J’ai aujourd’hui cinquante-deux ans et mon fils en a vingt-six. L’histoire que je vais vous raconter a commencé il y a trente-six ans.
C’était déjà un petit homme. Je me doutais qu’il était en pleine puberté et que sans doute il devait commencer à se masturber. On parle de sexe à une jeune fille, ne serait-ce que pour l’informer sur ses règles, mais à un garçon, on ne dit rien. Pourtant, la première éjaculation d’un adolescent doit être très troublante pour lui.
Un jour où je pensais être seule à la maison, j’entrais dans la chambre de mon fils. Il était sur son lit, son pantalon baissé jusqu’aux chevilles et il se masturbait. Lui aussi pensait être seul. Je ressortis précipitamment en refermant la porte. Mais j’avais eu le temps de voir son sexe en érection avec le gland sorti et c’était déjà celui d’un adulte. J’en fus toute remuée.
Je laissais passer un bon quart d’heure, puis je retournais le voir, en frappant à la porte cette fois. Il m’invita à entrer. Nous étions aussi gênés l’un que l’autre. Je m’excusais d’être entrée dans sa chambre sans prévenir, lui expliquant que je ne savais pas qu’il était revenu du lycée. Lui aussi essaya de se justifier, mais je lui dis que ce n’était pas nécessaire, que je comprenais, que j’avais été jeune avant lui.
Mon mari était absent pour plusieurs jours. Il est commercial et part parfois toute la semaine et même certains week-end. Le soir, seule dans le lit, je me masturbais à mon tour et je fus très embarrassée de me rendre compte que je pensais au sexe de mon fils.
Il se passa plusieurs semaines avant un nouvel incident.
Un matin, j’étais dans la salle de bains et je jouais avec mes sex toys. Étant souvent seule, je m’étais construit une vie sexuelle personnelle, indépendante de ma vie de couple. J’avais plusieurs jouets, godemichés ordinaires, vibrants, gonflables, sondes urétrales, plugs anaux. Je cachais tout cela dans un emplacement secret et je sortais ceux qui me faisaient le plus envie pour mon petit plaisir en solitaire. Cette fois-là, je m’enfonçais un gros gode noir dans la chatte quand mon fils est entré dans la maison, revenant plus tôt que prévu du lycée. Bien sûr, la porte de la salle de bains était fermée à clé, mais j’étais nue et mes habits étaient restés dans ma chambre. Comble de malchance, mon fils essaya d’entrer pour aller aux toilettes. Puisque la porte était fermée, cela voulait dire que j’étais à l’intérieur. Il me dit qu’il avait très envie et qu’il fallait que je le laisse entrer immédiatement.
Je lui ouvris, morte de honte. J’avais juste eu le temps de cacher le gode en catastrophe dans un tiroir, mais ce que je faisais était relativement clair. Je prétextais que je prenais ma douche, mais je compris qu’il ne fut pas dupe. Il n’y avait apparemment pas de serviette de bain, je n’étais pas humide, sauf ma chatte. Il fut aussi mal à l’aise que moi. Je sortis précipitamment et courus me réfugier dans ma chambre.
Ce n’est qu’au moment du repas que nous nous retrouvâmes. Je lui dis, sur le ton de la plaisanterie, que moi aussi je me servais de ma main droite. Il s’excusa de m’avoir surprise, pensant qu’il avait commis une faute. Je lui dis que ça serait nos secrets. Je ne parlerais pas de ses masturbations à son père et il ne parlerait pas des miennes.
Il savait néanmoins que j’avais des désirs en dehors de ma vie de couple avec son père.
À partir de cette date, je constatai un changement dans son comportement. Il devenait moins pudique, sortant nu pour aller de la douche à sa chambre. Cela me troublait, mais j’essayais de ne pas le montrer. Je le trouvais beau et très attirant pour les filles. Parfois, son sexe était non pas en érection, mais bien développé. Comme vous le comprenez, lui ne se cachait pas et moi, discrètement, j’en profitais pour faire un peu de voyeurisme. Je gardais à l’esprit la première vision que j’avais eue de lui en train de se masturber. Souvent, l’image de son sexe raide me venait lors de mes propres jeux.
Un matin, alors que je me prélassais encore un peu dans le lit avant de me lever pour me faire un café et que je me touchais sans but précis, juste pour le plaisir de me mouiller toute la vulve avec mes doigts, mon fils entra. Il m’apportait mon café au lit. C’était déjà une belle surprise parce que je ne l’avais jamais vu en préparer. Il avait dû m’observer ces derniers jours et soigneusement préméditer son coup. Mais ce qui était encore plus surprenant, c’est qu’il était nu.
Je me redressais pour m’adosser au mur. Mon fils s’approcha du lit et me fit comprendre qu’il voulait que je me pousse un peu pour qu’il puisse s’asseoir au bord, à côté de moi. Je ne réfléchis pas et je lui fis de la place. Il me tendit mon café et me demanda s’il était à mon goût. Je le bus et lui fis tous mes compliments. Il avait bien noté tous les détails, le café était exactement comme je le faisais moi-même.
Alors que je venais de reposer la tasse vide sur la table de chevet, il me prit la main et la posa sur son sexe. Je la retirai vivement. Mais j’avais eu le temps de sentir la chaleur de sa chair. Mon fils reprit ma main et tira sur mon bras pour me forcer à reposer ma main sur ses parties génitales. Il tint ma main en la pressant sur son sexe. Je sentis qu’il commençait à bander. Avec sa main entourant la mienne, il m’obligea à le branler doucement, jusqu’à ce que le gland sorte du prépuce. La queue se raidit encore et se dressait presque verticalement. Mon fils guida ma main pour qu’elle entoure la tige et il la fit coulisser de haut en bas et de bas en haut. Il lâcha ma main, mais je continuais à le masturber, ne voulant pas le stopper brutalement dans son plaisir qui montait. Il tendit le bras et me caressa le sein à travers ma nuisette. Il eut un petit cri et il éjacula sur mon bras et ma main. Je continuai à le manipuler, de plus en plus doucement, jusqu’à ce qu’il ait fini. Il a laissé mon sein, m’a embrassé sur la joue et est ressorti très vite de la chambre.
J’avais toujours du sperme un peu partout sur moi. Je me suis branlée dans le lit avec ma main poisseuse et j’eus très vite un orgasme d’une rare intensité.
Mon fils partit au lycée et nous n’eûmes pas l’occasion de nous parler avant son retour dans l’après-midi. Il fit comme s’il ne s’était rien passé et je consentis à ne pas aborder le sujet. Mais le soir, alors que j’étais déjà au lit, il entra de nouveau dans ma chambre, toujours nu. Je protestais mollement, d’un air embarrassé plutôt qu’en colère. Mais il vint s’allonger à mes côtés, à la place de son père. Il entra directement sous la couette et mit sa tête posée sur mon épaule. Je l’entourais de mon bras et lui baisais le front. Je sentis sa main passer sous ma nuisette et glisser jusqu’à mon sexe. Il me caressait maladroitement, passant et repassant sa main sur ma toison. Je mis ma main sur la sienne et la stoppais. Elle était en conque, épousant la forme de mon mont de Vénus, avec son majeur placé juste sur le capuchon du clitoris. Puisque je lui interdisais de déplacer sa main, il bougea ses doigts, et en particulier la dernière phalange de son majeur. Je voulais l’arrêter et au lieu de cela, par hasard, je l’avais placé dans la bonne position.
Je sentis que je commençais à mouiller. Son inexpérience m’émouvait et m’excitait. Je déplaçais sa main avec la mienne pour qu’il atteigne les lèvres. L’extrémité de son majeur passa entre les deux et se posa sur ma vulve. J’écartais un peu mes jambes et lui fis descendre sa main encore un peu plus bas, son doigt pénétrant mon vagin. « Je vais te montrer comment tu dois faire mon chéri. » J’enlevai la couette qui nous recouvrait. Je m’aperçus que mon fils bandait. Il était très raide, le gland sorti et violacé. J’écartais largement les cuisses et je lui dis comment me masturber en excitant progressivement mon clitoris, d’abord sur le pourtour, puis sur le capuchon et enfin, sur le bouton lui-même. Je lui indiquais comment humidifier régulièrement son doigt dans le vagin. Quand je sentis le plaisir venir, je le laissais faire et il se débrouilla très bien, avec une vitesse très régulière, accentuant le côté inéluctable de l’orgasme. En même temps qu’il me frottait le clitoris, il me regardait. Mon regard se troubla petit à petit, mon souffle s’accélérait, mes muscles se tendaient, ceux des cuisses, ceux du ventre, je fermais à moitié les yeux, mais sans perdre mon fils de vue, ma bouche s’ouvrait pour respirer plus fort, mon front se plissait sous l’effort, puis j’eus un long cri de jouissance, mon bassin eut des soubresauts, je refermais mes cuisses sur la main de mon fils jusqu’à ce que mes contractions vaginales se terminent.
Je me relâchais et restais allongée, inerte pendant plusieurs minutes. Je vis que mon fils se masturbait à côté de moi. Bien que je fusse assouvie, je remplaçais sa main par la mienne et je me penchais sur lui pour embrasser sa queue. Elle était luisante de liquide préséminal. Elle était tellement dure que je ne pus pas résister et je mis le gland tout entier dans ma bouche, léchant avec gourmandise le jus qui en sortait. Je le branlais tout en lui excitant le frein avec la pointe de ma langue. Il éjacula rapidement, m’aspergeant le visage. Je le repris dans ma bouche pour recueillir les dernières giclées et le nettoyer. Je m’essuyais avec un mouchoir en papier. Mon fils m’embrassa furtivement sur la bouche, éteignit la lumière et resta couché à mes côtés.
À partir de cette nuit-là, mon fils et moi avons toujours dormi ensemble, excepté quand mon mari était à la maison. J’aimais ne plus être seule dans le lit.
C’est le lendemain matin que mon fils me fit l’amour pour la première fois. Il faut dire que je dormis peu. J’étais sans doute encore excitée, mais en même temps je me sentais coupable de cette situation. C’était moi l’adulte et j’aurais dû résister. Mais je n’en avais pas eu la force. À ma grande honte, j’en avais même eu terriblement envie et j’avais pris un plaisir inouï. Mais surtout, inavouable.
Quand mon fils se réveilla, il vint sur moi, tout simplement. Il roula sur lui-même et se retrouva allongé sur moi, son ventre contre le mien, sa tête dans le creux de mon épaule. Je lui caressai les cheveux. Lui me caressa la poitrine. Il sortit un sein et en suça le téton. Il me dit que c’était son bonbon du petit-déjeuner et nous rîmes ensemble. Il parvenait, par son insouciance, à faire disparaître mes remords, à me transmettre son enthousiasme.
Il était nu et j’étais toujours en nuisette. Il me demanda de l’enlever, pour, dit-il, sentir ma peau sur la sienne. Je lui donnais ce plaisir. Il jeta la couette par terre. Nous étions tous les deux nus sur le lit. Il reprit sa position sur moi, mais avec sa tête à hauteur de la mienne cette fois, et il m’embrassa. Sur la bouche. Nous échangeâmes un vrai baiser d’amoureux, mélangeant nos langues et nos salives. J’avais envie qu’il me prenne et je sentais qu’il avait envie de me prendre. J’ouvris les cuisses. Il leva son bassin et je guidai son sexe à l’entrée. Il me pénétra et nous eûmes tous les deux un soupir, une exhalaison proche du soulagement. Il resta immobile un moment. Son sexe se dilatait par instants et mon vagin, comme en réponse, se contractait. Nous nous sentions l’un l’autre, au fond de ma chatte. Il commença à me faire l’amour. Je levai mes genoux pour qu’il s’enfonce plus loin et je serrai son buste contre ma poitrine. Il gardait la tête dans mon cou et je sentais son souffle s’accélérer. Il continua à me labourer et plus il poussait, plus je m’ouvrais. Je sentais que je trempais le drap tellement j’étais inondée. Il se crispa, me serra très fort, me planta son dard et le maintint tout au fond tandis que je le sentais se vider par saccades. Cela déclencha mon propre orgasme et nous avons crié ensemble.
Il est resté plusieurs minutes sur moi, immobile. Son sexe se rétractait dans le mien jusqu’à ce qu’il en sorte sans que nous ayons bougé. Il m’embrassa sur la bouche, passionnément.
Puis il se leva, alla prendre sa douche, prit son petit-déjeuner et partit pour le lycée. Quant à moi, je changeais les draps et vaquais à mes occupations de la journée.
Quand il revint, en fin d’après-midi, il voulut tout de suite que nous refassions l’amour. Je ne pouvais pas le lui refuser, d’autant moins que j’y avais pensé toute la journée et que j’en avais vraiment envie. Il m’a déshabillée dans le salon. Je l’ai déshabillé à mon tour et nous nous sommes allongés nus sur le tapis. Nous avons fait un 69, lui dessous et moi dessus. J’aimais voir sa bite et ses couilles en gros plan. Lui, apprenait à me bouffer la chatte. Il voyait que j’étais aussi excitée que lui. Il avait l’air d’aimer le cunnilingus. Il me mettait ses doigts dans le vagin pour récupérer plus de jus. Je sentis qu’il me touchait l’anus avec son majeur. Je lui recommandai de bien mouiller son doigt dans ma chatte et de me lubrifier mon petit trou pour ne pas me faire mal. Il s’appliqua et m’ouvrit petit à petit, en assouplissant progressivement ma rose. Plus il caressait ma rondelle, plus il appuyait pour enfoncer son doigt. Enfin, il franchit l’anneau et se retrouva fiché dans mon rectum. En même temps, il me suçait le bouton. C’était plutôt brutal, en tout cas moins délicat que tout ce qui avait précédé, mais j’aimais cela.
Je me détachais de lui et me plaçais à côté, à quatre pattes. « Prends-moi comme ça. » Il se mit à genoux et vint se placer derrière moi. Il me prit par les hanches et entra sans peine. J’aimais cette position parce qu’on sent mieux le membre dans le ventre. Il me caressa le dos, puis ses mains descendirent pour prendre mes seins et les malaxer. Mon fils apprenait vite. Il sortit son sexe et vint lécher toute ma fente, du clitoris en remontant jusqu’à l’anus. J’écartais mes fesses avec mes mains pour qu’il puisse mieux me voir. Il enfouit son visage, fouillant ma vulve avec son nez. Puis il me reprit et me baisa sans plus s’arrêter. Je sentais son pubis taper mes fesses de plus en plus vite. Il eut un dernier coup de reins et écrasa mon cul avec son ventre. Je poussais en arrière pour le sentir encore plus fort en moi. Il était si profond que son éjaculation inonda mon utérus.
Nous nous allongeâmes par terre, côte à côte, nous embrassant comme deux amants. Je ne sais pas pourquoi je dis « comme », car nous étions deux amants. Mon fils se releva le premier. Il me tendit la main et me tira à lui. Il m’emmena dans la salle de bains et nous prîmes notre première douche à deux. Il me savonnait la chatte, je lui savonnais la bite. Je m’agenouillai et le suçai, juste pour le plaisir de le sentir durcir dans ma bouche, sans intention de le mener jusqu’à l’éjaculation.
Après dîner, nous nous sommes couchés dans le même lit, nus tous les deux. Je me suis blottie dans ses bras et je tenais son sexe dans ma main. Nous nous sommes endormis ainsi, dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain matin, mon fils me fit minette et j’ouvris les cuisses et lui appuyai sur la tête pour mieux coller sa bouche à ma chatte et lui donner le mouvement vertical qui devait m’amener au plaisir. Je jouis sur sa langue. Je l’écrasais sur mon clitoris tout le temps de mon orgasme.
Puis il partit au lycée et je restais dans le lit à me prélasser.
Cela dura une semaine entière, jusqu’au retour de mon mari, pour le week-end. Malgré tout, nous nous sommes organisé mon fils et moi pour nous retrouver tous les deux aussi souvent que possible, sauf la nuit bien évidemment.
Nous sommes allés faire les courses le samedi, laissant mon mari profiter de la maison. Mon fils me caressa la chatte dans la voiture et je lui fis une fellation complète à l’abri d’un parking couvert et peu passant.
Le samedi soir, mon mari regardait la télé et moi, sous prétexte d’aider mon fils dans ses devoirs, je restais avec lui dans sa chambre. Il me fit l’amour sur son petit lit de jeune homme, avec son père à moins de dix mètres de nous. Nous avions fermé la porte à clé, sans faire de bruit. Mais nous aurions eu de la peine à justifier une telle précaution si mon mari était venu nous voir. En plus, il nous aurait fallu du temps pour nous rhabiller. Nous essayions de rester silencieux autant que possible, mais le lit avait tendance à grincer et nous ne pouvions empêcher le sommier de faire un bruit très caractéristique. Mais sans doute le son de la télévision était-il suffisamment fort pour que mon mari ne s’aperçoive de rien.
Le dimanche matin, je me levais assez tôt alors que mon mari m’avait dit la veille qu’il comptait faire la grasse matinée. Il dormait encore lorsque je suis sortie de la chambre. Je rejoins mon fils dans la sienne et je me couchais à côté de lui. Nous étions tout nus et très serrés dans son lit à une place. Je me mis à califourchon sur lui et j’enfourchais sa bite. Je le branlai avec mes muscles vaginaux jusqu’à ce qu’il éjacule en moi. Le lit avait encore fait du bruit et mon fils avait gémi assez fortement quand il avait joui, mais les portes fermées des deux chambres suffisaient à nous isoler.
Je sortis de sa chambre toute nue et pleine de son sperme. Mon fils me suivit, tout nu lui aussi, avec un filet de foutre qui s’étirait au bout de la bite. J’adorais cette prise de risque. Nous allâmes à la salle de bains et nous prîmes notre douche ensemble, nous savonnant mutuellement comme la première fois. Mon fils est sorti le premier, puis étant assuré que la voie était libre, il me fit signe que je pouvais sortir à mon tour. Nous nous rhabillâmes dans sa chambre, lui avec des habits propres, moi avec ma nuisette.
Le dimanche, j’ai proposé d’aller en voiture à une brocante. Je savais que mon mari avait horreur de ça et sans surprise, il déclina. Mon fils se proposa de m’accompagner, lui qui n’aime pas trop les vide-greniers non plus d’ordinaire.
Nous sommes allés faire l’amour dans un bois, pas très loin de la maison. Il y avait une couverture dans le coffre de la voiture et nous nous sommes allongés sur le sol dans un coin isolé. Nous nous sommes embrassés, nous nous sommes caressés, nous nous sommes aimés, sans nous déshabiller par peur d’être surpris, mais déboutonnés de partout. J’avais les seins à l’air, je n’avais plus de culotte, mon fils avait la braguette ouverte. Il fouillait sous ma robe, j’avais la main dans son slip, il tétait mes seins et tirait sur mes tétons, je mettais ma tête entre ses cuisses et je suçais sa queue dans son caleçon. Il me prit debout, contre un arbre. Je m’appuyais au tronc et lui tournais le dos, les cuisses écartées. Il souleva ma robe et m’enfila. Je cambrai mes reins pour faire sortir mes fesses et pour qu’il me pénètre mieux. Il me ramona la chatte jusqu’à l’éjaculation. J’aimais ce moment parce qu’il me tenait puissamment et pressait mon cul de toutes ses forces. Je sentais son sperme chaud m’envahir.
Nous sommes rentrés, lui avec la bite poisseuse et moi avec la chatte enfoutrée, sans culotte. Nous ne nous sommes pas nettoyés jusqu’au soir. Puis, comme la veille, nous avons prétexté les devoirs pour nous isoler dans la chambre de mon fils et laisser mon mari regarder le film tout seul. Nous n’avons pas refait l’amour, mais nous nous sommes mis nus parce que le contact direct de nos peaux nous manquait. Je nettoyai son sexe et il nettoya le mien. Bien après que le programme de la télé soit terminé, je me suis rhabillée, nous nous sommes séparés et j’ai rejoint mon mari dans la chambre. Je n’avais plus de sperme sur la vulve, mais il en restait sûrement dans mon vagin. Je mis ma nuisette et je me couchai à côté de mon mari. Lui s’endormit assez vite, mais moi, je restais avec mes pensées.
Le lundi, mon mari partit tôt au travail. Dès qu’il est sorti de la maison, mon fils est venu me rejoindre dans le lit. Il était nu bien sûr et il me fit enlever ma nuisette. Il me prit comme il l’avait fait la première fois, lui dessus, moi ouvrant mes cuisses le plus largement possible. Il me baisa avec des mouvements amples de bassin, jusqu’à ce qu’il jouisse. Je lui demandais de sortir sa queue et de me la donner à sucer.
Il partit au lycée et je l’attendais jusqu’à son retour. Cette fois, nous fîmes l’amour sur la table de la cuisine. J’étais assise sur la table et lui étais debout face à moi. Il m’avait prise sous les genoux, levant mes cuisses écartées, il me tenait les fesses et me bourrait la chatte de coups de bite. Le soir, nous couchions de nouveau ensemble dans le même lit.
Les périodes de vacances scolaires étaient très agitées pour nous sur le plan sexuel. La plupart du temps mon mari n’avait pas de congé et nous partions tous les deux mon fils et moi. Nous pouvions alors rester deux semaines sans sortir, juste baiser, manger et dormir. Lorsque nous revenions, mon mari était surpris de nous voir si peu bronzés.
Le temps passa et mon fils restait mon amant. La cohabitation avec mon mari était source d’infinies combinaisons pour nous toucher malgré sa présence. Dans la chambre de mon fils pour cause de travail scolaire, dans la salle de bains parfois au petit matin quand mon mari dormait encore, dans la cuisine quand mon mari était dans le salon, dans la salle à manger ou le salon quand il prenait sa douche, et même dans la chambre conjugale quand mon mari bricolait dans le garage.
Un jour, mon fils me dit qu’il voulait me parler. Il avait fait la connaissance d’une jeune fille et ils sortaient ensemble. Bien sûr, j’en fus meurtri, mais je n’en laissais rien paraître. Au contraire, je l’encourageais dans ses projets.
Malgré cela, nous continuions à coucher ensemble, dans le même lit quand mon mari n’était pas là ou n’importe où pour nous assouvir quand l’occasion se présentait. Pendant cette période, mon fils avait une maîtresse et une fiancée.
Jusqu’à la noce, rien ne changea entre nous. Mon fils me baisait tout aussi régulièrement et cela me convenait parfaitement. Je ne savais pas s’il honorait sa fiancée avec autant de constance et je ne souhaitais pas le savoir. Tant que j’avais ma ration de sperme, le reste m’importait peu.
Vint le jour du mariage. Il se tenait dans une auberge réservée en totalité pour les deux familles. Les mariés ainsi que les leurs parents directs, donc mon mari et moi, étaient logés sur place.
Pendant toute la journée, nous fûmes trop entourés lui et moi pour pouvoir nous caresser ou seulement nous embrasser. Mais vers trois heures du matin, j’entendis gratter à la porte. Heureusement, mon mari dormait. J’allais ouvrir et c’était mon fils qui me demandait de le suivre. Je sortis en nuisette et il m’emmena aux toilettes. Là, il me baisa sans retenue. Nous devions faire beaucoup de bruit, mais il ne s’en préoccupait pas. J’étais appuyée contre la chasse d’eau, penchée en avant au-dessus de la cuvette des WC, les pieds écartés et mon fils me besognaient la chatte à grands coups de bite. Puis il voulut m’enculer pour la première fois. Il disait sur le ton de la plaisanterie que c’était le jour des premières. Sans que je change de position, il me saliva l’anus et me pénétra assez facilement. Il faut dire que j’ai beaucoup joué avec des plugs anaux de diamètres respectables. Il me laboura les fesses et je le sentis bientôt gicler dans mes intestins.
Nous sommes rentrés chacun dans nos chambres, moi pour retrouver mon mari avec mon cul qui goûtait de sperme sous ma nuisette et lui pour retrouver sa femme, avec sa pine gluante de nos deux jus mélangés dans son caleçon. Je ne sais pas si c’est elle qui allait se charger de la lessive, mais elle risquait de se poser des questions de voir des dessous tellement cartonnés.
Aujourd’hui, je suis toujours mariée avec le même homme. Je ne l’ai jamais trompé, sauf avec mon fils. Lui est toujours marié avec la même femme. Il ne l’a non plus jamais trompée, sauf avec moi. Nous sommes toujours amants et nous avons toujours autant de plaisir à nous aimer en cachette de tout le monde. Même quand le jeune couple rend visite au vieux couple, nous trouvons le moyen de nous trouver seuls ensemble, ne serait-ce que quelques secondes, pour nous embrasser, nous toucher ou plus, beaucoup plus parfois.
Brigitte
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