Bon appétit tout le monde !
Merci Damien !
Comme habituellement lorsque Philippe est présent il est toujours assis à ma droite, aujourd’hui Damien prit la place de son père. J’étais donc assise entre Julie à ma gauche, Damien à ma droite, Marie Claude en face Manon en face de Julie et Muriel en face de Damien, pour ce premier déjeuner prit depuis la fin des travaux.
Au menu : au menu faux-filet, des frites et de la, salade verte accompagnée d’une bouteille de rosé de Provence. Damien nous dit : et pour fêter cette piscine si l’on ouvrait une seconde bouteille ? Avant de prendre le dessert et le café !

Il se leva et alla chercher la bouteille que nous dégustions, mais qui me rendait un peu pompette, soudain j’ai senti sur ma cuisse une main se poser et prendre la direction de mon entrejambe.
J’ai pris la main et la repoussa sans rien dire, puis quelques secondes plus tard il revenait à la charge et là il a atteint ma chatte. Là c’était trop fort, la promesse que m’a faite Damien a été rompue.
Non Damien, tu te masturbes tout seul à la rigueur, mais tu m’as fait la promesse alors respecte.
Nous tous avons envie de baiser, alors un jour d’abstinence ne te fera pas de mal !
Je vous permets à tous si vous avez des envies de vous masturber maintenant. D’ailleurs c’est ce que je vais faire de suite.
Brigitte se leva et alla s’allonger dans la chaise longue écarta ses cuisses et la voilà qui à commencer sa masturbation, bientôt imitée par les autres, sauf Damien se sentant vexer à préférer monter dans sa chambre, dans l’espoir que Muriel monte le rejoindre. Mais Muriel est respectueuse de la consigne reçue et a continué sa masturbation.
Manon, il va être quatorze heures trente, il va être l’heure d’aller attendre Martine !
Julie lui demanda :
Chérie, je te conduis ?

Non merci, un peu de marche me fera le plus grand bien.
Manon se leva, fila dans la chambre et enfila sa nouvelle robe et partit attendre Martine au point de rendez-vous sur le parking du cimetière.
Manon tournait en rond, il est quinze heures vingt et toujours pas de Martine, j’espère qu’elle ne nous a pas posé un lapin.
J’ai alors appelé Marie Claude si elle n’a pas de nouvelles, elle me répond que non !
Quinze heures trente toujours personnes.
Marie Claude me rappela pour me dire qu’elle est en cours de route d’ici cinq minutes elle sera là !
Je n’avais pas raccroché qu’une voiture qui me semblait chercher quelqu’un fit son apparition.
Ça doit être elle, car elle a un chien derrière dans une grande cage.
Je lui fis signe, elle s’arrêta, descendit de la voiture et se présenta :
Bonjour je suis Martine, je suppose que vous êtes Manon ?
Bonjour, oui c’est bien moi Manon !
Votre mère, enfin plutôt Brigitte m’a parler beaucoup de vous !
Vous pouvez direz ma mère ou maman, elle vous l’a raconter, je suppose, ce qui m’est arrivé !
Oui, je suis désolée, c’est triste !
Venez avant que les autres s’inquiètent !
Faites demi-tour, et prenez la première à droite !
Vous êtes ravissante dans votre robe, la même que Marie Claude et votre mère !
N’oubliez pas Julie ! Ah oui, elle avait dit qu’elle en veut aussi une !
Votre robe est magnifique !
Merci, mais je ne suis ni robe ni jupe, je préfère le pantalon ou le short. La robe, je ne la porte que pour certaines occasions.
Bien fait doucement nous arrivons arrêté toi devant le portail je vais t’ouvrir !
Elle pénétra dans la propriété, se gara et m’attendait que je referme.
Est-ce que je peux lâcher Sultan ?
Oui sans problème il ne peut pas sortir, tout est clôturé.
Elle ouvrit sa cage, Sultan descendit et gentiment resta au pied de sa maitresse le temps qu’elle prenne son sac et ferme les portes. Entre-temps j’avais quitté ma robe, j’ai pris son sac, elle a tenu Sultan par le collier et par précaution et nous sommes allé rejoindre les autres qui nous attendais assis à la grande table.
Manon fit les présentations, surtout pour les membres qu’elle ne connaissait pas, Muriel, Damien.
Marie Claude fit : je te trouve mignonne en robe ! Merci !
Sultan quant à lui après avoir fait le tour de nous tous en reniflant nos odeurs corporelles, est parti à la découverte de la propriété.
Brigitte demanda à Martine si cela ne la dérange pas de dormir avec elle cette nuit vu que mon mari ne rentre que dimanche.
Viens Martine, je te montre la chambre, elle me suivit à l’étage, au passage je lui montrais où sont les toilettes, la salle de bain et la chambre, voilà. Cela te convient ? Oui, Brigitte !
Tu te mets à l’aise, et tu descends, nous te ferons visiter notre propriété et nous prendrons notre bain de soleil.
Je te laisse rejoint nous en bas !
Quelques instants Martine fit son apparition en bikini et chercha un endroit où s’installer. Marie Claude lui dit : tu as le choix soit un matelas soit une chaise longue, tu fais comme chez toi, ne te gêne pas.
Cela faisait tout bizarre, nous sommes nues et elle est en maillot. Nous tous espérions qu’elle quitte au moins le haut de son maillot.
Muriel enduisit le corps de sa maman de crème solaire, comme elle était allongée à côté de Martine, Muriel en profitait pour insister sur les seins, les fesses et surtout la chatte, tout en scrutant les éventuelles réactions de Martine.
Muriel proposa à Martine de lui mettre son huile solaire sur son corps, d’abord elle refusa, puis après une courte réflexion accepta, elle se coucha sur le ventre dégrafa son soutien-gorge ce qui me permit de mieux répartir l’huile sur son dos, arrivez au bas du dos, sans lui demander, j’ai baissé sa culotte, elle n’a pas eu de réaction lorsque je lui ai retiré complètement, d’elle-même elle a ensuite retiré son soutien-gorge, elle s’est retournée pour que je lui fasse devant, elle se laissait faire et même sur ses seins ou sa chatte elle ne réagissait pas négativement.
Tout d’un coup, mon bébé recommença à me donner des coups dans mon ventre, alors j’ai pris sa main et l’ai posé sur mon ventre :
Martine, tu sens mon footballeur comme l’appel Damien, il vient de tirer un penalty ?
Oh !! Oui, Muriel, tu es au sixième mois ? Oui bientôt, vers la fin du cinquième exactement.
Tu sais si c’est un garçon ou une fille ? Non, je préfère avoir la surprise au moment de l’accouchement.
Julie glissa à l’oreille de Marie Claude : ta fille y est arrivée pourquoi pas nous ?
Marie Claude dit alors : regarde ta mère, il me semble qu’elle se masturbe !
Julie lui répondit ; je suppose qu’elle se prépare à attirer Sultan.
Sultan qui courrait de long en large le long du grillage, il a certainement senti un gibier.
En voyant que Sultan restait loin d’elle, elle demanda à Martine de l’appeler, car elle avait envie de se faire baiser.
Elle se levait et nue allait chercher Sultan. Avec bien du mal, elle a réussi à l’amener à Brigitte qui entre-temps continuait à se doigter.
Pour l’attirer à elle elle à tendu son majeur vers la truffe de Sultan qui l’a lécher, Brigitte s’est alors mis en levrette tendant bien son cul en direction du chien, qui en sentant l’odeur ce la cyprine qui s’écoulait de sa chatte, s’est mis à lécher la vulve, Brigitte s’est mis à hurler de plaisir.
Brigitte se donnait en spectacle et plus personne ne respectait la trêve sexuelle. Tous vont assister au spectacle, et tous ont les mains qui se perdent sur leurs sexes.
Même Martine passe un doigt sur sa fente et deux doigts roulent un téton.
Plus Sultan léchait, plus, Brigitte criait.
Damien glissa à l’oreille de Muriel : je ne comprends pas pourquoi elle jouit aussi fort avec le chien et qu’avec moi elle jouit, mais pas autant !
Muriel lui répondit : c’est parce que tu le fais mal, mon chéri !
Grrrrrrr ! Arrête de grogner, sinon ce sera Sultan qui va te lécher !
Sultan à alors sauté sur mon dos, ses pattes avant enserrant ma taille, sa bite était sortie de son fourreau et cherchait à pénétrer dans mon vagin, je l’ai aidé en prenant sa bite et en la présentant à l’entrée de mon vagin, il s’engouffra et ses vas et viens rapides me faisait hurler de plaisir, il me lima de plus en plus vite et sa bite en moi grossissait de plus en plus. Il s’arrêtait de temps en temps pour reprendre de plus belle, se retirait pour revenir à la charge.
Puis il arrêtait ses va-et-vient ne bougeant plus pendant un instant puis je sentais ses giclées de sperme se déverser en moi, avant de se retirer et de se coucher au pied de sa maitresse qui elle aussi avait eu un orgasme puissant.
Je me suis relevée et je suis monté prendre ma douche.
Marie Claude a alors proposé à Martine de lui faire visiter le restant de la propriété, elle accepta, mais voulait passer sa robe là finalement laissée sur sa chaise et main dans la main qu’elle se rendait vers le jardin secret ? Au passage elle s’arrêtait devant la piscine qui malheureusement n’était pas encore opérationnelle. Avant de continuer, Martine se tourna vers Marie Claude la prenant par les deux mains et se sont rapproché l’une de l’autre, et c’est Martine qui à poser sa bouche sur celle de sa compagne elles s’embrassèrent longuement ses deux mains descendirent sur les fesses qu’elles pétrissaient les seins de Martine s’écrasaient sur les seins de Marie Claude. Elle l’emmena alors dans le jardin secret ou elles finirent au sol dans un long soixante-neuf, elles eurent plusieurs orgasmes d’affilés.
Martine, tu viens de faire l’amour avec moi, est-ce la première fois avec une femme demanda Marie Claude ?
Oui ! Et j’ai aimé !
Le feras-tu aussi avec Julie, Manon, Muriel et Brigitte ?
Si elles me le demandent pourquoi pas !
Et avec Damien ?
Euh ! Si Muriel le permet !
Du côté de Muriel il n’y a aucun problème.
Je te signale que tu dors avec Brigitte cette nuit, et que demain matin à cinq heures Damien vient baiser Brigitte, alors si tu veux baiser avec eux tu restes sinon tu rejoins Muriel !
Marie Claude laisse moi téter tes seins, tes tétons sont tellement gros, pas comme les miens : je t’en pris ils sont à toi suce moi fait comme si tu étais un bébé.
Elle prit un téton entre ses lèvres, le titilla avec sa langue, le mordilla avec ses dents.
Si tu veux téter les seins de Muriel, tu auras même du lait.
As-tu allaité quand Muriel est née ? Oui, bien sûr.
Martine quand Sultan va te baiser ?
Si je peux, je le ferais ce soir avant d’aller au lit ? Et pourquoi ne le fais-tu pas en même temps que tu lèches Brigitte ? Très bonne idée ! Merci Marie Claude !
Marie Claude tu ne veux pas essayer avec Sultan ?
J’hésite encore, si j’accepte j’aimerais qu’il m’encule si possible.
Il suffit de diriger sa bite vers ton cul, tu verras bien.
Oui, surtout que mon trou de balle est bien dilaté.
Martine, en un laps de temps tu as complètement changé, tu n’es plus la même, nous avions peur que ce week-end, ne va pas te plaire, que tu vas t’ennuyer, je constate que cela n’est pas le cas,
oh non Marie Claude au début, oui quand je suis arrivé je m’étais mise dans ma tête que je suis obligée de me mettre nue, que je suis obligée de baiser, que je vais être une esclave sexuelle.
Tu as bien vu le changement lorsque Muriel m’a mis la crème anti- UV, je n’ai pas bronché quand elle m’a dégrafé le soutien-gorge ou quand elle m’a baissé ma culotte.
Marie Claude, je te promets que je vais changer, je veux être plus féminine, plus sexy et je vais à partir de maintenant m’habiller de façon plus féminine en portant comme vous des jupes ou robes.
Et devenir une sans culotte comme nous ?
Peut-être ! Mais laisse-moi d’abord m’adapter à cette nouvelle mode de vie.
Viens ma belle, allons rejoindre les autres !
Tu viens Sultan ?
Bras dessus, bras dessous nous avons rejoint les autres, qui avaient profité de notre absence pour batifoler.
Martine alors a rejoint Manon qui s’apprêtait à sucer la queue de Damien. Manon était en levrette et Martine s’allongea glissa entre ses cuisses s’agrippa à ses hanches et lécha sa chatte, alors que Manon prenait la queue de Damien dans sa bouche,
Marie Claude s’allongea sur un matelas et commença à se caresser lorsque Sultan vint s’asseoir à ses côtés. D’une main elle se masturbait de l’autre elle caressait le chien, alors elle en profita pour glisser sa main sur le fourreau de caresser ce dernier, quelques secondes suffirent pour que son sexe sorti, elle le branlât lentement. Tout en le masturbant, elle se glissa vers le bas et plaça sa tête sous sa bite, elle le suça.
Les autres surpris, interrompirent leurs occupations et regardaient la scène que certaines personnes pensaient réalisable, même Martine n’avait jamais pris la bite de son chien en bouche.
Le chien s’activait trop vite dans sa bouche, elle a failli étouffer.
Alors elle retira la bite de sa bouche, se dégagea rapidement, se mit à quatre pattes et incita Sultan à grimper sur elle.
Le chien après quelques coups de langue sur sa vulve grimpa sur son dos ses pattes avant enserrant la taille, il cherchait en cognant sa queue tantôt contre ses fesses, tantôt contre sa chatte, l’entrée d’un des trous. Elle prit alors sa bite en main et la guida à l’entrée de son cul. La bite de l’animal s’engouffra dans ce nouvel orifice et tout comme pour la chatte il débuta une sodomie avec un rythme de vas et viens qui s’accéléraient et le volume de la bite augmentait. C’était très jouissif, jamais aucune bite d’un homme ne l’a fait hurler de plaisir comme la bite de Sultan.
Et tout comme pour la pénétration vaginale, Sultan s’arrêtait restant au fond de mon cul et lâcha son sperme par saccade.
J’étais épuisée, je m’écroulais, je n’avais même plus la force d’aller me doucher. Je finis par m’endormir. Sultan coucher à mes côtés veillait sur moi, lorsque Damien voulu me faire un coup de vache en me versant un seau d’eau sur moi fut mal accueilli par Sultan qui grogna prêt à bondir.
Damien recula laissant le seau d’eau et comme souvent dans se pareil cas fut moquer par Julie : alors frangin t’as les chocottes tu n’as pas osé, ta peur, regarde-toi tu trembles comme une feuille morte !
Oh ça va sœurette va te faire enculer !
Merci frangin, fait attention à ce que tu me dis, pas que c’est toi qui va te retrouver à quatre pattes enculé par Sultan !
Brigitte répliqua : vous avez fini vous deux mêmes pas moyens de ce concentré. (elle lisait une histoire de cul) tout en se masturbant.
Damien, tu es pire qu’un gosse, comme punition tu prépares le barbecue !
Maman, tu es injuste avec moi, la sœurette, tu ne la punis pas ?
La sœurette elle ne t’a rien fait que de te dire la vérité.
Dans ce cas, maman, ne m’attend pas demain matin pour le réveil matin.
Muriel intervint :
Damien si tu ne fais pas ton devoir demain matin c’est ton droit, mais alors ce sera nous les filles qui iront s’occuper de ta mère !
Les autres approuvèrent cette décision prise par Muriel.
Martine demanda à Julie si mon frère est bi ?
Non pourquoi ? Non juste pour savoir !
Dis-moi Martine, tu vas raconter à ton frère ce que tu as fait et ce que tu vas faire ce week-end ?
Non je ne lui dis rien, pour le moment, ne peut être plus tard.
Damien vient d’accomplir sa punition, et pour ne pas être fâchée avec son frangin la sœurette aidée de Manon a dressé la table.

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