Si ce dernier samedi d’octobre, nous avions une petite fête de famille à l’occasion de l’anniversaire de ma moitié, nous avions invités à déjeuner, quelques amis de ma femme et bien sur sa marraine, que ma femme aura été cherchée en matinée et comme vous l’aurez déjà lu dans des récits précédents, reste ma secrète complice que j’aurais de tout temps appelé tatie, de laquelle heureusement, personne de notre entourage n’était au courant de cette relation secrète et très coquine que nous entretenons encore même à nos âges elle et moi, et principalement, lorsque cette dernière, veuve depuis des années, ne manque depuis maintenant quelques années plusieurs fois par ans, à me solliciter pour divers petits travaux en cas de besoin ou autres……
Pour en revenir à cette journée festive, où nous étions une dizaine, si tout le monde semble présent, s’étant présentés les uns aux autres qui ne se connaissaient pas trop, nous passons donc à l’apéro que ma moitié nous aura luxueusement préparés et servis au salon, elle aura été de plus couverte de bien jolis cadeaux. Et si cet apéro, se passe bien cool, accompagné d’une musque douce, à converser entre les présents, je remarque sans surprise que déjà ma coquine tatie ne manque de me lancer quelques petits regards en souriant, ce qui très vite n’aura manqué de me laisser à bien des fantasmes, jusqu’à me faire bander tout en restant discret.
Si après trois quart d’heures autour de cet apéro, ma femme demande alors à ses convives de passer à table, ayant de plus organisée son petit plan de table, dans lequel, si sa marraine n’avait pas le plaisir de trop connaître les invités présents, m’en informant en douce, elle aura préférée installer cette dernière à coté de moi, ce qui bien sur n’aura manqué de trop plaire autant à tatie qu’à moi-même. Et si le très bon repas se passe dans une bonne ambiance, où bien sur l’ensemble des présent ne manquent de converser de mille choses et mieux se connaître, arrive un moment échangeant avec quelques convives, sans penser à mal, déposant une main sur mes genoux, ma coquine tatie n’aura manquée de remarquer cela, où voilà que cette dernière, tout en me lançant un petit clin d’œil avec un sourire complice, laisse soudain partir discrètement l’une de ses mains, souhaitant rejoindre la mienne sous cette table, où comme attirées l’une vers l’autre, nous nous enserrons ces dernières de longues minutes, où si de plus déjà la garce, me chatouille la paume de ma main, ce qui bien sur ne me laisse pas sans effet.
Et si bien sur personne autour de la table n’aura remarqué notre jeu, la nappe décorant la table débordant bien assez autour de celle-ci, ne risquant aucunement une quelconque indiscrétion, toujours ma main dans celle de ma petite cochonne, je pends l’initiative de faire bouger celle de ma tatie, la faisant glisser lentement vers mon entre jambes, où si elle me regarde avec un petit sourire vicieux, elle palpe alors, lentement la petite bosse qui bien sur ce sera très vite formée derrière mon pantalon. Et combien à cet instant, je regrette de ne pouvoir me jeter et lui donner ma queue à ma pette salope dont les yeux brillent de perversion. S’il me vient alors l’idée de retirer un instant sa main de sur ma bosse, je ne manque de déboutonner, toujours discret, les boutons de ma braguette derrière laquelle, heureusement je ne portais comme souvent rien, je réussis toujours discrètement et tout en conversant avec les présents, à en extirper ma queue, pour rejeter un œil coquin vers tatie, reprendre sa main que je dépose sur cette queue bien en érection, où si ma salope souriante ne peut y croire, elle ne manque de profiter à me malaxer autant ma queue que mes couilles, me retenant de ne pas gémir de ce plaisir déjà divin.
Et si je me doute combien à cet instant ma vieille pute aurait bien eu envie de me bouffer, arrivant au moment du café et dessert, tatie je suppose trop excitée, ne manque à faire part à ma moitié, que si cela ne la dérange pas, elle souhaiterait après cela qu’on la ramène chez elle, se sentant un léger fatiguée. Et si à ses mots, bien sur de suite je propose à ma femme qui l’avait cherchée en matinée de m’occuper à mon tour, de la ramener moi même, ce qui lui permet de rester avec ses amis, combien cela semble ravir ma moitié, qui me remercie, où tatie ne manque de rajouter, « il est trop gentil et serviable ton Gérard…, » ce qui intérieurement me laisse bien sur à sourire. Si une petite demi heure se passe encore, n’étant pas loin de 16hrs, tatie se lève alors, me disant « on y va mon Gérard…, » je lui dis le temps de passer à la salle de bains pour m’arranger, pour après cela être fin prêt pour toi tatie et te ramener. Si nous saluons ensuite l’assemblée présente, précisant à ma moitié que si connaissant tatie, cette dernière souhaitera me garder encore un petit moment chez elle, elle me répond, sans problème chéri, prends le temps qu’il vous faudra.
Et si nous voilà tous deux assis dans ma voiture, lâchant presque au même moment tous deux un « ouf » tatie rajoute « je n’en pouvais plus, j’avais trop besoin et envie de pouvoir être un peu seul avec toi mon chéri…., » où si un petit quart d’heures était nécessaire pour rejoindre son domicile, la garce ne se retient de promener ses mains bien entre mes jambes, ne manque de me dire l’envie qu’elle avait envie de bouffer cette queue qu’elle sentait bien en érection derrière mon pantalon, ce qui ne manque de me laisser à imaginer ce qui m’attendais aussitôt chez elle. Si nous arrivons alors tout heureux chez ma tatie, je stationne ma voiture comme à l’habitude dans le petit chemin privé, nous entrons ensuite, où une fois la porte fermée et avec cette envie réciproque que nous avions depuis ce matin, ma salope adorée, se jette presque sur moi, laisse partir avec fougue sa bouche sur la mienne nous dévorant alors durant de longues et torrides minutes roulant nos langues l’une dans l’autre dans une envie combien démente et partagée, ce qui n’aura manqué de déjà nous faire un bien énorme. Un peu calmé, ma chipie me dit alors « mets toi à l’aise mon chéri.. », prends une bière si tu le souhaites, partant ensuite dans sa chambre, me doutant qu’elle souhaitait se changer, entendant de plus à un moment fonctionner la douche, où ma chipie aura là encore voulu se rafraîchir.
Si une dizaine de minutes passent encore, la voilà de retour portant une très jolie nuisette, sous laquelle, combien je me doutais qu’elle devait être à poil, laissant pour le moment juste apparaître ses deux seins même bien sur avec l’âge un peu pendants, mais que j’adorais. Et si là, ma garce se rapproche de moi, adossé à la table, me disant combien elle était à présent heureuse de m’avoir juste pour elle, me couvre de petits bisous, me fait ouvrir la bouche pour rouler sa langue dans la mienne, où si je commence à lui palper ses seins, la chipie se laisse « continues…, continues mon chéri… ». Et si combien j’avais cette envie démente de me donner à elle, la laisser profiter de son petit chéri secret, elle ne manque sans plus et tout en reprenant encore nos bouches, à me défaire lentement un à un de mes vêtements où à sentir ses mains sur mon torse, puis descendre pour ouvrir la braguette de mon pantalon, qui s’il tombe au sol, je ne manque de m’en défaire, où à présent me voilà combien bandant et heureux à poil entre les mains de ma tatie salope.
Et si la garce continue à me bouffer de partout, je ne manque d’écarter un peu les jambes, me laisse aller en arrière où très vite elle se positionne entre mes jambes et tout en continuant ses caresses perverses, laisse glisser ma queue bien raide dans sa bouche, se délecte avec un plaisir insensé de celle-ci, la faisant entrer au plus profond de sa gorge, roulant sa langue autour. Et si je finis à un moment à la limite de me laisser tomber en arrière sur cette table, elle profite de plus, pour aller me caresser les fesses et très vite me faire sentir l’un ses mains tourner autour de mes petites fesses jusqu’à faire partir l’un de ses doigts dans mon trou de cul et me branler ce dernier tout en continuant à bouffer ma queue et ce encore de torrides minutes. Et si pour ma part je ne manque à profiter de mon adorable perverse, me laisse à des « oh ouiiiiii…, ouiiiiii…, continues…, encore…, encore ma petite salope…, bouffes le ton petit chéri à toi……».
Et si à toujours à sentir son doigt qui me lime les entrailles de mon trou de cul, me prodiguant un plaisir presque insoutenable, la chipie relâche un instant ma queue et me lance, de plus souriante « tu aimes cela ma petite pute chérie…, avoues…, tu aimes…, et combien j’adore t’entendre gémir.., » elle se rejette sur ma queue, pour la mordiller, la reprendre en bouche et la rouler dans sa langue, si je lui fais alors « stp arrêtes tatie…, arrêtes…., stp…, stp…, ne vas pas trop vite…, » laisses ton chéri un peu partager ses plaisirs avec toi ma petite garce, où si elle semble ravie d’entendre mes mots, se laisse toutefois encore quelques instant à me sucer, pour ensuite relâcher alors ma queue, ce qui me permet à présent de me relever.
Et si enfin debout, toujours à poil, je me saisi à mon tour, très vite de la salope dont j’avais à présent une envie démente pour déjà reprendre nos bouches et langues à se dévorer où je ne manque déjà de profiter à lui défaire cette nuisette qu’elle portait encore pour à présent être tout aussi à poil que moi-même et ce, même avec à nos âges, nos corps pas des plus jeunes, mais ce qui ne nous dérange en rien, continuant à se bouffer, je ne manque de laisser partir mes mains partout sur ma garce où si l’une d’elle va s’emparer de sa chatte pour y introduire, un puis deux doigts et lentement la branler, où la petite pute se laisse de suite à des gémissements et des râles déments « oh ouiiiiii…, ouiiiiii…, continues…, encore mon chéri.., fais de ta tatie tout ce que tu auras envie.. ». Et si toujours à tourner debout dans le salon, où si nos mains réciproques ne manquent de continuer à se caresser comme nous le pouvions, arrive un moment où je réussi à bloquer ma garce adorée contre moi, la serrant sur moi, sans manquer de lui palper ses seins, profite par la même dans cette position à lui faire sentir ma queue déjà bien dure se promener entre ses fesses, ce qui ne semble lui déplaire se laisse de plus à trémousser son cul autour de ma queue, me lance des « Oh ouiiiiii…, ouiiiiii mon chéri…, continues.., ouiiiiii…, laisses toi aller…, combien j’adore sentir ta queue sur moi… »
Et là, n’y tenant plus, tout en continuant à lui dévorer, son cou, sa bouche, son cul collée sur ma queue, elle se remet à des « encore.., continues ma petite pute chérie…, bouffes là ta tatie à toi…, » je l’entraîne ainsi comme ma proie vers sa chambre à coucher où si de suite, les ébats dégénèrent dans une orgie démente, faisant basculer ma chipie sur le lit, si elle se pose à quatre pattes sur ce dernier, je me jette à califourchon dans son dos, pour de suite me ressaisir de ses deux globes pendants, lui titillant les tétons, la garce se remet à gémir de plus en plus fort, et sans plus, je laisse alors glisser ma queue entre ses fesses, où après quelques démentielle secondes cette dernière pénètre alors le trou de cul de ma salope, me laissant de suite à des va et viens torrides et effrénés lui limant avec démence les entrailles de son cul, tout en ne relâchant en rien ses deux seins que je lui palpe par la même avec démence, où ma tatie salope se remet à des râles fous de ce moment de plaisir indescriptible. Et cela dure jusqu’à ce que la pute, me supplie presque de la laisser elle aussi encore un profiter de son chéri, sans manquer de rajouter avant de se faire jouir ensemble comme nous en avons tant envie tous les deux. Et si je souhaitais aujourd’hui avec ma petite salope, nous faire profiter au maximum de toutes les perversités possibles, je retire alors avec douceur, ma queue de son trou de cul qui je l’avoue était deux doigts d’exploser.
Si ma petite garce se relève alors un moment, passant juste un peignoir, me fait alors « je reviens de suite mon chéri.. » pour alors sortir un instant, elle revient avec deux petits verres, ce qui nous permet de nous reprendre un moment bien cool de nos ébat et nous rafraichir. Toutefois, vu l’état d’excitation de tatie, cela n’aura duré que quelques minutes, puisque très vite, la petite salope laisse à nouveau tomber son peignoir, pour souriante me dire « laisses moi à présent à profiter quelques minutes de toi ma petite pute chérie…, » où alors la chipie se jette sans plus sur moi, bien sur toujours à poil, me couvre de chauds bisous, de torrides et perverses caresses et de plus, s’empare aussi de ma queue qu’elle m’avoue avoir encore trop envie de sucer. Et si combien je me laisse à son jeu, elle ne manque, tout en continuant à rouler ma queue dans sa bouche et autour de sa langue à laisser partir sa main puis son index dans mon trou de cul et me branle ce dernier un sublime et torride, s’y enfonce encore …, et encore…,» où ne me retenant en rien à gémir de cet instant dément me tortillant sur ce lit comme son petit jouet sexuel, j’étais à la limite du supportable.
Et là, sans plus je lui retire ma queue de sa bouche, où surprise, j’empoigne alors ma garce qui toute souriante arrête alors ses jeux pour se laisser aller à moi, nous dévorant une fois encore comme deux petits bêtes affamées, où si cette fois encore les ébats dégénèrent très vite, ma petite salope qui ce sera allongée sur le dos à me sourire ne manque de me dire « vas-y ma petite pute adorée…., mets la moi ta queue…., fais nous jouir à présent… » Et si je me jette ensuite sans un mot sur ma petite salope, profite encore à lui dévorer ses seins, je laisse partir ma main le long de son torse, jusqu’à retrouver sa chatte trempée dans laquelle je laisse pénétrer quelques instant deux doigts pour la branler tout en continuant à me délecter de ses globes bien pendants, ce qui ne manque à nouveau de la faire gémir au plus fort, écarte ses jambes se remet à des « vas-y mon petit chéri adoré…, vas-y…, défonces la ta tatie.., fais lui sentir ta jolie queue…, » et ce tout en se déhanchant comme jamais sur ce lit, où si je viens cette fois avec alors cette envie réciproque, me mettre entre ses jambes écartées, je me laisse quelques instants à jeter ma bouche sur cette chatte déjà débordante de cyprine, où si la salope ne se retient à cris de plus en plus forts, me relance « vas-y mon petit salaud…., fais moi la sentir…., donnes moi cette queue.. », où si je me laisse encore quelques instants à lui bouffer cette chatte, lui fais sentir ma langue lui titiller son clito….la garce hurle encore de ce plaisir où si je retire ensuite ma bouche de cette chatte trempée et prête à exploser, je me saisi alors de ma queue bien en érection, pour la glisser et la faire entrer encore et encore dans cette chatte.
Et là tous deux comme drogués, si je dépose mes mains sur ses cuisses, où tatie fait mine de se débattre, la salope ne manque de relever un léger ses fesses permettant encore plus à ma queue de s’y enfoncer encore et encore jusqu’à lui faire de plus sentir mes couilles se frotter dans son entre jambe, où là, quelques secondes encore suffiront pour alors dans des râles, gémissements et cris démentiels réciproques, nous explosons tous deux au même instant, dans une jouissance presque insupportable, laissant avec force et démence partagée, se mélanger nos spermes à chacun, dans un plaisir insoutenable mais combien jouissant et torride qui aura encore duré quelques sublimes mais inoubliables secondes.
Et si tous ses jeux pervers auront duré presque deux bonnes heures, étant à présent tous deux un peu apaisés, nous ne manquons de se remercier l’un et l’autre, nous laissant encore quelques torrides minutes à se dévorer nos bouches et profiter de nos langues. Enfin près cela, voyant de plus qu’il était près de 19hrs, nous nous rhabillons, pour encore prendre un dernier petit verre, où si nous nous promettons de remettre cela à très vite, échangeant encore un tendre bisou, je quitte ensuite un peu à regret ma tatie chérie avec laquelle je compte bien sur encore baiser à nouveau très bientôt.
FIN
Gérard où Gégé
Ajouter un commentaire