Suite de la partie 2
Je vais être grand-père, cette nouvelle me réjouit bien entendu, tout comme Brigitte et Marie Claude, la maman de Muriel qui ne pense qu’à dorloter le petit fils ou la petite fille.
Marie Claude regrette un peu de ne pas put avoir sa fille en ligne et n’ayant pas consulter son portable, car trop occuper à jouir que ce soit au restaurant ou en voiture sur le chemin du retour.
Damien et Muriel ne pouvaient être joints qu’à midi ou le soir après les dix-neuf heures, en raison de leurs emplois dans un secteur sensible dépendant de la défense nationale.
Ainsi pour occuper ma soirée je vais planifier la journée de mercredi, j’essayais de diviser la journée de mercredi en deux parties, dont la première partie l’après-midi et la seconde partie en nocturne.
Première partie :
Mercredi après-midi : Brigitte Julie Marie Claude Lieu : fête foraine Pratique : exhibition, masturbation avec les doigts, baisers saphiques Remarque : nombreux manèges où il est facile de s’exhiber sans même vouloir le faire, comme la maison hantée passage supérieure d’une passerelle dotée d’une soufflerie soulevant les jupes des femmes et bien d’autres encore.
Je suggère le port d’une mini jupette ample (jupette tennis). Évitez de rester trop longtemps sur la passerelle ou de laisser la jupette plaquée ou relevée par l’air faite du moins semblant de vouloir la baisser, à cause des enfants.
Libre à vous d’essayer d’autres manèges se prêtant ou non à l’exhibition.
Suite de la première partie :
Pour ne pas bousculer nos habitudes : la sieste*qui a lieu toujours l’après-midi après le déjeuner et la sieste, je la décale le soir aux alentours de dix-huit heures. Ce sera Marie Claude qui aura le droit de choisir la façon d’être honoré. Marie Claude, tu as choisi ! Oui ! Sextoy dans ma chatte et ta bite dans mon cul d’accord c’est noté.
* Étant donné que le lundi fut un échec pour Brigitte (l’employé n’a pas honoré son rendez-vous) vu qu’aujourd’hui c’était un demi-succès (interruption de la patronne) et que demain Julie et Brigitte vous avez plus de chance que quelqu’un mord à l’hameçon, Brigitte et Julie restent ensemble pour cette drague, seule Marie Claude aura le droit de draguer séparément, mais uniquement pour vous deux, Marie Claude m’étant réservé.
Autre point à mettre au clair s’ils veulent vous invitez à aller chez eux, dites non je préfère le faire dans la nature et c’est vous qui décidez de l’endroit. On se fixera un point de rendez-vous à respecter.
Demain matin, j’irais en reconnaissance, pour trouver l’endroit idéal pour cette partie.
Une question ! Pas pour le moment chéri !
Seconde partie :
Pour la seconde partie partie qui sera nocturne, je demande une volontaire pour cette exhibition.
Papa dit nous au moins de quoi il s’agit avant de demander une volontaire ! Oui, ma fille, tu as raison !
Brigitte semble connaître la réponse d’après le sourire qu’elle m’envoie !
Voilà ce sera pour la volontaire une conduite nue du dernier endroit jusqu’au domicile !
Oh, papa, là c’est impossible ! Et pourquoi c’est impossible ! demande à ta mère elle te donnera la réponse ! Cela est possible julie je l’ai réalisée !
Et tu n’as pas été arrêter ? Non du tout ! Raconte maman !
Cela c’est passer lorsque j’avais dix-huit ans j’étais au lycée professionnel et je venais de passer mon permis de conduire avec succès. Mes camarades de classe avait organiser une fête en mon honneur pour la réussite en classe mes dix-huit ans, et mon permis.
Cette soirée était arrosée et nous étions légèrement ivres. Disons que c’est une sorte de bizutage,
nous faisions des paris sur de multiples thèmes des paris des fois impossibles à réaliser comme ce fut le cas pour celui qu’ils vont me proposer de réaliser.
Mes amis et amies de classe l’avaient concocté en avance, je vous énumère la chronologie de leur demande ?
Je n’ai pas de voiture. C’était mon père qui m’a prêté la sienne,
ils exigeaient que je réponde uniquement par oui ou par non !
1) Ils m’ont dicté la façon dont je dois me vêtir à savoir un t-shirt, une jupe, un soutien-gorge, une culotte, porte-jarretelles et bas. Et un imper (que je devais laisser dans la voiture) ! OK
2) Vendredi, je dois me rendre au cinéma palace salle 4 à la séance de vingt heures trente ! OK
3) Pendant la séance avant l’entracte, je devais retirer mon soutien-gorge ! Après hésitation OK
4) Pendant l’entracte je devais retirer ma culotte ! (cela devenait déjà plus compliquer la salle était éclairer) OK
5) Pendant la séance, je devais enlever mes bas ! OK
6) Avant la fin du film, je devais retirer mon porte-jarretelles ! OK
il faut préciser qu’ils ont pensé à tout ils ont réserver la moitié de la ranger ou j’étais assise au milieu et la moitié de la ranger derrière moi et ils m’ont payé la séance.
7) Sortir du cinéma, traverser la rue, le parking, rejoindre la voiture avec mes habits retirés dans chaque main, les déposer dans le coffre et attendre que la foule se disperse ! OK
L’horloge indiquait 23 h 30.
8) S’il n’y a plus beaucoup de monde, enlever le t-shirt et la jupe, les déposer dans le coffre, lentement monter en voiture ! (Longues minutes d’hésitation) OK
9) Suivre la voiture pilote (un camarade connaissant la ville me précédait par les petites ruelles) !
Je n’avais plus le choix que de le suivre afin d’éviter les grandes artères il empruntait les petites ruelles mal éclairer pour s’assurer que je ne triche pas une voiture me suivait et pour finir je devais m’arrêter à la station-service d’une grande surface faire le plein.
Puis retour à domicile, j’ai juste enfilé l’imper suis rentré en douce ni papa ni maman se sont rendus compte !
Maman tu ne nous a jamais raconté cela !
Bien qui se propose comme candidate ? J’ajoute qu’à partir de la forêt il y a moins de risque que le trajet qu’a dû emprunter Brigitte.
Marie Claude ? Oui, OK ! Julie, tu iras avec Marie Claude oui, mais pas nue ! Comme tu veux !
Brigitte ouvrira la route et moi je contrôle si tout va bien,
Mercredi nocturne : Marie Claude volontaire Lieu : trajet forêt domicile Pratique : conduite nue
Marie Claude tu viens m’aider à étendre le linge ! Oui Brigitte j’arrive !
Pendant que Marie Claude et Brigitte étendaient le linge, Julie arrosait les fleurs avec le tuyau d’arrosage, à la fin avant d’enrouler le tuyau elle se dit tiens la lance ferait un bon gode, mais c’est sale et je n’ai pas de capotes sous la main, alors elle ouvrait à nouveau le robinet d’eau ajusta le jet d’eau qu’elle dirigea vers sa chatte l’eau froide et la puissance du jet amena Julie à l’orgasme.
Brigitte et Marie Claude en assistant au spectacle que leur offrait Julie se masturbèrent.
La journée de mardi se terminait tranquillement installée devant la télé.
C’est l’heure d’aller ce coucher demain sera une longue journée, Julie et Marie Claude avant de s’endormir ont décidé d’aller réveiller Brigitte et Philippe à leurs façons, elles ont décidé de se lever tôt en espérant qu’ils dorment encore. Marie Claude tu réveilles maman et moi papa.
Mercredi matin à 4 h 30 c’est l’heure ou le réveil sonna, elles se sont rendues sans faire de bruit vers la chambre où dormaient Brigitte et Philippe. Julie entrebâillait la porte afin de s’assurer qu’ils sont encore plongés dans un sommeil profond, ce qui fut le cas. Julie et Marie Claude pénétrèrent dans la chambre, découvrant qu’ils dormaient sur le lit sans se couvrir, Julie donna le top départ en s’emparant de la queue de son père pour une fellation surprise, tandis que Marie Claude plongeait sa tête entre les cuisses de Brigitte pour un cunnilingus.
Philippe sortait lentement du coma en sentant qu’une bouche et une langue s’occupaient de son sexe en pensant que c’était la bouche de Brigitte, qu’elle ne fut pas sa surprise lorsqu’il tournait sa tête dans sa direction en s’apercevant que Brigitte était encore à ses côtés.
En général un réveil traditionnel chez Brigitte et Philippe est le premier réveil l’autre par soit une fellation si Brigitte est la première ou un cunnilingus si c’est Philippe, sauf si les deux se réveillent ensemble, dans ce cas ce sera un 69. Mais ce matin le réveil n’était pas traditionnel, tout y passa, fellation, cunnilingus, pénétration vaginale, pénétration anale, godage, masturbation. En fin de compte ils sont restés au lit jusqu’à 11 h, heure à laquelle il fallait se lever, se doucher, prendre le petit déjeuner à la place du déjeuner s’habiller et partir pour le scénario du mercredi.
Mercredi treize heures trente
Arrivée à l’entrée de la fête foraine, Brigitte vêtue d’une mini jupe plissée ample et pour la première fois elle à mis son chemisier blanc transparent sans soutien-gorge, chose qu’elle n’a jamais osé faire sans soutif.
Julie vêtue d’une mini robe dos nu plongeant jusqu’à la taille décolletée en V nouée dans la nuque.
Marie Claude, le même chemisier que la veille et une jupe porte feuille courte fendue jusqu’a la ceinture dévoilant l’absence de culotte lorsqu’elle avance la jambe droite.
Avant d’entrée dernière consignes, vous ne me connaissez pas, rassurez-vous je vous suis de loin, soyez naturelles, n’allez pas vous tripoter vous roulez des pelles en publique, seule chose possible pour Julie et Brigitte lors de vos déplacements se prendre par le bras. Lors de l’exhibition sur la passerelle de la maison hantée, laissez votre jupe se soulever un court moment avant d’essayer de la baisser. Laissez-vous draguer en prenant les précautions et comme si l’individu veut vous emmener chez lui ou ailleurs ce sera un refus c’est vous qui décider où auront lieu les ébats. Je voulais partir ce matin en reconnaissance, on trouvera bien un endroit. On se retrouvera ici à dix-huit heures !
Brigitte et Julie jouaient le jeu de rester naturelle, même si leurs tenues vestimentaires révélaient leur passion, l’exhibitionnisme.
Au début, Brigitte répondait aux critiques des autres femmes qui estimait qu’à son âge elle ne devrait plus porter des minijupes, actuellement elle les laisse causer. Elle se sent très bien comme çà !
Maman, la maison hantée ont y va ! Si tu veux ! Maman attend moi ici, je vais prendre les billets.
Quant à Marie Claude, elle jouait le jeu aussi, elle suivait Brigitte et Julie à distance, attendant que Brigitte et Julie aient pénétré dans la maison hantée, ainsi que leurs passages sur la passerelle, pour pouvoir admirer le spectacle que Brigitte et Julie vont leur offrir et écouter les commentaires.
C’est fou ce qu’il y a comme monde devant la maison hantée, presque la majorité attendait le moment ou une femme passait sur la passerelle pour éventuellement pouvoir apercevoir une petite culotte voir plus, pour l’instant la plupart du temps la soufflerie ne se déclenchait pas au passage d’une femme, soit elles étaient en pantalon ou en short. Tiens, voilà une femme en robe qui sort de trouve sur le balcon et s’apprête à passer la passerelle, au moment ou elle a les pieds sur la passerelle, celle-ci se met à bouger obligeant la femme à se tenir et une soufflerie se met en route dont le vent s’engouffre sous la robe. Manque de pot pour cette dame, la robe qu’elle portait ne permettait pas de voir la couleur de sa culotte.
Voilà enfin Brigitte et Julie qui se présentaient devant la passerelle, j’ai entendu à mes côtés un homme dire à son voisin : hé ! regarde deux nanas en mini-jupe. À ce moment-là elles posèrent pied sur la passerelle cette dernière commençait par s’agiter et ce que tout le monde attendait la soufflerie plaqua la jupette de Brigitte sur sa croupe provoquant dans la foule des wouah ou un autre qui disait la salope elle n’a pas de culotte après Brigitte c’était le tour de Julie de passer, mais pour elle la longueur de sa mini robe dévoilait ses parties intimes vues d’en bas, pas besoin de soufflerie,
J’ai alors vu Philippe se diriger vers la sortie du manège, afin de les protéger en cas d’agression.
J’ai pris mon billet et c’était à mon tour de pénétrer dans cette maison hantée.
Brigitte suivie de Julie se présentèrent à la sortie et furent de suite interpeller par quatre jeunes d’une vingtaine d’année témoins de la scène. L’un d’entre eux à passer sa main sous ma jupette me caressant les fesses, main qu’il retira aussitôt. Il voulait certainement avoir la preuve de l’absence de culotte. Le meneur de ces jeunes nous à alors proposer d’aller boire un verre sous le chapiteau, hésitante elle m’a regarder, je lui ai fait un signe de la tete signifiant mon accord.
Pendant ce temps Marie Claude était sortie du manège, et nous avons suivi les quatre jeunes.
Philippe n’avait pas prévu que cette situation a changé légèrement son plan, demandant à Marie Claude de se faire passer comme étant mari et femme.
Les jeunes nous ont entrainés au fond du chapiteau, le meneur je l’appelle ainsi, car c’est le moins timide qui nous a offert une boisson. J’ai cherché Philippe du regard et je l’ai aperçu à une table quelques rangers plus loin avec Marie Claude. Un des jeunes assis en face de moi était comme paralyser les yeux rivés sur mes seins, dont les tétons, transperçait le t-shirt. Soudainement, une main se posait sur ma cuisse, essayant de s’insinuer sous ma jupette à la recherche de ma chatte qu’il trouva vite lorsque j’ai desserré mes cuisses. Malgré que j’ai aimé, j’ai retiré sa main en lui disant : Stp pas ici ! Alors, venez chez moi ! Je refusais, prétextant que je préfère le faire dans la nature, en forêt par exemple ! Excuser moi je reviens de suite, tenez compagnie à ma fille en attendant, la pauvre était impatiente de recevoir au moins une caresse de l’un d’entre eux.
Je me dirigeais vers les toilettes en faisant signe discrètement de me suivre. Arriver aux toilettes que je lui aie dit que ces jeunes sont très timides et que j’aimerais bien les dépuceler. Peux-tu avancer l’heure de la suite !
Il m’a alors dit rendez vous d’ici une heure au point fixé !
Il m’embrassa et toucha mes lèvres intimes et vérifia si je suis excitée et je suis retourné à ma place, lui, la sienne.
Le meneur me demanda alors si je refuse toujours de le suivre, soyez à l’entrée de la foire dans une heure et tous les quatre.
En quittant le chapiteau, Julie me dit ! Maman pas avec eux stp ! Pourquoi ! Trop jeune aucune expérience, et ils auront éjaculer avant même que tu à enlever ton t-shirt !
Tu a peu etre raison ! Viens on retourne à la maison hantée !
J’ai fait signe à Philippe et à Marie Claude de venir. Je lui ait expliquer la situation et que Julie et moi allons de nouveau à la maison hantée dans l’espoir de trouver quelqu’un d’autre plus mature.
D’accord !
J’ai repris deux billets et nous avons refait notre exhibe.
Philippe nous attendait, Marie Claude est allée acheter une barbe à papa, à ces côtés où se trouvait un couple habillé très chic.
Je fis un coucou à Philippe avant de pénétrer dans le manège !
Elles ont disparu dans cette maison truffée de pièges et en attendant je me demandais ou est passé Marie Claude, me retournant elle était à l’arrière de la foule l’empêchant de venir à mes côtés !
Quand est apparue au premier étage sur le balcon précédent la passerelle, Julie suivie de Brigitte.
En posant les pieds sur la passerelle, la soufflerie rabattit à nouveau la jupette de Brigitte sur sa croupe et cette fois-ci elle s’est positionnée de face dévoilant à tous son minou. Julie fit de même avant de quitter la passerelle et de disparaître dans l’autre partie de la maison.
J’ai entendu mon voisin dire à sa femme çà doit être la mère et la fille elle se ressemble ! Ils ont conversé ensemble, mais le bruit de la sono couvrait leur conversation.
Par chance nous étions ce couple et moi tout près de la sortie et je ne captais que la moitié de ce qu’il se disait. Quand Brigitte et Julie sont arrivées, la femme en tailleur, veste, jupe portant des collants ou des bas interpellant Brigitte !
Bonjour, Madame ! Mon mari et moi nous voudrons avoir un entretien avec vous !
À quel sujet ? Son mari reprit la parole.
Nous ne pouvons pas le dire devant tout le monde, peut-on se voir dans un endroit où nous serons seuls ?
Attendez, il faut que je demande mon mari ! Il est juste à côté de vous !
Bonjour, Monsieur, permettez-moi de nous présenter ma femme, Manon et moi même Romain !
Je vous présente ma femme Brigitte, notre fille Julie, Philippe à j’oubliais Marie Claude, la belle-mère de note fils Damien !
Comme j’ai dit à votre épouse, nous aimerons nous entretenir avec vous en privé ! Est-ce possible !
Oui, bien entendu !
Romain êtes-vous de la région ? Non pas encore, mais en fin de semaine, nous emménageons ici dans cette ville !
Venez nous allons au lac des cygnes c’est un endroit calme ou nous pouvons parler de ce qui vous tiens à cœur !
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