Après une nuit calme, après la douche et un petit déjeuner léger, nous sommes allés nous habillées, nous avons décider que tous seraient habillés de la même façon, un t-shirt et un short, bien entendu pas de culotte pas de soutien-gorge. Des affaires de rechange seront à notre disposition à la ferme auberge.
Vérifié si vous n’avez rien oublié dans votre sac à dos, surtout votre bouteille d’eau et un coupe-vent. Brigitte ajouta : « vous n’avez pas oublié vos godes j’espère ? »
Le départ eut lieu à sept heures sonnante, notre guide Philippe nous menait à la chapelle première petite pause avant d’attaquer une première grimpette. Comme c’était une rando sexe à chaque pause, un ou une participante devait accomplir une courte démonstration sexuelle ? Comme Jean Luc était le dernier arrivé, il avait le choix de choisir la personne et ce qu’elle a l’intention de démontrer.
Jean Luc a choisi sa belle-mère Mireille et elle devait retirer son t-shirt et continuer jusqu’à la prochaine pause les seins nus.
Elle s’exécuta, retira son t-shirt et c’est en short qu’elle continua la marche. Ses seins ballotaient à chaque pas, ce qui nous excitait.
Nous attaquons à présent une montée sur environ cinq cents mètres et nous étions impatients de connaître la nouvelle punition. Arrivée au sommet, nouvelle pause. Mireille a remis son t-shirt et c’est à cette dernière de choisir celui ou celle qui allait être puni. Elle choisit Philippe qui devait exécuter un cuni sur Maryline, qui allait s’adosser contre un arbre. Philippe s’agenouilla devant elle et lui baissa son short et la lécha pendant un moment. Maryline commençait à gémir. Philippe interrompit alors le cuni, car la route était encore longue et dure pour certains qui n’étaient pas habitués.
Philippe remonta le short de Maryline et la marche reprit son cours, il signala qu’à la prochaine étape nous aurons la possibilité de nous asseoir et de manger nos sandwichs. Il y aura aussi la possibilité de passer à une démonstration plus longue. Je demanderais à partir de cette étape de faire le guet, car c’est un carrefour ou plusieurs itinéraires de randonnées se croisent et il y a souvent du monde. Au cas où la place serait prise, nous ne prendrons que les sandwichs et la démonstration aura lieu un peu plus loin entre deux étapes.
Effectivement ce carrefour était occupé par d’autres randonneurs et la démonstration n’a pas pu se faire, alors ils prirent leurs sandwichs et Philippe décida de prendre un sentier moins fréquenté que le chemin forestier. Ils repartirent et s’engagèrent sur le sentier, une fois hors de vue Philippe notre guide s’arrêta et demanda de trouver les deux prochaines victimes, elle demanda alors si elle pouvait choisir tout le monde. La réponse fut oui. Alors Maryline proposa que l’on fasse pour cette étape une rando nue si vous êtes d’accord. Personne ne voyait d’objection et tous retirèrent leurs t-shirt et short.
Notre guide Philippe nous fit savoir qu’avant le prochain arrêt il faudra au moins remettre le short. Nous continuâmes et à cent cinquante mètres de la fin de cette étape, Philippe nous demanda de remettre les shorts et d’anticiper la démonstration ici, car le sentier rejoint le chemin forestier. Éric proposa alors une fellation et désigna les rôles, Manon suce Philippe, Julie suce Jean Luc, et Brigitte suce Éric. Les trois hommes s’adossèrent contre un arbre, les femmes s’agenouillèrent devant les sexes et débutèrent la fellation. Quant à Mireille à défaut de queue, elle se masturba. Elles avalèrent le sperme, et les seins nus se sont rendus à la prochaine étape ou ils croisèrent un groupe de marcheurs qui ne croyait pas à leurs yeux de se retrouver en face de 5 paires de seins nus.
C’était la dernière étape avant la ferme auberge. Nous resterons ainsi jusqu’à destination, il est inutile de remettre le t-shirt trempé par la transpiration. Au cas où Marie Claude n’était pas encore arrivée, vous n’avez qu’à enfiler le coupe-vent. Pour déjeuner, vous porterez un t-shirt propre et une mini jupette plissée.
Aller nous continuons, nous sommes encore à quatre kilomètres de la destination, je vous donnerais d’autres infos une fois sur place.
Ces quatre kilomètres se passèrent relativement bien pas trop durs et en arrivant à la hauteur de la ferme auberge je cherchais la voiture de Marie Claude. Je l’ai aperçu un peu plus loin cacher derrière un hangar. Arriver derrière la voiture j’ai fait signe aux autres de s’approcher sans faire de bruit, Marie Claude et Muriel enlacée s’embrassaient et se caressaient. Surtout n’effrayer pas Muriel, je n’ai pas envie que cette dernière accouche.
Nous nous sommes changés sur place, les femmes ont revêtu un t-shirt blanc et une jupette de tennis orange, sauf Muriel vêtue d’une robe de grossesse. Nous avons constaté que la jupette de tennis se soulevait lors d’une rafale ce qui allait exciter les éventuels voyeurs,
Philippe notre guide du jour nous dis :
Pour la prochaine démonstration, elle se déroulera à l’intérieur de l’auberge au moment ou avant de déjeuner ; je cherche deux femmes volontaires pour s’embrasser à pleine bouche.
Julie et Manon étaient les seules à oser. Et je demande à Jean Luc s’il est volontaire pour embrasser Mireille, ta belle-mère. La réponse fut oui et je propose de le faire en arrivant avant de prendre l’apéro. Quant aux autres si vous avez une petite envie de vous caressez pendant le repas n’hésiter pas, après le repas vous avez quartier libre.
Après l’installation dans la salle de l’auberge, Julie et Manon s’embrassèrent suivies par Mireille et Jean Luc. Les regards de certaines personnes se portèrent plutôt sur Julie et Manon que sur Mireille et son gendre.
J’ai remarqué que des mains s’activaient sous les tables, certains visages se crispaient et je sentis une main glisser dans mon short et prendre mon sexe pour le masser discrètement.
J’ai vu Marie Claude sortir de son sac à main des boules de geisha, elle se tortilla pour les insérer dans sa chatte. De temps à autre elle a mis ses mains devant son visage pour ne pas faire voir aux autres qu’elle jouit.
Alors que les marcheurs commençaient à quitter l’auberge, nous nous attardons un moment lorsque l’aubergiste est venu nous demander si nous étions satisfaits du repas, nous apercevant que nous étions habillées toutes de la même façon il croyait que nous faisions partie d’un club de tennis. La femme de l’aubergiste vint se joindre à la conversation. J’ai vu que son regard se posait sur Marie Claude qui essayait de maitriser sa jouissance en cachant son visage dans ses mains et en serrant les dents afin d’étouffer les gémissements. La patronne, croyant qu’elle se sentait mal, demanda à Marie Claude ci, elle a besoin d’aide. Marie Claude ne répondit pas, mais retira les mains devant sa bouche, la patronne a alors compris.
Mireille voyant qu’aucune réaction négative ne venant de la part du couple d’aubergistes, se glissa sous la table sortie la queue de son gendre la branla et la prit en bouche bien visible du couple. La femme souffla à l’oreille de son mari qu’elle va fermer l’auberge temporairement. Puis elle revint dans la salle en déboutonnant son chemisier qu’elle retira, enleva ensuite sa jupe et son mari lui dégrafa le soutien-gorge qu’elle retira et en petite culotte se dirigea vers Eric qu’elle embrassa en lui faisant glisser son short ? Elle retira alors sa culotte, s’agenouilla et fit une fellation.
Son mari est sorti de la salle pour rejoindre la cuisine, il demanda à l’aide-cuisinier et à la serveuse de venir en salle dès qu’ils ont fini de nettoyer. Puis il revint en salle et se déshabilla à son tour. Alors les jupettes et t-shirts tombèrent, les couples de formèrent, Brigitte s’occupait de l’aubergiste, Marie Claude de Muriel, Maryline de Manon et Julie vint s’occuper de moi.
En pleins ébats quand la serveuse et l’aide-cuisinier firent leurs apparitions, surpris par cette orgie et après hésitation ils se déshabillèrent à leurs tours et form_rent un nouveau couple.
Après la fellation ou le cuni, les partenaires s’échangèrent et chaque couple se cherchait une place pour baiser, sur les tables, au sol l’aide-cuisinier emmenait Manon, en cuisine, la serveuse se retrouva en 69 avec sa patronne, le patron baisait Marie Claude et ainsi de suite. L’orgie continua par de la sodomie de la double pénétration vaginale.
Épuisé, mais content d’avoir pu passer une après-midi de baise, le couple d’aubergistes nous invita à une dégustation de ses produits fermiers. Et cette dégustation s’est déroulée dans la nudité totale même pour les aubergistes, la serveuse et l’aide-cuistot. L’aubergiste nous a dit qu’ils sont depuis longtemps libertins, mais ici en montagne il y a très peu de chance de trouver une pareille occasion comme aujourd’hui. Je comprends, répondit Philippe, déjà vous n’avez pas le temps en temps que le fermier et en plus l’auberge alors pour les loisirs vous devez en avoir très peu.
L’aubergiste dit alors : je ne vous chasse pas, mais il va falloir que vous vous habilliez, car nous devons rouvrir. Je m’aperçus que la patronne remit son chemisier sans remettre le soutien-gorge et remis sa jupe sans culotte. Elle demanda à la serveuse de faire de même. Après s’être rhabillé nous avions décider d’aller prendre l’air en faisant une petite promenade, à peine sortie la patronne m’apella voulait parler à Brigitte et à moi, elle dit à la serveuse de garder l’auberge et elle nous emmena dans une pièce. Elle nous demanda de nous asseoir dans le canapé tandis qu’elle s’assit en face de nous dans le fauteuil en prenant soin de trousser sa jupe sur ses cuisses nous dévoilant la chatte poilue sans aucune culotte.
Elle nous demanda s’il n’y avait pas la possibilité de nous revoir sans son mari pour commencer. Brigitte a répondu à ma place : Mais oui il n’y a aucun problème quand tu veux… Euh ! Oh pardon moi c’est Fabienne ! Moi c’est Brigitte et mon mari Philippe,
bien, mais je voudrais vous demandez quelque chose Brigitte ! Je ne sais pas si vous allez répondre ; allez Fabienne dite moi ce qui vous tracasse ! Vous avez une fille ? Oui, Julie ! C’est elle qui vous a sucé Philippe ? Oui, tout à fait !
Fabienne vous êtes choquée ?
Non, car je vous avoue que la serveuse est notre fille, Camille et nous couchons ensemble depuis une semaine. Alors je voudrais vous rencontrer avec ma fille seule pour commencer.
Comme tu veux Fabienne et quand tu veux !
Lundi c’est jour de fermeture cela irait chez vous ? Oui, aucun problème ? Matin ou après-midi ? Venez en fin de matinée vous manger avec nous. D’accord, Brigitte, tu me donneras l’adresse.
Une information Fabienne, nous sommes naturistes chez nous, ne sois pas choquée et en aucun cas je peux vous obliger à vous mettre nues.
Sur ce, elle demanda à Brigitte si elle ne veut pas venir la lécher et à moi pour me faire sucer. Brigitte s’agenouilla alors entre les cuisses de Fabienne et lécha sa chatte trempée. Je me mis debout sorti ma bite et la présenta à l’entrée de sa bouche. Elle la prit entre ses doigts, la branla et approcha ses lèvres de mon gland, sa langue tournoyait autour titillant mon frein avant de la prendre au fond de sa gorge et d’entamée des va-et-vient tout en branlant d’une main et de malaxer mes couilles de l’autre. Elle ne tarda pas à jouir sous la langue de Brigitte et elle m’autorisa à gicler au fond de sa gorge. Son mari fit alors irruption dans la pièce et trouva sa femme avec le trop-plein de mon sperme qui s’écoula de sa bouche. Il lui sourit, Fabienne demanda à Camille de venir nous voir. Comme elle n’était pas encore au courant de nos relations incestueuses, elle vint s’installer entre Brigitte et sa maman qui l’a informée que nous sommes devenues complices dans la pratique et que nous sommes invités chez Brigitte et Philippe lundi prochain, elle l’informa aussi que nous sommes naturistes à domicile, mais que nous ne sommes pas obligés de l’être ou de le devenir.
Fabienne demanda à sa fille Camille si elle a remis son soutien-gorge et sa culotte. Elle répondit que oui, alors sa maman l’informa qu’à partir d’aujourd’hui elle à ranger ses sous-vêtements au placard, tu es libre ma chérie d’en porter ou pas.
Nous sommes alors ressorties dans la salle où nous attendaient les autres.
Raymond l’aubergiste nous dit que le ciel s’assombrit et qu’il va y avoir un orage. Alors il nous fallait prendre une décision. Si ce n’est qu’un orage passager et court aucun problème pour le retour à pied, mais si c’est le contraire, Marie Claude soit que tu fais deux voyages ou alors quelqu’un nous descendra.
Raymond à eut vent et à demander à Fabienne de nous ramenez au cas ou. Ce qu’elle accepta avec le sourire.
Nous avons passé une nuit sans trop de jeux entre nous, dehors nous entendons le vent et la pluie tombée. Ainsi après le petit déjeuner, nous serons véhiculés par Fabienne. Reste à dispatcher par voiture. Après décompte une personne sera de trop. Raymond dit à Fabienne de prendre dans ce cas l’utilitaire.
Nous sommes rentrés à bon port et secs. Pour remercier Fabienne, nous l’avons invitée à boire un café et en même temps informer Julie de cette nouvelle complicité.
Marie Claude, Muriel, Manon Maryline et Jean Luc regagnèrent leurs chambres et se préparèrent à prendre leur douche, Mireille et Eric leur camping-car.
La première chose en rentrant nous nous sommes déshabillées sous le regard de Fabienne qui elle n’osait pas encore, mais elle nous promet que lundi elles le seront. Brigitte à préparer le café et Julie à fait connaissance de Fabienne. Julie apprenait à Fabienne nos coutumes et l’embrassa amoureusement et en passant sa main sous sa jupe à la recherche d’une culotte qu’elle ne trouva pas, mais à la place de cette dernière elle trouva une toison bien fournie.
Elles en restèrent là car Fabienne devait remonter à la ferme auberge.
Voilà cette marche de sexe s’est très bien passé ? Et nous pensons déjà à en refaire une autre.
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