Marc et sa femme louise loge depuis quelques années, Lysiane une étudiante. Lysiane, maintenant est à la fac. Ils la considère depuis longtemps comme leur propre fille, et la chouchou comme telle, les trois sont très fusionnelle, et s’adorent.
Mais sans penser à mal, elle se promène lorsqu’elle sort de la douche le soir, en petite culotte et soutien-gorge.
En voyant le déhanché de félin de la jeune fille, Marc écarquille. Il défaille, la dévore des yeux en salivant. Mais lorsqu’il voit la forme de son petit cul, moulé dans la culotte en dentelle, il a beaucoup de mal à se retenir. Elle est si transparente, qu’elle voile à peine ses formes.
Lorsqu’elle lui fait face, des idées salaces lui traversent l’esprit, en voyant sa chatte garni d’une fine toison, que la culotte peine à cacher. Le tissu inséré entre les fines lèvres vaginales, met en évidence le clito, Marc bouillonne, en ma dévorant des yeux.
Bien calé sur le canapé, il serre les dents, le spectacle le rend fébrile, il s’imagine, défoncer Lysiane à grands coups de boutoir.
Une grosse bosse déforme son pantalon, pour calmer la pulsion qui lui ronge les entrailles, il frotte sa verge au travers son pantalon, en grimaçant. Louise elle, la regarde tendrement, en souriant, enfoncée dans un fauteuil devant la télé.
Lysiane agile comme un félin, en passant devant Louise, s’assied sur ses genoux, elle la prend par le cou et la serre très fort contre elle. Ses petits seins appuient fortement sur le torse de Louise, elle peut entendre son cœur battre.
les deux femmes se regardent, leurs yeux pétillent d’amour, le rapport platonique est très tendre est sincère. Les baisers pleuvent sur le visage de louise, qui fond de bonheur. N’ayant pas eu d’enfant, son amour maternel se porte sur Lysiane, qui d’ailleurs lui rend bien.
La coquine change de partenaire, elle vient s’asseoir sur les genoux de Marc et l’enserre fortement dans ses bras. Le bougre très gêné, par l’énorme érection craint la réaction de Lysiane. La jeunette ne peut ignorer le manche épais qui appuie contre son fessier. Elle fait mine de ne rien sentir, mais ondule un court instant son bassin sur la verge douloureuse, cachée dans le pantalon. Elle regarde en souriant Marc et lui donne un gros baiser à la commissure de ses lèvres, avant de saluer le couple et de monter dans sa chambre.
Marc la voit partir, en agitant son bassin, sa culotte, c’est insérée entre les lobes fessiers, comme pour les séparer. Le sang de Marc, ne fait qu’un tour, il quitte la croupe de Lysiane, que lorsqu’elle a disparue dans l’escalier.
Louis est très heureuse, elle dit :
-Elle est vraiment très gentille NOTRE fille, en parlant de Lysiane et très belle en plus !
Marc en serrant les dents montre la bosse monstrueuse et répond avec émoi :
-Tu parles, regarde, comme elle me fait bander !
Louise se lève et s’approche de son mari, elle s’assied à côté de lui, et en souriant regarde le bas-ventre. Elle dit :
-Mon Dieu Marc, mais c’est vrai, tu bandes !
Marc réplique :
-Oh putain je la baiserai bien !
Louise plaque sa main sur la bosse et la presse plusieurs fois en disant :
A comme ça, tu la baiserai bien, eh bien mon lascar, je vais calmer tes pulsions malsaines mon salaud, laisse-moi faire !
Elle extirpe du pantalon et du slip le manche qui se détend comme un ressort, elle le saisit, et le branle en faisant pousser des gémissements rauques à son mari. la verge semble vibrer dans sa main, elle la décalotte et donne des coups de langue sur le gland, comme elle sait si bien le faire. Elle le prend en bouche et suce comme une vorace. Marc défaille il ne peut s’empêcher de dire :
-Comme tu suces bien ma chérie, oh la vache je vais décharger !
El grognant comme un animal, elle remplit la bouche de sa femme avec sa semence épaisse. Louise se redresse, elle pince ses lèvres, regarde son mari et avale la crème onctueuse, en déglutissant bruyamment. Elle retire rapidement sa culotte et retrousse sa jupe en découvrant sans complexe, son bas-ventre. Marc s’agenouille et plaque sa bouche sur le fruit trop mûre, qui laisse échapper son jus. Il aspire, et fouille de sa langue le puits profond. Louise gémit terriblement. Mais dès qu’il lui gobe le clito, elle se cabre en poussant un gémissement terrible, qu’elle tente d’étouffer en se mordant la main.
Louise passe de longues minutes à gémir, avant d’exploser. Marc se redresse sa queue est toujours opérationnelle. Il l’enfonce dans le ventre de sa femme et la pilonne comme un forcené, elle jouit plusieurs fois sans retenir ses cris. Marc, lui envoie dans le ventre sa semence. Puis se retire.
Soudain le son d’une gorge que l’on racle se fait entendre. Les deux amants se retournent et voient Lysiane sur le pas de la porte. Rapidement, Louise rabat sa robe, et rougit comme une pivoine. Elle dit en balbutient :
-Lysiane, mais que fais-tu là ?
-J’ai entendue des cris, et je me suis inquiétée. Mais je crois que j’arrive au mauvais moment !
Marc regarde la jeune fille sans sourciller, il dit avec des trémolos dans la voix :
-Eh oui ma chérie, c’est la nature nous n’en pouvons rien !
Louise en béguant, ajoute :
-C’est un peu de ta faute ma chérie, en te voyant en petite culotte et en soutien- gorge, Marc n’a pu se contenir, et tu vois le résultat !
Lysiane écarquille les yeux, s’approche sans quitter des yeux la verge gluante de Marc, et dit :
-C’est à cause de moi ça !
Elle montre du doigt la queue gluante de Marc qui commence à baisser la tête, et ajoute :
-Je suis confuse de provoquer ça, à l’avenir, je mettrai un peignoir, pardon d’avoir était inconsciente !
Louise répond :
-Mais ma chérie, cela est très bénéfique pour nous, le coquin était tellement excité, qu’il m’a prise comme une chienne c’était que du bonheur, dommage que ce ne soit pas plus souvent !
Marc avec un sourire ajoute :
-Comme à chaque fois que je la vois en petite culotte, je bande, alors je serai toujours entre tes cuisses ma chérie !
Il ajoute en regardant Lysiane :
-Si tu veux ma princesse, tu peux avoir aussi du bonheur, rejoins nous !
Louise regarde son mari en lui faisant les gros yeux, et dit :
-Mais Marc tu n’y penses pas, c’est quasi notre fille, tu es fou !
Il fait un sourire et dit :
-Oui mais elle ne l’est pas, et même si elle l’était, je me sent une âme d’incestueux, lorsque je la voit en petite tenue hum, regarde ma queue se redresse !
Effectivement le membre reprend vigueur, Lysiane le regarde, dans sa jeune vie, elle n’a jamais vu de membres, sauf dans les films pornos. Celui de Marc l’impressionne, il faut dire que le bougre est bien monté.
En l’agitant doucement, il réitère sa demande :
-Tu peux venir jouer avec nous, ma chérie si tu le veux !
Lysiane regarde à tour de rôle, Louise, Marc, surtout son engin. La tentation est grande, elle pince les lèvres, en poussant un gros soupir. Marc agite doucement son glaive épais, l’engin est très large, bien long et fortement veiné.
Pour émoustiller Lysiane, il s’approche de sa femme et lui offre son mandrin, un peu gênée par la présence de Lysiane. Elle saisit timidement le membre et maladroitement le branle. Marc commence à geindre. Il dit entre deux souffles :
-Suce, suce, ma chérie !
Louise décalotte le gland, et le gobe, les succions qu’elle pratiques font couiner Marc, il accompagne les mouvements de la tête de sa femme, en se cramponnant à sa chevelure. Louise se lâche, elle savoure le gland en geignant, sa bouche est miraculeuse, de sa main libre, elle lui triture les couilles, qui sembles bien pleines.
Lysiane se rapproche, ses yeux pétillent, elle ravale plusieurs fois sa salive. Sa culotte s’humidifie au niveau de sa fente. Louise rejette le gland et dit :
-Vas-y ma chérie, fais toi plaisir, je sais que tu en as envie, suce-le !
Lysiane, ne sait que faire, j’y vais, j’y vais pas, c’est un dilemme. Pendant qu’elle hésite, Louise donne quelques coups de mangue sur le gland violacé. Puis insiste :
-Vas-y ma chérie, il est au bout du rouleau, vas-y, vas-y !
Lysiane saisit le manche de chair, et donne des coups de langue sur le gland comme le faisait Louise. La langue agile de Lysiane sur le gland de Marc, le fait frissonner. La coquine s’enhardit, sa langue fait plusieurs fois le tour du propriétaire et titille longuement le frein. Des perles de rosée, s’échappent du méat ouvert. Lysiane lape les gouttelettes aux goûts suaves.
Elle ouvre toute grande la bouche, et gobe difficilement le gland volumineux. Malgré la douloureux que provoque l’ouverture trop importante de sa bouche. Elle suce et tète du mieux qu’elle peut. Marc geint comme une bête malade. Soudain, il envoie une puissante giclée de sperme dans la bouche de la suceuse, qui surprise, le repousse vivement.
Elle se pince les lèvres en faisant une moue affreuse. La décharge est si abondante qu’un filet de sperme s’échappe à la commissure de ses lèvres. Elle à des hauts le cœur, et veut cracher. Louise lui crie :
-Non, non, ne crache pas ma chérie, avale, avale, c’est si bon !
En grimaçant, Lysiane avale par petites gorgées, le liquide visqueux. Louise en souriant la félicite :
-C’est bien ma chérie, il faut toujours avaler se que l’on nous offre, alors comment c’était ?
-J’avoue, que c’est la première fois que j’avale du sperme, et que j’en voit en réalité, eh bien c’est pas si dégueulasse que ça, c’est même goûteux !
Louise fronce les sourcils et demande :
-C’est la première fois que tu en vois, tu n’as jamais fait l’amour ?
En se raclant la gorge et en rougissant, Lysiane répond :
-Heum non jamais, je suis trop occupée à mes devoirs que j’en oublie le sexe, j’avoue que quelques fois je me masturbe, jusqu’à en avoir plusieurs orgasmes, voila vous savez tout mes amours !
Louise se fait câline, elle l’enlace et lui demande tendrement :
-Cela te plairai de faire l’amour, que Marc prenne ton pucelage ma chérie !
-Apres un moment de silence, Lysiane répond :
-Pour moi, cela serai un honneur, être déflorée par l’homme que j’admire, et qui depuis plusieurs années a remplacé mon papa. Je souhaite aussi, que toi Louise qui a su remplacée ma maman, que tu m’inities à l’amour lesbien , j’ai une amie lesbienne qui m’a dit, que c’est merveilleux l’amour entre femme, tu es disposée à le faire avec moi Louise chérie ?
Les deux fondent de bonheur leurs yeux s’humidifient, Marc répond avec beaucoup d’émoi :
-Je te remercie ma chérie cela nous va droit au cœur, nous allons te faire connaitre des jouissances exceptionnelles !
Louise caresse le corps de la novice, avec tendresse. Elle lui dégrafe le soutien-gorge, et admire les petits seins en forme d’œufs sur le plat, les bouts sont très larges et épais, cela étonne Louise. Elle s’agenouille, saisit le haut de la culotte et lentement la tire vers me bas. Avec délicatesse, elle découvre la partie que la culotte cache mal. Elle donne plusieurs baisers sur le ventre plat, fait quelques lèches mouillées sur la peau laiteuse, Lysiane frémit. Une fois la vulve découverte, elle l’observe un long moment, la hume fortement ainsi que la culotte mouillée, avant que sa langue ne voyage sur les poils duveteux humides. le corps de Lysiane se parcourt de frissons incontrôlables.
Marc a les yeux rivés sur la jeune vulve insondée, et cela le met dans un état de fébrilité monstre. Sa verge est tendue au maximum.
La langue agile de Louise, glisse sur les fines lèvres vaginales de la soumise, qui commence à geindre. Habilement, elle l’insère entre les lèvres et part à la recherche de la boule magique. La pointe vivace de l’appendice râpeux, agace le clito, qui rapidement double de volume. C’est La première fois qu’une bouche s’active sur son bouton d’amour. le résultat est miraculeux, Lysiane gémit comme une bête blessée. La bouche vorace de Louise lui aspire le clito, et le suce avidement. C’est pour la jeunette un moment de plaisir indescriptible, elle se cabre et explose de jouissance. Elle halète fortement, jamais elle n’a joui comme cela, elle peine à retrouver sa respiration. Elle tremble de tous ses membres.
La jouissance ressentit, est autre que les masturbations nocturnes, qu’elle s’infligeait. Elle bègue en disant :
-Louise, Louise, c’est fabuleux, je meurs mon Dieu comme c’est bon !
Louise s’active férocement sur la chatte en ébullition de sa jeune protégée. Elle aspire le jus, tète le clito, mordilles les lèvres, en cherchant a donner, une seconde jouissance à Lysiane. Marc regarde, ses yeux sont injectés de sang comme un vampire. Il souffle d’impatience, tout en se caressant la verge. Quelques gouttes de semence tombent sur le sol. Un hurlement le fait sursauter, Lysiane vient de jouir une seconde fois. C’est si fort qu’elle tombe sur le sol en entrainant son amante.
les deux femmes roulent l’une sur l’autre, dans une lutte amicale, la jupe de Louise, remonte et découvre sa chatte encore ruisselante de sperme, que son mari lui avait si généreusement offert. Lysiane agite son bassin contre celui de sa bienfaitrice. Les deux chattes suintent fortement en se frottant. La jeune prend confiance en elle, elle ouvre le corsage, et dégage les seins lourds de Louise. Elle aspire un mamelon et le suce comme un enfant qui s’allaite. Louise s’agrippe à son amante en gémissant. Marc suggère :
– Broutez-vous en même temps mes chéries !
Rapidement la position est prise, c’est tête bèche que les deux amantes se dévorent la chatte. Quelques fois, Louise dérape, et passe sa langue plusieurs fois sur l’anus aussi vierge que la chatte de Lysiane, qui se cabre en grognant de plaisir. Lysiane reproduit sur Louise les mêmes attouchements, les deux femmes en communions parfaites, gémissent comme des bêtes en ruts. Les chattes ne peuvent retenir le flot de cyprine qu’elles produisent.
Comme un bonheur parfait, les deux amantes jouissent en même temps. Elles restent un moment l’une sur l’autre pour récupérer. Marc ne reconnait plus sa femme, elle s’avère être une très bonne lesbienne.
Sa queue devient douloureuse, Il s’approche du duo et l’offre à la bouche de Lysiane. Qui en se déboitant presque les mâchoires, gobe le gland épais et le suce avec avidité. La novice apprend vite, elle donne tout ce qu’elle peut pour satisfaire son amant. Marc la saisit par les cheveux, et lui enfonce sa bite jusqu’aux couilles dans la bouche. Il lui baise la bouche comme un soudard, avec violence. Lysiane, en a des hauts le cœur. Un filet de salive s’écoule à la commissure de ses lèvres, ses yeux s’emplissent de larmes. Elle subit sa première gorge profonde, sans repousser son amant.
La jeunette est vite récompensée, une décharge puissante de sperme, lui remplit la bouche. Elle recrache la verge et laisse la liqueur couler lentement dans sa gorge. C’est la deuxième fois que Lysiane avale. Elle essuie d’un revers de la main les perles salées qui coulent sur ses joues, puis sourit.
Marc retire ses vêtements, il est impatient de posséder ce corps qu’aucune verge n’a visité, le bougre est bouillant comme un volcan. Il prend la novice entre ses bras et l’embrasse, le baiser est fougueux. Les langues se nouent. Lysiane sursaute, lorsque Marc lui remplit la bouche de salive. Mais comme lui a dit Louise, il faut avaler ce que l’on vous offre. Le baiser dure un long moment, les salives s’échangent plusieurs fois. Louise est comme sur un nuage, elle regarde Lysiane tendrement, en soupirant de nombreuses fois.
Marc la bascule sur le canapé, et avec douceur lui ouvre les cuisses. Lysiane avec inquiétude, regarde la verge puissante, s’avancer vers sa vulve dégoulinante. Elle frissonne lorsque le gland touche ses grandes lèvres humides. Marc pousse doucement, pour ne pas brusquer Lysiane, qui craint le pire. le gland écrase les lèvres vaginales, qui s’ouvrent. lentement le monstre de chair s’engage dans l’étui de chair en le dilatant. Lysiane grimace, elle serre les dents. Lentement sous la poussée continue de Marc, la verge avance progressivement dans la gaine, qui enserre fortement le manche épais. Lysiane s’accroche aux fesses de son amant, en geignant, la douleur supportable la rend moins craintive.
Marc sent une résistance, il recule sa verge de quelques centimètres et donne un coup de reins violent. Lysiane se cabre en poussant un hurlement. l’hymen vient de céder, elle ressent une violente brulure lui traverser le ventre. Elle s’accroche fortement à Marc qui continue de pousser. Il sent son gland frotter le col de l’utérus, il donne quelques coups de reins comme pour le pénétrer. Lysiane, gémit comme une bête blessée.
Marc commence un très lent va-et-vient, en s’agrippant aux hanches de sa jeune amante. A chaque enfoncement son gland large rabote la paroi garnit de muqueuses sensibles. Cela provoque des gémissements qui ressemblent à si m’éprendre à du plaisir. Plus, Marc accélère, plus Lysiane geint. Elle agite son bassin en donnant elle-même des coups de reins, elle rugit :
-Marc, Marc mon chéri, continue, continue, je vais jouir, encore, encore !
Louis écarquille mes yeux, et dit en regardant sa protégée :
-Jouis, ma chérie, jouis, te voila une vraie femme maintenant !
la cadence augmente, Marc maintenant déglingue sa proie sans prendre de précautions, il lui défonce la chatte comme un forcené.
Soudain la délivrance promise arrive. Lysiane se cambre comme un pont, et en hurlant, explose de jouissance. C’est si violent qu’elle manque de s’évanouir.
Marc maintenant donne tout ce qu’il peut. Ses coups dont féroces et brutaux, Lysiane s’agrippe à lui, en lui plantant ses ongles dans le dos.
les ongles en s’enfonçant dans sa peau font cabrer Marc, c’est juste à se moment qui remplit le ventre de Lysiane avec sa semence épaisse. Il besogne encore un moment la vulve brulante avant de se retirer.
Un filet de sperme mêlé à du sang, s’échappe de la chatte déflorée. Lysiane reste un moment sans voix avant de réagir :
Louise c’était merveilleux, oh comme je vous aime mes amour, apprenez-moi tout des plaisirs sexuels !
Linsee
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