C’est une belle journée de printemps, le ciel est bleu et l’air est chaud. Je travaille depuis deux ans dans une auto-école de province. Pour un premier emploi, je n’ai pas à me plaindre. Cet après-midi j’ai une leçon avec Constance, une jeune femme très attirante à qui je fais de l’effet.
À 13 h Constance ouvre la porte de l’auto-école. Je n’en crois pas mes yeux, elle porte un haut léger, mais moulant au travers duquel je peux apercevoir ses seins. Mes yeux descendent pour s’arrêter sur sa jupe très courte et ses jambes de rêves. Je constate également qu’elle porte des talons hauts pas vraiment conseillés pour la conduite, mais extrêmement sexy. Je me lève, je n’en reviens toujours pas, elle veut me chauffer ou quoi ? Elle a déjà remarqué ma bosse dans mon pantalon et vient vers moi tout sourire. Je lui fais la bise comme il est coutume de faire ici. Je sens son parfum frais, léger, mais enivrant dans son cou.
– Bonjour, balbutié-je, tu es très sexy… mince quel con je suis ! Vite, rattrape-toi ! Je veux dire… très charmante !
– Merci, me répondit-elle fière du compliment.
– Je, t’en prie, rejoins la voiture je te rejoins.
Constance sort de l’auto-école, je souffle pour faire redescendre la pression. Je regarde son petit cul se déhancher jusqu’à la voiture puis décide de la rejoindre. Je m’installe sur le siège du passager. Je sens son regard me fixer et j’essaye de l’éviter. Je pose mes affaires et lui ordonne de commencer. Constance conduit très bien et connait l’itinéraire que nous empruntant chaque fois. Mes yeux se posent sur ses cuisses. Sa minijupe est remontée si bien que je peux admirer le début de ses fesses. Je me perds dans mes pensées quand j’entends Constance m’appeler.
– Vous allez bien ? me demande-t-elle avec un sourire.
– Oui, oui bien sûr, répondis-je.
Nous étions à un feu rouge depuis quelques instants et la gêne me gagna quand je compris qu’elle m’avait pris la main dans le sac. La bosse sous mon pantalon était maintenant énorme et impossible à cacher.
– Tourne à droite le long de la lisière de la forêt, nous allons réviser la partie extérieure de la voiture.
Constance se range sur le côté, mon cœur bat la chamade. Nous sortons et commençons par l’arrière de la voiture. Je lui posai quelques questions en essayant tant bien que mal de ne pas regarder ses seins qui pointent sous son haut. Nous passons ensuite à l’avant de la voiture, j’ouvre le capot, lui montre deux trois trucs et lui propose de continuer à analyser le moteur pendant que je m’accorde une petite pause pour me dégourdir les jambes. Je commence à marcher dans le sens inverse pour me calmer de cette érection intenable et quand je me retourne je suis abasourdie. Constance est penchée sur le moteur, sa jupe est remontée, ses jambes quelque peu écartées et par-dessus tout elle ne porte pas de string. Je peux facilement voir son sexe fraîchement épilé ainsi que son anus. Je n’y crois pas, c’est une invitation ? Cette petite salope me tend son cul pour que je la prenne c’est sûr.
Sans faire de bruit, je me rapproche de Constance, qui ne branche pas, me mets à genoux pour admirer de plus près cet entrejambe parfait, et délicatement viens lécher sa fente sur toute la longueur.
– Ce n’est pas trop tôt, me dit-elle en tressaillant.
– Tu n’attendais que sa petite pute ein ? lui répondis-je en revenant vers son clitoris que j’excite avec ma langue.
– Oui, lâche-t-elle dans un râle de plaisir.
Je m’attarde sur son sexe tout en lui écartant toujours plus les fesses avec mes mains. Je remonte jusqu’à son anus qui m’est tout offert et m’aventure à le lécher. Je sens qu’elle aime et qu’elle n’attendait que ça. Je sens son cul faire des mouvements pour suivre ceux de ma langue. Ma langue alterne entre sa chatte et son anus que je doigte de plus en plus rapidement. Des spasmes traversent le corps de Constance et je sens sa cyprine couler dans ma bouche tandis qu’elle jouit intensément.
Loin d’être calmée, elle se retourne et me dit :
– Qu’est-ce que tu lèches bien ! À moi maintenant ! Ça fait tellement longtemps que j’attends de pouvoir goûter à ta queue !!
Je me relève et elle descend. Elle défait prestement mon pantalon qui avait du mal à contenir mon sexe et baisse mon caleçon. Quelle libération de pouvoir bander à l’air libre.
– Ta queue est immense !! Me dit Constance qui était face à mon sexe. Je me doutais que tu étais bien monté, mais là !!
Ce n’était pas pour me vanter, mais les femmes que j’avais côtoyées m’avaient toutes faite la même remarque. C’était certes avantageux, mais aucune ne m’avait réellement fait de bonne et longue pipe. Sans plus attendre Constance enfonça mon gland dans sa bouche. Ses lèvres étaient ouvertes au maximum et j’avais l’impression qu’elles pouvaient céder à chaque instant.
– Je n’en ai jamais pompé d’aussi grosse me dit-elle entre deux aller-retour.
Malgré la taille imposante de mon sexe, elle l’avaler de plus en plus profondément. Elle bouffait ma queue comme une chienne affamée et me branler de plus en plus intensément. Je décidai de prendre sa tête et la forcer à aller toujours plus loin. Cela ne semblait pas la gêner, car elle enleva ses mains de mon sexe pour que je baise à mon envie sa bouche. Je donnais des coups de reins dans sa bouche en flirtant à chaque fois avec sa gorge, mais sans jamais aller plus loin. Je sentais l’excitation monter en moi, lui notifia et enleva mon sexe de sa bouche. Sans me consulter, elle saisit à nouveau ma bite et me suça de plus belle. Ses mains accéléraient la cadence et elle engloutit mon sexe entièrement. Je n’en revenais pas ! C’était la première fois qu’une femme réussissait à la prendre entièrement en bouche. Elle resta quelques instants ainsi puis sortit ma bite de sa bouche pour reprendre sa respiration et recommença. Ses yeux étaient rivés sur les miens, des larmes coulaient sur sa joue.
– C’est bien salope ! Continue comme ça !
Je ne pouvais plus tenir. Mon corps se crispa, ma bite se durcie et lâcha cinq gros jets de sperme chaud dans la bouche de Constance qui attendait ce moment avec impatience. Elle sortit ma queue de sa bouche et me regardai la bouche ouverte et remplie à ras bord de ma semence. Puis elle ferma ses lèvres, déglutie à plusieurs reprises et me remontra sa bouche désormais vide. Elle suçota mon gland pour récupérer encore quelques gouttes de spermes.
– Tu suces comme une petite pute !! Tu as aimé que je te gicle en bouche ? lui demandais-je
– J’ai adoré ! Je mouille comme une salope ! répondit-elle en léchant ses lèvres encore imprégnées de sperme.
– C’est bien ! T’es une bonne chienne, rajoutais-je en lui assénant des petits coups de bite sur la bouche.
Elle se releva et fit mine de retourner à l’intérieur de la voiture.
– Je pense que tu n’as pas bien compris, lui dis-je.
Je la retournai, la cambra vers le moteur et ni une ni deux lui enfourna tant bien que mal ma bite encore en érection dans son sexe. Elle hurla de plaisir et de douleur et je commençais à lui limer la chatte à grands coups de bite. Encore excitée de la pipe qu’elle m’avait fait et sous les coups de reins que je lui assénais elle ne tardât pas à jouir bruyamment. Je pris ses hanches et continuais de la prendre contre la voiture.
– Tu aimes ça salope ?
– Ouiii, me répondit-elle en râlant. J’aime ta grosse bite ! Je l’aime plus que tout !
– Tu vas l’aimer encore plus dans ton petit cul !
Sans attendre de réponse je retirai ma bite de son sexe et posa mon gland sur son anus. Constance écartait ses fesses avec ses mains pour que mon engin la pénètre plus facilement. Au prix de nombreux râle de plaisir et de douleur, je finis par le rentrer entièrement. Je commençais à la sodomiser doucement.
– Tu aimes sentir ma grosse bite défoncer ton cul ?
– Ouii j’adore !! Défonce-moi s’il te plait !!
J’obéis à son ordre et commença à accélérer le mouvement. Je pris ses cheveux dans une main et tirer sa tête vers moi pour la cambrer. Je sentais ses fesses chercher mon bassin et mes coups de reins. Elle aimait ça la salope. Je la pilonner de plus en plus rapidement quand soudain une voix dans mon dos se fit entendre.
– Elle a l’air d’aimer ça cette salope !
Merde on venait de se faire démasquer. Derrière moi se tenait un homme. Je ne savais pas depuis combien de temps il nous épiait et je ne savais pas où me mettre. J’étais gêné et j’avais cessé tout mouvement contrairement à Constance qui continuer à chercher ma bite avec son bassin.
– Ne vous inquiétez pas je ne fais que passer, dis l’homme conscient de ma gêne.
– On ne s’inquiète pas, répondit Constance. Je ne suis pas contre une bite de plus.
Décidément c’était vraiment une salope celle-là. Sans me retirer de son anus, je fis quelques pas en arrière. L’homme, plutôt jeune, vint se mettre sur le rebord de la voiture, face à Constance. Celle-ci défit le pantalon du jeune homme et commença à lui faire une fellation. Pour ma part je recommençais à lui pilonner le cul. L’image était splendide et excitante. Constance émettait des râles de plaisir étouffés par la queue du jeune homme. Elle le suçait comme une chienne, n’hésitant pas à engloutir complètement son sexe dans sa gorge. Elle le pompait si bien que le jeune homme prit sa tête et la tira au maximum contre sa verge pour lui assainir des coups de reins. Je compris alors qu’il venait de lui éjaculer dans la gorge. Le corps de Constance fut saisi de spasmes puis une série d’orgasmes sortirent tant bien que mal de sa bouche toujours obstruée par la queue de l’autre homme. Son anus se crispa et je sentis mon excitation monter encore plus. Je me retirai, Constance lâcha la queue de l’homme et vint s’agenouiller devant moi.
– T’en veux encore ma salope ein !
– Oui, je veux ton sperme, je ne veux que ça, je l’adore !
Son regard ne lâcha pas le mien. Elle avait encore faim de sperme. Je saisis sa tête tout en me masturbant intensément puis cinq gros jets de sperme vinrent recouvrir une partie du visage de Constance. Elle prit mon sexe en bouche et le suça fort et profondément pour avaler les dernières gouttes de spermes que j’avais puis elle récupéra dans la bouche toute la semence qui restait sur son visage et l’avala goulûment.
Je l’aidais à se relever. Tous les trois semblions avoir passé un moment magnifique ensemble. Le jeune homme nous remercia puis partit. Quant à nous, nous remontions dans la voiture et repartions à l’auto-école.
Imagine69 Histoire-erotique
hum j’ai adorer cette histoire
alors elle si elle a pas son permis je pars à quattres pattes dans la foret et je me fait trois laie avec de la crème de chataigne pour lubrifier leur vagin
Tu m’etonne Lol
Un vrais plaisir cette histoire
J’ai envie de repasser le permis .