Si depuis 2018, je n’avais plus eu de contact avec notre Conseiller Bancaire Associatif, toujours le fameux Stéphane, avec lequel nous avions en cette période, une petite aventure tous les deux, mais qu’après cela si nous aurons chacun continué notre petit chemin de vie. Il est donc vrais qu’en ce mois de Mars 2021, ayant récupéré l’ensemble des cotisations annuelles de mes membres, mon Trésorier malade depuis plusieurs semaines, si je téléphone à la banque en cette période de pandémie pour savoir comment procéder, la standardiste me passe alors un Monsieur duquel je reconnais sans problème la voix, lui précisant que j’étais où ce dernier surpris mais combien ravi, me dit simplement « mais comment vas-tu Gérard., cela fait une paille que nous ne nous sommes revus.. ». S’il me précise alors qu’il n’y a pas grand monde à la banque, que pas mal bossent à la maison, il me propose de se voir dés le lendemain jeudi à 11hrs 15 si cela me convient, rajoutant que nous pourrons si tu en as le temps Gérard à profiter à prendre l’apéro ensemble, lui confirmant que si cela me convient tout à fait, rajoutant pour un peu de piment, te connaissant assez bien Stéph…, je préviendrais toutefois ma moitié rentrer avec peut être bien du retard, ce qui bien sur aura fait sourire ce dernier.
Et j’avoue que c’est avec hâte que j’attendais ce lendemain, où partant de chez moi, je l’avoue exciter comme un petit jeune, j’arrive à la banque à 11hrs 10 où si en effet l’ambiance était des plus calme, remarquant à part la standardiste, deux bureau occupés, je patiente quelques minutes où alors arrive mon Stéphane, toujours aussi sympa, souriant et mignon vient vers moi, m’invite à le suivre dans son bureau où je remarque de suite que ce dernier avait apposé sur la porte à l’extérieur, « ne pas déranger » ce qui déjà là, ne m’aura pas laissé sans effet, remarquant de plus que les stores étaient tirés, me rassurant que nous étions à présent bien intimes tous les deux.
Si nous en venons ensuite à régler mon problème Associatif, lui remettant l’ensemble des montants à porter sur le compte, nous conversons ensuite de nos petites vies à chacun, je remarque très vite que mon Stéph… état combien nerveux, finissant par se lever, se promener autour et derrière moi dans ce bureau, toujours en conversant, pour à un moment ne pouvant je pense se retenir, finit par se saisir de moi, me faisant à mon tour me relever où là, s’il laisse très vite partir ses mains entre mes jambes, sa bouche s’empare de la mienne dans une envie démente partagée, se dévorant sans retenue, laissant nos langues se rouler l’une dans l’autre où de plus très vite je sens la main de mon Stéph.., se glisser derrière mon pantalon et se saisir de ma petite queue bien sur en érection, finissant par l’extirper de derrière mon caleçon se mettre sur les genoux et se délecter quelques sublimes minutes de cette dernière, ne pouvant me retenir à quelques gémissements de ce plaisir.
Si je lui avoue toutefois à un moment être un léger mal à l’aise, imaginant que quelqu’un puisse entrer dans son bureau et nous surprendre, il me rassure alors, ayant mis son affichette ne pas déranger et que s’il y avait un problème plus pressant le standard ne manquerait de le prévenir par téléphone. Et là à mon tour bien sur je ne me retiens plus moi aussi reprenant avec démence la bouche de mon Stéph… tout en faisant glisser la tirette de son pantalon, où si ce dernier tombe jusque sur ses genoux, je profite à mon tour à m’emparer de cette jolie queue dont j’avais combien envie, la laissant glisser au fond de ma bouche et m’en délecter quelques sublimes minutes, profitant de plus de mes mains libres à laisser partir l’une d’elle entre ses jambes et lentement finir par introduire mon index dans son trou de cul, laissant cette fois ce dernier à son tour à des « Oh Ouiiiiii…, comme c’est bon…, continues mon Gérard.., cela faisait si longtemps que j’étais en manque … » où je continue alors profitant à donner encore quelques minutes de plaisir à mon Stéph….
Et si nous étions à présent à quelques minutes de midi, mettant un arrêt à nos jeux, comme décidé à mon arrivée, nous optons d’aller en voiture prendre tous deux l’apéro dans un joli petit bar situé pas trop loin de la banque, où de suite Stéphane me fais part m’inviter, me proposant même de prendre une petite salade mixte, ce à quoi nous laissons avec plaisir. Et si nous voilà à converser de mille choses et n’ayant durant cette heure passée dans son bureau pas eu l’occasion ni lui ni moi d’aller jusqu’à se faire jouir, je rappelle à un moment à mon petit coquin, que je n’oublie pas ce sublime moment, même si cela date où si je me souviens que si bien sur nous étions à son domicile, ce dernier avait profité à me sodomiser comme un petit dément, ce sera la seule chose dont j’aurais eu tant envie aujourd’hui à le faire profiter à son tour lui aussi.
Et combien mon Stéph… me sourit alors, jetant un regard sur son portable pour voir l’heure où voyant qu’il était tout juste 13hrs, toujours me lançant un petit regard alors pervers, laissant au même instant son pied sous la table, rejoindre mon entre jambe, remarquant combien je bandais, me faisant alors, nous pourrions en effet aller faire un tour chez moi si tu en as tant envie mon Gérard, reprenant à 14hrs 15 et au pire je passerais un petit coup de fil au bureau pour ne venir que vers 15hrs. Si alors mon Stéph… règle la petite note, nous reprenons la voiture où même sur le très court trajet je profite à laisser ma main se promener entre les jambes de mon Stéph…, toujours souriant. Et en effet en même pas dix minutes Stéph.., stationne alors sa voiture sur son parking où très vite nous prenons l’ascenseur où si nous arrivons alors au 2ème étage où réside toujours mon coquin, sortant de l’ascenseur, le petit salaud avant d’ouvrir la porte ne manque même su le palier, de se jeter sur ma bouche se dévorant quelques instants du plaisir de ce moment d’être tous les deux.
Et si nous voila entrés mon coquin s’absente un instant, me disant « mets toi à l’aise mon Gérard .., » déposant ma pochette, ma veste, si ce dernier revient ensuite, semblant s’être rafraichi, la suite se précise très vite, où surtout avec mon envie de lui, prenant l’initiative de ce début de plaisirs, me jetant sans plus sur ma petite pute qui semble adorer cela, le dévorant de partout tout en lui retirant un à un ses vêtements ce à quoi il ne manque de se laisser aussi sur moi, finissant après quelques torrides secondes tous deux bien à poil, où si je fais basculer mon Stéph.., dans son joli canapé je me laisse sans plus à me jeter entre ses jambes pour empoigner sa queue alors dur comme jamais et lui la sucer comme un petit dément, laissant partir ma main entre ses jambes pour aller lui dilater son petit trou de cul, que je compte bien lui défoncer sous peu, mon petit salaud ne se retenant déjà en rien à des râles et des gémissements.
Et souhaitant encore profiter de ses moments pervers avant de sodomiser ma petite pute, nos ébats perdurent sans retenue, finissant par se retrouver au sol sur la moquette, ne retenant en rien à promener nos mains l’un sur l’autre, où tout en laissant nos corps se tortiller dans tous les sens, nous trouvant à un instant dans une position démente profitant à se bouffer nos queues réciproques tout en se doigtant nos trous de cul dans des gémissements sans retenue. Et si tout cela dura encore de torrides minutes, je me relève alors, me saisit par la même de mon petit pédé, reprenant avec avidité quelques secondes nos bouches, pour ensuite me positionner derrière lui, le serrant contre moi, lui caressant son torse, lui embrassant le cou, où si la petite pute ne manque pas de gémir, l’entraînant vers la table, où si passant devant le canapé, je me saisi d’un petit coussin, dépose ce dernier sur le rebord de la table, faisant sans plus, basculer mon Stéph, déposant son torse sur ce coussin tout en agrippant ses mains de chaque coté de cette table.
Et si là, avec une envie et un plaisir dément, je viens me mettre entre ses jambes que je lui écarte un léger, je laisse partir ma langue le long de cette petite raie, jusqu’à finir par se glisser dans ce trou de cul et encore et encore, humidifiant les parois de ce trou, me saisissant de plus de sa queue, lui palpant les couilles, laissant mon petit salaud à des râles et gémissements de plus en plus fort « Oh Ouiiiiii…, Ouiiiiii…., comme c’est bon mon Gégé…., continues …, encore…..encore…., défonces moi…, STP….., STP… mets moi vite ta queue… ».
Et n’y tenant plus, retirant ensuite ma langue de ce trou et me relevant, j’empoigne alors ma queue dans une érection démente, que lentement, je dépose sur ce trou et enfin m’y enfonce jusqu’à cogner mon bas ventre contre ses couilles tout en continuant à lui branler sa queue, où si cette fois tous deux nous ne nous retenons à des râles fous, quelques secondes suffiront ensuite, pour alors partir tous deux dans une jouissance démentielle, où si je sens ma mains s’emplir du sperme de ma petite salope, je sens aussi le mien gicler avec force et combien de plaisir tout au fond de ce trou de cul nous laissant à ce plaisir dément mais partagé encore quelques sublimes minutes.
Si enfin combien apaisé autant mon Stéph…., que moi même, relâchant nos étreinte démentes, nous nous remercions une fois encore en se dévorant quelques secondes encore nos bouches et nos petites langues. Et bien sur après cela si nous serons allés tous deux presque enlacés comme deux amants que nous étions alors, sous la douche, très vite nous nous rhabillons ensuite où si mon coquin, me fait part, qu’il est juste 14hrs 15, il était à présent tout à fait ravi et combien apaisé et ce tout comme moi-même et prêt à rejoindre son bureau, me précisant qu’il ne manquera pas ayant mon numéro de téléphone et mon adresse mail de remettre cela une troisième fois avec que du plaisir.
FIN
Gégé
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