Paul divorcé, épouse en seconde noce Aurélie. Paul à un fil de son premier mariage Luc, le jeune de 25 ans voit se mariage d’un mauvais œil, il craint que sa belle-mère a fait un mariage d’intérêt, vu la différence d’Age importante qu’il y a entre eux. Au début, Luc est agressif avec sa belle-mère. Son papa doit régulierement mettre le halte là. Souvent elle s’enfuit dans sa chambre, pour sangloter. Mais petit à petit, Luc commence à connaitre sa belle-mère, il admet qu’il c’est bien trompé sur son compte, mais n’ose l’avouer. Il devient plus social avec elle, et même l’aide parfois aux taches ménagères. Cela réconforte Paul, qui craignait un conflit perpétuel entre eux.
Au fil des mois, Luc et Aurèlie deviennent très fusionnels, voire même complices, ils rient souvent et chahutent comme des enfants. Paul est heureux de l’évolution des choses. Mais sur le plan sexuel, il défaille et ne peut plus honorer sa femme. Cela le culpabilise terriblement, il sait que sa femme à besoin de sexe. Souvent les deux en parlent. Aurélie en bonne épouse, ne se plaint pas, elle dit qu’elle est heureuse comme ça. Bien que Paul utilise ses doigts et sa langue, il sait très bien que ce n’est pas suffisant et que sa femme mérite mieux. Il propose de lui trouver un amant, Aurélie n’en croit pas ses oreilles. Elle ravales a salive, et en béguant répond :
-Mais tu es fou mon chéri, tu sais je ne suis pas une obsédée sexuelle, toi tu me suffis, je n’en demande pas plus !
Ils s’embrassent fougueusement, il comprend qu’Aurélie est très amoureuse de lui et qu’elle ne veut pas franchir le pas. les jours se passent, bien que Paul revient souvent à la charge, Aurélie ne capitule pas.
Luc très tactile, caresse souvent les bras, les mains d’Aurélie, l’enlace se plaque contre elle, et lui donne de nombreux baisers sur le visage. Leurs éclats de rires font sourire Paul, qui remarque que sa femme est heureuse. Un jour en chahutant, pendant un jeu de mains (jeu de vilains) ils s’étreignent, leurs lèvres involontairement se frôlent. Aurélie rougit comme une pivoine. Elle sent sur son visage le souffle chaude de son beau-fils, elle frissonne. Ils échangent un regard intense, avant qu’Aurélie ne se défile, tout cela sous le regard amusé de Paul.
Troublée, elle rejoint la cuisine, pour préparer le diner. Ses mains tremblent, un grand trouble s’installe en elle. Ses gestes sont maladroits. Luc la rejoint, il l’enlace et lui donne un baiser sur la nuque et un second sur le cou. Aurélie frémit, elle ferme les yeux en poussant un gros soupir. les mains de son beau-fils glissent sur son ventre et le caresse doucement sans brutalité. Il frotte son bas-ventre contre les fesses de sa belle-mère. rapidement, elle sent coulisser contres son fessier un membre dur, elle pousse un gros soupir. les mains s’avancent dangereusement, vers le centre des plaisirs. Elle les lui saisit, en les pressant très fort avant de s’esquiver.
Pendant le repas, Luc lui lance de doux regards en lui parlant tendrement, elle répond par de timides sourires. Il lui prend la main et la caresse en la complimentant sur la texture de sa peau. Paul regarde le couple en s’imaginant des choses que la morale réprouve, il voit bien que quelque chose se passe, mais d’un coté il en est ravit.
Devant la télé Paul s’installe sur le canapé, son fils dans un profond fauteuil, avec des écouteurs sur les oreilles, regarde le film en écoutant de la musique, il le fait chaque fois, étrange coutume.
Il n’y a que la télé qui éclaire la pièce, tout autour, n’est qu’ombres et lueurs. Aurélie comme un rituel, va dans la salle de bain prend sa douche, elle en ressort comme chaque soir, avec sur le dos une nuisette, que cache un peignoir de bain.
Elle prend place à côté de son mari, et regarde un film qui ne l’intéresse pas du tout, ses pensées sont ailleurs.
Paul profite de l’obscurité pour poser sa main sur sa cuisse de sa femme, la glisse sous le peignoir, et la lui caresse doucement. Aurélie serre les jambes en épiant du coin de l’œil son beau-fils, qui semble accaparé par sa musique. Elle sent encore sa verge appuyer sur ses fesses, elle ravale sa salive. lentement elle ouvre les cuisses. la main de son mari, glisse sur son entrejambe et passe plusieurs fois sur la fente, que seul le fin tissu de la nuisette protège. Il lui murmure à l’oreille :
-Cela te plait ma chérie, que je te caresse discrètement la vulve !
Aurélie répond en marmonnant à l’oreille de Paul :
-Non, non, Luc pourrai nous voir, et cela me gêne mon chéri, arrête pas ici !
Il répond toujours avec discrètement :
-J’aime jouer avec le feu, et je suis certain que cela t’excite de prendre se risque, avoue !
Elle le regarde droit dans les yeux et réplique :
-Tu es un monstre !
les doigts agiles passe sous la nuisette, le peignoir s’ouvre. Les intrus s’insèrent entre les grandes lèvres d’Aurélie qui se cabre en geignant faiblement. Elle se mord la main pour ne pas gémir trop fort. Paul l’emmène jusqu’à l’orgasme, la respiration d’Aurélie est rapide, elle grimace, mais ne repousse pas la main, qui vient de la faire jouir. Elle reste un instant jambes ouvertes en haletant faiblement. C’est à ce moment que Luc retire les écouteurs et se retourne vers le canapé.
Malgré la faible lueur, il aperçoit la vulve de sa belle-mère, qui suinte Les yeux fermés, encore sous le coup de la jouissance, elle ne réagit pas. Paul en regardant son fils, reprend en main le clito de sa femme, et le branle férocement. Aurélie s’agite sur le canapé, en grognant. Luc se penche pour mieux voir, il commence à avoir une érection. Il croise le regarde de son papa qui lui fait un large sourire. Le bougre, s’acharne sur la boule de chair qui est devenue méconnaissable. Aurélie se mord la main, elle geint de plus en plus fort.
Luc n’en peut plus, il sort sa verge et commence à l’agiter, sans quitter des yeux la chatte en feu de sa belle-mère, qui s’agite sur le canapé. Soudain, elle se cabre et pousse un cri qu’elle ne peut étouffer, sa jouissance est terrible. Elle ouvre les yeux, et sursaute en voyant son beau-fils se masturber. Elle reste un instant figée de honte, puis d’un bond, en repoussant la main de son mari, elle s’enfuit dans sa chambre. elle retire rapidement son peignoir, et s’enfonce dans les draps. Paul regarde son fils un instant et lui dit en souriant :
-Tu as vu comme elle est belle lorsqu’elle jouit !
Luc en ravalant sa salive, répond avec beaucoup d’émotion dans la voix :
-Elle est magnifique, oh comme j’ai envi d’elle si tu savais papa !
Paul est heureux de l’aveu de son fils, il se dit, que si sa femme éprouve pour lui les mêmes sentiments, et qu’avec un peu de chance, elle pourra être une femme sexuellement comblée par Luc.
Paul monte dans la chambre, ouvre le lit délicatement et contemple le corps de sa femme voilé par la fine nuisette transparente. Il voit la toison encore humide des suites de la jouissance. Il lui retrousse doucement la nuisette sur le haut des cuisses, Aurélie frissonne. Avec douceur il caresse la vulve qui n’est pas encore assouvit. Ses doigts agiles, glissent sur les grandes lèvres, s’insèrent dans le sillon et partent à la recherche de la boule magique, qui n’a pas encore dégonflée. Les yeux de sa femme sont humides, a chaque pression sur son clito, elle pousse un petit gémissement.
Il le saisit délicatement entre ses doigts et commence un doux branlage. Tout en agitant la perle des plaisirs, il dit tendrement :
-Luc est amoureux de toi, il me l’a avoué, et toi tu ressens quelque chose pour lui ma chérie !
Aurélie est mal à l’aise, elle bredouille des mots inaudibles. Paul lui demande de répéter :
-Paul c’est déjà difficile pour moi, ne me torture pas, je t’en prie !
Paul insiste :
-Si tu ressens, quelque choses pour lui, dis-le, n’es pas peur de tes sentiments !
Aurélie éclate en sanglot et répond entre deux reniflements :
-Tu veux savoir la vérité, mon chéri, eh bien voila, depuis quelques temps, il se passe un truc étrange en moi, que je ne peux expliquer. L’amour platonique que je lui portais, change.
Maintenant, j’ai des idées immorales qui me traversent l’esprit, je deviens folle. J’ai honte s’avoir jouit devant lui, mais lorsque j’ai vu sa verge tendue, mon sang n’a fait qu’un tour. Mon cœur c’est mis à battre fortement, j’aurai aimée, qu’il me l’enfonce dans le ventre et me prenne comme une bête. Voila tu sais tout mon chéri, est-ce que je mérite encore ta confiance, je me pose la question !
Paul la regarde en souriant, il dépose un baiser bruyant sur ses lèvres et dit :
-Mais ma chérie, c’est merveilleux, moi qui veux à tout prix, t’offrir un amant, eh bien tu l’as sous la main, faites l’amour, éclatez-vous, je ne veux que ton bonheur ma chérie, saute le pas !
En béguant, Aurélie répond :
-Mais, mais, mon chéri, c’est, c’est immorale !
Paul hausse les épaules et réplique :
-La morale je m’en tape, ce que je veux, c’est que tu sois comblée sexuellement !
Paul reprend entre ses doigts le clito, et le branle énergiquement. Aurélie grimace, elle commence à geindre. Soudain, elle voit Luc sur le pas de la porte.
Elle plaque sa main sur celle de son mari pour le stopper. Mais le bougre lui ôte la main, et continue, avec encore plus de férocité, de lui branler le clito. Aurélie, ne quitte pas des yeux son beau-fils, qui agite sa verge en s’approchant du lit. Paul souriant regarde son fils et lui dit :
-Remplace-moi fiston, rends la heureuse !
Paul cède la place, Aurélie est comme tétanisée, elle se cabre lorsque Luc lui saisit le clito et l’agite vigoureusement. Elle ferme mes yeux tellement elle a honte, mais ne repousse pas son beau-fils, qui accélère la masturbation. Les gémissements de la belle-mère sont bruyants, bien qu’elle tente de les étouffer en se mordant le poignet. Soudain comme un cheval qui rue, elle se cabre et explose de jouissance. C’est si violent qu’elle serre les cuisses en emprisonnant la main de son beau-fils. Elle reste un instant crispée, avant de retomber lourdement sur le lit. Elle halète fortement en gardant les yeux fermés.
Paul encourage son fils :
-Continue Luc, vas-y, vas-y, fais la encore jouir !
Doucement, il lui ouvre les cuisses, et plaque sa bouche sur le fruit trop mûr, qui rejette son jus. Il avale le nectar, en geignant doucement. Mais lorsque que sa mangue plonge dans le puits brulant, Aurélie pousse un long râle rauque. Le bougre lui fouille les entrailles le plus profondément possible. Aurélie ne retient plus ses gémissements, elle appuie sur ma tête de son amant, en respirant fortement. Luc en bon amant, lui aspire les grandes lèvres et les mordilles, il les suce en faisant couiner de plaisir sa belle-mère. Mais lorsqu’il lui gobe le clito, elle se tend comme un arc en gémissant comme une bête blessée. La bouche vorace de Luc fait geindre Aurélie de plaisir, elle se contorsionne en soufflant comme un animal.
Un explosion terrible de jouissance la fait hurler, elle remplit la bouche de son amant avec un flot continu de cyprine. Luc se gave, il avale tout ce qu’il peut. Paul est en admiration devant le couple, il dit en serrant les poings :
-Baise-la, baise-la oh oui, baise-la fort, Luc !
D’un geste habile, il fait tomber son pantalon et prend place entre les cuisses de la jouisseuse, qui continue de couiner de plaisir. Il enfonce lentement son mandrin dans le ventre d’Aurélie, qui pousse un long gémissement pendant la pénétration. Elle s’accroche à lui comme une pieuvre sur son rocher. Elle gémit :
-Oui, oui, mon chéri oh que c’est bon, va à fond, va à fond !
Paul est aux anges, d’entendre sa femme réclamer de la bite, il dit :
-Agite-toi ma chérie, profite bien de sa queue, elle doit bien te remplir. Luc prends-la le plus fort possible, ma chérie adore que se soit violent !
la bite puissante de son beau-fils, lui racle les parois sensible du vagin, en lui rabotant le col de l’utérus. A chaque enfoncement de la bite en elle, Aurélie délire de plaisir, elle s’agite sur le pieu qui l’empale entièrement, en marmonnant :
-Oh mon Dieu, que c’est bon, oui, oui, prends-moi comme une bête, oh Paul, Paul, je suis, heureuse, merci mon chéri !
Le va-et-vient prend de la vitesse. Aurélie sent frapper contre sa chatte les couilles bien pleines de son beau-fils. Elle s’agrippe à lui, en donnant elle aussi des coups de reins violents. Une jouissance monstrueuse la fait rugir, Luc se bloque, et envoie dans le ventre de sa belle-mère sa semence brulante.
Linsee
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