Une femme en manque, est capable de tout Chapitre 3 Final

Une femme en manque, est capable de tout 3 (Finale)

Le samedi matin, Amélie est stressée, elle passe des heures dans sa salle de bain. Plus l’heure approche plus elle panique. Enfin un coup de sonnette retentit. Justin va ouvrir, une femme et un homme d’un certain âge se présentent. Ce sont les amis que Clément a invité. Adeline, la femme malgré son âge, est très belle, quelques rides sous ses yeux la rendent encore plus attirante. Adrien, l’homme est quelconque, en apparence. Les invités savent pour quelle raison ils sont là, il faut qu’ils fassent d’Amélie une grosse salope qui ne doit rien refuser à ses amants quels qu’ils soient.

La femme toise Amélie et dit :

-Ah, c’est elle, qui veut devenir une bonne pute ?

Clément réagit :

-Oui, elle est consentante, surtout soumise pour le devenir !

Rapidement la confiance s’installe, les langues se délient. Les verres se suivent, Adeline dévisage Amélie, la femme qu’elle doit initier au lesbianisme. Elle ma trouve à son gout, vu les regards que les deux femmes échangent, cela semble réciproque.

Clément sonne ma fin de la récréation, Tous se mettent nus, sauf Justin qui hésite encore. Il regarde Adeline s’effeuiller comme une stripteaseuse. Elle dévoile avec la souplesse d’un félin sa poitrine.
Ses seins ne sont pas gros, mais les bouts sont énormes. Adrien, baisse son pantalon et son slip. Justin et Amélie sursautent. la verge, d’Adrien même au repos semble redoutable, elle lui arrive à mi-cuisses. Il l’agite pour la faire devenir opérationnelle

Amélie ravale sa salive, sans quitter des yeux le membre impressionnant, elle retire lentement ses vêtements. Une fois nue, Adrien prend l’initiative, il fait tourner sur elle même Amélie, pour admirer ses formes. Il lui dit en faisant un large sourire :

-Penche-toi en avant, et montre nous ta rondelle, ma chérie, tu permets que je t’appelle salope !

Un peu honteuse, Amélie opine de la tête pour dire oui, puis se penche. Adeline dit :

-Ecarte bien tes fesses avec tes mains !

Amélie s’exécute, elle tire sur ses lobes fessiers, pour bien les ouvrir. Adeline en sifflant d’admiration dit :

-Oh la vache comme il est boursouflé, le bougre à du en prendre des bites pour être arrangé comme cela !

Clément en souriant réplique :

-C’est son mari et moi, qui lui travaillant le cul le plus possible, pour qu’elle puisse recevoir des membres énormes !

Adeline répond :

-Vous avez bien fait, c’est en commençant par ce faire bien ouvrir le cul, que l’on devient une bonne pute !

La tentation est trop forte. Adeline salive deux de ses doigts, et lentement les enfonce dans le conduit. Elle les tourne en disant :

-Oh putain, son trou est Bien dilaté, il peut en recevoir de monstrueuses le coquin !

Elle regarde son mari et dit en riant :

-Adrien, mon chéri, tu vas te régaler avec un anus bien joufflu comme celui-ci !

Adeline continue de fouille la gaine anale. Elle dit :

-Mais c’est une chaude du cul, regardez comme elle agite son popotin la salope, oh la vache comme elle mouille !

En effet la vulve s’Amélie, rejette sa cyprine. Adeline retire les visiteur, Amélie se redresse elle est rouge de honte. Adrien lui dit :

-Mais ma chérie, il ne faut pas rougir des choses que l’on aime, je suis certain que tu as toutes les capacités, pour devenir une grosse pute. Ma femme va ouvrir le bal !

On invite Amélie à s’allonger sur la table basse du salon, et on place sous ses reins un gros coussin. Elle attend jambes largement écartées, sa première leçon. Adeline s’agenouille face à elle. Elle observe un long moment les orifices. L’anus fortement boursouflé, la fait saliver.

Elle donne de nombreux baisers sur la fente humide et sur le muscle rectal qu’elle convoite en premier. Elle lèche l’anneau, le suçote un court instant, puis l’aspire le plus fort possible. Amélie pousse un long râle, en serrant les dents. La succion terrible, a fait ressortir de son logement, l’anus de plus de trois centimètres. Adeline le suce avidement, Amélie gémit comme une bête malade, jamais on ne lui a fait un tel attouchement anal. Elle défaille, en haletant :

-Mon Dieu, tu me fais mourir Adeline, c’est merveilleux ce que tu me fais, encore n’arrête pas, encore, encore !

A chaque aspiration, sa chatte rejette un petit filet de jus. Elle se cabre en grognant comme un animal blessé, lorsque la langue râpeuse s’enfonce dans son conduit brûlant. Jamais Amélie n’a été fouillée de la sorte, elle est au bord de la syncope, ses phrases, sont inaudibles.
Justin et Clément sont émerveillés par ce qu’ils voient. Adrien lui se caresse la verge en regardant sa femme travailler le cul de sa soumise. Il s’approche et offre aux lèvres charnues son gland décalotté. Amélie le saisit d’une main et ouvre la bouche le plus possible pour le gober, elle se déboite presque les mâchoires. Elle réussit péniblement à prendre en bouche le gland hors norme.

Elle suce et tète en bavant fortement, pendant qu’Adeline lui dévore l’anus, en y mettant tout son cœur. Elle reprend en bouche l’anneau ridé, et exerce de fortes aspirations. Amélie recrache le gland et geint comme jamais elle ne l’a fait. Les aspirations phénoménales, la font cabrer et l’amène à la jouissance. Amélie explose sa jouissance anale est exceptionnelle. Son corps est secoué de frissons incontrôlables.

Adeline n’est qu’au début de prémisses, elle plaque sa bouche sur la vulve qui rejette en grande quantité son jus. Elle en avale le plus qu’elle peut, et enfonce sa langue dans le conduit détrempé, pour en fouiller chaque recoin. Les gémissements d’Amélie son révélateurs, la coquine prend un pied d’enfer. Elle pousse un hurlement lorsqu’Adeline lui aspire le clito, qui est devenu énorme. Elle le suce comme une petite bite. A chaque succion, Amélie croit mourir de plaisir. Elle agite son bassin, geint fortement en s’accrochant à la table, elle souffle comme un dragon.

Adrien caresse doucement ses seins, ses doigts tournent sur les aréoles brunes sans toucher les mamelons, qui se dressent comme des verges en érections. Délicatement, il les roule entres ses doigts, les étire en faisant grogner Amélie, pour enfin les écraser fortement, Amélie se cabre en grimaçant. La bouche vorace d’Adeline, continue de faire son travail de sape, elle dévore le clito en arrachant à la soumise des râles rauques, qui surprennent Justin et Clément. De temps en temps, Adeline s’écarte pour laisser voir le clito qu’elle a transformée à force de le travailler durement.

la boule de chair monstrueuse, est méconnaissable. Elle est grosse comme une noix, Adeline s’acharne dessus comme pour la faire sortir de sa coque. Une jouissance terrible fait hurler Amélie. Ses yeux sont révulsés, un filet de bave, s’échappe à la commissure de ses lèvres, une moue affreuse déforme son visage. Son corps est secoué par de nombreux spasmes, jamais Amélie n’a été dans un état pareil. Enfin Adeline cède la place, c’est son mari, bite tendue qui prend place entre les cuisses ouvertes de sa proie.

Il frotte son gland énorme, contre les grandes lèvres qui continuent de rejeter la cyprine. Il s’accroche aux hanches d’Amélie et pousse. le gland volumineux, écrase les grandes lèvres qui finissent pas s’ouvrir, en cédant le passage au monstre vivant. Amélie grimace, elle serre les dents, un gémissement étouffé sort de sa gorge. La verge hors norme, s’enfonce lentement dans le conduit qu’elle dilate fortement. Les yeux exorbités, Amélie s’agrippe à son amant en geignant.

Avec lenteur, le mandrin avance dans la gaine distendue. Justin regarde sans dire un mot, la pénétration qui fait grincer les dents à sa femme. Le gland racle les parois sensibles du conduit vaginal, en faisant gémir Amélie. Elle croit que le membre large et épais, va lui traverser les entrailles.
Enfin les couilles velues, remplis de bon sperme, frappe la chatte distendue. Adrien reste un moment sans faire de mouvements, avant de commencer un très, très lent va-et-vient. A chaque recule du monstre dans son ventre, Amélie a l’impression que sa vulve va se déchirer.

Adrien augmente progressivement la vitesse de pénétration. Amélie s’agrippe à lui comme une pieuvre à son rocher. le gland puissant, appuie fortement contre le col de l’utérus, comme pour le pénétrer. Cela fait gémir Amélie comme une bête blessée. Adrien change souvent de rythme, quelques fois lents d’autres rapides. Amélie délire :

-Oh mon Dieu, je meurs de plaisir, encore, encore, c’est trop bon !

Clément s’avance, et offre à la bouche de son amante sa verge tendue. Tout en continuant de gémir, elle suce et tète comme une affamée, la queue de Clément qui geint de plaisir. Plus les coups de reins deviennent violents, plus Amélie couine :

-Oui, oui, c’est fantastique, oh comme j’aime ta grosse queue, vas-y, vas-y, défonce moi comme une gosse pute !

Clément, avec plusieurs jets, lui offre sa semence. Amélie repousse son amant pour ne pas étouffer, et sans rechigner avale la crème onctueuse en déglutissant bruyamment. Adrien accélère, ses coups de pilons sont redoutables. Sa verge coulisse de mieux en mieux dans la gaine, lubrifiée naturellement pas l’abondante cyprine qu’elle secrète.

Adeline ne reste pas sans rien faire, Elle s’approche de Justin qui assit sur une chaise fait le voyeur, elle extirpe de son pantalon la verge dressée comme un mat, et, après l’avoir décalottée, gobe le gland et le suce comme une vorace.
Justin gémit, il est en transe, les succions sont terribles. Soudain, Adeline cesse de sucer, et enjambe Justin, elle se met à califourchon sur ses genoux, et s’empale jusqu’aux couilles sur sa bite.

Elle s’agite comme une forcenée en cherchant sa jouissance. Justin est tendu comme un arc, il tire sur les hanches d’Adeline, en geignant comme une bête. Rapidement il remplit le ventre de son amante avec son sperme. Cela déclenche sur Adeline une jouissance extraordinaire. Péniblement elle décent de sa monture.

Amélie, pousse des grognements, elle agite son bassin, pour aller à la rencontre du pal qui lui dilate la chatte. Adrien se cambre en arrière et invite Clément à venir le rejoindre. Lestement il prend place entre Adrien et Amélie. Il pose sa queue contre celle d’Adrien, une fois contre la chatte il pousse. Amélie grimace, lentement la verge de Clément s’enfonce dans le conduit déjà occupé. Pour Amélie c’est une nouvelle découverte. Elle grince des dents lorsque les deux queues se mettent a voyager dans son ventre, en cherchant l’alternance parfaite.
Ouverte comme jamais, elle gémit comme une bête agonisante. Justin est émerveillé par la performance sa femme qui reçoit deux verges dans le même conduit. Il n’arrive toujours pas à croire ce qu’il voit

Les deux hommes la défoncent en la faisant couiner terriblement. les bites agissent comme deux pistons dans leur cylindre. Amélie pâme, elle est hors sol. Adeline et Julien se mettent de la partie. Il donne à sa femme presque comateuse sa bite a sucer, Adeline, elle, lui dévore les mamelons. le spectacle est digne d’un film porno. Amélie suce comme elle peut la bite de son mari, Adeline s’acharne sur ses mamelons, pendant que deux queues vigoureuses, lui dilatent monstrueusement la chatte.

Améline ne compte plus ses jouissances, qui sont plus terribles les unes que les autres. Sa chatte déborde de sperme, son corps et secoué de nombreux spasmes violents.
Il est temps de faire une pause, et de prendre un petit encas. Amélie, reste un long moment sur la petite table, comme une poupée désarticulée, avant que Clément ne l’aide à se lever péniblement et prendre place à table. Sa chatte béante laisse échappée le surplus de sperme, qu’elle ne peut contenir. Pendant le petit repas, Amélie est silencieuse. Son mari curieux, lui demande :

-Alors ma chérie cette expérience t’a plus ?

Elle répond avec beaucoup de trémolos dans la voix :

-Mon Dieu, jamais je n’ai joui aussi fort, c’était merveilleux, Adeline est un démon sexuel. Et les deux verges dans le même conduit, je n’aurais jamais imaginée, que c’était possible de faire une chose pareille. Douloureux au début, mais ensuite c’était divin. Mes cochons, vous m’avez ruinés la chatte. Adeline éclate de rire et ajoute :

-Mais ma chérie, tu as encore des choses a prendre, ton petit cul de salope, a droit lui aussi avoir au plaisir. je te confirme, que tu vas avoir des jouissances anales monstrueuses !

Une fois les accus rechargés, il faut reprendre les ébats, c’est Adeline qui commence la deuxième séance. Elle fait mettre Amélie à quatre pattes sur le sol, elle regarde la chatte encore très ouverte. Elle dit en souriant :

– Ouh là, tu es ouverte ma chérie, c’est bon ça. Passant à l’étape supérieure !

Adeline caresse la chatte béante, et y introduit un à un ses cinq doigts. Elle pousse entournant. Comme par miracle, la main disparait comme aspirée par la vulve gourmande. Amélie souffle comme un bœuf, son amante fait faire à sa main des demi- rotations, qui font gémir fortement la soumise, qui répète sans cesse :

-Oh putain, oh putain, Adeline tu me tues ouah comme tu me fouilles, mon Dieu c’est monstrueux ce que tu me fais, oui, oui !

Adeline commence un ramonage, qui prend de la vitesse. Les gémissements d’Amélie sont très bruyants, et presque inhumain. Elle dit en béguant :

-ça vient, ça vient !

Adeline attendait ce moment, elle ferme le poing et ramone avec encore plus de violence la chatte en ébullition d’Amélie. Elle pousse un cri terrible, sa jouissance est hors normes. Elle s’écroule sur le sol tellement c’est violent. Adeline satisfait de son acte, retire sa main, et regarde en souriant la chatte qui rejette ça cyprine mêlée à du sperme.

Justin reste sans voix devant sa femme haletante qui git sur le sol. Elle respire difficilement, son souffle est court et rapide. Elle marmonne :

-Oh mon Dieu, oh mon Dieu, je dois être une sacrée pute, pour jouir comme ça !

Adrien l’aide à se remettre à quatre pattes. Il récupère dans la chatte baveuse, du liquide visqueux qu’elle rejette. Il enduit l’anus qui à était déjà visité par la langue de sa femme, et place son gland très large, contre la petite porte boursoufflée. Il s’accroche aux hanches de sa proie et pousse. Amélie grimace, la bite monstrueuse s’enfonce jusqu’aux couilles dans son rectum. Dilatée affreusement fort. Amélie serre les dents, la bite monstrueuse, qui lui fore le rectum la fait gémir. Adrien lâche les chevaux, il la démonte comme un sauvage. Ses coups de reins sont dévastateurs. Le mandrin puissant, entre et ressort de son étui en prenant de la vitesse. Bien que très distendu, l’anus commence à s’habituer au mandrin qui voyage en lui. Une jouissance anale terrible fait hurler Amélie, qui se cambre comme une pont en pleine tempête.

Adrien dit en marmonnant :

-Oh putain ce qu’elle est bonne cette pute, je me régale, oh la vache je vais lui remplir le cul, oui, oui, ça vient !

En se raidissant, Adrien envoie dans l’intestin de sa soumise, un flot important de semence. Il se retire rapidement et s’allonge sur le sol, il demande à Amélie de vernir se réempaler sur sa queue. Adeline doit l’aider pour enjamber Adrien, et c’est elle qui dirige la bite de son mari vers l’anus ouvert qui suinte de sperme. Amélie, se laisse tomber dessus en poussant un long râle rauque. Empalée jusqu’aux couilles, Amélie s’agrippe à son amant. Clément donne un coup de coude à Justin et l’invite à prendre sa femme, aussi par le cul.

La tentation est trop grande, il s’approche et place sa verge contre l’anus déjà occupé. Il pousse, comme par miracle elle s’enfonce au côté de la verge d’Adrien. la bouche d’Amelie est grande ouverte, elle commence par s’agiter en grognant. Justin se dit, mais elle aime ça ma salope de femme, elle veut deux bites dans le cul.
Prise en double anale, Amélie est au summum du bonheur, elle délire :

-Oh comme c’est bon, encore, encore, faite de moi votre vide couilles Clément je suis devenue une grosse pute, tu es content mon chéri !

Il s’approche du trio en pleine action. Saisit le clito extrêmement gonflé, et en l’agitant dit :

-Oui, enfin tu es digne d’être une grosse, grosse, pute !

Fouraillée par deux bonnes queues, elle se cabre et explose de jouissance, Clément en profite pour lui écraser le clito. La jouissance de son amante est beaucoup plus intense. Son mari et Adrien, déversent en elle toute la semence qu’ils ont dans les couilles. Avant de la libérer

Linsee