Une femme en manque, est capable de tout Chapitre 1

Amélie délaissée par un mari très travailleur, depuis de nombreuses années. Souffre du manque de sexe. Pendant les absences de Justin, elle comble cette lacune, devant un film porno, par de féroces masturbations, auxquelles elle ajoute des légumes, pour de profondes pénétrations. Cela, ne remplace pas vraiment la verge d’un homme, mais cela compense un peu.

Un jour, Justin et Amélie, doivent héberger leur neveu clément pour quelques temps. Ses parents, déménagent à l’autre bout de la France, à cause d’une mutation, avec promotion à la clé. Mais pour le neveu c’est plus compliqué, il doit passer son master cette année. c’est pour cette raison que Justin et Amélie ont proposer de l’héberger. Les jours se passent, Amélie au fil des jours, devient très fusionnelle avec Clément, ce garçon de plus de vingt ans, est très sociable. Le peu de temps libres qu’il a, il le passe dans sa chambre à étudier.

Un soir que Justin travaille de nuit, Amélie veut se faire plaisir, elle récupère dans une boite qui est sous son armoire, les légumes qu’elle destine aux jeux du sexe. Elle les étale sur le lit, et se met nue. Elle saisit son clito et le triture avec rage, la coquine sait le faire gonfler. Ses doigts agiles branlent la boule de chair avec férocité. elle grimace geint de plaisir, sa vulve en feu, rejette son jus. Amélie veut de la pénétration. Elle saisit une carotte de bonne taille, la frotte sur son clito un bon moment avant de se l’enfoncer profondément dans le vagin.

Le ramonage vigoureux, la fait geindre comme une bête. Clément de sa chambre qui se trouve juste à côté, entend les gémissements de sa tante. Il se redresse et s’inquiète. Il est devant sa table de travail, en boxer. Il pose son livre et se lève. Il sort de sa chambre rapidement, et plaque son oreille contre la porte de la chambre de sa tante. Les gémissements sont nets et bruyants, il se dit, qu’il y à quelque chose d’anormale. Sans frapper, il entre-ouvre la porte et passe la tête par l’ouverture.

Il reste figé, en voyant sa tante nue sur le lit. Se goder rageusement avec un légume. Jambes largement écartées, Amélie souffle comme un bœuf, sa vulve dégoulinante reçoit en profondeur la verge factice. Clément ouvre totalement la porte, et avance en ne quittant pas le légume qui voyage allégrement dans le conduit inondé. Le visage de sa tante et déformé par une grimace affreuse, elle serre les dents, en geignant fortement de plaisir. Elle sursaute en voyant son neveu, elle arrache brutalement la carotte de son corps, et serre les cuisses. Elle devient rouge de honte, c’est en béguant qu’elle dit :

-Mais, mais, qu’est-ce que tu fais dans ma chambre Clément ?

Très embarrassé, il répond :

-Excuse-moi tante, mais j’ai entendu des bruits étranges, j’ai cru que tu étais malade, donc j’ai accouru !

Elle baisse les yeux en dit :

-Tu dois penser que je suis une salope ?

sans quitter le corps nu, Clément répond :

-Tante, je n’ai pas à te juger, tu fais ce que tu veux !

Il s’assoit sur le bord du lit, une grosse bosse déforme son boxer. Amélie ravale sa salive et dit faiblement :

-Ton oncle travaille trop, ce n’est pas de sa faute, mais il me délaisse. Comme toutes femmes j’ai des besoins sexuels, comme tu l’as vu, je me satisfais comme je le peux !

Clément en souriant légèrement répond :

-Je comprend tes besoins, je ne te jette pas la pierre, j’ajoute qu’un corps comme le tient a des besoins de jouissances !

Tout en parlant, il pose sa main sur la cuisse de sa tante, et avec délicatesse la caresse doucement. Amélie frissonne, elle ne repousse pas la main moite de son neveu, qui progresse lentement sur sa cuisse, en s’approchant de son bas-ventre. les yeux de Clément brillent, ceux de sa tante sont très humides.
Les doigts du neveu tremblent en entrant au contact de l’aine. Amélie pousse un gros soupir, et machinalement, ouvre légèrement les cuisses, en fermant les yeux. Les doigts fébriles, glissent sur sa fente humide.

Deux intrus, s’insèrent entre les grandes lèvres, et font quelques montés et descentes dans le sillon, La tante geint doucement. Le neveu s’enhardi, il saisit la boule de chair gonflée, et l’agite avec de plus en plus de vigueur. Amélie geint fortement, elle ne se retient plus, c’est trop intense. Elle ouvre largement les cuisses en offrant sans honte sa perle rare au neveu qui l’agite efficacement, les râles et les gémissements de la tante, le prouvent.

Clément saisit la carotte et lentement la plonge dans le conduit brulant. Il commence un ramonage qui porte ses fruits, la tante geint comme une bête blessée. Tout en lui forant le vagin, il lui agresse le clito en le pressant fortement. Amélie se cambre, et en hurlant explose de jouissance. Son corps est secoué de spasmes violents. La tante délire :

-Oh mon chéri, continu, c’est trop bon, continue vas-y, vas-y !

Clément lui dit d’un ton autoritaire :

-je vais t’enfoncer deux carottes dans la chatte, et te fouiller, jusqu’à ce que tu exploses, je suis ton maitre maintenant !

Un peu dans un état hystérique, Amélie dit :

-Oui, oui, mon chéri, fouille-moi comme bon te sembles !

Clément, s’arme d’un deuxième légume, et en longeant le premier, l’enfonce dans le ventre de la tante demandeuse. Il fait voyager en alternance, comme deux pistons dans leurs cylindres, les légumes dans la chatte en feu. la tante défoncée profondément, explose une seconde fois en hurlant. Le neveu agite devant ses yeux une carotte et dit :

-Cela, tu va l’avoir dans les cul, allez place sous tes reins un coussin !

En manque, Amélie s’exécute, elle cambre sa croupe et offre son petit œillet au légume infatigable. Clément l’enfonce lentement dans le rectum de la tante consentante, qui se cabre en poussant un, Ouah prolongé. le neveu lui ramone le cul avec une audace folle. Sa tante rugit :

-Oh mon chéri, vas-y, vas-y, ouah je la sens bien dans mon cul,
oh putain je vais jouir du cul mon chéri vas-y, vas-y !

Elle se cabre fortement, une jouissance anale extraordinaire la fait hurler, elle retombe sur le lit, en haletant terriblement, son souffle est court. Soudain elle réalise, que ce qu’elle fait avec son neveu est malsain. Elle lui demande de rejoindre sa chambre. Clément fait celui qu’il n’entend pas, il enfonce à font la carotte dans le rectum brûlant.
Le bougre bande comme un cerf, il baisse son boxer, et agite sa verge sous les yeux de sa tante, qui reste sans voix en regardant le membre épais. Il dit :

-Je vais te l’enfoncer dans le ventre, et si tu le consens dans le cul aussi !

Elle ravale bruyamment sa salive. Ses yeux s’emplissent de larmes, elle insiste pour que son neveu sorte de sa chambre.

Déçu Clément s’exécute, il retire le légume des entrailles de sa tante, et sort de la chambre. Une fois dans la sienne, il s’étend sur son lit et extirpe de son boxer sa verge tendue. Il la branle comme un sauvage jusqu’à la jouissance, en pensant au corps de sa tante. Il se cabre et envoie dans les airs sa semence, qui retombe sur son ventre ses doigts et son boxer. Apaisé, il essuie les souillures de sperme avec son boxer.

Le lendemain matin, Justin est rentré, il prépare comme à chaque fois le petit déjeuner. Amélie descend, elle porte une nuisette transparente, qui ne peut cacher ses formes. Ses mamelons épais tentent de percer le fin tissu, son intimité garni d’une fine toison, met en valeur les lèvres vaginales.
Elle balance son bassin avec la souplesse d’un félin. Elle embrasse son mari et prend place à table. C’est au tour de Clément d’apparaitre. Il porte un nouveau boxer, ses pectoraux bondés sur son torse, lui donnent un allure d’athlète. Le boxer serré, moule les attributs, que le coquin a agité devant les yeux de sa tante la veille.

Amélie ose à peine le regarder, lui semble la narguer, en la toisant de haut. Il l’embrasse ainsi que son oncle, et s’assied à table. Le déjeuner se passe bien, les regards qui s’échangent entre la tante et son neveu, sont intenses et sans ambiguïtés. Justin après sa douche monte se coucher, sa nuit a été épuisante.

Amélie se penche sur son évier pour faire le peut de vaisselle. Son neveu se plaque contre elle et l’enlace. Elle se cabre en poussant un gros soupir. Le coquin agite son bassin contre les fesses de la tante qui défaille. Elle dit faiblement.

-Clément cesse, je t’en prie, je ne suis pas un jouet !

Il passe ses mains devant le corps de sa tante, lui retrousse la nuisette et dit :

-Branle-toi, vas-y fais toi jouir !

Elle répond faiblement :

-Tu es un monstre, tu profites de ma faiblesse !

Amélie sans en avoir l’obligation, obtempère. Elle passe sa main entre ses cuisses et commence à se frotter la vulve. Rapidement, elle se met à geindre. Clément se frotte contre ses fesses, le bougre attrape une forte érection, que la tante ne peut ignorer. La verge tendue glisse dans le large sillon, qui sépare les lobes fessiers. De temps en temps, le gland appuie sur la petite pastille brune. Tout en se masturbant Amélie frissonne. Les grandes lèvres de son puits d’amour sont gonflées terriblement, son clito est méconnaissable. La coquine semble apprécier la soumission, elle geint en agitant son clito férocement. Elle dit entre deux souffles :

-Oh Clément pourquoi tu me demandes de me branler, et pourquoi que je le fais !

En faisant un large sourire, il répond :

-Mais parce que tu aimes ça, et que maintenant tu feras tout ce que je te demanderai, dis-le !

Après un moment de silence, elle répond en se pinçant les lèvres :

-Oui, je ferais tout ce que tu voudras !

Il insiste :

Je n’ai rien entendu, plus fort !

Elle répond :

-Oui, oui, je ferais tout ce que tu voudras, je suis ta chose !

Il saisit un goupillon qui sert à nettoyer les verres, et dit :

-Ramone-toi avec ça !

Amélie saisit l’engin et lentement se l’enfonce dans le conduit. Le poils dures comme du crin, qui lui raclent les parois de la gaine vaginale, la font gémir, Clément demande :

-Alors tu aimes se genre de pénétration salope, avoue !

En se cambrant fortement, Amélie répond :

-Oh c’est divin mon chéri, les idées que tu as, sont géniales, regarde comme je me fouille bien avec le goupillon, mon Dieu je vais jouir !

Clément la stoppe :

-Non pas encore, retire ce truc, et attends que la pression descende !

En haletant comme une bête, Amélie retire le goupillon. Sa main tremble.

Il fait glisser sa bite, et la plante dans la chatte dégoulinante. La tante se cabre en poussant un grand gémissement :

-Oui, oui, ouah c’est bon la levrette, oh comme tu es gros mon chéri, vas-y, vas-y, défonce ta salope de tante !

Comme un sauvage, Clément déglingue sa tante qui ne cesse de geindre. Il lui dit en haletant :

-branle-toi, fais-toi mal, pendant que je te fourre !

Amélie, saisit son clito et le triture férocement. la boule de chair est devenue monstrueuse, la tante ferme les yeux en grimaçant, elle maltraite son clito avec rage, comme lui a demandé son neveu.
la verge voyage dans son ventre, en la faisant gémir, comme une bête blessée. Les coups de reins de Clément sont redoutables, il prend plaisir à retirer entièrement sa verge du ventre pour la replanter violemment au plus profond de la chatte en ébullition. A chaque enfoncement Amélie se cabre, elle reprend le branlage de son clito avec plus d’énergie. De longues minutes la coquine se fait défoncer, enfin en poussant un cri qu’elle ne peut contenir, elle explose de jouissance.

Le neveu, à la fois son maitre, déverse dans le ventre de sa tante sa semence épaisse. Il se retire en souriant et dit :

-Maintenant salope, j’exige, que si tu veux encore de ma bite, que tu ne portes plus de culotte, et que ta chatte soit bien lisse !

En ravalant sa salive, Amélie répond :

-Oui, mon chéri, je vais bien me raser, et ne plus mettre de culotte, promets-moi de me baiser souvent mon chéri, mon mari me délaisse trop, j’ai besoin de sexe !

Clément l’enlace et se plaque contre elle. Il la regarde droit dans mes yeux et réplique :

– Mais tu es une vraie salope, tu cocufies ton mari, et tu en redemandes. Oui je te défoncerai, à chaque fois que je le souhaiterai, soit toujours prête. Avoue que tu es une grosse salope, et que je peux faire de toi mon vide couilles, à tous moment !

Un peu gênée, Amélie répond :

-Oui, tu me baiseras à chaque fois que tu en auras envie, j’accepte d’être ton vide couilles, mon chéri, prends-moi encore je suis en feu !

Il ajoute :

-Tu serais d’accord, pour que je fasse profiter mes copains de ton corps !

Elle le regarde un peu troublée, elle répond :

-Mais mon chéri, tu veux m’offrir à tes potes, mais je ne suis pas une pute !

Clément sourit et répond :

-Mais je compte bien que tu deviennes une pute, et une bonne encore. Imagine de bonnes queues bien épaisses te forer les orifices, jusqu’à ce que tu demandes grâce imagine les jouissances fabuleuses qui te feront hurler !

Amélie est comme étourdit, elle ne sait à quels saints se vouer. Elle ravale bruyamment sa salive et dit en béguant :

-Tu, tu es sérieux mon chéri !

Toujours avec le sourire, il dit :

-Je ne peux l’être plus, ton corps n’est qu’une machine à jouir, profites-en avant que tu ne sois trop vieille pour le faire !

Clément bascule sa tante sur la table de la cuisine, lui retrousse la nuisette et lui plante sa verge dans le ventre, il la rudoie comme un soudard, il lui dévaste la chatte à grands coups de reins. Amélie défaille, elle agite son bassin en répétant :

-Oui, oui, mon chéri, je veux recevoir de bonnes bites dans le corps, comme la tienne, fais de moi ta pute mon chéri, oui, oui, je le veux, oh que c’est bon !

Une violente jouissance la fait cabrer, elle s’accroche à son neveu en gémissant comme une bête blessée. Il dit en la regardant :

-Maintenant fais-moi une pipe, montre comment tu sais sucer !

La tante semble euphorique, jamais elle n’a eut autant de bite en si peu de temps.
Elle saisit la verge du neveu et commence à l’agiter brutalement, Clément grimace. Il lui attrape les mamelons et les écrase fortement en faisant grimacer sa tante. Elle cesse de branler et décalotte bien à fond le gland. Elle donne des coups de langue sur le large chapeau avant de l’engloutir dans sa bouche. Elle suce et tète du mieux qu’elle peut, elle s’applique pour ne pas décevoir son amant. les succions sont féroces, Clément geint de plaisir. Il se raidit, et en grognant envoie dans la bouche de sa tante son sperme visqueux. Amélie, avale goulument la semence épaisse. Elle se lèche les lèvres en disant :

-Merci mon chéri ta crème est délicieuse, je te sucerai autant que tu le voudras !

Le neveu autoritaire dit :

-je veux que tu t’éclates le cul, avec le plus gros des légumes pendant mon absence, je veux qu’il devienne monstrueux, je vérifierai ça ce soir !

Mais il est temps à Clément de rejoindre la fac. Pendant son absence Amélie se démonte le cul avec un concombre de bonne taille. Plusieurs fois dans la journée, elle réitère la défonce anale.
le soir Clément rentre, Justin et dans le salon, entrain de lire son journal. Sa journée a était dure, il attend le diner avec impatience. Sa femme entre au salon, elle se penche pour prendre sur la petite table un objet. Justin écarquille les yeux, sa femme ne porte pas de culotte. comme un voyeur, il épie chacun des mouvements de sa femme, avec l’espoir d’en voir plus.

Clément le remarque, une fois que sa tante rejoint sa cuisine, il va la trouver et lui dit :

-Tonton semble apprécier que tu ne portes pas de culotte le coquin te mate, vas-y, chauffe-le, ouah j’adore ça, baise-le , cela m’excite. Je vais me planquer pour qu’il ne me voit pas !

Amélie semble excitée, elle dit :

-Oui mon chéri, je ferai tous ce que tu me commanderas !

Amélie revient au salon et monte sur une chaise en prétextant chercher quelque chose sur l’armoire. Elle est en équilibre sur la pointe de ses pieds, lorsqu’elle lève les bras elle découvre une partie de son fessier. Son mari se penche discrètement pour en voir plus. Il ravale sa salive, il aperçoit la vulve bien lisse de sa femme.

Amélie se tend le plus qu’elle peut, pour que son mari, ne perde rien du spectacle. Il serre les poings la jupe de sa femme découvre la moitié de ses fesses, et livre au yeux du mari voyeur, son œillet brun, que la carotte a vivement taraudée le matin même, et que le concombre a bien endommagé, une partie de la journée.
Amélie descend de son perchoir, et fait volontairement tomber sur le sol un objet, elle se penche doucement, en prenant son temps pour le ramasser. Justin défaille, il voit nettement l’anus ridé boursouflé.

Il serre les cuisses sa verge se met en érection. Amélie se redresse et se laisse tomber sur le fauteuil en face de lui. Elle tripote un truc, sans prêter attention à son mari. Sa jupe est remontée à mi-cuisses. Vicieusement, elle entrouvre les jambes. Pour Justin, c’est le summum du bonheur, il voit la vulve, qui s’ouvre et se referme à chaque mouvement du bassin que sa femme fais. Jamais il ne l’a vu rasée, il salive abondamment, sa queue est raide, elle déforme son pantalon. Justin en bredouillant dit :

-Ma chérie, tu ne portes pas de culotte, je vois ta chatte ? regarde dans quel état je suis !

Amélie regarde l’énorme bosse, elle la fixe du regard un long moment, elle dit avec émotion :

-Mon chéri c’est merveilleux, toi qui me délaisse depuis longtemps, il est temps de rattraper le temps perdu !

En pensant que Clément est dans sa chambre, Justin sort de son pantalon sa verge dure comme du béton. Amélie la regarde avec envie, elle s’approche, la saisit et l’agite férocement. Elle se dit il faut battre le fer pendant qu’il est encore chaud. Elle enjambe son mari et retousse sa jupe, elle prend d’une main la verge et la dirige vers son temple bouillonnant. Elle s’empale doucement jusqu’aux couilles, est commence à s’agiter. Justin s’accroche à ses hanches et donne des coups de reins pour bien l’empaler.

Les grognements, sont bruyants, les assauts violents.

Linsee