L’orage cessa, mais la pluie continua de tomber. Nous espérions tous que demain dimanche le temps serait de nouveau beau, car ne pas pouvoir profiter de la piscine serait dommage.
Après le récit de Brigitte, nous sommes tous montés dans nos chambres. J’ai pu reprendre ma chambre avec Manon et Muriel retourna chez sa mère.
Avant de nous coucher Manon et moi nous avons fait une partie de scrabble, tout était calme à part des gémissements provenant de la chambre des parents et de temps à autre un aboiement de Rocky.
Bientôt nos gémissements vont prendre le relais de mes parents, car le récit de maman me mit dans un état d’excitation qu’il fallait que je me remette à avoir une activité sexuelle.
Être conçue dans un musée, je n’en reviens pas. Ce matin, je demanderais à papa de m’emmener visiter ce musée, même si les œuvres d’art exposées ne m’intéressent pas, mais je veux connaître le lieu ou une autre œuvre d’art a été conçue !
Nous nous sommes alors allongée Manon en bas et moi au-dessus en position soixante-neuf nous nous sommes doigtés léchés et nous avons joui ensemble en même temps, nous étions les dernières à gémir, à hurler, les autres devaient être dans un sommeil profond.
Les dimanches, papa et maman ont cessé d’appliquer le rituel réveil matin, depuis le départ de Damien. Même si le réveil ne se fait plus à cinq heures, mais bien plus tard, la traditionnelle fellation ou le cunnilingus reste appliquer. Il leur est déjà arrivé de l’appliquer au moment du petit déjeuner devant nous tous s’ils ne se sont pas réveillés à temps afin de ne pas retarder celle d’entre nous pour la vaisselle.
Nous avons adopté depuis longtemps une règle pour le fonctionnement de la maison à savoir la répartition des tâches ménagères, un planning a été créé afin que ce ne soit pas toujours la mêle qui à la tache sur son dos. Aujourd’hui dimanche c’est le tour de Manon de préparer le petit déjeuner, aussi elle se lève plutôt, prend sa douche et descend en cuisine, j’en profite pour prendre la douche et la rejoins ; dans l’attente des autres, nous nous enlaçons pour nous souhaiter une bonne journée par un long baiser amoureux.
Ce matin, maman et papa sont descendus en retard alors que nous autres nous avons presque fini, papa est rentré en premier dans la cuisine s’est assis à table, Manon lui a servi son café et ses tartines, maman à son tour est arrivée à glisser sous la table ; s’est mise entre les cuisses de papa et lui a fait sa fellation matinale.
Bien entendu nos mains n’ont pas pu s’empêcher daller rejoindre nos chattes ou celle d’une voisine de table. Cela se termine en générale par un concert de jouissance et il ne manquait plus que Rocky se mêle en mélangeant nos gémissements à ses aboiements. Un concert à ne pas mettre entre toutes les oreilles, une vraie cacophonie.
La météo était mauvaise ce dimanche matin, la température était fraiche, un dimanche à ne pas mettre un nez dehors. Un temps qui se prête à faire des jeux de société ou à baiser du matin au soir.
Manon termina de faire la vaisselle, Marie Claude est montée avec Muriel prendre leur douche. Il ne restait en cuisine que papa, maman, Manon et moi-même.
Comme il fait mauvais dehors, j’ai demandé à papa s’il était d’accord de m’emmener au musée me montrer ou j’ai été conçue.
Papa a refusé, alors maman a accepté de m’y emmener cet après-midi.
Merci maman chérie, et pour la remercier je me suis levé pour aller lui rouler une pelle, en faisant exprès d’éterniser ce long baiser, pour énerver papa.
Qu’allons-nous faire de notre matinée ? s’interrogea, maman.
Et si tu nous racontes l’aventure suivante ?
D’accord chérie appelle les autres.
Marie Claude et Muriel descendirent et s’installèrent autour de la table.
Il y a vingt-cinq ans peu de temps après la naissance de Damien, Philippe a été hospitalisé et opéré d’une hernie inguinale. Il devait normalement sortir vendredi, une complication postopératoire a fait qu’ils le gardent encore trois à quatre jours en observation.
Comme tous les jours depuis qu’il est hospitalisé, je me rends à son chevet, laissant Damien à ma mère pour le garder.
Philippe me manquait beaucoup et cela faisait une semaine que je n’avais pas fait l’amour avec lui, ne voulant pas prendre un amant par amour pour lui, je n’avais qu’une solution c’est la masturbation. Malgré mes masturbations multiples, il me manquait, et je m’ennuyais. Il me fallait une bite, une vraie bite pas une en caoutchouc.
Je n’allais quand même pas me mettre dans son lit d’hôpital.
Je me suis alors imaginé un scénario qui pourrait bien se réaliser :
Je savais que le dimanche le personnel médical est réduit,
je connaissais approximativement l’heure de passage de l’infirmière pour prendre la tension, température et autres paramètres,
comme il a le droit de se lever l’endroit pour commettre l’acte sera les toilettes.
Ce plan, je l’avais pensé ce samedi matin et je vais contrôler cet après-midi s’il est applicable. Bien entendu, je ne lui dis rien, ce sera une surprise.
L’après-midi comme d’habitude je déposais Damien chez ma mère, et me suis rendue à l’hôpital, cette fois-ci un peu plutôt qu’à la normale. J’oubliais de préciser que nous sommes au mois de février et qu’il fait froid, j’étais vêtue en conséquence, une jupe en laine aux genoux, un gros pull, inutile de vous dire que dessous j’étais nue sauf mon porte-jarretelles et mes bas, une paire de bottes et pour couvrir le tout un long manteau. Rien de sexy. Lors de cette visite j’ai pu noté les arriver des infirmières qui venaient régulièrement à dix minutes près toujours à la même heure, j’ai aussi pu m’entretenir avec l’interne qui m’a annoncé une bonne nouvelle, le retour à domicile est pour mercredi. Sauf que mercredi ce n’est que dans quatre jours et je ne pense pas pouvoir patienté aussi longtemps, il me faut cette bite le plus tôt possible j’ai donc décidé de passer à l’action demain dimanche.
En rentrant, je suis passé récupérer Damien et j’ai demandé si elle pouvait me le garder demain dimanche, jusqu’au soir dix-huit heures. Elle accepta avec joie de garder son petit fils qu’elle chouchoutait.
Oui, Julie, elle t’aimait aussi ta grand-mère maternelle.
Je peux continuer Julie ? Oui, maman !
Pour calmer mes pulsions sexuelles, j’avais encore besoin de me masturber plusieurs fois d’ici dimanche midi.
Dimanche après le déjeuner et après m’être occupé de Damien, j’allais me préparer pour aller voir mon chéri.
Je quittais mon jogging (je précise qu’a l’époque où nous ne pratiquions pas le naturisme du début d’automne jusqu’à mi-printemps) et nous étions encore logées dans une vieille maison mal isolée.
Je me suis faite toute belle pour mon Philippe, j’ai attaché mon porte-jarretelles autour de ma taille, j’ai enfilé mes bas couleur chair une jolie mini jupe mini jupe moulante et un chemisier blanc transparent très près du corps dont j’ai laissé quelques boutons ouverts jusqu’à la naissance de mes seins, mes bottes et mon long manteau. C’est ainsi que je me suis rendue avec Damien chez maman, ne m’attardant pas, car elle me prendrait pour une pute en me voyant vêtue de la sorte, non parce que je ne porte pas de culotte, ça elle est au courant, mais les seins nus sous un chemisier transparent, elle ne l’acceptera jamais. Que nous nous promenons nus chez nous cela elle l’accepte, mais sortir ainsi ce serait la catastrophe.
Je suis arrivé à l’hôpital, juste au moment où l’infirmière entrait dans la chambre de Philippe avec le chariot. J’ai décidé d’attendre dans le long couloir du cinquième étage en regardant par les grandes fenêtres le joli parc avec son bassin couvert de glace.
L’infirmière sortait et l’aide-soignante rentrait avec des petites bouteilles d’eau. Cela tombait bien, cela nous laissait pas mal de temps pour faire l’amour ; je me rendit alors vers sa chambre l’infirmière que je croisais m’a fait un sourire en me saluant et elle continuait ses visites.
Mon mari depuis que nous nous connaissons et depuis qu’il sait que je ne porte jamais de culotte exige que chaque jour avant de partir ou lorsque je reviens que je soulève ma jupe pour lui montrer que je n’en porte pas. Il l’exige même ici à l’hôpital dès que rentre dans la pièce avant même de l’embrasser que je soulève ma jupe.
Mais aujourd’hui je ne l’ai pas fait. Il n’a pas eu le temps d’ouvrir sa bouche que j’avais déjà enlevée mon manteau. Je me présente alors devant lui, mes seins nus, mes tétons perçant le fin tissu du chemisier, ma mini jupe, mes jambes gainées de bas comme il les aime, sa main qui se pose sur ma cuisse et s’insinue sous ma jupe, ses doigts qui me touche les fesses, ma chatte, alors seulement je me penche pour l’embrasser à pleine bouche.
Je m’assois en m’arrangeant de faire remonter ma jupe au plus haut lui offrant ma chatte qu’il peut admirer et caresser.
Il me dit :
Chérie, que t’arrive-t-il aujourd’hui ?
Ma réponse est simple :
Te rends-tu compte que cela fait une semaine que je n’ai pas fait l’amour ! Je ne peu plus attendre mon chéri, il me faut une bite.
Je sais ma chérie, mais nous ne pouvons pas faire l’amour ici ! Regarde dans quel état tu m’a mis !
Oh que si nous allons baiser, viens, lève-toi mon amour !
Je l’aide à se lever du lit et l’entraine dans la salle de bain.
J’ai fermer la porte à clé ainsi si une infirmière vient elle ne te dérangeront pas.
Je lui roulais alors une pelle, puis je rabats le couvercle des toilettes et m’assois dessus les jambes écartées. Je positionne alors Philippe debout entre mes cuisses et baisse son pantalon, de pyjama.
Je prends sa bite entre mes mains et commence à la branler, ma bouche aspire en même temps son gland et ma langue joue avec son frein.
Il essaie de bouger le bassin pour accompagner ma bouche, mais la douleur l’en empêche. Alors il a trouvé la bonne méthode, il me caresse mes cheveux et guides le rythme de ma bouche avec ses mains.
Ça bite rentre et sort de ma bouche et j’accélère les Aller-retour.
Il déboutonne alors mon chemisier mettant à nu mes seins, mes tétons durcis par l’excitation et entre mes cuisses et ma cyprine qui coulait.
Nous changeons alors de place, je me lève et il prend ma place assise sur les toilettes ; je lui tourne alors le dos et m’assois légèrement sur lui, penchée sur le lavabo en appui sur mes avant-bras. Ainsi positionner, il n’a pas trop à supporter mon poids. Sa main guide son sexe dans ma chatte assoiffée et me pénètre profondément, j’ai du faire des mouvements de va-et-vient et en même temps il me pétrissait mes seins,
cela n’a pas duré plus de trois minutes j’ai eu un orgasme que j’ai étouffé en serrant mes dents et lui à décharger toute sa semence en moi. Je me suis rajusté, je lui aie remonté le pantalon et je l’ai aidé à se remettre au lit.
Je suis restée un moment assise à ses côtés, nous parlions de nous de Damien, il aimerait aussi me faire un bébé pour que Damien ne soit pas seul se sont ses vœux, vœux qui ont été exaucer par la naissance d’une jolie petite fille : Julie qui est née un an et huit mois après son frère Damien.
Il me parlait de ma mère, de ses parents, et puis sa main s’est posée sur ma cuisse et est remonté vers ma chatte, deux de ses doigts cherchaient à s’introduire dans mon vagin, en écartant légèrement mes cuisses il y est parvenu, c’était risqué, j’ai eu des couinements tellement il me faisait du bien.
Philippe me dit alors :
Suce-moi ! Chérie
Mais chéri si une infirmière rentre ?
Assieds-toi sur le lit et suce-moi s’il te plait ?
Je m’exécutai, je m’assis sur le lit de mes fesses positionnées vers lui afin qu’il puisse me doigter et je pris sa queue qui rebandait en bouche pour le sucer.
Lui sucer sa queue me faire doigter ma chatte ici à l’hôpital ou à tout moment peut surgir une infirmière ou un médecin augmenta mon excitation.
J’avais toujours ses doigts qui fouillait mon vagin et j’avais toujours sa bite au fond de ma gorge que nous n’avons même pas entendu la porte de la chambre s’ouvrir et l’infirmière venant contrôler la température et sa tension artérielle. Elle a tout vu, elle n’a rien dit alors que nous avons continué. Philippe à éjaculer j’ai tout avalé.
Elle m’a regardé, puis a regardé Philippe en lui disant ;
Votre tension est trop élevée, 17/8 alors que d’habitude vous avez 12/7
Elle est partie toute rouge pendant que je lui nettoyais sa queue avec un kleenex.
Maman, mais tu as osée faire ça à l’hôpital et en plus continuer de sucer !
Quel courage !
Qu’est-ce que tu voulais que je fasse ? Elle a tout vu alors pourquoi s’arrêter ! Ça ne change rien !
Papa, tu n’a pas eu des remarques ?
Non, je n’ai rien entendu de personne.
Et l’infirmière ?
Je ne l’ai pas revue, elle finissait son service et certainement que lundi elle avait libre.
Et si elle était venue te sucer, tu acceptais ?
Oui, Julie, tu es curieuse comme toujours !
Chéri laisse la donc elle a bien le droit de savoir !
Merci maman !
Viens que je t’embrasse !
Il était temps pour nous de préparer le déjeuner pris aujourd’hui à l’intérieure vue que nous ne pouvons pas sortir à cause de la pluie.
Après le déjeuner Julie et sa mère sont montées s’habiller.
Maman prit sa voiture, et à peine sortit de la cour que la main de Julie fouillait la chatte de maman ; la main gauche sur la chatte de sa mère la main droite sur la sienne.
Julie si je t’emmène au musée, ce n’est pas seulement pour te montrer ou tu as été conçue, mais aussi pour voir les œuvres exposées.
D’accord maman !
Et après nous irons voir si Véronique et son mari sont à la maison.
Pourquoi maman Véro elle nique ?
Avec son mari, oui, quelle question !
Maman, tu ne comprends donc pas le jeu de mots.
Elle va avoir la surprise 24 ans que nous ne nous sommes pas vus la dernière fois c’était au musée.
Nous arrivons Julie enlève ta main de ma chatte,
Tiens voilà ton billet chérie, maman se rappelait très bien à quel endroit ont commencé les attouchements, à cet endroit il m’a mis sa main sur mes fesses.
Mais que fais-tu Julie ?
Ah je croyais que tu m’as dit de te mettre ma main sur tes fesses ?
Pourtant elle adore cela de se faire tripoter les fesses ou les seins.
Tout en faisant semblant de s’intéresser aux œuvres exposées, Julie embrassa maman,
Julie, nous ne sommes pas seules un peu de retenue.
Vous n’étiez pas seul non plus il y a 24 ans.
Puis voilà l’entrée des toilettes, maman m’entraina dans les toilettes pour handicapés.
Voilà c’est ici que tu as été conçue, ma chérie !
Maman voulue que je me déshabille ce que sans hésité j’ai fait et après elle à voulue que je la déshabille. J’ai tété les seins comme lorsque je suis née, j’ai léché sa chatte, je l’ai doigter, caresser et elle m’a rendue en retour.
Nous nous sommes rhabillés et avant de sortir Julie a sorti de son sac à main un autocollant qu’elle a placé sur la porte avec les inscriptions suivantes :
DANS CE LIEU
A
ÉTÉ CONÇUE
IL Y A
24 ANS UNE
JOLIE FILLE
JULIE
Nous avons alors quitté le musée et nous nous sommes rendus à pied main dans la main au domicile de Véronique en espérant qu’elle n’a pas déménagé depuis toutes ces années.
Je crois que c’est ici, le quartier à changer depuis.
Maman appuya sur la sonnette et après un instant la porte s’ouvrit une femme apparue sur le perron, mais ni maman ni la femme ne reconnaissait l’autre jusqu’à ce que maman se présenta :
C’est moi Brigitte, vous êtes bien Véronique ?
Oui, mais oh mince Brigitte, je ne t’avais pas reconnue. Hé oui, ça fait 24 ans !
Elle appuya sur le bouton d’ouverture du portail et nous l’avons rejoint.
Elle nous fit rentrer dans le salon pour ne pas rester sous la pluie.
Véronique je te présente ma fille Julie,
Véronique : excuser moi je ne vous ai même pas fait la bise !
Dis-moi pourquoi as-tu attendu 24 ans pour me rendre visite ?
Maman la mise au courant,
Véronique et ton mari ? Ah oui, tu ne pouvais pas savoir, nous avons divorcé ! Je suis désolée excuse moi !
Non ne t’excuse pas, il vaut mieux que ce soit ainsi !
Et toi Brigitte, mon mari tu sais lui et les musées, nous sommes toujours aussi amoureux l’un de l’autre.
Après avoir raconter à Véronique une grande partie de notre vie, elle s’excusa pour aller aux toilettes, maman me dit quand elle revient écarte un peu les jambes pour voir sa réaction en voyant nos chattes nues. C’était facile déjà que nous fussions assis profondément dans un canapé et elle en face dans un fauteuil. Dommage qu’elle porte un pantalon.
Elle revint des toilettes, mais n’a rien remarqué, ou ne voulut rien dire.
Véronique nous invita à diner et même à passer la nuit, nous acceptons le diner, mais pas la nuit à cause de Julie qui travaille.
Alors maman l’invita à passer un week-end chez nous. Ce qu’elle accepta avec joie et elle donna la date ou elle est disponible, car elle est infirmière. Dans quinze jours est ce possible ?
Oui, aucun problème ?
Je te signale que nous sommes naturistes et que nous le pratiquons à domicile.
Ah ok ! Cela ne me dérange pas Brigitte !
Je vais préparer la table, j’en ai pour deux minutes !
Tu veux de l’aide Véronique ?
Non, merci !
Julie profita de l’absence de Véronique, pour se rapprocher de sa maman, passer sa main sous sa jupe, caresser son minou et lui rouler une pelle.
Véronique revint de la cuisine et les retrouvas ainsi enlacés s’embrassant leurs mains sous leurs jupes, elle resta debout, bouche bée, choquée, lorsque la mère et la fille revenaient sur terre.
Brigitte s’excusa auprès de Véronique qui était devenue comme muette, paralysée en découvrant cette scène.
Brigitte, mais que faite vous ? C’est de l’inceste, ne me dit pas que….
Oui, Véronique, nous pratiquons ! Voilà, tu le sais !
Elle s’assit dans son fauteuil, pris sa tête entre ses mains, elle ne nous regardait plus, cachait son visage entre ses mains.
Véronique, nous allons te laisser, nous nous excusons de t’avoir blessé. Désolée de t’avoir gâché ta soirée.
Nous avons alors franchi le seuil de la porte d’entrée et au moment d’ouvrir le portail, Véronique nous pria de revenir.
Alors elle nous a fait connaître sa désapprobation à cette pratique, mais elle ne veut pas perdre notre amitié. Alors pour comprendre, elle désirait tout savoir. Nous lui avons alors tout raconté.
Elle nous a écoutés, puis elle nous invita à prendre place à table pour le diner.
Nous n’avons plus abordé le sujet et après le diner nous avons pris le chemin du retour.
Elle m’a promis de se revoir dans quinze jours !
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