Une femme à la hauteur chapitre 2
Luc, retire son pieu gluant du ventre d’Olga, elle halète fortement sur la table des plaisirs, son corps est secoué de frissons incontrôlables. Ses yeux sont révulsés, de ses lèvres entrouvertes, s’échappe un petit filet de bave. Marc, planté sur sa chaise, regarde ébahi, le trou béant qui ne peut garder tout le la semence, que Luc y a déversé.
Il contemple, yeux écarquillés, le travail de destruction qu’a fait Luc.
Il n’en revient pas, et se pose la question, comment un abricot si petit, à peu avaler un tel monstre, sans s’ouvrir en deux. Il dit en béguant :
-Oh ma chérie, comme tu es ouverte, je peux y enfoncer ma main toute entière !
Olga, yeux vitreux, n’a pas la force de répondre, ses jouissances l’ont assommée. Comme un miracle, c’est produit, Marc bande terriblement. Maryse profite de l’érection de Marc, pour se mettre sur ses genoux. En lui tournant le dos, elle saisit la verge dure et la place contre son anus. Elle se laisse tomber de tout son poids, et en poussant un long râle, s’empale jusqu’aux couilles. Marc lui saisit les hanches, et à chaque descente du corps de son amante, tire fortement dessus, pour que l’empalement soit total, il réitère le mouvement à chaque descente. Maryse est comblée, elle aime être prise à fond. Pour Luc, l’occasion est trop belle, il approche et se place entre les cuisses de sa femme et sans ménagement lui enfonce son bélier dans le ventre.

Maryse se cabre en poussant un gémissement d’enfer, prise en double, elle subit sans rechigner les assauts violents de ses amants. Ses râles et ses gémissements, ressemblent à ceux d’un animal blessé. Pilonnée sauvagement par les mâles en ruts, elle grince des dents, grimace. Puis d’un coup, elle se cabre en hurlant, et explose. Sa jouissance est pharamineuse, son corps se met à trembler. Elle manque de s’évanouir. Marc, en grognant, déverse dans le cul de la jouisseuse, son sperme épais. Luc se bloque, et en rugissant comme un fauve, remplit le ventre de sa femme avec sa semence abondante.
Luc se retire, et en souriant dit en regardant sa femme :
-Tu as bien joui ma chérie, j’aime t’entendre hurler de jouissance, tu es trop bonne !
Maryse, reste sans dire un mot, toujours accouplé à son amant, elle respire rapidement, son souffle est court. Son mari doit l’aider pour se relever. Comme pour remercier Marc, elle se laisse tomber à ses genoux et avec des gestes presque incontrôlables, surement dû à sa terrible jouissance. Décalotte le gland englué, et se met à le sucer comme une affamée. Les succions qu’elle pratique sont bruyantes. Luc la regarde et dit en souriant :
-Tu aimes sucer ma chérie, profite de ce moment de bonheur, gave-toi de semence, avale tout !
Maryse ne peut répondre, sa bouche est pleine. Elle savoure le manche en léchant la hampe et en suçant avidement le gland.
Sur la table, Olga reprend peu à peu ses esprits. Elle tourne la tête vers Maryse, qui s’acharne sur la queue de Marc. Elle sourit, elle est heureuse que son mari a une érection, et qu’il en profite. Maryse suce et tète comme une vorace, à chaque succion ou léchage, Marc pousse un gémissement. Il parvient à récompenser la suceuse en lui remplissant la gorge de sperme. Maryse avale en grognant comme une bête.
Elle se redresse et en souriant s’approche d’Olga. Elle lui caresse doucement la chatte béante, taquine un peu le clito qui est enflé atrocement.
Olga ferme les yeux, la douceur des doigts de Maryse, sur son intimité, la fait soupirer de plaisir. Lentement, la coquine descend ses doigts vers le temple de Sodome. Au contact des doigts sur son anus, Olga se cambre. Elle craint le pire, mais se laisse faire. Un doigt glisse sur son œillet, appuie plusieurs dessus, comme pour en tester la souplesse. Une pression plus forte, fait pousser un petit gémissement à Olga. La première phalange disparait comme aspirée par l’anus vorace. Une seconde pression, et le visiteur disparait entièrement dans le rectum. Maryse sonde le conduit le plus loin possible, avant de le ramoner doucement.
Olga, mécaniquement, agite doucement sa croupe. Maryse sourit et dit :
-Oh ma chérie, comme ton anus est souple, je sais qu’il peut recevoir plusieurs doigts !

Maryse joint l’acte à la parole, elle présente un second visiteur, et l’enfonce lentement, dans le cul de son amie, qui semble très accueillant. Maryse tourne les doigts dans le conduit, le fouille avec de plus en plus d’ardeur. Un troisième visiteur rejoint les autres. Avec art, Maryse sodomise avec ses doigts Olga, qui ne repousse pas l’agresseur. Au contraire, elle gémit en agitant son bassin. Pendant de longues minutes, Maryse fouille le rectum d’Olga qui pâme de bonheur. Enfin, elle retire ses doigts et dit :
-Je crois, que tu es prête à recevoir dans le cul, la queue de Luc, ma chérie, je l’ai bien assoupli, maintenant, je vais bien l’humidifier pour qu’elle rentre facilement. Replie tes jambes sur ton ventre, et ouvre-les, surtout laisse-moi faire !
Maryse s’agenouille devant Olga, et regarde en souriant l’anneau qu’elle vient de travailler. Elle plaque sa bouche dessus, et aspire le muscle ridé entrouvert. L’aspiration est telle que l’anus ressort légèrement de son logement. Maryse le suce, le tète, avant d’y enfoncer sa langue, le plus loin possible. Olga se cambre comme un pont, en poussant un long râle. La langue habile de son amie, fouille chaque recoin de la gaine anale en l’humidifiant le plus possible. Olga geint :
-Maryse, Maryse, tu vas me faire mourir, oh putain comme c’est bon !
Maryse, infatigable, pendant un long moment, s’acharne sur l’anus, qui ne cesse de faire des contractions incontrôlables. Soudain, Olga se cabre en poussant un hurlement, la coquine vient de jouir, pour elle, jouir du cul, c’est le plaisir le plus total. Maryse se retire et dit en souriant :
-Elle est chaude comme de la braise, Luc, elle est prête, prends-la bien profond !
Luc dirige sa queue, vert la pastille brune, qui ne cesse de frémir. Il la pose contre l’anus, et pousse. L’anneau résiste, il faut une poussée plus forte pour qu’il cède et avale lentement la verge. Olga pousse un hurlement terrible, elle croit que son anus va se déchirer, elle s’accroche à la petite table, ses yeux s’emplissent de larmes. Une grimace affreuse déforme son visage.
Luc, sans se soucier des gémissements de douleur, continue de pousser. Lentement, son membre se fraye un passage en dilatant à l’extrême la gaine anale. Olga croit sa dernière heure arrivée, tellement c’est douloureux. Elle serre les dents et courageusement subit la terrible pénétration.
Marc écarquille les yeux, il est estomaqué, par la souplesse de l’anus qui avale petit à petit le monstre de chair. Les yeux de sa femme sont exorbités, une énorme grimace déforme son visage. Les 25 centimètres de la bite sont entièrement en elle. Luc fait une pause, il attend que la douleur soit moins vive pour œuvrer. Maryse prend pitié de son amie, elle pose sa main sur le clito gonflé comme jamais, et commence à le masturber. Le branlage devient de plus en plus énergique. Olga, n’ose faire un mouvement, de peur de s’ouvrir en deux.
Entre les doigts agiles de Maryse, c’est inouï comment le clito augmente encore de volume, il est devenu méconnaissable. Maryse l’agite avec de plus en plus de rage. Elle le presse si fort, qu’Olga pousse un grognement de bête blessée.
Maryse, martyrise le clito d’Olga, pour lui faire oublier la bite gigantesque qui lui dilate le cul. Très lentement la douleur semble diminuer, Olga grimace moins, elle agite même doucement son bassin.
Linsee
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