Suite de la partie 14
Ce récit a excité tout le monde, même moi la narratrice. Philippe me dit :
« Oserais-tu sortir en ville avec uniquement ta blouse aujourd’hui ».
Oui, peut-être, enfin je ne sais pas.
Eric me demanda si personne n’a remarqué ton absence ?
Au début non, la dernière semaine, le contremaitre l’a appris, car il m’attendait à la sortie des toilettes ? Mais je m’en foutais j’avais encore deux jours de travail.
Maryline, mon récit ne t’excite pas ?
Si Brigitte beaucoup. Et tu n’as pas envie de faire l’amour maintenant avec quelqu’un d’entre nous ?
Tout dépend avec qui ! Tu as le choix, soit une femme ou un homme choisi.
Une femme pour débuter.
Tu as le choix ! Maman.
Mireille tout étonnée n’en revenait pas, elle qui a toujours refusé même un baiser sur la bouche.
Brigitte eut alors une idée et l’exposa aux autres :
« Et si l’on décidait pour cette nuit qui dort avec qui ? » êtes vous d’accord ? Oui !
Alors nous avons déjà : Marie Claude et Julie, elles se lèvent tôt pour bosser.
Ensuite : Maryline et Mireille
Puis : Manon et Muriel
Eric, tu viendras avec Philippe et moi, nous ferons une partie à trois.
Manon je suis désolée, tu t’es engagé à rester avec Muriel si tu as envie de baiser tu pourras passer la nuit prochaine avec Philippe où Éric.
Mireille retrouva sa fille et l’embrassa à pleine bouche, Mireille lui a dit alors : « ma fille, il y a longtemps que j’attendais ce moment, Maryline je t’aime ! » « Moi aussi, je t’aime !
Elles se levèrent en nous souhaitant de passer une bonne nuit et s’en allèrent bras dessus, bras dessous vers le camping, car ou elles passèrent une nuit à faire l’amour.
Philippe a décidé que ce sera Éric qui va commencer à me baiser, puis ce sera lui qui prendra le relais et pour conclure les deux entreront en action par une double pénétration vaginale, ce sera ma première de ce genre. Nous n’avons pas beaucoup dormi cette première nuit. À cinq heures Philippe se leva pour aller bosser alors j’avais Éric pour moi seule, mais ni lui ni moi avaient envie de refaire l’amour, Éric déjà fatiguer par le voyage puis par cette nuit, nous nous sommes levé que vers dix heures. Seules Muriel et Manon étaient debout douchées et avaient préparé le petit déjeuner qui allait servir en même temps de déjeuner.
Je voulais m’assurer que tout allait bien au camping-car, lorsque Maryline sortit à demi réveiller en bâillant. Dès qu’elle m’a vu, elle m’a sauté au cou me roulant une pelle.
“Merci, Brigitte, je t’aime !
C’est la première fois avec une femme ?
‘Oui, Brigitte !
Que va dire Jean Luc ?
Il va apprécier j’en suis certaine, il me demandait souvent de faire l’amour avec une femme. Et avec un autre homme ?
Je ne pense pas qu’il est d’accord si c’est un homme qu’il ne connaît pas.
Mireille dort encore, Maryline ?
Non, je suis là, ma chérie !
Elle est sortie du camping-car me sauta au cou m’enlaça et me roula une pelle tout en pétrissant d’une main mon sein avant de fourrer sa main dans ma chatte sous le regard de sa fille.
Aller prendre votre petit déjeuner. Nous attendons le retour du travail de Marie Claude et de Julie, et une fois n’est pas coutume je vous raconterais l’aventure après.
Sans la présence de Philippe ? demanda Mireille ?
Oui ! Il la connaît, pour cette fois-ci il ne participait pas, je l’ai tromper, et je ne lui aie dit que deux jours plus tard.
En rentrant en cuisine, Maryline embrassa son père et lui caressa sa queue, suivie par Mireille. Elles avalèrent vite quelques tartines et le café, puis la mère et la fille se glissèrent sous la table pour aller sucer le père. Eric ne croyait pas à ses yeux deux bouches suçant sa queue et en plus une de ses bouches appartient à sa fille. Elles léchaient la hampe de bas en haut chacune de leur côté puis léchèrent le gland jusqu’à ce que les deux langues se rejoignent puis à tour de rôle elles prirent le gland entre leurs lèvres le suçant la langue titillant le frein avant de l’avaler et de le pomper. Il ne tarda pas à éjaculer dans la bouche de Mireille qui a ensuite partagé le sperme avec sa fille en se roulant une pelle.
Arriver de Julie et Marie Claude et après avoir embrassé tout le monde se mire à table pour prendre le petit déjeuner et en même temps le déjeuner. Je vais raconter l’aventure du jour.
Déjà, s’écria Julie ?
Oui, Julie !
Cet après-midi avant d’aller chercher Damien 7 ans et Julie 5 ans à l’école, j’avais rendez-vous chez le dentiste. Pour une fois, le dentiste à respecté l’heure du rendez-vous, ce qui a fait que je suis sortie plus tôt que prévu et me laissait une avance de quarante-cinq minutes sur la sortie des classes.
Comme l’école n’était pas loin du dentiste j’ai préférer laisser ma voiture la sur le parking et d’aller à pied chercher les enfants, en face de l’école se trouvait un grand parc avec un petit étang. Je suis allé m’asseoir sur un banc et j’ai pris ma revue pour passer le temps.
Alors que j’étais en pleine lecture, je remarque un monsieur qui avait l’habitude d’attendre ses enfants à la sortie de l’école tout comme moi, sans jamais rentrer en contact jusqu’à ce jour.
Il m’a remarqué et s’arrêta à ma hauteur et me dit :
‘Bonjour ! madame, je vois que nous sommes en avance’
‘Bonjour, monsieur, oui, j’avais rendez-vous chez le dentiste’
Ah ! tiens-moi aussi, mais chez le kiné. Vous permettez que je m’assoie, nous allons attendre ensemble.
‘je vous en pris !’
La commençons alors à échangez sur les enfants l’école et des banalités.
Je portais ce jour une jolie robe d’été courte, ample arrivant légèrement au-dessus des genoux.
C’était un bel homme, j’avais en tête autre chose que de parler d’enfants d’école, alors je me suis arrangé pour me rapprocher de lui en me glissant vers lui jusqu’à ce que ma cuisse vienne heurter la sienne. Il est très proche de moi, et même s’il est en pantalon ce contact me plait. Je l’aguiche en me caressant le bras puis ma cuisse ? Je le regarde droit dans ses yeux tout en me mordillant mon doigt, je m’imaginais déjà avoir autre chose à la place de mon doigt. Je reposai ma cuisse sur la sienne, et tout en me parlant de son travail il posa sa main sur moi ? Il glissa sa main sur mes jambes, je soulevais légèrement ma robe afin qu’il puisse passer dessous et se retrouver à proximité de ma chatte. Il vient de se rendre compte qu’il que je ne portais pas de culotte en passant sa main sur ma légère toison pubienne. En passant sur les lèvres j’ai eu un frisson et je m’approchais de sa bouche pour l’embrasser langoureusement, avant de remonter de sa bouche vers ses oreilles en passant par la joue. Je lui murmurais :
‘Et si tu mettais ton doigt à l’intérieur ?’
Il ne se fit pas prier ; il entra dans ma chatte lentement, faisant entrer deux doigts au plus profond de moi-même, je sentais ses doigts glisser en moi et taper le fond, je me suis mise à gémir. Je posais ma main sur sa bosse qui se formait en la malaxant.
Nous n’avions même pas fait attention que des gens passaient à côté de nous.
Il ne restait que vingt minutes avant la sortie des enfants et on avait tous les deux envie de passer aux choses sérieuses ? Nous nous sommes levés du banc, à la recherche d’un endroit plus calme pour baiser. Nous tombons sur un fourré éloigné du chemin et derrière nous se trouve une maison abandonnée, dans laquelle nous entrons et nous nous mettons à l’aise.
Il se met à genoux, il me soulève ma robe, il découvre mon sexe trempé et se mit à le lécher. J’écarte mes lèvres, et laisse ma langue entrer et la visiter. Puis il s’est relevé, j’ai alors sorti sa queue de son pantalon que j’ai pris en bouche pour une fellation rapide. Le temps presse, il me relève, me retourne pour me baiser en levrette, seule position adéquate dans un buisson. J’entrouvrais mes fesses, il enfilait une capote, jouait avec mon clito avant de me pénétrer debout près des ronces, je me suis mis à gémir fortement. Il me donnait des coups de boutoir que j’encaissais sans broncher. Je me penchais bien en avant pour accueillir sa queue dure, Il me tenait par les hanches, sa queue dure tapait au fond de ma chatte et j’ai joui en le regardant, mes yeux pleins de désir. Il a continué à me baiser, voulant éjaculer en moi dans sa capote.
Nous nous sommes rhabillés et nous sommes allés chercher nos enfants. Je n’avais qu’une envie de recommencer.
Malheureusement la fois d’après, ce n’était pas le monsieur dont je ne connais même pas son prénom n’attendait pas ces enfants et cela devait être madame !
Bien entendu je l’ai raconté à Philippe, il m’a dit que je n’ai pas besoin d’attendre pendant un siècle que ce monsieur se manifeste à nouveau, il peut jouer le même rôle et qu’il pourra le faire demain il suffit de me dire qu’est-ce que je dois faire, comme tu le veux à l’identique.
Mireille m’a demandé si je l’ai fait !
Bien sûr, même si ce n’était pas la même impression qu’avec un autre homme, mais joui et le fait de le faire dans un parc ou il y a du monde pas loin augmente encore l’excitation.
Si tu veux Eric pendant ces quinze jours nous pouvons le faire, tu prendras le rôle du monsieur, et vous autres des personnes qui se promènent ! La seule chose qui est impossible c’est qu’il n’y aura pas d’enfants. À moins que Julie reprenne son propre rôle.
Enfin le temps était redevenu chaud et beau nous avons découvert la piscine et nous nous sommes installé au bord.
J’ai appelé Manon pour qu’elle me cherche une boite de pâte pour chien et qu’elle laisse courir Rocky.
Je me suis mise à quatre pattes, Manon a ouvert la boite à pris du pâté et m’a induit la chatte. J’appelais alors Rocky, sentant le pâté, il se mit à me lécher à me pénétrer sa langue dans mon vagin. Je gémissais et encourageais Rocky à continuer. Manon a mis alors un peu de pâte sur mon dos et incita Rocky à me monter dessus. Il me monta dessus et prit son pâté dans sa gueule voulue redescendre, mais Manon pris son fourreau entre ses doigts ce qui l’excita et fit jaillir sa bite. Elle le plaça tant bien que mal à l’entrée de mon vagin et d’un seul coup il s’enfonçait dans ma chatte. Il me baisait pour la première fois que ce fut jouissif, même s’il voulait s’arrêter à plusieurs reprises.
Pour une première fois, c’était très bien même s’il n’a pas éjaculé en moi, même si je n’ai pas eu l’orgasme.
Cela a eut pour conséquence que des couples se sont formés pour la première fois, Maryline à fait l’amour avec son père.
Moi de mon côté, j’ai plongé dans la piscine rejointe par Mireille qui est venue m’enlacer et me rouler une pelle. Nous nous sommes retrouvés après quelques brasses allongées l’une sur l’autre à nous lécher pour finir en soixante-neuf.
Maryline ayant fait éjaculer son père cherchait une nouvelle partenaire, trouva, Muriel se sentait un peu délaissée, s’occupa de sa chatte l’amenant vite à la jouissance. Eric après avoir récupéré vint proposer à Muriel de la baiser. Comme elle est enceinte, elle n’avait pas beaucoup de choix dans les positions. Elle demanda à Éric de la pénétrée en levrette et à Maryline de s’allonger devant elle pour qu’elle puisse lui bouffer sa chatte pendant qu’Éric la baisse.
Les autres voyant cela formèrent alors une chaine, Marie Claude se mit en levrette sa chatte sur la bouche de Maryline, Manon s’allongea devant Marie Claude, Mireille en levrette chatte sur la bouche de Manon et moi je m’allongeais devant Mireille. Il ne manquait plus que Philippe pour terminer la chaine.
Voilà la seconde journée de la présence des vacanciers qui se termine, Maryline voulait passer cette seconde nuit avec Philippe et moi.
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