Les regardent salaces de François sur sa fille, Cloé, ne laisse aucun doute sur ses intentions. Il faut dire que la jeunette a un corps parfait, ses seins fermes dans les bouts larges et épais appuient sur le fin tissu de son corsage. François pousse d’innombrables soupirs, lorsque sa fille déambule devant lui comme un félin. Le bougre voudrait la saisit dans ses bras et la culbuter sur le sol. Mais la réalité en est tout autre. Cloé est une belle plante qui n’a aucun souci pour s’approprier les faveurs de ses amis admiratifs devant tant de beauté. Même sa maman, Julia, le complimente sur ses formes attrayantes. La coquine use de ce privilège pour aguicher son papa, dont elle est amoureuse depuis de nombreuses années. Les deux ont des regardent complices, ils se sourient souvent en se faisant les doux yeux.
Julia s’aperçoit, que son mari a des vues sur sa fille, cela la perturbe fortement. Elle commence à avoir des doutes sur l’esprit platonique des deux pour cela, elle décide d’y veiller. François et Cloé dont seul au salon, les deux sont côte à côte sur le canapé. Cloé est blottie contre son papa, elle l’étreint en le tenant par la taille. Son visage et contre le sien, leurs souffles chauds se mêlent. François la regarde d’un air amoureux, il lu saisit la main et la presse de nombreuses fois. Les deux, ne prêtent pas attention au film qui passe sur la télé. Machinalement, Cloé zappe, elle se bloque sur un film porno.
Elle regarde son papa qui approuve d’un signe de tête. Le film est très prenant, la tension monte dans les corps. Les deux voyeurs poussent de nombreux soupirs en regardant le film. Cloé se blottie encore plus contre son papa. Lui la serre contre lui en la regardant avec des yeux envieux.
Les deux se regardent longuement, on sent qu’il se passe quelque chose entre eux. L’émoi platonique change au fur et à mesure que le couple se regarde. Leurs yeux deviennent flamboyants, les têtes se rapprochent dangereusement, les lèvres s’effleurent. Les corps battent la chamade. Julia qui observait les deux tourtereaux, ravale sa salive lorsque les lèvres de son mari et de sa fille se joignent, elle serre les dents et s’approche du couple complétement décomposé, elle dit avec des trémolos dans la voix. Si je suis de trop, faites-le-moi savoir. François délaisse les lèvres de sa fille et regarde sa femme. Il répond sans se démonter :
-Ma chérie, si tu veux, nous pouvons aller plus loin, aller joins-toi à nous, tu sais que je désire Cloé, elle aussi, elle me désire, pourquoi, s’en priver !
Julia se cabre et répond outrée :
Tu ne t’imagines pas que je vais me joindre à vous pour vos actes que je réprouve, tu es malade !
François découvre les cuisses de sa fille et dit :
– Regarde si ce n’est pas appétissant un lot pareil !
Julia reste sans voix en contemplant les cuisses de sa fille qui reste souriante depuis le début. La main de son mari monte doucement sur la cuisse dénudée et atteint la culotte. Cloé se cambre en offrant plus, son bas-ventre à son papa. Julia reste béate, elle bafouille :
-Mais, mais Cloé, tu te laisses faire ?
La jeunette répond :
-Maman c’est si doux, pourquoi s’en priver !
Les doigts agiles glissent sur la fente, que seul la culotte protège, rapidement le tissu s’humidifie. Les yeux de Julia se fixent sur la main qui caresse la vulve suintante. Aucun son ne sort de sa bouche, elle regarde hébéter sa fille qui agite doucement son bassin.
Elle va s’assoir à côté d’elle, ses yeux sont hagards, elle respire difficilement. Sans mari lui saisit la main et la pose sur la culotte humide de sa fille. Julia se cabre, mais ne retire pas sa main. François le stimule :
-Sens comme elle est chaude notre princesse, vas-y caresse-la !
Julia, reste tétanisée, mais inconsciemment sa main glisse sur la culotte de sa fille, qui soupir de bonheur. François l’encourage :**
-Passe ta main sous sa culotte, et branle-lui son petit clito !
Julia reste sans voix, lentement, elle passe ses doigts sous l’élastique de la culotte, ses doigts fébriles entrent en contact avec la fine toison soyeuse. Elle fait glisser ses doigts sur la fente trempée. Cloé gémit de bonheur en rejetant sa tête en arrière. François et ravit, il regarde la main de sa femme s’agiter sur la vulve de sa fille, le bougre n’en espérait pas tant.
Cloé pousse de gémissements qui prennent du son. Soudain contre tout attend, elle se cabre et jouit en inondant les doigts de sa maman qui continue de lui caresser la vulve. François se lève, il repousse sa femme et arrache la culotte de sa fille. Il lui écarte les jambes et dit d’une voix autoritaire :
-Vas-y bouffe-la-lui chatte, regarde comme elle mouille la salope !
Julia comme un robot, elle se place entre les cuisses de sa fille et pose sa bouche sur la chatte dégoulinante, elle aspire le suc et l’avale sans rechigner. Sa langue s’enfonce dans l’antre brulant et le fouille profondément. François est surpris de voir sa femme bouffer la chatte à sa fille. Sa queue se dresse, prise dans le carcan du tissu qui l’emprisonne, la douleur est insoutenable, il l’extirpe de son pantalon. Le bougre se caresse la verge tendue à mort.
Julia ne sait plus se qu’elle fait, elle dévore la chatte détrempée, de Cloé, sans se posée de questions. Sa langue habile fouille le volcan qui ne tarde pas à entrer en éruption. Cloé se cambre et jouit en criant :
-Maman, maman, c’est monstrueux ce que tu me fais !
À suivre.
Valériane
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