Histoires taboues et histoires de sexe Vieux - Jeunes Viol

Une histoire taboue hors normes ressortie des tiroirs

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Il s’est présenté comme employé récemment chez un petit importateur afin de remettre un peu d’ordre dans les méthodes fort peu orthodoxes de son prédécesseur et pour redonner ainsi confiance aux clients, dont je faisais partie ! Je savais de source officieuse que le susnommé prédécesseur s’en était foutu plein les fouilles et qu’il avait été démissionné avec pertes et fracas, et sans indemnités, son employeur considérant qu’il s’était déjà largement servi dans la caisse, il n’avait échappé à la justice que pour éviter un scandale et la mauvaise publicité qui s’y rattache.

J’étais au café, Madeleine m’a rappelé à l’ordre, mon rendez-vous était arrivé, après tout je pouvais bien le faire poireauter un moment, c’était moi le client, je pouvais bien faire ma précieuse…

Dans la salle d’attente, un type grand, trapu, charpenté, avec une grande barbe bouclée m’attendait. Il m’a serré la main chaleureusement et nous avons tout de suite sympathisé, ce qui est pourtant fort déconseillé lors d’un premier contact. Mais le personnage était avenant et sincère et je n’y pouvais rien. Quoi qu’il en soit je ne risquais pas grand-chose. Nous pouvions facilement faire jouer la concurrence alors que de leur côté ils risquaient de perdre un client prestigieux, ce qui dans leur cas aurait été dommage. La seule chose qu’ils ne savaient pas c’est que nous étions en bisbille avec ladite concurrence et qu’il fallait quand même conclure vite avant que cela ne s’ébruite.

Nous avons travaillé sérieusement tout le restant de la matinée. Mon interlocuteur était vraiment très arrangeant, à tel point que je me suis demandé un instant si je n’étais pas en train de me faire entuber. J’ai même consulté discrètement les tarifs des autres enfoirés à diverses reprises pour me rassurer. Eh bien non ! Ils voulaient le marché, coûte que coûte, et étaient pour cela prêt à faire pas mal de concessions, y compris celle de ne pas nous facturer de charges supplémentaires pour alimenter nos centres de fabrication en Allemagne, une véritable aubaine !

La négociation était tellement bien avancée que, sur le coup de midi j’ai sorti une bonne bouteille de whisky écossais que je planquais dans un tiroir de mon bureau. Et nous nous en sommes servi une bonne rasade !

Les langues se sont déliées et la conversation est rapidement sortie du cadre professionnel. Des bons whiskies aux bons vins et des bons vins à la bonne bouffe… Et bientôt aux bonnes femmes.

À cette époque trônait sur mon bureau une grande photo de ma compagne de l’époque, une dénommée Sadia, une belle petite beurette particulièrement jalouse. C’est elle qui avait tenu à ce que je mette sa photo bien en évidence. Elle pensait que ça pourrait éliminer la concurrence, en tout cas elle l’espérait vivement. Nous nous entendions à merveille, mais sa jalousie était vraiment pesante.

Quand je dis petite Sadia, elle ne l’était pas, fort heureusement. Comment pourriez-vous supposer un seul instant que votre serviteur se mette à la colle avec une petite femme menue et longiligne ? Elle était grande, opulente, imposante, avec des formes plus que généreuses. Vous me prenez pour un cave ou quoi ?

– C’est votre femme ? Elle est vraiment ravissante… tout à fait à mon goût.

– C’est ma compagne, nous faisons couche commune.

– Vous ne devez pas vous ennuyer.

– La vie est trop courte pour ça.

– Je suis moi-même marié à une femme aux formes fort épanouies. Nous partageons ce goût commun. Les formes généreuses tout comme la bonne chair font partie de mes plaisirs…

– Tout comme des miens !

Ensuite je l’ai emmené un bon petit restau, pas très classe, mais un bon petit bouiboui avec une cuisine « aux p’tits oignons ». Le temps d’admirer chez mon hôte un sévère coup de fourchette et aussi une bonne descente. Preuve en est qu’il était bientôt quatre heures quand nous avons repris notre travail, pleins comme deux grosses outres…

– André Seb, je serais vraiment charmé de vous inviter vous et votre charmante compagne un de ces week-ends…

– Et moi Henri, enchanté de rencontrer votre divine épouse.

Rendez-vous fut pris quelques semaines plus tard et c’est avec chaleur que nous nous quittâmes en nous serrant la main. Je regrettais presque de ne point l’avoir tutoyé, tellement l’homme m’apparaissait fort sympathique.

– Au fait, Sadia, nous sommes invités le week-end prochain.

J’étais en train de lui brouter abondamment sa belle et large minette, tout en pelotant sans vergogne ses beaux petits bourrelets, lorsque ça m’est revenu en mémoire. J’ai relevé la tête et lui ai communiqué l’information avant de reprendre mes activités souterraines.

De son côté, elle a sagement différé ses questions, écartant largement les cuisses pour que je la bouffe au plus profond et implorant bientôt d’être prise et de toutes les façons, à grands coups de bite qu’elle précisa, à grands coups de ta très grosse et très belle bite qu’elle ajouta pour me flatter (qu’est-ce qu’on peut raconter comme conneries dans ces moments-là !).

Le temps de terminer ce que nous avions si bien commencé et de reprendre quelque peu nos esprits, au bas mot une demi-heure plus tard :

– Mais je n’ai plus rien à me mettre !

Allons bon, ces femelles, je les comprendrai jamais. Mes armoires étaient pleines de ses vêtements, à tel point que pour trouver un pantalon je devais passer à travers toute une kyrielle de robes et elle, elle n’avait rien à se mettre !

– Mais ta petite robe que tu portais l’autre jour chez ma mère, elle est très bien.

– Quand même, si nous allons chez un de tes clients, il faut que je sois présentable.

– Ce n’est pas un client, c’est un fournisseur ma biche.

– Et puis si nous restons tout un week-end, il faut aussi que j’aie de quoi me changer.

– D’accord ma puce, si je comprends bien tu veux que nous allions faire quelques emplettes.

–… J’ai justement vu un petit ensemble l’autre jour…

Nous y voilà ! J’étais tombé sur une collectionneuse, une froufrouteuse. Elle arpentait les magasins de mode à longueur de journée et comme, de par sa corpulence, elle était limitée aux grandes tailles, ça nous emmenait parfois fort loin. Mais comme je l’adorais, je cédais sans rechigner à tous ses petits caprices.

Le jour dit, après être passé chercher quelques babioles, deux ou trois bonnes bouteilles, un gâteau des familles, un gros bouquet de fleurs ainsi que des gadgets pour les mômes (car ils avaient des mômes !), nous nous présentons à l’entrée d’une propriété dans une épaisse forêt. Un long chemin chaotique qui mène dans une très grande clairière lumineuse où trône une belle petite fermette retapée aux bâtiments disparates. L’endroit est ravissant, même si assez rustique.

Au centre de la cour, deux garçons dix-douze ans pataugent dans une piscine bâtarde improvisée avec une bâche au milieu de bottes de paille. Ils nous font de grands signes et Sadia leur répond chaleureusement.

Et voilà le bon roi Henri qui émerge de son bercail pour nous accueillir, la barbe florissante et la chemise fleurie, une chemise hawaïenne à la Antoine, de quoi faire mourir de honte Sadia qui s’était habillée très classe pour la circonstance. Et le voici qui s’approche, qui me prend dans ses bras, qui me tape dans le dos comme si nous étions à tu à toi. Je n’en reviens pas. Pareil pour Sadia qu’il colle de très très près avec de gros smacks, ce vieux cochon ne perd vraiment pas de temps.

– Alors mes amis, vous avez fait bon voyage ? Vous avez trouvé facilement ?

– Ohhh, mais non, que vous êtes cons ! Il ne fallait pas amener tout ça. Vous allez vous faire tirer l’oreille par Fanou et elle aura raison… Humm, jolie Sadia, c’est vrai que vous êtes ravissante, André m’avait parlé de vous, mais je ne vous imaginais pas aussi lumineuse.

Et Sadia doit se trémousser dans sa petite culotte, car elle adore les compliments.

– Mais venez, entrez donc que je vous présente Fanou. La malheureuse est en train de se faire chouiner avec les oignons.

La dénommée Fanou était une splendide petite femme d’une cinquantaine d’années, brune, pulpeuse en diable, certes un peu bedonnante, avec une forte poitrine et surtout une croupe gigantesque, un cul énorme, démesuré, hors normes, hors concours. En l’embrassant et en pensant à son adorable fessier, je me suis mis à triquer comme un cheval, d’autant plus qu’elle fleurait bon un délicieux parfum poivré aux arômes exotiques. Sur ce Sadia m’a donné un grand coup de coude et m’a fait les gros yeux, il y a des signes qui ne trompent pas.

Tandis que je me remettais difficilement de mes émotions, les yeux sans cesse attirés par le gros popotin de cette divine créature, une véritable tornade a traversé la pièce, dans un sens puis dans l’autre, une belle jeune fille aux joues bien pleines, replète comme sa mère et dotée d’une poitrine fort généreuse pour son âge.

– Ma fille, Babette… Tu pourrais dire bonjour, Babette.

– B’jour Monsieur, b’jour Madame,

– Mais non, arrête, tu exagères.

Finalement elle a consenti à venir nous saluer.

– Vous avez un parfum très sensuel, a-t-elle dit à Sadia.

– Vous avez une très jolie femme, a-t-elle ajouté à mon encontre, avant de s’en retourner et de filer à l’étage.

– On dirait toujours qu’elle a le feu au cul, au propre comme au figuré, a ajouté son père, en la regardant s’égayer dans la nature.

Apéritif dans le living, je vous passe tous les détails. Henri nous avait confectionné de délicieux cocktails, Fanette y avait ajouté une tonne de petits amuse-gueule tous plus raffinés les uns que les autres. Dès que Sadia m’en donnait l’occasion en regardant ailleurs, j’en profitais pour détailler en détail notre très charmante hôtesse, avec déjà une forte envie d’en croquer.

Ensuite nous sommes passés à table et les enfants nous ont rejoints. Le déjeuner était exquis et pantagruélique. Au troisième plat les deux garçons, le fils de la maison et un de ses copains, ont demandé l’autorisation de sortir de table pour retourner dans la piscine. Quant à Babette, elle en a profité pour s’éclipser discrètement sans rien dire à personne.

Mais nous n’en étions encore qu’à la moitié du repas. Nous allions nous faire péter la panse. Un petit trou normand pour nous remettre de nos émotions et nous passions aux choses sérieuses.

– Cuisseaux de sanglier parfumé à la cyprine aspergé d’un petit éjaculât fort crémeux, a clamé joyeusement Henri en trifouillant sa barbe.

Nous étions de fort charmante humeur. Il en profita pour déboucher une autre bonne bouteille tandis que je détachais discrètement les boutons de mon falzar. J’étais plein comme une outre, je n’en pouvais plus. J’ai regardé Sadia, elle aussi criait grâce, tandis qu’Henri, imperturbable, la barbiche pleine de sauce continuait à s’empiffrer.

– Et maintenant mes amis, le clou du spectacle, les « mamelles de déesse », un savoureux petit entremet mollasson baignant dans une sucrine liquoreuse :

J’ai failli vomir ! C’était délicieux, mais je ne parvenais plus à rien avaler. Babette, qui était redescendue pour le dessert, par contre se régalait et a avalé la moitié du plat à elle toute seule.

– J’ai une très jolie fille, dont je suis très fier, mais elle a un sale petit caractère. Quand elle a décidé quelque chose, difficile de lui faire changer d’avis. Ce soir elle a décidé d’aller dans un « rave » avec ses copains voyous et moi je ne suis vraiment pas très chaud pour la laisser filer.

– Tu préférerais sans doute m’attacher, m’enfermer et m’obliger à sortir voilée…

Puis, détournant astucieusement la conversation, elle brancha Sadia :

– Toi, Sadia, toi qui es d’origine arabe, ça doit quand même t’agacer, toutes ces femmes voilées…

– Je ne suis pas arabe, je suis kabyle !

– Mais ma biche, qu’est-ce que tu nous chantes, tu es française de pure souche, même tes parents étaient français et tes grands-parents maternels aussi. En plus, durant toute ta vie, tu n’as même pas passé trois mois en Algérie !

– Je suis peut-être française, mais du côté de mon père mes grands-parents étaient kabyles, donc je suis une Française kabyle… et surtout pas arabe ! Si vous saviez tout le mal que les Arabes ont fait à ma famille, de quoi avoir la haine, pour des générations.

– Excuse-moi Sadia, je ne voulais pas te vexer.

– Pas grave Babette ! Mais pour en revenir au problème des femmes dans le monde arabe, je trouve ça éminemment scandaleux. J’ai horreur des intégristes de toutes tendances, qu’ils soient sunnites ou chiites, tous ces traditionalistes interprètent le Coran à leur façon c’est-à-dire de la façon la plus machiste qui soit. À chaque fois que j’y pense, ça me révolte, ça me prend aux tripes et j’ai envie de me battre. Certains pays sont culturellement revenus 1000 ans en arrière, ils nous refont le coup de l’inquisition avec tout le fanatisme religieux que cela implique, c’est écœurant. Les femmes sont opprimées comme jamais elles ne l’ont été auparavant… Et dire que ce sont les grandes puissances qui ont contribué à tout ça, ce sont vraiment des enfoirés, Russes et Ricains confondus avec tous leurs alliés occidentaux, mais surtout les Ricains, les soi-disant défenseurs du monde libre. Ils ont armé les moudjahidines pour combattre l’Iran chiite et puis ensuite les talibans pour faire la nique aux Soviétiques. Quand on voit la grande liberté qui règne en Afghanistan, on peut leur dire « Bravo, vive le monde libre », tout ça pour de sombres considérations politico-mercantiles et autres intérêts stratégiques. Et maintenant ils sont des millions à prêcher la guerre sainte. Qui va les combattre ? Certainement pas les politicards occidentaux, ils n’ont plus aucun idéal. Tout le monde vit sa petite vie dans son coin et tout le monde s’en fout. Et si un jour il faut prendre les armes pour défendre nos idées et notre conception de la liberté, je me demande vraiment qui viendra… En tout cas moi j’irai, même si je dois en crever.

– Je suis d’accord avec toi, surenchérit Babette, tu peux compter aussi sur moi. Nous serons au moins deux à mourir pour la bonne cause. Au moins avant, il y avait des mecs qui en voulaient. Ils se sont peut-être trompés sur toute la ligne, mais ils en voulaient. T’as qu’à prendre le Che par exemple, ces mecs-là en avaient, ce n’était pas des couilles molles. Ou même plus proche de nous les opposants chinois, moi vraiment je les admire…

Nos deux passionarias s’étaient envolées vers des sommets que notre dose d’alcool nous empêchait d’atteindre. Aussi avons-nous pris la sage décision de nous replier tous les trois, Henri, Fanette et moi vers la tonnelle, laissant à nos deux jeunettes le loisir de refaire le monde. Henri s’est allongé, peinard dans un transat et moi face à lui, tranquille sur la balancelle. Fanou est partie dans la cuisine nous faire un café. Une douce brise nous rafraîchissait quelque peu les esprits :

– Sadia est encore jeune et impétueuse, lança Henri.

– Elle approche quand même de la trentaine, répliquai-je.

– Mon vieux salaud, tu ne dois pas t’ennuyer tous les jours, elle a un sacré tempérament la bougresse et au lit elle doit avoir un sacré coup de reins cette belle cochonne.

– Je n’ai pas à me plaindre, effectivement, elle a du répondant et elle est insatiable.

– Ma Fanette ne l’est pas moins, même si elle a, c’est vrai, un peu plus vécu. Moins de vivacité, mais plus d’expérience et puis c’est toujours un grand plaisir de lui peloter les miches et de mater son beau gros cul.

Sur ce, Fanette nous rejoint avec les tasses à café et quelques friandises :

– À qui tu veux encore peloter les miches, vieux cochon. T’as pas assez d’une femme, faut encore que t’ailles foutre tes mains un peu partout.

– Mais je parlais de toi, ma biche.

– Tu parles !

Et tout en servant le café :

– Il ne vous a pas raconté, André-Seb, l’autre jour j’ai surpris ce vieux satyre la main dans le sac, en train de tripoter deux petites jeunettes à pleines pognes. Une vingtaine d’années chacune et les nichons à l’air et vas-y que je te les paluche et vas-y que je te tripote, ça pour tripoter il s’y connaît, le vieux Riton.

– Avec les belles paires de mamelles qu’elles se payaient, j’aurais eu tort de ne pas en profiter. Au départ c’était un concours, je voulais savoir laquelle des deux avait la plus belle paire de loches. Il faut dire qu’elles étaient bien pourvues ces deux gueuses.

– N’empêche que si je n’étais pas arrivée, on se demande comment ça se serait terminé tout ça. Déjà qu’elles étaient toutes deux nichons à l’air et qu’une d’elles avait perdu sa culotte. Et mon pépère, royal, qui était en train de se les téter, il a fallu que je mette de l’ordre dans tout ça.

– Mais tu sais bien que c’est toi que j’aime ma louloutte, qu’il lui répond en glissant sa main sous sa jupe et en lui palpant éhontément le cul, tu as le plus joli troufignon de toute la planète, jamais je n’en trouverai un aussi beau que toi.

– N’empêche que t’étais à deux doigts de les faire passer à la casserole mon salaud, fallait voir comme il les faisait glousser ces deux petites pimbêches.

– Normal quand une merveille de la nature vous passe à portée de la main, il faudrait être con pour ne pas en profiter. Et l’une d’entre elles avait de ces outres, jamais vu ça à cet âge, encore mieux que Sadia, je pense.

– Parce qu’elle aussi tu veux te la baiser ?

– C’est que je ne dirais pas non ! Une belle gourgandine comme ça, ça doit vous redonner la jeunesse.

– Et bien, mon salaud, si tu fais ça je me donne à André Seb, et par tous les trous.

– Tout le plaisir serait pour moi ai-je ajouté avec un sourire enjôleur, heureux de la tournure que prenaient les événements.

– Et moi donc, ça me changerait de mon satyre qui rêve sans cesse de midinettes.

– Méfie-toi quand même ma Fanette, quelque chose me dit qu’André Seb est un petit vicieux.

Sadia et Babette nous avaient rejoints et avaient certainement assisté à la fin de la conversation :

– Et bien, vous n’avez pas l’air de vous ennuyer !

– Mes parents sont deux vieux cochons forts sympathiques, c’est pour cela que je les adore… Et bien je crois que je vais vous laisser… entre adultes… Mon Matthieu est arrivé, il m’attend, nous déposons les garçons chez Françoise et nous filons à la soirée…

– J’espère que tu ne feras pas de folie ma biche, calmos sur l’alcool et sur la drogue.

– Oui mon petit papa !

– Et sors couverte ! Ne fais pas n’importe quoi !

– Oui mon papounet, je serai sage comme une limace, je te promets. En tout cas, je vous souhaite de passer une très agréable soirée, ajouta-t-elle malicieusement, en me décochant un petit clin d’œil !

Elle est déjà partie la divine Babette. À dix-sept ans, c’est déjà une femme pleine d’assurance. Si seulement j’avais 20 ans de moins !

– Oh putain ces enfants, quels soucis, j’ai vraiment la trouille qu’il lui arrive quelque chose. On ne sait jamais avec tout ce qu’on entend, la drogue, les partouzes, les gangs-bangs. Je ne voudrais pas qu’elle en souffre après.

Il a l’air tout malheureux Riton, il me fait chaud au cœur.

– Pourquoi ne lui fais-tu pas confiance à ta fille ? Elle est jeune, mais elle sait parfaitement ce qu’elle fait et ce qu’elle veut, rétorque Fanou pour relativiser. Je ne pense pas qu’elle soit frivole, je la trouve au contraire très stable et très bien dans sa peau.

– Mais à cet âge, tout peut arriver…

– Rappelle-toi que quand tu m’as connue je n’avais que 16 ans et que tu étais bien content que je vienne te retrouver tous les soirs à l’insu de mes parents. Là tu étais bien content qu’on s’amuse dans la paille. Et pourtant je n’ai pas l’impression que nous avons commis les pires bêtises, sans rester pour autant vraiment sages. Il faut aussi que jeunesse se fasse… Ça fait 3 ans qu’elle prend la pilule et depuis qu’il le sait, Henri en est tout malade et tout tremblant, un véritable papa-poule, s’il pouvait mettre ses enfants sous cloche il le ferait… Alors qu’à leur âge il faisait les 400 coups…

– Tu dois avoir raison, Fanie de mon cœur, viens t’asseoir sur mes genoux que je te tripote.

– Allons, voyons, pas devant nos invités.

– Allons, viens, ne joue pas la revêche, j’aime sentir tes bonnes grosses fesses contre ma trique.

Et, l’agrippant par les hanches, il parvient après une courte lutte à la basculer sur ses genoux.

– Allons la gueuse, ne joue pas ta farouche !

Puis, s’adressant à ma douce :

– Durant votre absence chère Sadia, Fanou a émis l’hypothèse que nous pourrions changer de partenaire.

– Voyons, Henri, je ne parlais pas sérieusement.

– En tout cas chère amie, je disais à André que vous étiez d’une beauté resplendissante et que vos courbes me mettaient en émoi à tel point que le simple fait de vous regarder réveille en moi des envies peu communes, n’est-ce pas André ?

– Henri est un dragueur impénitent et il se trouve que tu es tout à fait son type ma puce.

– Allons, André, ne sois pas timide ! Tu me disais aussi toi-même que ma belle grosse femelle t’émoustillait.

Puis relevant légèrement la jupe de sa compagne.

– Regarde ses belles grosses cuisses, regarde comme c’est beau tout ça ! Humm ! Et puis, mes amis, quel fumet !

– Allons, Henri, arrête, s’il te plaît, sois sérieux un peu.

– Sérieux, sérieux, alors que j’ai tes bonnes grosses fesses juste sur ma bitte et que ça me fait bander.

Elle finit par s’arracher à son étreinte :

– Henri est un vilain garnement, il faut lui pardonner… Je vais débarrasser un peu.

Je me suis levé d’un bond :

– Je vais vous aider Fanou.

– Quel empressement, a fait remarquer Sadia, sarcastique !

Curieusement je n’ai pas remarqué trop de jalousie dans sa voix et lorsque j’ai vu sa façon de regarder Henri, c’est moi qui ai été jaloux. Putain, elle n’a quand même pas pris les facéties de ce vieux coureur de jupons pour argent comptant. Elle a envie de se faire sauter ou quoi ! Du coup je n’avais plus guère envie d’aller dans la cuisine et de les laisser seuls tous les deux, d’autant plus que le bon roi Henri était en train de la dévorer des yeux, bougre d’obsédé, se voyant sans doute en train de lui dévorer les tétons.

Mais Fanou m’a tiré de mes rêveries :

– Prenez donc le plateau André, et les trois bouteilles vides.

Contraint et forcé, je lui ai emboîté le pas. Bien mal m’en pris, le battant de la porte de la cuisine à peine rabattue qu’elle s’est jetée sur moi pour me rouler une grosse pelle des plus baveuses, torride la greluche ! Aussi simple que ça, inattendu et merveilleux, nos langues se sont enlacées dans la plus folle des passions tandis qu’elle allait droit à l’essentiel et me palpait les roubignoles. Inutile de préciser qu’à ce rythme-là je ne tardai pas à bander comme un ours, d’autant plus que ma main plongée dans son corsage palpait de forts beaux et forts juteux attributs. Quel patin mes amis, j’en retournais en pucelage ! Et quelle bonne grosse cochonne bien chaudasse, sacré tempérament, sacrée langue et sacrées mamelles ! J’ai continuai mes attouchements un long moment avec une forte envie de me l’enfiler là, contre l’évier et dans l’urgence, mais elle m’en a dissuadé :

– Soyons raisonnables, les autres nous attendent, nous remettrons ça à plus part…

Et tandis qu’elle avançait dans le couloir, une boîte de cigares à la main, je m’évertuais à lui pincer ses belles grosses fesses.

Ce vieux sagouin d’Henri était agenouillé devant ma pétasse, une main qui farfouillait entre ses cuisses. Pris la main dans le sac. Sadia était à moitié partie vers un 7e ciel évocateur et elle eut quelque mal à nous rejoindre sur terre.

– Alors on ne se gêne pas, lança Fanou, égrillarde !

– Heu… je… cherchais quelque chose !

– Entre les cuisses de notre jeune amie, qu’est-ce que ça peut être ?

Et ce salaud se rassit en humant ses doigts humides du parfum de ma salope.

– Un bon cigare devrait te remettre les idées en place… Allez, messieurs, on vous laisse. J’emmène Sadia faire le tour du propriétaire.

– À la bonne heure, regarde-moi donc ces deux belles paires de fesses qui se dandinent. Humm quel bonheur de voir ces deux gros culs ! Je ne voudrais manquer ça pour tout l’or du monde.

– Beau spectacle en effet… vraiment splendide.

– Alors tu lui as roulé une galoche à ma gourgandine ? Elle adore ça, se faire sucer la langue.

–…

– Allons, nous sommes entre mecs, tu peux bien me le dire.

– J’avoue qu’elle a un sacré tempérament ta Fanette et que je n’ai pu faire autrement que de succomber à ses charmes. Et puis quelle belle paire de mamelles bien appétissantes, des luxuriantes mamelles avec de gros tétons et au fur et, à mesure que je lui pétrissais, je la sentais couler dans mes bras.

– Et bien, mon cochon, il ne faudrait pas que je te laisse trop longtemps avec elle pour que je la retrouve engrossée. Remarque, moi ce n’est guère mieux, j’étais pantois devant ta donzelle, j’en bavais d’envie sur ses belles grosses cuisses. Je n’ai pas tardé à glisser dans son écrin pour y voir les grandes eaux : sa petite culotte était une vraie éponge. Rien qu’à glisser mon doigt et elle se tordait. Et d’une liqueur des plus chatoyantes. Ça devrait être interdit tout ça, ce sont des incitations à la débauche ! Comment veux-tu qu’un homme normalement constitué résiste lorsqu’il a deux gros obus devant les yeux et une fontaine de miel entre les doigts, la tentation est trop forte !

Nous étions confortablement engoncés dans de profonds fauteuils de cuir à siroter un excellent cognac et à fumer nos barreaux de chaise. La vie s’écoulait douce et paisible au rythme du tic-tac de la pendule et nous n’éprouvions aucun besoin de la troubler par quelque parole superflue, mis à part qu’au bout d’un moment nous commençâmes à nous ennuyer de nos pétasses :

– Je ne sais pas ce qu’elles font nos deux gourgandines, j’espère qu’elles ne se sont pas trouvé deux vilains satires, de quoi rassasier leur appétit féroce.

– Si nous allions à leur rencontre !

– Bonne idée, j’ai bien envie de leur palper les fesses.

Nous voici donc partis dans le dédale des pièces de cette somptueuse demeure à la recherche des deux donzelles. Et là, paf, je vous le donne en mille, les deux dodues, tête-bêche, entièrement nues, en train de se brouter avidement la cramouille. Ces deux vilaines ne nous avaient point attendus. Et comme j’allais rentrer, Henri me retint par la manche : « Profitons un instant de ce spectacle inhabituel, me chuchota-t-il discrètement à la porte. Quel plaisir cet enchevêtrement de grassouillettes. »

Pour sûr que c’en était bandant, tous ces bourrelets, toutes ces mamelles, toute cette bidoche, ces deux chiennes mélangées qui se broutaient fiévreusement la touffe. J’avoue que je ne connaissais pas ce talent chez Sadia, car j’ignorais qu’elle fut gouinasse. N’empêche qu’elle était au-dessus et qu’elle ne suçait nullement du bout des lèvres, mais au contraire qu’elle se déchaînait entre les cuisses de notre charmante hôtesse. Celle-ci, qui était face à nous, nous avait effectivement repérés, mais se gardait bien d’arrêter les ébats, redoublant au contraire d’intensité sur la belle chatte de Sadia qui ondulait le popotin de satisfaction.

Le bon roi Henri regardait ça, sans en perdre une goutte, les yeux brillants, émerveillés, et je n’étais pas très loin de le suivre dans sa contemplation.

« Putain, mais quel cul, et surtout quelles mamelles ! Quels plantureux appâts au galbe généreux ! Ta Sadia est vraiment une déesse mammaire et j’ai hâte de lui malaxer les nichons. »

J’en pensais tout autant du fessier de sa familière, ses énormes fesses adipeuses m’excitaient tout autant. Crénom de salope, j’avais forte envie d’y pénétrer ma bitte et je bandais tellement fort que mon slip allait craquer. Je ne tenais plus :

– Et si nous les rejoignions ? ai-je suggéré à Henri.

– J’allais te le proposer !

– Vingt Dieux, mes belles salopes, mes joyeuses fornicatrices, vous auriez quand même pu nous attendre.

Sadia releva la tête, le regard dévoré par la lubricité.

– Humm que c’est beau tout ça, cette jolie croupe, ces belles tétasses.

Henri a mouillé son doigt et l’a glissé dans la raie culière de ma bien-aimée qui curieusement n’attendait que ça. Aspirée par Fanou, enculée par Henri, elle se déchaînait comme une folle. Henri glissa sa langue sur sa rosette et commença à l’y enfoncer. De mon côté, je m’approchai et glissai mes mains entre les deux femmes pour pétrir leurs beaux nichons et leurs généreux bourrelets graisseux…

L’instant d’après, nous étions tous les quatre à poil, les deux mâles la bitte dressée, les deux femelles en chaleur. Henri avait un fort désir de s’empaler Sadia et moi une forte envie de défoncer Fanette. Fort bien préparées, elles n’attendaient plus que ça. Je me suis un instant désintéressé d’Henri et de Sadia pour me consacrer exclusivement à Fanette, plongeant ma tête entre ses deux grosses cuisses adipeuses, vers sa cramouille juteuse. Très poilue, beaucoup plus que Sadia, de très longs poils bouclés recouvrant son pubis et deux petits anneaux, un à chaque lèvre. Comment diantre cette salope avait-elle pu se les faire mettre ? Qui avait été l’heureux élu pour contempler ce spectacle et s’occuper de ce merveilleux buisson ardent ?

C’était bougrement excitant et foutrement bandant toute cette grosse chatte bien rouge, bien écartelée, imbibée de cyprine, avec ces deux anneaux, humm un délice pour le dessert ! Je l’ai broutée abondamment, me délectant comme un fou de cette belle moulasse avant de glisser dans sa raie pour lui titiller le cul.

Puis agrippant ses bourrelets ventraux, je me suis mis à la laper comme un petit chien essoufflé, de plus en plus vite, toujours plus vite et toujours plus fort jusqu’à ce qu’elle explose enfin d’un dernier coup de langue…

Lorsque je me suis redressé, Sadia était à quatre pattes à l’autre bout du lit et Henri la ferraillait à grands coups de boutoir. Ma belle était déchaînée et venait sans cesse à l’encontre de cette bitte qui la pistonnait sans relâche.

– Regarde-moi ça André, les belles grosses mamelles de ta salope qui balancent à chaque coup de ma bitte, comme elles sont belles ses grosses outres, comme elles balancent bien ses grosses vasques.

Entre temps, j’ai invité Fanette à se mettre à quatre pattes pour la bourrer en cadence.

– Putain, quel cul. Mais quel cul ! (Je n’en revenais pas !) Une des sept merveilles du monde. Un cul énorme, débordant de jovialité et accueillant en diable. Je lui ai sucé le fion quelque temps par-derrière puis me suis enfoncé en elle en tapotant ses grosses fesses. L’énorme popotin de la grassouillette que je bourrais généreusement méritait bien quelques fessées.

– Quelles bonnes grosses cochonnes nous avons là ! Bien pleines, bien dodues et bien graisseuses, c’est un plaisir de se les tringler ces déesses ventrues, les deux plus belles femmes de la terre.

De concert nous les avons fait se retourner, côte à côte de façon à ce qu’elles puissent aussi se rouler des pelles et se branler mutuellement tandis que nous continuions à les baiser. Nous les ramonions en cadence, excités par le flic-flac de leurs moules détrempées, tandis que nos pétasses couinaient en écho.

Sadia est venue d’un coup en hurlant comme une folle, en agrippant violemment la tétasse de Fanou qui, deux secondes plus tard la rejoignaient au nirvana.

Nouvelles péripéties, nos deux compagnes à nouveau à quatre pattes et nous qui cherchions à les enculer après avoir copieusement enduit de gel lubrifiant leurs gros culs accueillants. J’y parvins en premier, sans aucune difficulté, Fanou étant sans doute rompue à ce genre de pratique. Henri eut un peu plus de mal, nous le faisions parfois avec Sadia, mais ce n’était pas vraiment sa tasse de thé. En tout cas dans la situation présente, elle ne rechigna pas et aida même son amant en ouvrant largement ses fesses avec ses mains. Sodomisées en cadence les deux drôlesses s’en mordaient les lèvres tellement elles avaient l’air d’apprécier, même Sadia qui pourtant avait souvent mal en pareille circonstance, ce jour-là elle se donnait à fond.

Je me suis retiré juste à temps pour asperger le bon gros cul de ma plantureuse compagne, prenant soin d’étaler tout mon foutre sur son énorme fessier. Henri me rejoint quelque temps plus tard dans la jouissance, prenant soin de faire retourner Sadia pour lui asperger copieusement ses opulentes mamelles.

Et nous sommes retombés tous les quatre sur le lit.

– Alors les gourgandines, vous avez l’air d’aimer ça

– Dommage que ce soit déjà fini, le taquina Sadia.

– Ohh toi, tu sais, tu ne perds rien pour attendre… Laisse-moi reprendre mes esprits et je m’en vais t’en remettre une bonne dose ma coquine.

– Je ne demande que ça, surenchérit Sadia !

Je suis quand même intervenu pour la forme :

– Petite pute, ça te plait de me cocufier comme ça !

– Et toi avec Fanou, tu crois que je ne t’ai pas vu, elles avaient bien l’air de t’inspirer ses grosses cuisses charnues.

– Ohhh que oui qu’elles m’inspiraient et elles m’inspirent toujours. D’ailleurs Fanou m’avait promis ses trois trous et il en manque un à l’appel.

Henri se releva péniblement et revint peu de temps après avec un petit sac de sport.

– J’ai quelques accessoires là dedans… Si ça vous intéresse !

Quelques accessoires qu’il disait, mais il y avait tout l’attirail d’un sex-shop là dedans, des godes de toutes tailles et de toutes consistances, des boules de geisha, des menottes, un martinet, des cordages…

Après un temps de repos, je me suis mis en 69 sous Fanette, deux trois godes à portée de la main afin d’être en mesure de satisfaire tous ses orifices, un dans le cul, un dans la chatte et ma biroute dans le gosier. Elle m’astiquait comme une dépravée en remuant son gros derrière. Humm, quelle vision dantesque !

Henri de son côté ne chômait pas non plus. Sadia était de nouveau à genoux, mais cette fois-ci les mains attachées derrière le dos, la tête reposant sur le lit, parfaite petite esclave soumise et offerte à un maître capricieux qui tantôt lui enfonçait un gode, tantôt la défonçait avec sa bitte avant d’opter pour un vibro, bourrée jusqu’à plus soif. De mon côté j’ai enfoncé un gros gode vibrant dans la chatte de Fanou, réglé sur la puissance maximale. Ça plus quelques allers-retours ainsi qu’un long gode lisse remplissant son anus et elle s’est mise à jouir à répétition en hurlant comme une bête, plus possible de l’arrêter tandis que moi, sans pitié, je continuais encore et toujours dans sa chatte, dans son cul, malaxant sans relâche tantôt un nichon ou un de ses bourrelets… jusqu’à ce que, complètement vidée, elle m’implore enfin d’arrêter…

Alors que je pensais qu’elle allait reprendre sa fellation, la voici qui me glisse à l’oreille « J’aimerais beaucoup que tu encules mon gros cochon de mari, je suis certaine qu’il adorerait se faire mettre ce vieux vicieux. »

Ni une, ni deux, il était en train de limer ma Sadia ce vieux cochon. Je m’approche par-derrière et, mouillant abondamment un doigt, je lui glisse lentement dans l’anus.

– Morbleu, qu’est-ce que tu fais ? Mais tu m’encules mon salaud ? Tu veux te venger parce que je bourre ta pétasse ?

Et lui de la limer de plus belle et moi de lui mettre deux doigts et de lui écarteler le fion en lui huilant de lubrifiant comme je l’avais fait pour Fanou.

Il se pencha légèrement, le cul dressé, prêt à se faire mettre, à se faire enculer, et je ne tardai pas à me l’enfiler, de toute la longueur.

– Foutre-dieu, que c’est bon de l’avoir dans le cul. Vas-y, prends-moi comme une pute, ramone-moi la cafetière pendant que je baise ta pouffiasse.

Pas si évident que ça de coordonner nos mouvements tous les trois, la situation était pourtant bougrement excitante. Fanou nous regardait de l’autre bout du lit en se doigtant tranquillement la chatoune tandis que Sadia dégustait pas mal écrasée par le poids des deux mâles au-dessus d’elle. Nous nous sommes finalement retirés de nos trous respectifs et nous nous sommes terminés en nous branlant sur le visage de Sadia qui a été copieusement aspergé de laitance.

Quelle soirée mes amis ! Nous sommes tous allés prendre une bonne douche, moi avec Sadia et Henri avec sa femme, comme si nous avions quand même aussi besoin de nous retrouver un peu en couple. Alors, sous la douche, nous nous sommes tendrement embrassés, Sadia et moi, dans un bel élan complice, nous assurant ainsi qu’après ce grand délire charnel, notre amour restait intact.

La soirée s’est écoulée alors paisible en amoureux sous le patio. Pas de baise effrénée, pas d’orgie culinaire, pas de boisson alcoolisée… le repos après la bataille, ce qui ne nous a pas empêchés de recommencer le lendemain, les filles étaient vraiment trop beaux, leur chair était trop appétissante, il eut fallu être moine pour pouvoir s’en priver.

 André Sébastien Borland

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