Depuis longtemps Odette, cette femme mûre, fantasme sur Aurégane sa nièce. L’amour platonique qu’elle lui portait a bien changé depuis longtemps, elle est folle d’elle. Son mari Lucas la considère comme sa fille.
A chaque fois que la petite princesse vient leur rendre visite, ils sont fous de bonheur. la bougresse a maintenant vingt ans, et va à la fac. Comme depuis sa plus tendre enfance, elle les fait tourner en bourrique. Elle sait qu’ils l’adorent et elle en profite pleinement.
Souvent, Odette parle à son mari des sentiments qu’elle ressent pour sa nièce, et avoue, qu’elle à peur d’avoir des gestes déplacés envers elle. Lucas répond tendrement à sa femme pour la rassurer :
-l’amour que tu portes à Aurégane ma chérie, ne peut-être que platonique, ce n’est qu’une passade, c’est un fantasme qui ne peut se réaliser !
Odette soupire fortement, mais elle n’est pas rassurer pour autant, elle a peur de déraper, et cela l’angoisse. Le couple attend avec impatience la princesse qui comme chaque jour, vient leur rendre visite.
Réglée, comme du papier à musique, Aurégane arrive chaque jour à heures fixe, pour faire un câlin à sa tante et son oncle, qu’elle adore. Elle embrasse longuement son oncle, mais rapidement se jette dans les bras de sa tante. Elle prend place sur ses genoux et comme lorsqu’elle était plus jeune, elle se blottit contre elle.
Elle lui donne de nombreux baisers sur tout le visage, sans omettre les lèvres tremblantes de la tante, qui pâme de bonheur.
Elle s’agite sur ses genoux, mais elle se souvient, qu’elle à aussi un oncle, elle délaisse le tante pour se jeter sur les genoux de son tonton d’amour, comme elle l’appelle. Elle l’embrasse aussi sur tout le visage. Elle appuie ses lèvres sur les siennes, un long moment. Lucas rougit fortement, sa respiration s’accélère. Sa petite princesse le serre très fort dans ses bras et lui dit :

-Oh comme je vous aime, vous êtes mes amours !
Odette émue, a les yeux qui s’emplissent de larmes, Aurégane reprend place sur ses genoux, Odette serre très fort sa nièce et lui dit :
-Moi aussi je t’aime très fort ma chérie, tu es notre soleil !
En se blottissant contre sa tante elle lui murmure à l’oreille :
-Je t’aime, ma tante chérie, je pense souvent à toi, je suis obligée de me masturber tellement je suis chaude !
Odette écarquille les yeux, son cœur s’emballe, elle réalise que sa nièce ressent elle aussi de l’amour pour elle, Odette fond de bonheur.
Aurégane, regarde son oncle et demande :
-Et toi tonton, tu m’aimes comment ?
Lucas se redresse et répond :

-Moi je t’aime sans limite ma chérie !
très curieuse, c’est avec un sourire malicieuse qu’elle demande:
-Comment sont vos ébats !
Odette sursaute, troublée pas la question. Elle répond :
-Hum nos ébats, tu veux dire, sexuels ?
En montrant ses dents blanches, la petite vicieuse réplique :
-Oui comment, il est au lit, en un mot comment il baise tonton ?
Odette reste un moment sans répondre, choquée par les paroles d’Aurégane, elle bègue en rougissant :
-Hum, hum je dois dire qu’il est très performent et très résistant le coquin !
Les yeux d’Aurégane s’illuminent elle regarde son oncle et demande :
-Et tata, comment elle est au lit ?
Lucas se met à rire, et dit :
-Oh, Odette c’est un chaudron, il ne faut pas lui en promettre, il faut lui en donner !
Aurégane ajoute en riant :
-Alors, tu la prends souvent ?
Lucas sourit et répond :
-Le plus souvent possible, nous aimons le sexe !
Elle se blottit contre sa tante, appuie sa poitrine contre la sienne et dit :
-Hum comme j’aimerai vous voir vous accoupler comme des bêtes !
A la fin de sa phrase, elle pose ses lèvres sur celle de sa tante, et fait glisser sa langue sur les lobes charnus. Odette sursaute surprise par cet assaut soudain. la langue agile cherche l’ouverture, et s’engouffre dans la bouche entrouverte de la tante abasourdit.
Les langues se nouent, le baiser dure un long moment. Lucas, est sans voix devant ce qui se passe. Odette un moment gênée, à beaucoup de mal à réaliser ce qui se passe, elle enlace sa nièce et répond au baiser, par un autre.
Les salives s’échangent, les langues se nouent comme des reptiles qui cherchent à s’accoupler.
Lucas ravale sa salive, Malgré les aveux de sa femme, jamais il n’aurai pensé que sa femme et sa nièce puissent en arriver là. Un fourmillement se produit dans son bas-ventre, lentement sa verge gonfle dans son pantalon. Il doit la presser pour atténuer le flux sanguin qui circule dans sa verge.
les deux femmes semblent seule dans la maison, elles basculent sur le canapé. Aurégane très délurée, dégrafe un à un les boutons du corsage de sa tante. Odette respire bruyamment, la nièce habilement, fait sauter le soutient gorge. Les seins lourds de la tante s’affaisse sur son torse. Les yeux d’Aurégane luisent, ils pétillent comme du champagne.
Les mains de la nièce audacieuse, s’emparent des lobes, les malaxe, les pétris. Ses longs doigts fins, s’enfoncent dans la chair souple, en faisant geindre la tante amoureuse. Lucas ravale sa salive, sa verge devient douloureuse dans son pantalon. Il la caresse au travers du tissu, en serrant les dents. Un gros soupir, le fait sursauter. Aurégane vient d’aspirer le mamelon d’Odette et le suce voracement. La tante plane de bonheur, elle dit faiblement:
-Oui, oui, ma chérie aime moi, dévore-moi, oh comme je t’aime ma chérie !
Aurégane s’acharne sur les mamelons, elle les fait doubler de volume, les étire, les mordille, avant de les rouler entre ses doigts.
Malgré son jeune âge, la coquine est douée. Habilement elle dénude entièrement sa tante, elle se redresse et s’effeuille en agitant son bassin comme une danseuse orientale.
L’oncle au première loge, se demande si sa nièce fait souvent l’amour avec ses potes, car là, elle agit comme une experte du sexe. Elle s’agenouille face à sa tante, qui automatiquement ouvre les jambes. Elle passe sa main entre ses cuisses et caresse la toison qui est déjà trempée. les lèvres sont gonflées, cela étonne Aurégane qui ne peut s’empêcher de dire :
-Hum ma tante chérie, tu es terriblement excitée, je te fais beaucoup d’effet avoue, ta chatte est dégoulinante !
Odette honteuse ne répond pas. Les doigts fins continuent l’aventure, ils glissent sur la fente, s’insèrent dans le sillon. Ils montent vers la boule magique. Odette défaille, elle se met à trembler.
Elle pousse un long gémissement, lorsque Aurégane lui saisit le clito. La coquine l’agite doucement, elle est très efficace la jeunette, la boule de chair enfle terriblement entre ses doigts agiles. Lucas est hypnotisé par le couple en action. il sort sa verge douloureuse de son pantalon et la caresse doucement. La tension est extrême, il serre les dents, en poussant de nombreux soupirs.
Il ignorait que sa femme avait des tendances lesbiennes, la coquine offre sa chatte sans aucune gêne, aux attouchements de la nièce qui lui laisse aucun répit. Aurégane agite avec plus d’énergie le clito, la chatte de sa tante rejette la cyprine qu’elle ne peut retenir. Aurégane serre les dents, et accélère le branlage. Odette se cabre en gémissement comme une bête malade. Une violente jouissance la fait hurler, son corps est secoué de nombreux frissons incontrôlables. Sa bouche déformée par un rictus affreux, laisse échappée un filet de salive.
Elle se cambre encore plus fort, lorsque les doigts de sa nièce s’enfoncent profondément dans son vagin.
Fouillée énergiquement, par une nièce bien décidée à faire de sa tante une jouisseuse. Odette défaille, sa respiration est rapide, son souffle court. Elle gémit comme un animal blessé. les doigts agiles voyagent dans le conduit détrempé, en faisant geindre la tante soumise. Une seconde jouissance la fait hurler. Sa chatte expulse un flot de cyprine, la main d’Aurégane est trempée de jus, autant que les cuisses de la tante jouisseuse.
Aurégane n’en a pas finit avec sa tante, elle plaque sa bouche sur le puits débordant, aspire le jus et enfonce sa langue dans la gaine le plus loin possible. Odette gémit terriblement, elle est en transe, ses yeux sont révulsés. Le tonton est très étonné par l’habileté de sa nièce, qui travaille sa femme comme une pro. Un hurlement, le fait sursauter, sa femme vient de jouir pour la troisième fois. Elle se laisse retomber lourdement sur le canapé, en haletant fortement.
Aurégane se place entre les cuisses de sa tante, et frotte sa chatte contre la sienne. les grandes lèvres se frottent énergiquement, Odette croit mourir. Sa nièce est un démon réincarné. les deux clitos sont en contact, ils glissent l’un sur l’autre. Aurégane agite son bassin en cherchant à faire jouir encore une fois sa tante. Soudain, elle s’agenouille et avance sa tête entre les cuisses de la tante soumise, elle gobe le clito monstrueux, et le suce comme une vorace. Une énième jouissance fait hurler Odette, qui s’écroule les bras en croix.
Lucas agite sa verge férocement, il dit :
-Mais ou tu as appris tout ça ma chérie !
En souriant, elle dit sans honte, en regardant son oncle :
-Je vais tout te dire, j’ai fait la connaissance d’un vieux couple, il y a deux ans. Les deux me désiraient tellement, que monnayant mes charmes, je suis dénue leur jouet. Au fil des rencontres, ils m’ont tout appris, et moi, je me suis fait un petit pécule, voila tu sais tout !
Odette, reste comme un rond de flan, en écoutant les révélations de sa nièce, qu’elle adore.
Lucas étonné, répond :
-Oh ma nièce, est une pute, je n’en reviens pas !
Aurégane éclate de rire, et réplique :
-Mais pour vous mes chéris, que j’aime tellement, c’est gratuit !
Lucas retire ses vêtements sa verge tendue, est secouée de spasmes incontrôlables. Il regarde sa femme qui git sur le canapé sans forces, et dit :
-Tu es douée avec une femme, mais montre ce que tu sais faire avec un homme ma chérie !
Aurégane, s’avance vers son oncle, elle le pousse sur une chaise, saisit sa verge et l’agite vigoureusement. Lucas, immédiatement se raidit et se cambre fortement. le branlage est violent, à chaque descente de son poignet, la coquine frappe de sa main les couilles du tonton. Il gémit serre les poings, sa bite est au maximum de son volume. Aurégane l’agite, en ne la quittant pas des yeux, elle dit :
-Tu es bien monté tonton, tante ne doit s’emmerder avec toi !
Lucas, n’a pas la force de répondre, tellement sa nièce agite son engin, il serre les dents. Soudain, il pousse un gémissement en se cabrant, sa verge gicle comme un geyser. Le sperme fuse de son mandrin, et retombe sur la main de la nièce qui continue de branler le mat. Le sperme dégouline lentement sur sa main, comme une coulée de lave. Aurégane décalotte le gland gluant, et donne sur le chapeau de chair, des coups de langue bien ajustées. Elle lape la semence qui continue de suinter du méat. Sa langue agile tourne sur le gland, titille le frein un bon moment. Enfin, elle gobe le gland et le suce avec art, la coquine à bien apprise sa leçon, ses profs devaient être remarquables.
Lucas est aux anges, sa nièce s’acharne sur son gland avec ardeur et beaucoup d’amour. Il geint comme un agonisant, se cambre fortement et en grimaçant envoie dans la bouche de sa nièce, un flot de sperme épais. Aurégane, rejette le gland et avale la décharge jusqu’à la dernière goutte. Lucas délire :
-Oh ma chérie, tu suces divinement, tu me fais mourir de plaisir !
Souriante, la jeunette répond :
-je n’en ai pas finit avec toi, mon tonton !
Elle se place à califourchon sur ses genoux, saisit sa verge gluante, et la dirige vers sa vulve en feu. Lentement elle descend son corps, le gland épais lui écrase les grandes lèvres, les ouvre et s’enfonce dans le conduit ruisselant. Elle se laisse tomber de tout son poids, en poussant un râle rauque. L’empalement est total, elle s’accroche à son oncle et commence une danse du ventre. Lucas est étonné, sa nièce est une vraie machine à baiser, sa chatte est brulante. Son corps monte et descend comme un ascenseur sur son membre dressé. A chaque descente, Lucas tire fortement sur les hanches de sa nièce, pour l’empaler entièrement.
Aurégane s’agite de plus en plus vite, en geignant, son souffle s’accélère. Grogne comme un animal sur sa proie, elle pousse un cri et s’agrippe à son oncle, sa jouissance est violente. Elle donne des coups de reins terribles en geignant comme un animal blessé.
Elle s’écarte du torse puissant de son oncle, tout en restant empalée. Le bougre de tonton lui dévore les mamelons, les fait doubler de volume, ses succions et ses aspirations, font gémir Aurégane, qui agite son bassin sur le manche épais qui l’embroche. Ses mamelons sont devenus larges très épais et sensibles, Lucas comme un affamé, les dévore.
Un long gémissement lui fait comprendre, que sa nièce vient de jouir une seconde fois. Elle souffle comme un dragon, enfin, une puissante giclée lui remplit le ventre, elle pose ses lèvres sur ceux de son oncle et l’embrasse fougueusement. Le baiser dure très longtemps, le souffle des amants est bruyant.
Enfin ils se désaccouplent, Aurégane tombe à genoux, elle saisit brusquement la queue enduit de sperme, et la prend en bouche pour pratiquer une fellation terrible. Lucas est estomaqué par l’ardeur d’Aurégane à l’ouvrage. Elle ne badine pas, elle donne tout ce qu’elle a. Elle lèche la hampe comme un sucre d’orge, pour après s’attarder sur le gland, et lui faire subir tous les outrages. Lucas déverse dans la bouche de son amante sa semence brulante.
Odette refait surface, elle regarde le couple en action, ses yeux lancent des éclairs. En se redressant sur le canapé, elle dit :
-Viens ma chérie, tata va te rendre le plaisir que tu lui as donné, viens vite ma petite pute, je t’aime !
Aurégane, s’essuie d’un revers de la main les lèvres, et s’avance vers sa tante en souriant. Elle semble infatigable la coquine.
Sa tante la bascule sur le sol, et se place sur elle tête bêche. les chattes sont en fusion, elles ne cessent de suinter. Après un moment d’observation, les bouches entrent en action. les vulves se font fouiller, visiter, explorer par les langues agiles. Les jus aspirés par les bouches affamées. Les clitos très sollicités, sont devenus monstrueux. Enfin, les deux femmes jouissent comme des damnées, en geignant fortement.
La verge de Lucas reprend du service, elle est dressée comme un mat. Il souffle comme un taureau qui va charger. les deux femmes en sueur, cessent leur ébat. Lucas dit en regardant Aurégane :
-Oh comme, j’aimerai te prendre par le cul ma chérie, et sans vaseline !
La nièce souriante répond :
-Je ne peux rien refuser à mon tonton d’amour, prends-le, il est à toi ! Elle se met à quatre pattes et attend. le tonton, approche sa bite du petit cul qui semble bien serré. La frotte contre l’anneau ridé, et pousse. Aurégane grimace, elle serre les dents. lentement, le mandrin épais s’enfonce dans son rectum en le dilatant fortement, elle ne peut s’empêcher de dire :
-Oh la vache ce que tu es gros tonton, tu me pètes le cul, ouah vas à fond oui,oui, oh putain ce que ça fait mal, mais pousse plus fort je la veux jusqu’aux couilles dans mon fondement !
Odette a les yeux écarquillés, elle regarde avec intérêt, la bite de son mari pénétrer le rectum de la nièce demandeuse. Elle l’entend souffler comme un dragon, gémit de douleur ou de plaisir elle ne le sait pas. la bite vigoureuse, voyage dans la gaine étroite en faisant grogner Aurégane. le pilonnage est sévère, les gémissements de la nièce bruyants. Une violente jouissance anale la fait hurler. elle laisse sa tête tomber sur ses avant bras. Elle halète terriblement. Lucas lui, travaille le cul comme un soudard, il dit en grognant comme un fauve :
-Tiens, tiens prend, ça petite pute d’amour, et encore ça, oh comme ton cul est bon et bien serré ma chérie, tonton va bien le remplir de sa semence oui, oui, ça vient !
Lucas se raidit, et envoie dans les entrailles de sa nièce un flot de sperme. les deux s’affalent sur le sol, en soufflant comme des bêtes en ruts. Odette n’en revient pas, elle se demande comment un petit cul, aussi étroit. Peut recevoir un aussi gros membre.
Linsee
Ajouter un commentaire