La seconde nuit, Maryline prit le rôle de Brigitte et ce sera aussi la première baise avec Philippe. Brigitte ne participait pas aux ébats, bien qu’elle était allongée à leur côté dans le lit jumeau ; elle se contenta de regarder et à la rigueur se caresser.
Ils passèrent une bonne partie de la nuit à faire l’amour, à cinq heures du matin elle aurait du réveiller Philippe par une fellation, mais tellement éreinté elle ne s’est pas réveillée et c’est moi qui ai entrepris de le sucer.
Après cette fellation, je n’allais plus m’endormir, je me suis alors mis entre les cuisses de Maryline, j’ai écarté ses lèvres intimes et ma langue à fouillée cette chatte que j’apprenais à aimer elle se réveilla surprise de me trouver entre ses cuisses fouillant sa chatte à la place de Philippe.
Nous avons terminé la nuit ensemble à nous doigter, nous caresser, nous lécher et nous embrasser.
Avant de prendre la douche, je suis sortie prendre l’air et en arrivant à hauteur du camping-car j’ai entendu des gémissements et des cris de plaisirs. Je me suis rendu compte que ces bruits ne provenaient pas de l’intérieur du véhicule, en contournant ce dernier je découvre Eric allonger sur le dos, Mireille en levrette pardessus la queue d’Eric dans sa chatte et Manon harnachées du gode ceinture enculait Mireille. Ils ne m’ont pas vu arriver, ils me tournaient le dos. Maryline m’a rejointe lorsqu’elle a vu la scène et elle voulait que je l’encule aussi. Alors nous sommes remonté dans ma chambre j’ai mis le harnais autour de mon bas ventre j’ai mis de la crème lubrifiante entre ses fesses et lentement j’ai introduit le gode dans son cul. Comme c’était la première fois, cela était douloureux, mais vite le plaisir surmontait la douleur.
Je l’ai amené à l’orgasme ? Ensuite après avoir nettoyé le gode c’était à elle de m’enculer. Mais je voulais le faire dehors, nous sommes allés dans notre jardin secret, j’ai emmené Rocky dans l’espoir qu’il a bien retenu sa leçon d’hier. Elle m’a alors enculé m’amenant à l’orgasme.
Manque de pot Rocky a senti un gibier et n’arrêtait pas de courir le long du grillage.
Pendant le temps que nous étions dans notre jardin secret, les autres sont allés se doucher. Nous avons dû attendre que la douche se libère pour prendre la nôtre. Nous avons préparé le déjeuner ensemble et un après-midi cool à la piscine ; à se raconter des histoires, des anecdotes et autres.
Maryline téléphone ! Elle accourut et répondit :
« Bonjour chéri »,
Elle s’éloigna de nous, la liaison n’était pas bonne.
Puis elle revint toute souriante, en nous annonçant que Jean Luc a pu prendre des congés plutôt que prévus, il demande si quelqu’un peut le chercher à l’aéroport ce soir à dix-huit heures. Il faut que je le rappelle. Manon se proposa d’aller le chercher.
Maryline rappela Jean Luc pour lui annoncer qu’elle vient avec Manon l’attendre comme convenu.
Comment va-t-il réagir ? Maryline !
Nous l’avons informé depuis longtemps de votre mode de vie, d’abord réticent, il a accepté de faire un essai. Le naturisme, il était toujours intéressé, mais c’était moi qui étais réticente. Quant à l’inceste, maman l’a séduit un jour en l’amenant dans son lit.
Brigitte prit la parole du programme de la journée de demain jeudi et vendredi. Comme nous vous avons informé depuis longtemps, nous allons faire une marche dans le massif vosgien sur deux jours. Nous partirons demain matin à sept heures, nous ferons cette marche à notre rythme entrecoupé de pause. Le principal sera d’arriver pour midi à la ferme auberge pour un déjeuner marcaire. Cette ferme auberge nous servira aussi d’hébergement pour la nuit. Muriel et Marie Claude nous rejoindront pour le repas de midi seulement.
Coté tenue vestimentaire, de bonnes chaussures de marche et un coupe-vent à la rigueur un pull.
Sinon je reste en robe légère sans dessous. Emmener une bouteille d’eau et un petit encas. Marie Claude nous apportera du ravitaillement pour la suite.
Aujourd’hui, n’ayant pas le temps de vous raconter une aventure, ce sera juste une anecdote.
Lorsque je suis partie de l’usine où j’allais bosser nue sous ma blouse de travail et que nous avons emménagé ici je me retrouvai sans travail, lorsque j’ai eu de pôle emploi une offre de travail pour un poste de caissière étalagiste dans un super marché, pour une durée de six mois. Je me suis présentée, j’ai été engager et former à ce poste. Au début j’ai laissé mes envies sexuelles d’exhibitions ou de masturbations de côté, tenant à garder cette place le temps du contrat, m’étant même mis à porter des jupes ou robes aux genoux pour ne pas me faire remarquer.
Mais l’envie revint très vite de me faire du bien au travail, alors comment faire ? J’ai eu une idée de me mettre dans mon vagin des boules de geisha. Je m’entrainais à la maison de me déplacer sans que les personnes ne remarquent ma démarche, ou assise devant un miroir pour voir si mon visage se crispe en cas de jouissance. J’ai trouvé la bonne méthode pour me donner du bien sans que cela se remarque surtout lorsque je suis assise à la caisse. Lorsque je n’ai pas de client à la caisse, il suffisait de contracter mes muscles vaginaux ou de bouger mes cuisses légèrement et dès l’approche d’un client m’arrêter, afin de reprendre un air normal.
Une semaine j’étais étalagiste, une semaine caissière.
Cette semaine j’étais caissière, après le passage aux vestiaires, je me rendais aux toilettes comme d’habitude pour me soulager, j’en profitais alors pour mettre mes boules de geisha en place dans mon vagin ne laissant que dépasser le fil. Puis nous nous rendons à la caisse centrale ou chaque caissière recevaient leurs numéros de caisses, les caisses et clés correspondantes, de la caisse centrale nous nous dirigeons chacune vers nos caisses suivies par la cheffe caissière, lorsque j’ai senti mes boules de geishas glisser vers la sortie du vagin. Bien entendu les bras charger, je ne pouvais rien faire. Et ce qui arriva, arriva, je les ai perdues, elles tombèrent à mes pieds sous le regard de mes collègues et de la cheffe. Quelle honte ! Elles étaient toutes au courant. J’ai été convoquée au bureau, pensant déjà que j’allais avoir une mise à pied ou un renvoi, mais le directeur fermerait les yeux si je lui accordais une faveur, celle de passer une nuit avec lui et sa femme. J’acceptais et il me convoqua le samedi chez lui ; Il m’a dit j’espère que vous êtes bi, car il veut d’abord voir sa femme et moi ensemble avant de nous baiser.
Voilà encore une anecdote de raconter que ce sera la dernière, le stock est d’épuiser.
Manon et Maryline se préparaient à partir pour l’aéroport chercher Jean Luc.
Les autres préparaient pendant ce temps les affaires que Marie Claude et Muriel allaient amener à la ferme auberge pour la nuitée.
Manon en route pour l’aéroport avait subitement une envie de se caresser, mais n’osait pas trop le faire à cause de Maryline ; prenant le courage à deux mains elle demanda à cette dernière de la caresser Maryline dite alors :
« Mais Manon c’est dangereux ! »
S’il te plait Maryline j’en meurs d’envie aller chérie !
Voyant qu’elle hésitait, Manon prit sa main et la posa sur le haut de sa cuisse. Mais fait attention sur la route, rassure-toi j’ai l’habitude de me masturber au volant. Je te ferais savoir quand arrêter, je ne vais pas jusqu’à la fin lorsque je suis au volant, ce qui ne tarda pas, ainsi que la sortie de l’aéroport était en vue.
Dis-moi, Maryline est-ce que j’ai le droit de rouler une pelle à Jean Luc ?
Mais oui Manon, pas de problème !
Nous sortons de voiture et nous nous dirigeons vers le hall d’arrivée. Il m’a dit de l’attendre devant le kiosque à journaux.
Il ne devrait pas tarder d’ici cinq minutes.
Le haut-parleur annonce l’arrivée de l’avion. Maryline excitée de retrouver son mari me prend par la main, puis passe son bras autour de ma taille, me serre contre elle, je fais de même avec mon bras. Les passagers passent devant eux, mais pas de Jean Luc, alors je vois le visage souriant de Maryline s’assombrir.
J’espère qu’il n’a pas raté l’avion, mais non chérie il t’aurait appelé.
Attend regarde sur le tableau d’affichage, mais non il a du retard celui qu’on à cru c’était un autre. Voilà l’annonce. Et le sourire de Maryline revint éclaircir son beau visage.
Quand Maryline a aperçu son mari, elle lâcha Manon et sauta à son cou, l’embrassa amoureusement avant de le présenter à Manon. Jean Luc voulut lui faire une bise sur les deux joues et dévia sa tête en l’embrassant à son tour. Jean Luc surpris zyeuta sur sa femme qui lui fit un signe d’approbation.
Il prit son sac et ils sortir de l’aérogare rejoindre la voiture et rejoindre le domicile. Maryline et Jean Luc se sont installés à l’arrière et n’arrêtaient pas de se bécoter et de se caresser ? Il découvrit l’absence de la culotte et aussi du soutien-gorge. Maryline, dégrafa la ceinture de Jean Luc, plongea sa main dans le slip et libéra la bite déjà dure en le branlant. Elle se pencha prise sur son sexe en bouche et le suça jusqu’à l’éjaculation.
Arriver à domicile Manon sorti de voiture retira immédiatement sa mini, imitée par Maryline. Jean Luc lui découvrait alors le naturisme ; il s’est mis nu avant de faire connaissance des autres.
En rentrant dans la maison, il fut accueilli en premier par sa belle-mère Mireille qui de suite l’embrassa à pleine bouche tout en lui prenant sa queue entre ses mains, ensuite ce fut Brigitte, Marie Claude, Muriel et Julie qui appliquèrent toutes la même manière de souhaiter la bienvenue. Philippe et son beau père Eric furent les derniers à l’accueillir.
Maryline montra sa chambre et ils se mirent à table pour le diner. Pendant le diner Jean Luc fut informé de la marche de demain et nous demanda exceptionnellement de passer une nuit tranquille, car demain nous devons être en forme pour cette marche.
Juste pour vous signalez que cette marche se fera par étape et que pendant cette pause libre à vous d’avoir une courte partie de plaisir, sans excès, car ça grimpe et il faudra quand même être à midi pour le repas marcaire à la ferme auberge.
Sur ce je vous souhaite de passer une bonne nuit !
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