Une femme fait découvrir la bisexualité à son mari

Aurore avait toujours aimé le sexe sous toutes ses formes, mais jamais elle n’aurait imaginé que son mari, Paul, aurait des goûts pour le même sexe. Blonde, mince, avec un air de déesse candauliste, elle adorait partager son homme, regarder, participer, tout cela était une source infinie de jouissance pour elle. Mais ce soir-là, elle allait découvrir un nouveau chapitre dans leur vie sexuelle.

Elle avait remarqué les regards que Paul lançait parfois aux hommes, ces coups d’œil furtifs, cette fascination discrète. Un soir, après une discussion où l’alcool avait délié les langues, Paul avait avoué, la voix tremblante, qu’il était attiré par les hommes. Aurore n’avait pas été choquée; elle était plutôt excitée par cette révélation. “On va te trouver un bel étalon pour ton initiation, mon chéri,” avait-elle dit avec un sourire coquin.

Elle avait passé des semaines à chercher le candidat parfait, quelqu’un de viril mais sensible, qui comprendrait que cette rencontre serait la première de Paul. Elle trouva finalement Marc, un beau brun avec une carrure imposante et un charme qui n’avait d’égal que son savoir-faire entre les draps.

La soirée était prévue. Aurore avait mis une robe légère qui soulignait sa silhouette fine, ses cheveux blonds tombant en cascade sur ses épaules. Paul, nerveux mais excité, portait un simple jean et une chemise, ses yeux trahissant son anticipation.

Quand Marc frappa à la porte, Aurore l’accueillit avec un baiser sur la joue, ses yeux parlant clairement de ce qui allait suivre. Marc, dans son rôle de mentor, offrit à Paul un sourire rassurant, ses yeux sombres et profonds promettant un plaisir inoubliable.

Ils s’installèrent dans le salon, buvant quelques verres pour détendre l’atmosphère. “Alors, Paul, prêt à découvrir de nouveaux horizons ?” demanda Marc, sa voix grave comme une caresse auditive. Paul déglutit, ses mains légèrement tremblantes, mais il hocha la tête.

Aurore se leva, s’approchant de Paul pour lui murmurer à l’oreille, “Profite, mon amour, je vais m’assurer que tu prennes ton pied.” Elle se retourna vers Marc, “Il est tout à toi, mais je veux y participer.”

Marc s’approcha de Paul, lui prit le visage entre ses mains, et l’embrassa doucement, testant, explorant. Paul répondit au baiser, d’abord hésitant, puis avec une passion croissante. Aurore, assise à côté, observait, sa main glissant sous la chemise de son mari pour caresser son torse, sentant son cœur battre à tout rompre.

“Allez, montre-lui comme tu sais sucer,” dit-elle, sa voix chargée de désir. Paul, encouragé, s’agenouilla devant Marc, qui avait déjà défait son pantalon. La bite de Marc se dressa, longue et épaisse, une promesse de plaisir brut. Paul la prit d’abord en main, apprenant sa texture, sa chaleur, avant de poser ses lèvres sur son gland.

Aurore, en observant cette scène, sentait son propre désir monter. Elle s’approcha par derrière de Paul, ses doigts habiles déboutonnant son jean, sa main glissant vers son cul. “Détends-toi, mon chéri,” murmura-t-elle, et elle commença à caresser son anus, lentement, préparant le terrain pour ce qui allait suivre.

Paul suçait maintenant avec plus d’assurance, ses lèvres glissant sur la bite de Marc, ses gémissements étouffés par le membre dans sa bouche. Marc, les yeux fermés, appréciait chaque sensation, ses mains dans les cheveux de Paul, lui dictant un rythme qui le menait vers l’extase.

Aurore, sentant l’excitation de son mari, cracha sur ses doigts pour les lubrifier et, doucement, commença à introduire un doigt dans son anus. Paul sursauta légèrement, mais sa bite, dure comme du béton, trahissait son plaisir. “C’est bon, hein ?” murmura-t-elle, son doigt explorant, poussant plus loin, trouvant ce point qui ferait gémir Paul comme jamais.

Marc, voyant ce jeu de pouvoir et de plaisir, retira sa bite de la bouche de Paul pour quelques secondes. “Tu veux le faire jouir, Aurore ?” Il demanda avec un sourire carnassier. Elle hocha la tête, ses yeux brillants d’excitation.

Paul était maintenant perdu dans un tourbillon de sensations, la bite de Marc dans sa bouche, le doigt d’Aurore explorant son cul, tout cela était plus que ce qu’il avait jamais imaginé. Aurore, avec son autre main, masturbait Paul, le synchronisant avec le rythme de sa fellation.

“Je vais jouir,” grogna Marc, et il reprit sa place, poussant sa bite dans la bouche de Paul, qui s’était ouverte pour l’accueillir pleinement. Aurore, sentant le moment culminant, accéléra le mouvement de son doigt, le tournant, le poussant, forçant Paul à une jouissance inévitable.

Marc explosa dans la bouche de Paul, qui avala avidement, ses propres hanches se cambrant sous les assauts combinés. Aurore, sentant son mari au bord de l’orgasme, le masturbait frénétiquement, et avec un cri étouffé par la bite de Marc, Paul jouit, son sperme giclant sur le sol, ses muscles se contractant autour du doigt d’Aurore.

Ils restèrent un moment ainsi, Marc respirant fort, Paul essayant de reprendre son souffle, Aurore avec un sourire triomphant. “Alors, c’était comment, ton premier gros mâle ?” demanda-t-elle à Paul, qui, encore étourdi, ne put que sourire en retour.

Mais Aurore n’en avait pas fini. Elle se leva, enleva sa robe d’un mouvement fluide, révélant un corps fin et pourtant plein de désir. “Maintenant, c’est mon tour,” dit-elle, poussant Marc vers le canapé. Elle s’assit sur lui, son cul frôlant sa bite encore sensible, mais prête à reprendre du service.

Paul, regardant sa femme prendre le contrôle, se sentit à nouveau durcir. Il s’approcha, voulant participer davantage. Aurore, sentant l’érection de son mari contre sa peau, lui sourit, “Viens, aide-moi à le rendre encore plus dur.”

Paul se mit à genoux, sa main caressant la bite de Marc, la guidant vers l’entrée d’Aurore qui, avec un gémissement, s’empala dessus. Paul continuait de les regarder, fasciné par ce spectacle, avant de décider de s’impliquer plus directement. Il se plaça derrière Aurore, ses doigts explorant maintenant son cul, lui rendant la pareille de ce qu’elle lui avait fait.

Marc, sous Aurore, se délectait de cette double attention. Paul, explorant les limites de son propre désir, introduisit un doigt en Aurore, la faisant gémir de plaisir. “C’est ça, baise-le, mon amour,” dit-il, sa voix chargée de désir et de reconnaissance pour cette nouvelle part de lui-même qu’il découvrait.

Aurore, entre ces deux hommes, se sentait reine de la soirée. Elle bougeait, montait et descendait sur Marc, tandis que Paul la caressait, la doigtait, partageant ce moment de pure liberté sexuelle. Les sons de la chair contre la chair, les gémissements, tout se mélangeait dans une symphonie de luxure.

Finalement, dans un cri de plaisir partagé, ils jouirent tous les trois, Aurore sur Marc, Paul se masturbant jusqu’à la jouissance en regardant sa femme prendre son plaisir avec un autre homme, et Marc, une nouvelle fois, libérant sa semence dans la chaleur d’Aurore.

Ce soir-là, ils avaient non seulement exploré de nouveaux plaisirs mais avaient également renforcé leur lien, découvrant que l’amour et le désir pouvaient prendre des formes infinies, toutes aussi libératrices et excitantes les unes que les autres.

Lucie

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