La journée de dimanche débuta comme à l’accoutumée par le réveil matin cette fois-ci je me suis réveillé en même temps que Philippe ce qui vaut un 69, et j’avais convenu la veille avec Jean Luc que ce serait à lui de venir me baiser, pendant que Philippe allait prendre sa douche et préparer le petit déjeuner.
Pendant que Jean Luc me prenait par derrière Maryline et fit son entrée dans la chambre s’allongea sur le dos devant moi écarta ses lèvres intimes et me demanda de la lécher. Deux minutes plus tard, Manon arriva sans dire un mot, se mit à califourchon sur le visage de Maryline. Nous avons alors eu une symphonie de gémissements inachevée qui allait se poursuivre plus tard.
Après avoir fait cette demi-orgie matinale, nous nous apprêtâmes à passer sous la douche, comme la douche était occupée j’en profitais pour aller nourrir Rocky. Je pénétrais dans le chenil et en me penchant pour ramasser la gamelle, je sentis la truffe du chien me renifler ma chatte encore pleine de sperme de Jean Luc mêlé à ma cyprine, excita Rocky. Il m’a suivie hors du chenil et me suis mis à quatre pattes dans l’herbe, il m’a alors nettoyer la chatte à grand coup de langue. Mon excitation au plus haut niveau j’en voulais plus alors je l’ai appelé : Rocky baise moi viens, il ne se fit pas prier et à chaque fois qu’il obéissant il avait droit à une friandise avant qu’il me baise. Je ne me suis même pas rendu compte que je me donnais en spectacle aux autres.
J’ai joui il a éjaculer, tandis que moi je n’en pouvais plus, éreinter par ces trois heures d’affilée de baise, je suis allé me doucher puis me suis allongé pour récupérer n’ayant même plus la force de prendre mon petit déjeuner.
Que je suis impatiente de revoir Fabienne et sa fille Camille demain lundi, d’un côté je trouve dommage qu’ils ne puissent pas se libérer plus à cause de la ferme auberge. J’ai une idée derrière ma tête et il va falloir que l’on en parle demain quand elles seront là. Ce projet j’y pense déjà, et je voudrais qu’il se réalise après le départ de Mireille, Éric, Maryline et Jean Luc, jeudi prochain.
Mon mari et moi avons convenu que cette première rencontre ne se fera qu’entre nous trois à savoir Julie, Philippe et Brigitte. Raymond le mari de Fabienne ne participera pas cette fois-ci cause trop de travail à la ferme, et d’une livraison prévue.
Marie Claude est passée dans ma chambre, où j’étais allongée, éreintée suite à mes rapports matinaux, mes doigts fouillant ma chatte humide en imaginant que Fabienne était en train de me lécher. Marie Claude à alors retirer ma main et la remplacer par sa langue. Elle me lécha rapidement, elle devait sortir, car elle n’était pas nue. Elle me demanda si je ne voulais pas l’accompagner à la chapelle.
Je n’avais pas envie et lui répondis : pas aujourd’hui chérie, tu y va seule ? Non avec Éric !
Mireille ? Non plus elle baise avec Jean Luc et Maryline avec Philippe.
Manon et Muriel préparent le déjeuner, et Éric et moi nous allons baiser à la chapelle.
Pourquoi aller si loin ? Il y a le jardin secret au moins tu seras la pour le déjeuner !
Tu as raison, mais c’est Éric qui veut y aller.
Brigitte demain quand on revient du travail je me ferais discrète, je dépose Julie et je mange quelque chose dans ma chambre avec Manon et Muriel. Je ne veux pas vous déranger.
Merci, Marie Claude, tu es un amour, je t’aime !
Moi aussi chérie !
Aller va rejoindre Éric !
Dès qu’elle est sortie, ma main a repris la masturbation. Décidément, aujourd’hui, ce sera toute la journée, je vais battre le record. Je ne vais certainement pas tenir comme cela jusqu’à ce soir ou Philippe voudra me refaire l’amour.
Je me levais me passait un coup de flotte sur ma figure puis je suis allé en cuisine me faire un café ou je retrouvais mes deux cuisinières du jour Manon et Muriel que j’embrassais tendrement. Le temps n’étant plus vraiment à la piscine, il fallait penser à la vider et procéder au nettoyage et à la couvrir ce qu’avait prévu Philippe, cependant rien n’empêchait de prendre un bain de soleil.
L’après déjeuner se passait tranquillement allonger sur nos matelas ou dans nos chaises longues à lire, se raconter des histoires ou carrément à essayer de dormir. Philippe s’occupa de la piscine et moi je n’avais que dans ma tête Fabienne et Camille. Et si je l’appelais ?
Je suis rentrée dans le salon pour être seule, je regardais sur l’heure, ne voulant pas la déranger. Il est quinze heures trente, elle doit avoir terminé.
Allo ! Fabienne ? C’est moi Brigitte !
Non c’est Camille, bonjour Brigitte ! Vous allez bien ?
Oui Camille, merci, ta maman n’est pas là ?
Attendez, elle arrive, je vous la passe ! Tu peux me tutoyer Camille !
Bonjour, Brigitte, j’allais t’appeler pour notre visite.
Moi aussi j’espère que vous venez ? Oui sans problème justement tu ne m’as pas précisé l’heure.
Si tu veux venir tôt cela ne me dérange pas de toute façon je suis debout dès six heures, disons si tu viens à neuf heures cela m’arrangerait. Nous serons seules jusqu’à treize heures, mon mari et ma fille rentrent du travail, nous déjeunerons ensemble et nous aurons toute l’après-midi ensemble.
D’accord, Brigitte, à neuf heures, surtout ne prépare pas de dessert c’est moi qui m’en occupe. Et je suis impatiente de te revoir Brigitte !
Moi aussi Fabienne je n’arrête pas de penser à toi et à Camille. Gros bisous à demain !
Bisous Brigitte.
J’informais Philippe et Julie de ce changement d’horaire. Philippe me dit qu’il va demander une demi-journée, mais ne m’attendez pas pour déjeuner lorsque Julie rentre du travail.
Comme Julie et Philippe étaient à l’écart des autres, je leur exposais mon projet qui me tenait à cœur. Je n’en dis pas plus, car Fabienne, Camille et Raymond devront être d’accord.
Demain matin elles seront là à partir de neuf heures, je vais lui exposer ce projet et si elle accepte je vous tiendrais au courant dès que vous serez rentré du travail.
C’est à ce moment-là que j’ai senti une main passer sous mes fesses se frayant un passage entre mes cuisses et des doigts qui se faufilèrent entre mes lèvres intimes pénétrant mon vagin. Cette main appartenait à Muriel, pour l’aider à mieux me pénétrer j’écartais légèrement mes cuisses et me penchais, puis elle me dit : belle maman j’ai envie de te faire l’amour, vient dans ma chambre. Elle retira sa main gluante, me pris ma main et m’entraina à l’intérieur. Elle s’arrêta devant l’escalier menant à l’étage et m’enlaça, embrasse-moi maman, ce que je fis sans attendre ma bouche se souda à la sienne, nos langues s’emmêlèrent notre baiser s’éternisait, puis elle m’a repris ma main et m’emmena dans sa chambre qu’elle ferma à clé.
Je ne comprenais pas, pourtant nous faisons régulièrement l’amour, mais c’est la première fois qu’elle m’appelle belle maman, c’est la première fois qu’elle ferme la porte à clé, c’est ce parce qu’elle est enceinte, désir t-elle quelque chose de spécial a-t-elle un secret à me confier ? Elle me demanda de m’asseoir sur soin lit et prit ma main la posa sur son ventre et me dit ; belle maman tu sens comme ton petit fils où ta petite fille donne des coups de pied ou des coups de poing. Oh oui chéri, alors vient me téter, viens boire mon lait. Après cela elle m’écarta, mes cuisses se mis entre se penchait et entrepris un long cunnilingus. Après son tour ce fut le mien elle prit ma place et tout comme elle je m’agenouillais et plongeais ma tête entre ses cuisses pour la lécher à mon tour.
Elle a alors cherché dans un tiroir un gode et au moment où elle voulait l’introduire dans mon vagin quelqu’un voulait entrer dans la chambre, comme elle était fermée à clé, elle appela :
Muriel c’est moi Manon ouvre s’il te plait.
Elle tourna la clé, Manon entra, trouva Brigitte allongée sur le lit, cuisses écartées le gode en main devant l’entrée de son vagin.
Tient tu t’enfermes maintenant, demanda Manon c’est nouveau ça !
Brigitte ne te gêne pas, enfonce ton gode. Ne regarde pas sur moi, je ne reste pas.
Manon ressortit de la chambre et Muriel voulait refermer à clé.
Muriel ne referme pas, je vais descendre, tu m’excuseras, mais je suis éreintée et je ne me sens pas bien.
Muriel vint me faire un bisou, elle m’accompagna dans la cuisine ou j’allais prendre un cachet contre le mal de tête. Elle resta auprès de moi, tout comme je restais auprès d’elle lorsqu’elle faisait ses malaises.
La soirée se termina, je n’avais pas faim j’ai bu une tisane et je suis allé dormir avant les autres.
La nuit fut calme j’ai eu du mal à m’endormir et à cinq heures mon mari se leva sans le traditionnel réveil matin. Je me réveillais plus tard ce lundi matin et j’ai eut la surprise de trouver à la place de Philippe, Muriel, qui vint m’embrasser en me disant j’ai veiller sur toi belle maman.
Muriel je ne suis pas malade j’avais juste un mal de tête hier soir.
Belle maman, je t’aime et j’aimerais bien rester auprès de toi ce matin quand Fabienne et Camille sont là.
Je ne pouvais pas refuser, elle ne comprendrait pas, comme je la surveille déjà quand sa mère est au travail, je ne peux pas lui refuser cette fois-ci, Fabienne comprendra.
Je vais aller prendre ma douche, Muriel tu viens ?
Elles grimpèrent à l’étage se douchèrent et avant de redescendre en profitèrent pour se faire quelques calins.
Encore une demi-heure à attendre. Pendant ce temps je vais vite nourrir Rocky, une gamelle de croquette de l’eau fraiche. Il voulait comme c’est devenu une habitude depuis quelques jours vouloir me lécher ma chatte, mais cette fois-ci je refusais, alors il alla se coucher dans son coin et me regardait d’un air triste. Après Rocky ! Je n’ai pas le temps maintenant.
À peine sortie du chenil que « in the moon » se mit à jouer (sonnerie du portail d’entrée) toute contente j’appuyais sur le bouton d’ouverture pour laisser entrer la voiture.
Toute en sourire j’allais accueillir Fabienne et Camille. Elle portait toutes les deux un ensemble chemisier, jupe courte. Nous nous sommes fait la bise et les ais fait rentrer dans le salon Camille me tend alors une boite contenant le dessert que j’allais mettre dans le frigo. Installez vous je vais préparer le café, je reviens de suite.
Curieuse de savoir si elles restaient habillées ou si elles se déshabillent pendant mon absence.
De retour dans le salon accompagner de Muriel, elles étaient toutes les deux en train de se déshabiller.
Alors j’informais que Muriel restait avec nous si cela n’est pas un obstacle ? Elles acceptèrent.
Pendant que nous prenons le café, la discussion fut consacrée à la vie courante, le temps, le travail, etc.
Ce n’est qu’après avoir pris le café que je proposais à Fabienne et à Camille d’aller s’installer dans le canapé ? Je me suis assise au centre Fabienne à ma droite et Camille à ma gauche.
Alors Brigitte je suis impatiente de connaître ton projet, me dit Fabienne.
Voilà ce que je te propose c’est de faire une sorte d’échangisme, je m’explique :
pendant une semaine je suis la femme de Raymond et toi Fabienne tu seras la femme de Philippe ? Donc tu viendras vivre ici et moi je monte à la ferme auberge et en même temps je serais la maman de Camille et toi la maman de Julie. Qu’en penses-tu Fabienne et toi Camille ?
Ton projet est très intéressant, mais il y a un problème, c’est la tenue de l’auberge.
Fabienne écoute je suis prête à venir une ou deux fois que tu me montres ce que je dois faire et puis il y a Camille.
Qu’en penses-tu Camille ? demanda Fabienne.
Oui, pourquoi pas essayer.
D’accord ensuite j’ai aussi pensé à ce que Julie monte une semaine chez vous comme cela Fabienne tu seras la maman de deux filles et une autre semaine Camille viens chez nous.
Oui et quand comptes-tu débuter ?
La semaine prochaine si tu es d’accord par nos échanges.
Super ça tombe bien samedi, nous sommes complet si tu peux monter le matin jusqu’au soir pour t’expliquer ton rôle. Pas de problème, chérie.
Ce mot chéri que je viens de prononcer fut le déclic pour Fabienne de venir m’embrasser langoureusement et nos mains qui se mirent à nous peloter nos seins et à fouiller nos chattes. Camille se mit alors à quatre pattes entre mes jambes et lécha ma chatte humide.
Nous avons fini allongées à même le sol en soixante-neuf.
Fabienne, j’ai une chose qui me tracasse depuis notre rencontre !
Dis-moi chérie, ton aide-cuisinier qu’en est-il ? Il te baise ? Il baise Camille ?
Non Brigitte c’est un handicapé qui d’ailleurs va rejoindre d’ici quinze jours le centre médical d’où il est issu.
Tu ne recherches pas quelqu’un pour le remplacer ?
Si tu connais quelqu’un qui cherche une place, tu me le dis.
Muriel cherche Manon ! Oui, belle maman.
Muriel revint avec Manon et après les embrassades, Fabienne proposa à Manon le poste d’aide-cuisinier.
Manon toute contente accepta ce poste. Fabienne lui proposa même une chambre si elle désire rester. D’accord Fabienne. Manon, Camille désire faire ta connaissance. Manon emmena alors Camille dans sa chambre, et pendant deux heures nous ne les avons pas revues, j’en fis de même avec Fabienne après lui avoir fait faire le tour de la propriété.
Nous avons fait l’amour longtemps à nous lécher nous doigtées et nous goder. Manon et Camille nous on rejoint. Camille voulait faire l’amour à sa maman alors que Manon se jeta sur moi et Camille s’assit en califourchon sur le visage de Fabienne.
Nous n’avons même pas vu le temps passer et déjà il va être l’heure de préparer le repas Julie et Philippe ne devrait pas tarder.
Muriel vint me prévenir que Philippe rentre. Manon et moi nous avons cessé nos ébats et nous sommes descendus l’accueillir. Il était impatient de la revoir.
Monte dans notre chambre elles t’attendent, pendant ce temps nous préparons le déjeuner.
Philippe rentra dans la chambre sans faire de bruit et trouva Fabienne en levrette sur le lit en train de lécher sa fille ni tenant plus sans même dire bonjour, il planta sa queue à l’entrée de son vagin et lentement commença à s’introduire en elle. Ce fut une partie de jambes en l’air rapide, en pensant s’occuper de Camille à près le déjeuner.
Julie fit sa rentrée en même temps que les autres descendaient de l’étage.
À table, mes amours. Pendant le repas Brigitte annonça à Philippe et à Julie la nouvelle.
Chéri lundi prochain tu va avoir une nouvelle épouse Fabienne et moi un nouveau mari Raymond pendant une semaine, et toi Julie tu va avoir une nouvelle maman
La semaine d’après Julie tu auras un nouveau papa Raymond et Camille elle aussi aura Philippe comme papa.
Et Julie, tu auras aussi une sœur Camille.
Je vous informe aussi que Manon va avoir du travail et elle va être embauchée comme aide-cuisinière.
Voilà après le déjeuner Fabienne informa Raymond qui donna son accord sur tout ce qui vient de se décider. Pour remercier Fabienne et Camille, Philippe invita Camille à la rejoindre dans le salon et Julie invita Fabienne dans sa chambre. Manon, Muriel et moi nous nous sommes masturbés dans la cuisine en entendant les gémissements venant d’en haut comme ceux venant du salon.
Fabienne et Camille reprirent la route, direction la ferme auberge, et nous avons passé cette fin d’après-midi à faire l’amour.
Les jours suivants jusqu’au vendredi je débutais la journée à me faire baiser par Rocky, pour compenser les jours ou je suis absente.
Le jeudi j’ai eu droit à une journée de baise orchestrée par Mireille, car c’est leur dernier jour.
Vendredi matin de bonne heure, ils partirent rejoindre leurs domiciles.
Nous sommes impatients de vous relater une autre aventure.
Fin !
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