Il est onze heures passé et Philippe n’est pas encore là s’inquiétait Brigitte.
Maman l’avion doit avoir du retard, il a bien dit qu’il prévient s’il y a un problème.
Martine, il faudrait peut être cacher, Sultan, sinon ce n’est plus une surprise. Tu peux toujours le lâcher quand papa est rentré.
Martine avait juste le temps de mettre Sultan au garage que papa arrivait.
Il sortit de voiture, il n’avait même pas le temps d’ouvrir sa bouche que déjà maman lui a sauté au cou et l’embrassait à pleine bouche, puis sans un mot elle prit papa par la main et l’entraina vers l’intérieur. Alors Philippe lui dit, mais attend laisse moi au moins dire bonjour à Julie, ne soit donc pas si pressée tu l’auras ma bite.
Viens ma fille chérie je lui sautais au cou l’embrassait, vitesse, petit v, puis ce fut au tour de Muriel de l’embrasser et il remarqua qu’elle a un problème, Brigitte lui dit : je t’expliquerais plus tard allez viens baiser.
Papa je te présente Martine, une collègue de travail à Marie Claude et à moi, elle repart chez elle dans la soirée,
Bonjour Martine on se fait la bise ?
Bonjour, alors Martine a sauté au cou et l’a embrassé à pleine bouche. Papa était surpris.
Pour accélérer la chose pendant que Martine embrassait papa j’ai défait sa ceinture du pantalon qui tomba à ses pieds, puis Martine a déboutonnée sa chemise, une fois nu maman la repris par la main et au lieu de monter dans la chambre ils sont allés baiser dans la cuisine, maman n’a même pas fait de préliminaire qu’elle se coucha directement sur la table et papa la baisa. Pendant ce temps Martine et moi sommes allés chercher la valise de papa.
Il était midi trente quand papa et maman avaient fini leurs représentations, il était alors temps de déjeuner et de donner les dernières nouvelles de la famille et autres :
La piscine va être remplie demain, une personne du service des eaux viendra.
Justement à propos de la piscine. Comme nous sommes en bordure de foret, la piscine risque d’être réquisitionnée par les pompiers en cas de feux de forêt.
J’ai dû signer l’accord.
Tu as bien fait ma chérie !
Après le déjeuner, pendant que maman et Martine faisaient la vaisselle, je me suis glissé sous la table pour aller sucer cette bite qui m’a manqué pendant une semaine. Pendant que je le suçais Muriel c’est assis à ces côtés à prit la main de papa et la posée sur son ventre, son bébé jouait au ballon rond. Puis Muriel l’embrassa langoureusement. Maman et Martine profitant à ce que Philippe est occupée pour se rendre au jardin secret.
Muriel avait eu l’ordre d’occuper papa pendant cinq minutes. Au bout de ces cinq minutes arrêta la fellation et sorti de dessous la table, pris la main de Papa et dit : viens avec papa nous avons une surprise pour toi.
Muriel papa et Julie bras dessus bras dessous se dirigèrent vers le jardin secret. Il s’arrêtèrent devant la piscine puis en arrivant sur place la surprise fut totale pour papa Sultan était en train de baiser Brigitte.
Martine, il est à toi ?
Oui !
Martine veut tu faire l’amour avec moi ?
Oh oui !
Alors, mets-toi en levrette comme Brigitte. Elle s’exécuta et elle se fit prendre par Philippe.
Muriel et moi nous nous sommes masturbés en assistant au spectacle.
Le spectacle se termina, et pour Martine et Sultan il était l’heure de rentrer à la ferme très contente d’avoir pu passer un week-end de rêve.
Après avoir pris congé de papa, maman et Muriel, je l’accompagnais jusqu’à la voiture et avant qu’elle se mette au volant je voulais m’assurer qu’elle tient sa promesse en relevant sa robe qu’elle n’a pas remis sa culotte. Je lui ai alors dit qu’elle peut venir nous voir quand elle veut la porte lui est grande ouverte et lui dit encore à demain matin au boulot. Elles s’embrassèrent et Martine rentra chez elle.
En rentrant, maman consultait le SMS que Manon a envoyé l’informant qu’ils seront là d’ici trente minutes.
Papa étant très fatigué par le voyage et le décalage horaire nous a dit qu’il attend qu’il soit de retour et qu’il va se coucher. Ce qui sera aussi le cas pour Marie Claude.
Puis maman s’adressa à papa :
Chéri es-tu toujours réticent pour acquérir un chien ?
Pourquoi chérie tu n’as pas assez de nous tous ? Tu n’es pas satisfait de nous ?
Bien sûr que si ! Mais un chien c’est une autre sensation, tu ne peux pas savoir ?
Écoute chérie, il te manque quoi ? Je te permets même de prendre un ou deux amants voire même trois si tel est ton désires, mais un chien ne suis pas très d’accord !
Tu ne veux pas un cheval pendant que tu y es ?
Pourquoi pas ? J’aimerais en tout cas essayer !
Muriel voyant que maman est très déçue, se mit derrière elle l’entoura de ses bras, posa ses mains sur ces seins et les malaxas.
Cette discussion fut interrompue par l’arrivée de Damien, Manon et Marie Claude. Cette dernière se précipita vers sa fille, elle l’a prise par la main et elles sont sorties s’asseoir sur le banc afin de lui parler de la réconforter. Damien en profita pour venir saluer son père et lui dire au revoir, car il repart cette fois-ci avec sa voiture.
Marie Claude appela Julie qu’elle surveille Muriel. Julie vint et Marie Claude alla voir Damien pour lui expliquer qu’il vaut mieux qu’il parte sans voir Muriel, car son moral est trop bas et elle craint pour elle et son bébé.
Damien comprenait la chose et Marie Claude ou Julie te donnera de ses nouvelles chaque jour.
D’accord avec belle maman, je vais y aller, je t’embrasse !
Damien monta dans sa voiture et repartit en direction de la région parisienne.
Quand à nous autres c’était l’heure de diner et d’aller ce coucher.
Julie, en accord avec Marie Claude, ont décidé que Muriel et Manon dormiront ensemble et Julie ira dormir avec Marie Claude comme cela Muriel pourra dormir la nuit entière, car pour nous deux, le réveil sonnera à quatre heures.
La nuit se passa bien, Julie et Marie Claude se levèrent vers les quatre heures, et maman eut droit au réveil matin, tandis que Manon et Muriel se levèrent à huit heures.
Rien de spécial pour la journée du lundi sauf mise en service de la piscine.
Quant à la discussion sur l’achat d’un chien, provoque quelques frictions entre Brigitte et Philippe. Elle espérait qu’en lui faisant la surprise hier après le déjeuner de lui montrer quel plaisir elle à de ce faire monté par un chien.
C’est pour cette raison que Brigitte a décidé de faire la grève du sexe pour une durée indéterminée.
Lorsque Julie et Marie Claude sont rentrées du travail, la piscine était opérationnelle.
J’ai vu papa faire des finitions et préparer les chaises longues. Vient, Marie Claude, on va embrasser papa.
Bonjour, papa ! Tu vas bien ?
Oui, Julie !
Oh là, que se passe-t-il ?
Demande ta mère !
Nous sommes rentrés personne en bas, alors avant de se mettre nue allons voir ou elles sont, en arrivant sur le palier Muriel sort de la chambre et emmène sa mère dans sa chambre je rejoins Manon qui m’informe que maman n’arrête pas de se disputer avec papa ce qui affecte Muriel.
Et elle est ou maman, elle s’est enfermée dans sa chambre et fait la grève du sexe.
Je suppose que c’est à cause du chien ? Oui c’est bien ça !
Julie à frapper à sa porte, pas de réponse, elle a essayé de rentré porte verrouiller, elle boude, laisse la quand elle a faim elle reviendra ?
Journée de lundi maudite. Brigitte est enfin réapparue en fin d’après midi et un léger réchauffement des relations s’en suivit. Tout est redevenu normal tard dans la soirée après le diner.
Marie Claude, elle ira demain après-midi chez le coiffeur, comme convenu que Julie prendra la voiture de maman pour aller au travail. La nuit fut calme à part dans la chambre des parents ou l’activité sexuelle a repris son cours normal.
Mardi, longue journée pour Marie Claude qui après son poste du matin s’est rendue dans la région mulhousienne chez son ancien coiffeur.
Je suis arrivée à l’heure de mon rendez-vous, en pénétrant dans le salon, je fus accueillie par Julien qui était encore employé avant et maintenant il est patron.
Le salon était presque désert, et une seule dame sous le casque en train de se faire sécher sa permanente.
Il me souhaita la bienvenue et m’offrit un café. Il me dit : ça me fait plaisir de vous revoir, vous revenez vivre parmi nous ?
Je lui expliquais alors que j’allais avoir la médaille du travail, que le salon où je vais habituellement était fermé pour travaux et que je voulais revoir une ancienne amie d’enfance.
Il me demanda alors quelle coupe je désirais ?
Comme avant, pas trop court s’il vous plait !
Il m’invita alors à m’installer dans le siège pour le shampoing.
Je ferme les yeux pour profiter du délicieux massage capillaire qu’il m’offre à chaque shampoing.
Je suis si bien, ses doigts experts s’enfouissent dans ma masse et font des miracles sur mon cuir chevelu, allant de ma nuque au sommet de mon crâne en délicieuses palpations qui me font frissonner de plaisir. Ces massages m’excitaient et je ne pus m’empêcher de lui dire :
Mmm! Ça me fait du bien ! Julien, j’aime quand tu me masses !
Ah ! Détends-toi Marie Claude !
Je lui demande l’autorisation d’enlever ma veste pour être plus à l’aise, dévoilant un cache-cœur à petits trous qui révèle des formes plus qu’attirantes si j’en juge par son regard.
A-t-il remarqué que je ne porte pas de soutien-gorge ? Je vais bientôt le savoir.
Il continua à me masser tout en me parlant du temps où j’habitais encore la région.
Ses doigts font le tour de mon crâne et descendent vers ma nuque, plusieurs fois de suite, alors je me laisse aller à ce moment plus qu’agréable. La façon qu’il a de me masser est presque érotique, et j’en laisse échapper un petit gémissement.
Ce gémissement ne le choque même pas, au contraire ses mains, de mes épaules et de ma nuque descendent un peu plus bas, jusqu’à atteindre presque la naissance de mes seins, juste dans le creux, où deux de ses doigts s’insinuent à peine avant de remonter vers mes épaules, mon cou, mon buste, et le creux de mes seins.
Tu aimes ça ? Demanda mon coiffeur :
Oh oui j’adore, mais la dame sous son casque elle doit être choquée ?
Elle dort à moitié, laisse là !
Il descend alors ses mains dans mon dos ; qu’est ce que tu cherches dans mon dos Julien ? Tu as perdu quelque chose ?
Euh ! Mais je cherche à te dégrafer ton soutien-gorge.
Tu n’as pas remarqué que je n’en porte pas ?
Non du tout, Marie Claude !
Maintenant tu le sais que je n’en porte plus du tout. Alors c’est nouveau, car tu en portais toujours avant. Avant c’était avant et maintenant c’est maintenant !
Alors il a posé ses deux mains à plat sur mes seins à travers le tissu de mon cache-cœur, avant de descendre et passer ses mains sous mon haut pour prendre mes seins dans ses mains et les malaxer doucement.
Julien m’avoua qu’il rêvait à chaque fois que je venais de me toucher mes seins, tu es tellement belle ! Cela n’a pas pu se faire à cause du patron et j’étais malheureux lorsque tu m’as annoncé ton départ pour une autre région.
Marie Claude fut très surprise, car il a vingt-cinq ans et moi quarante-cinq.
Comme s’il lisait dans mes pensées :
Tu es très séduisante, même à quarante-cinq ans et à chaque fois que tu venais, je bandais, à tel point qu’après le travail je me masturbai, en rêvant que je te baisai.
Ces aveux m’excitaient, ce qui a eu pour effet de durcir mes tétons et de les ériger.
La dame sous son casque se réveilla, il interrompait alors ses caresses et me chuchota à l’oreille, attends, je n’ai pas fini avec toi, je m’occupe de la dame et je reviens vers toi.
Il coiffa la dame et elle est partie, nous laissant seuls. Il fermait son salon à clé et baisse légèrement le store.
Les lames laissent toutefois des interstices à travers lesquelles les passants peuvent voir ce qui se passe à l’intérieur.
Cela m’excite au plus haut niveau de savoir que tout le monde peu nous voir en train de me faire prendre par Julien l’unique coiffeur de ce petit village.
Il me tend la main pour que je me lève, il m’entoure de ses bras et finit d’enlever mon cache-cœur.
Mes seins sont plutôt gros, très fermes et une très belle forme ronde. Il les caressa et les embrassait. Quelle merveille tes gros seins je les adore ! Sa langue passe et repasse sur mes tétons, il prend un téton entre ses lèvres, le fait rouler et l’aspire. Ses mains ont effleuré mes aréoles, passant délicatement sur mes globes, pinçant mes mamelons.
Quand je pense que pendant presque cinq ans, je le voyais régulièrement au salon et que la majorité de mes visites c’est lui qui s’occupait de me coiffer, qu’il n’a jamais eu le courage de me draguer, de me séduire comme il fait aujourd’hui. Pourtant je remarquais qu’il n’arrêtait pas d’avoir les yeux rivés sur mes seins, ou sur mes jambes des fois découvertes par une jupe ou une robe un peu trop courte ! Où était-ce à cause de la présence de Muriel ? Les questions restèrent sans réponses.
Je regardais souvent s’il n’y avait pas de voyeurs devant le salon qui pouvait profiter du spectacle que nous leur offrons.
Il continua à me pétrir mes seins, puis il me contourne pour se placer derrière moi, et continue d’une main à me flatter les seins, l’autre main descend le long de de mon ventre. Il s’immisce sous ma jupe et brusquement sa main se trouve comme paralysée en sentant mes poils pubiens.
Mais Marie Claude, tu ne portes pas de culotte ?
C’est quoi une culotte ?
Tu ne sais pas ce qu’est une culotte ?
Euh non,
Pas de soutien-gorge, pas de culotte !
Pourtant avant tu portais les deux !
Qui te dit qu’avant j’en portais une ?
Parce que je l’ai vu à plusieurs reprises !
Car tu me regardais sous ma jupe, mon salaud !
Non Marie Claude dans la glace quand tu es assise dans le fauteuil.
Il continua ensuite son exploration, atteignant mon sexe. Ses doigts s’insinuent dans mon vagin tout en massant mon clitoris.
Être branlée de partout, les seins, la chatte me mettent dans tous mes états, je ne tiens plus en place, j’ai envie de faire l’amour, ce que lui demande. Mais avant il veut goutter à ma chatte, il me demande de m’asseoir dans le fauteuil, bien en face à la fenêtre que les voyeurs en profitent. Deux voyeurs sont en train de nous mater à travers les lames du store. Julien leur adresse un sourire et leur fait un signe. Assise dans le fauteuil, les jambes écartées, remontées de part et d’autre de mon buste, ma chatte est offerte à tous les passants.
Ça m’excite de plus en plus. Julien s’agenouille et commence à me butiner le clitoris avec le bout de sa langue tout en me branlant les lèvres, lentement puis de plus en plus vite.
Je regarde les gens qui ne perdent pas une miette de ce cuni, et ça m’excite encore plus de les voir mater ma chatte et mes seins et de contempler ma jouissance. Julien m’enfonce ses doigts bien profondément en moi tout en aspirant mon clito, je crie de plaisir tout en regardant les voyeurs, j’en surprends mème un qui se caresse son sexe par-dessus son pantalon. Étant de plus en plus excitée, je refais la demande à Julien de me prendre maintenant.
Il m’invite alors à aller m’appuyer sur sa banque d’accueil, encore plus près du store et vient déboutonner son pantalon, sortant de son slip son sexe qu’il montre aux voyeurs et leur fait un signe qu’il va me baiser.
Puis arrive le moment tant désiré, celui ou les doigts sur ma chatte trempée, il me pénètre doucement en masturbant mon clito, Julien bien membré s’enfonce en moi, son sexe long et large va toucher le fond de mes entrailles. Je jouis, j’ai un orgasme bruyant, mes seins qui se balancent et ce qui nous amène à une jouissance en stéréo devant les voyeurs excités.
Je me suis alors assise dans le fauteuil, nue, Julien à terminer de me coiffer et avant de remettre ma jupe et mon cache-cœur, je suis allé faire une toilette sommaire et refaire mon maquillage,
Il m’a offert un café pour ce moment de plaisir que je lui ai offert. Maintenant il regrette qu’il ne m’ait pas fait la demande avant.
Il a pris des nouvelles de Muriel, lui expliquant qu’elle est enceinte, et que je ne me suis pas remariée.
Voilà, il est temps pour repartir si je veux encore voir mon amie d’enfance et retourner chez moi.
Mon amie d’enfance ma accueillit les bras ouverts, elle est mariée à trois enfants, deux filles et un garçon. Elle m’a invitée à diner, ce que je n’avais pas prévu et ce qui a retardé mon retour à domicile.
Lorsque je suis rentrée, les autres s’apprêtaient à se coucher.
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