquet contenait, alors j’ai déchiré le papier. C’était un œuf vibrant avec télécommande.
Papa m’a alors pris la boite des mains et il s’est agenouillé, il a sorti l’œuf et l’a nettoyé avec une lingette. Il a ensuite enduit l’œuf avec le lubrifiant contenu dans la boite et me l’a enfoncé dans ma chatte. J’ai poussé un petit couinement en le sentant glisser dans mon vagin.
Les autres étaient très excitées en voyant la scène et leurs mains fouillaient leurs vagins ou ceux de la voisine.
Nous allons le tester à présent. Papa s’est levé en prenant la télécommande et a appuyé sur un bouton. Aussitôt l’œuf s’est mis à vibrer. C’était comme si je ressentais chacun de ses mouvements dans tout mon corps. Mes muscles se sont crispés et une vague de plaisir m’a envahie. Je me suis mise à gémir.
Je constate que le test est concluant, affirma papa. Il a arrêté alors l’engin.
— Allez Julie on y va !
— Je te suis papa chéri ! Même si l’œuf ne vibrait pas, je le sentais bouger à chacun de mes pas et à chaque fois c’était comme une décharge électrique qui parcourait l’intérieur de mes cuisses.
Philippe m’a emmenée au restaurant. C’était bizarre d’être dans un lieu public avec un jouet dans ma chatte, et surtout sans-culotte, car je mouillais beaucoup.
Le restaurant était bondé et le serveur nous a installés à une table au milieu de la salle. Lorsqu’il est venu nous apporter la carte, l’œuf s’est mis à vibrer. Surprise, j’ai poussé un petit couinement et la moitié de la salle s’est retournée vers moi.
— Tout va bien, madame ? M’a demandé le serveur.
— Oui… ai-je bredouillé.
Une délicieuse sensation se propageait aux creux de mes reins, mais c’était une torture, car je ne devais rien laisser transparaitre de mon plaisir.
J’ai supplié papa d’arrêter, il ne m’a même pas écouté.
Mes doigts se sont crispés et je me suis mordu les lèvres pour étouffer les gémissements. Tout à coup les vibrations se sont arrêtées. Papa s’est amusé ainsi pendant tout le repas. Je n’en pouvais plus. J’étais proche de la jouissance, alors papa a arrêté.
À la fin du diner, papa demanda au serveur l’addition. J’ai dit à papa que je vais aux toilettes et que je l’attends dans la voiture.
Après le passage aux toilettes, je me suis rendue à la voiture, me suis installée sur la banquette arrière, les cuisses grandes ouvertes et je me suis masturbé, je n’avais qu’un but, atteindre enfin mon orgasme que je n’ai pas pu avoir à table. D’une main je me caressais le clitoris et de l’autre je
rentrais et sortais l’œuf de plus en plus vite. Je mouillais, tellement que ma cyprine coulait sur la banquette, mes tétons grossissaient.
J’avais fermé les yeux, je gémissais de plaisir, lorsque papa ouvrait la portière, ne pensant pas que je me donnais du plaisir solitaire.
Et maintenant papa, que vas-tu encore me faire, faire ?
Je veux faire l’amour avec toi ma chérie, mais pas ici c’est trop risqué.
J’aimerais que tu me dises, ou tu aimerais faire l’amour, trouve moi un lieu insolite pas trop visible, car il ne fait pas encore nuit.
Papa, que dirais-tu du lac des cygnes ? À cette heure-ci, il ne doit plus y avoir grand monde. Et au cas où, tu me baises en express sans préliminaires.
D’accord nous verrons ça sur place.
Je voudrais que tu t’assoies devant, tu vois ou je veux en venir ma chérie ?
Oui, papa ! Tu veux que je te branle ? Ou que je te suce ?
Tu me masturbes ma chérie ?
Je m’installai à ses côtés, et avant qu’il démarre j’ai ouvert sa braguette et a libéré sa queue.
Il prit alors la direction du lac des cygnes distant d’environ cinq kilomètres, une fois sorti du parking j’ai pris sa queue entre mes doigts et je l’ai masturbé. Il en profitait des fois pour passer sa main sur ma chatte.
Attention nous arrivons, il vaut mieux que tu arrêtes de me branler, car je vois quelques voitures garer sur le parking.
Je vais m’arrêter ici chérie, je vais voir où sont ces personnes.
Je fais quelques pas et j’aperçois un groupe arriver dans ma direction. Je retourne à la voiture et j’attends.
Julie baisse ta robe, voilà du monde.
Cinq voitures sont parties, mais il reste encore une, je me gare à ses côtés et je retourne vers le lac alors j’aperçois un couple assis sur un banc en train de se bécoter.
Julie avait entretemps remis l’œuf dans sa chatte, je lui ai fait signe de venir.
Elle m’a rejoint, et en voyant le couple elle a d’abord voulu repartir, mais comme j’insistais elle est restée.
Nous étions devant un banc et une table en bois, j’ai demandé à Julie de s’allonger sur la table les jambes pendantes et écartées. Il a fait glisser ses doigts le long de ma fente pour me retirer l’œuf et à la place il a enfoncé sa grosse queue toute dure. Il m’a alors baisé violemment tout en gardant un œil sur le couple qui n’arrêtait pas de se rouler des pelles.
Tout d’un coup, il s’est retiré de moi pour me remettre l’œuf dont il a enclenché les vibrations. Il m’a alors demandé de monter mes pieds sur la table et d’avancer mon cul au bord, j’ai vite compris qu’il allait m’enculer.
Alors il a présenté son gland à l’entrée de mon petit trou, il s’est enfoncé dans mon cul centimètre par centimètre et sa queue s’est enfoncée dans mon cul jusqu’au bout. Mes deux orifices étaient occupés et la sensation qui m’envahissait était très puissante.
Papa était tellement excité qu’il n’a même pas remarqué que le couple n’était plus là. Pourtant ils ne sont pas passés à côté de nous.
Papa ne s’en occupait plus du couple, et a démarré ses mouvements de vas et viens m’a amener à un orgasme foudroyant. Je n’en pouvais plus j’étais épuisée. Il a alors joui et à gicle tous son sperme au fond de mon cul.
Il restait immobile, sa queue plantée dans mon cul, il a ouvert les yeux et s’est aperçu que le couple était derrière nous !
C’est à ce moment-là que Julie a prononcé le mot qu’il ne fallait pas dire :
« PAPA »
L’homme et la femme se sont regardé, et choquer ils sont partis.
Papa m’a retiré l’œuf et m’a aidé à rejoindre la voiture.
En rentrant à la maison, je n’ai même pas eu la force d’enlever ma robe qui était bonne à mettre au lavage, c’est Manon qui me l’a enlevé.
Heureusement aussi que son anniversaire était vendredi et que le samedi elle ne travaille pas, elle a dormi jusqu’à samedi midi.
Depuis ce jour l’œuf est à disposition de tous, et rentre dans la collection des jouets sexuels.
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