Serge en passant devant la salle de bain, trouve la porte entrouverte. Il pousse doucement la porte et passe la tête. Il sursaute, sa maman nue sous la douche frotte son corps énergiquement. L’eau en faisant de la vapeur, ruisselle sur la peau laiteuse. Malgré la buée, il voit au travers la paroi transparente, le corps aux formes attractives de sa maman. Sa verge commence à prendre vie, elle enfle dans son pantalon.
Serge, se fait le plus petit possible et s’avance pour mieux voir. Sa maman Luce verse sur le gant de toilette en crin, du gel douche, et passe sa main entre ses cuisses. Elle frotte en s’attardant longuement sur ses parties intimes.
la main garnie du gant, passe lentement sur sa vulve, et s’insère entre les grandes lèvres. Luce se cabre légèrement, malgré la rudesse du crin, elle se frictionne la boule de chair en grimaçant un peu. Ce traitement semble efficace, car rapidement son clito prend du volume. Luce ferme les yeux, rejette sa tête en arrière, et accélère le frottement.
Le clito à pratiquement doublé de volume. Serge entend les petits gémissements que pousse sa maman en se faisant un petit plaisir. Le voyeur, ne loupe pas une image. Son membre devient douloureux dans son pantalon. Il se caresse au travers du tissu, en serrant les dents. Il n’en peut plus, il extirpe de son pantalon sa verge dure comme du béton, et entreprend un branlage féroces en grimaçant. Soudain sa maman retire le gant et saisit le flacon de gel douche. Elle le place contre sa fente et pousse. le flacon ovale, entre doucement dans le conduit vaginal. Luce se ramone en serrant les dents, a chaque poussée, le flacon s’enfonce davantage dans son ventre. La bite factice et au trois quart en elle. Luce fait un va-et-vient de plus en plus rapide, en geignant comme une bête blessée. Elle tourne l’engin prisonnier dans la gaine de chair. Sa chatte n’a pas d’autre choix que de s’ouvrir davantage.
Serge s’astique le manche, pendant que sa maman se défonce avec le flacon de plastique. Serge serre les dents, car il craint que s’il gémit trop fort, sa maman risque de l’entendre. Il se mord la main et envoie sur le carrelage, plusieurs giclées de sperme. C’est au même moment, que sa maman se cabre en explosant de jouissance, en gémissant fortement.
Serge fait demi-tour, et disparait sans faire de bruit. Il range rapidement sa bite dans son pantalon, et s’enfonce dans le canapé au salon, il bande toujours. Luce ferme le robinet, et s’essuie le corps énergiquement. Elle sort de la douche, et marche sans faire attention sur le sperme de son fils. Elle sursaute et se demande ce que c’est. Elle se penche, et pose son doigt sur le produit visqueux. Ses doigts le triturent, et le porte à son nez. Elle fronce les sourcils, et se redresse rapidement. Elle n’a plus de doute, c’est bien du sperme. Elle enfile un peignoir de bain sur son corps nu, et se dirige vers le salon. Elle toise son fils, et d’un ton soupçonneux lui demande :
-Serge, tu as été dans la salle de bain pendant que je me douchais ?
En se raclant la gorge le jeune adulte répond :
-Hum, non maman, non !
Elle fronce les sourcils et réplique :
-Ne mens pas, j’ai trouvé un produit, que je crains être du sperme sur le carrelage de la salle de bain, dis la vérité !
En rougissant et en béguant, il répond :
-Eh ben oui, maman je suis aller dans la salle de bain, et j’ai vu des choses que je ne devais pas voir !
La maman reste sans voix un instant, et en ravalant bruyamment sa salive répond :
-Et tu peux me dire, ce que tu as vu ?
En rougissant encore plus, il répond :
-Ben, ben, je t’ai vu jouer avec ton clito, et ensuite avec le flacon de gel douche !
Luce défaille, elle se laisse tomber lourdement sur le canapé à côté de son fils. Elle n’arrive pas à mettre un mot devant l’autre, elle se presse les mains en marmonnant des mots inaudibles.
En se laissant tomber sur le canapé, son peignoir c’est ouvert en dévoilant ses cuisses magnifiques. Elle regarde son fils, sans penser à recouvrir ses cuisses. Elle dit avec beaucoup de trémolos dans la voix :
-Tu dois penser que je suis une grosse salope, hein mon chéri !
Serge en admirant les cuisses de sa maman, réplique :
-Maman je n’ai pas à te juger, tu es majeure et vaccinée, tu n’as pas de comptes à me rende, d’ailleurs, je me suis branlé moi aussi en t’épiant, et j’avoue que j’y ai pris beaucoup de plaisir. Tu sais que tu as un corps magnifique maman, et comme un es belle lorsque que tu jouis, papa ne doit pas s’emmerder avec toi !
Luce ne sait que répondre, elle culpabilise tellement, que ses yeux s’emplissent de larmes. Serge se blottit contre elle, et en la cajolant lui dit :
-Ce n’est pas grave maman c’est la nature, si tu savais combien de fois que je e suis branlé en pensant à toi, mon mouchoir en a encore les souvenir, d’ailleurs regarde je bande encore pour toi maman chérie !
Luce renifle fortement, et regarde l’énorme bosse qui déforme le pantalon de son fils. Elle se pince les lèvres, et en culpabilisant, enlace son fils. Le bougre profite de ce moment de faiblesse, pour poser sa main sur la cuisse de sa maman. Luce ne semble par réagir. Doucement Serge la caresse, sa maman frémit. La main glisse à l’intérieure des cuisses en s’avançant dangereusement du temple d’amour. Luce réagit, elle serre les cuisses, en emprisonnant l’intruse.
Serge réussit à retirer sa main, et saisit celle de sa maman, il la pose sur la grosse bosse de son pantalon, en la maintenant appuyé dessus. Malgré un geste de recul, Luce ne peut retirer sa main. Machinalement, elle la presse plusieurs fois, et inconsciemment, la caresse au travers du pantalon.
Serge serre les dents sa bite est douloureuse, il est le dominant. Brusquement, il retire la main de sa maman, et d’un geste vif, il extirpe sa verge du pantalon. L’engin plein de vie, se détend comme un ressort, Luce sursaut. Il plaque la main de sa maman dessus. Ses yeux ne quittent pas le manche de chair, elle déglutie et ne sait pas si elle doit l’agiter.
Elle sent dans sa paume, les veines apparentent fortement gorgées de sang. Elle ferme les doigts autour de sceptre royal. Le presse, comme pour en connaitre la texture, puis commence une très lente masturbation, sans quitter du regard le monstre qu’elle sent battre dans sa main.
Serge replace sa main sur sa cuisse, et l’enfonce entre les cuisses que la maman ne resserre plus. Ses doigts glissent sur la fine toison, qui on ne sait par quel miracle se met à suinter. Au fil des minutes la tension monte dans les corps. La maman cesse de branler, et rejette sa tête en arrière, elle tremble de tous ses membres. Soudain, c’est comme une déflagration qui lui traverse le ventre. Une violente jouissance la fait grimacer, son gémissement est bestial. Elle reste quelques instant haletante sur le canapé, puis prise de remords, se redresse d’un bond et s’enfuit dans sa chambre.
Serge reste sans voix, il n’a pas le temps de saisir la fuyarde, sa bite dressée comme un mât, est secouée de soubresauts, son gland laisse échapper quelques perles visqueuses. Il se lève à son tour et monte à l’étage, il ouvre sans frapper la chambre de sa maman, elle et allongée sur le lit, une jambe repliée, la tête enfuit dans l’oreiller, elle pleure à chaudes larmes. Son peignoir dévoile ses longues jambes aux galbes quasi parfait Serge s’assoit sur le bord du lit et tente de la consoler.
Il lui murmure des mots tendre, lui caresse doucement une cuisse. Luce se retourne, les deux se regardent un long moment, sans dire un mot. En culpabilisant terriblement, elle se jette dans les bras de son fils et en reniflant fortement dit :
-Je suis une maman indigne, oh comme je n’en veux d’avoir oubliée de fermer à clé la porte de la salle de bain. J’ai honte de t’avoir caressée, et d’avoir jouis comme, une bête, je dois être folle !
Serge lui donne une multitude de baisers sur le visage et lape les perles de rosées salées qui coulent sur ses joues. Luce frémit, les lèvres de son fils frôlent les siennes, les souffles chauds se mêlent. Le coquin, profite de l’occasion pour passer la pointe de sa langue sur les lèvres de sa maman, elle se crispe, et le serre fortement dans ses bras, en marmonnant :
-Serge, Serge, non, non, ne me torture pas, mon chéri, mon dieu si ton papa nous surprenait !
Sans l’écouter, doucement il la bascule délicatement sur le lit, la regarde un long moment, et tire sur le ceinture du peignoir pour la dénouer. Luce honteuse, ferme les yeux, pour ne pas croiser le regard de son fils, elle tremble. Avec des gestes maladroits, il ouvre les deux pans du tissu éponge et ne peut s’empêcher de dire :
-Ce que tu es belle maman, tu as un corps de rêve, laisse-moi t’aimer !
Qu’est-ce qui se passe dans ma tête de Luce, elle ne réagit pas, sa respiration s’accélère. Serge dépose de doux baisers sur les lobes mammaires. Puis aspire un mamelon et le suce doucement.
La maman se raidit en serrant les poings, et en soufflant comme un bœuf. Serge tète comme un enfant qui s’allaite, instinctivement sa maman lui appuie sur la tête, en poussant de nombreux soupirs.
Plusieurs fois Serge change de mamelons. Les bouts deviennent très épais. Le fils audacieux, les roule entre ses doigts, les presse et les étire fortement. Luce qui subit le traitement en grimaçant, bègue :
-Serge, cesse je t’en prie, c’est mal sain, tu me rends folle, arrête, arrête , oh mon Dieu !
Le bougre commence à lui malaxer les seins, les pétrit en enfonçant profondément ses doigts dans les chairs souples. Luce se cabre, sa respiration est saccadée. Serge reprend en bouche les mamelons, et les suce avec plus d’ardeur. La maman ne peut retenir des gémissements bruyants. Elle se cambre en hurlant :
-Serge, Serge tu es un monstre, je te hais !
Sa bouche descend lentement sur le torse fébrile, embrasse chaque parcelle de peau. Quelques coups de langue bien ajustées sur le nombril, font défaillir Luce. La bouche descend encore sans se presser, se pose sur le haut de la fine toison soyeuse, avant de se plaquer sur la fente déjà très humide. Inconsciemment, Luce ouvre lentement les jambes. Son abricot trop mûr, laisse échapper son jus. Pour perdre le moins possible de nectar vaginal, le coquin, donne des coups de langue et les aspirations puissantes.
Luce gémit fortement, sa vulve est en feu, elle appuie sur la tête de son fils en geignant comme un animal malade. Un filet de cyprine s’écoule, Serge lape comme il peut ce don des dieux. Mais lorsqu’il enfonce sa langue dans le conduit brulant, elle se cabre en poussant un gémissement rauque. Elle se tend comme un arc, Serge lui fouille les entrailles voracement. Il aspire le clito, le suce comme un forcené. Sa maman, pousse des gémissements incontrôlables, et dit entre deux souffles :
-Serge, Serge, je vais jouir, mon Dieu je suis damnée !
Une puissante jouissance la fait hurler, son bassin se cambre comme un pont en pleine tempête, elle délire :
-Serge, Serge c’est monstrueux ce que tu me fais, oh mon Dieu, oui, oui encore mon chéri !
Elle retombe sur le lit lourdement en haletant. Serge retire rapidement ses vêtements, sa vergé est bien raide, il l’exhibe fièrement devant le visage de sa maman. Dans un état semi-comateux, avec des yeux vitreux. Sa main tremble, elle la tend vers l’engin, le saisit et malhabilement l’agite. Serge l’encourage :
-Suce maman, suce !
En déglutissant, Luce regarde le mandrin, elle ouvre la bouche et sans se poser de question le gobe. Elle suce et tète du mieux qu’elle peut, ses gémissements étouffés montrent qu’elle éprouve un certain plaisir à sucer. Tout en tenant d’une main la verge épaisse. Elle s’active sur le gland, les succions sont bruyantes, les râles de son fils aussi. Elle recule brusquement, une décharge puissante de sperme lui remplit la gorge. Elle grimace, la moue qu’elle fait est affreuse, elle avale en plusieurs fois, la semence tiède qui glisse dans sa gorge. Serge, rapidement prend place entre les jambes de la maman fébrile. Il place son gland englué de sperme, et l’enfonce lentement dans le ventre de sa maman qui s’accroche à lui en geignant.
la verge commence à faire des allers et retours dans la gaine brulante, en prenant de la vitesse. Luce s’accroche à son fils comme une pieuvre à son rocher. Elle geint terriblement, sa bouche est grande ouverte. Serge donne de grands coups de reins, il tire sur les hanches de sa maman, pour enfoncer sa bite profondément en elle. Luce, ne cesse de répéter :
-Oh mon Dieu, mon Dieu, Serge !
Soudain le jeune amant est comme prit d’une rage folle, il pilonne sévèrement le ventre de sa maman, ses coups brutaux, la font gémir comme une bête blessée. le gland puissant racle les parois de la vulve en feu, pour finir lui marteler le col de l’utérus. Luce n’a jamais subit une telle démence sexuelle, elle geint :
-Oh mon chéri, mon chéri, c’est trop, bon oui, oui tape fort !
la queue gonflée de désir, lâche sa semence. Luce se cabre en recevant dans le ventre une douche de sperme tiède. Elle grogne :
-Oui, oui, mon chéri donne tout, oh c’est merveilleux, je vais jouir, oui, oui, ouiiiiiiiii !
Une violente jouissance la fait hurler, son visage est déformé par un rictus affreux, ses yeux sont révulsés. Elle halète comme une agonisante. Serge donne encore quelques coups de reins avant de se retirer. Ils restent un moment sans ce dire un mot, puis Luce dit avec beaucoup d’émotions dans la voix :
-Serge, je te demande de garder le silence sur ce qui vient de se passer. Si ton papa apprenait se moment de folie, je ne n’ose penser à sa réaction !
Serge se pense sur sa maman, et la rassure :
-Je serai muet comme une tombe maman chérie, mais je dois avouer, que j’aimerai revivre se moment magique !
Sa maman est comme prise de panique et répond :
-Non, non, mon chéri, je regrette déjà ce moment d’égarement, ne me demande pas de le recommencer !
Il est tard, les deux discutent longuement, l’un tente de convaincre l’autre. Ils font l’amour encore une fois comme des bêtes jusqu’à l’épuisement. Les deux amants ont complétement oubliés le papa, et s’endorment, nus sur le lit. Roger rentre de son travail. Comme il est tard, il suppose que sa femme dort. Il dine, et va prend une douche rapide, puis enfile un boxer, et monte à l’étage. Il ouvre la porte de sa chambre, la lumière, est encore allumée. Son cœur cesse de battre. Il blêmit, envoyant sa femme allongée nue sur son lit au côté de son fils nu lui aussi. Il s’approche doucement, en serrant les poings. Il constate, que les poils de la chatte de sa femme semble être enduit de sperme séché, et que la queue de son fils, en est encore couverte. Il se dit que les deux, se sont livrés à une orgie incestueuse. Une moue affreuse déforme son visage, il serre les dents pour ne pas ruer.
Il n’aurai jamais penser ça de sa femme.
Il se pose beaucoup de questions, en cherchant une excuse a la femme infidèle, et au fils cocufieur. Il observe un long moment les deux corps endormis, en s’imaginant l’orgie. Il se produit une chose inconservable, sa queue se dresse. Une bosse déforme son boxer. Il décide de réveiller les deux coupables. Les deux restent sans voix en voyant Roger. Il dit :
-Toi Serge, nous on parlerons demain, fous le camps dans ta chambre !
Confus, il file rapidement dans sa chambre sans demander son reste. Roger retire son boxer et s’allonge contre sa femme, et lui dit :
-Alors salope lorsque le chat n’est pas là, les souris dansent !
Luce en béguant, tente de se justifier. Son mari, l’arrête et lui dit :
-Je ne veux que savoir les détails, raconte ma chérie, te connaissant, tu as du prendre un sacré pied, allez raconte depuis le début !
Luce reste un instant hébétée par la demande de son mari et lui demande faiblement :
-Hum avec les détails ?
Roger semble être excité :
-Oui, oui, raconte !
Luce commence à raconter son délire, son mari bande comme un cerf, il se colle contre elle. Luce ne peut ignorer la raideur de la verge tendue de son mari. Cela semble a rassurer. Il raconte, raconte, Roger, lui caresse le ventre en frottant sa queue contre sa cuisse. Pendant la narration, Luce s’excite, sa chatte commence à suinter. De temps en temps, Roger la coupe dans son récit :
-Ouah alors tu l’as sucée et tu as avalée :
Elle répond avec quelques trémolos dans la voix:
Oui, j’ai sucée sa bite, j’ai même adorait ça, oui j’ai tout avalé !
-Roger ne peut s’empêcher de dire :
-Hum, mais tu es une grosse salope, comment est son sperme et quel goût il a ?
En poussant un soupir, elle répond :
-Bien épais, son goût est suave, c’est indescriptible à raconter, j’en aie encore le goût dans la bouche !
Roger réplique :
-Hum, tu t’es gavée salope, tu aimerai recommencer, faire avec ton fils ce que tu viens de faire, te faire défoncer par lui et avaler encore sa semence !
Luce regarde son mari abasourdit, réplique :
-Toi tu aimerais me voir le faire avec lui ?
les yeux de Roger brillent, il dit :
-Oh putain oui, j’aimerais voir ça, mis il ne t’a pas enculer le cochon, pourtant tu adores ça ?
Elle se redresse et répond :
-Chiche, je suis d’accord puisque c’est ton souhait, non il ne ma pas sodomisé, fais- le toi !
Elle se place sur le côté en lui tendant les fesses. Il frotte son gland contre l’anus très boursouflé par les nombreuses interlocutions d’objets divers, en sus de la bite de son mari. Il la saisit par les hanches et pousse, la verge s’enfonce jusqu’aux couilles, sans rencontrer de résistance. La sodomie est brutale, les gémissements monstrueux. Roger libère sa femme après que les deux on jouis plusieurs fois. Il lui dit demain je veux voir notre fils te baiser, et surtout t’enculer salope.
Luce répond :
-Oui mon chéri, j’aurai sa grosse bite dans le ventre et le cul, je te le promets !
Valériane
Ajouter un commentaire