Il venait juste d’être embauché dans cette entreprise de bâtiment comme homme à tout faire. Éric était bien bâti, épaules larges et bonne poigne et le matin du premier jour il a trimballé des tonnes de sac de ciment du chariot élévateur aux quatre coins du chantier. Quand le klaxon a retenti annonçant la pause j’étais vanné. Les ouvriers se sont rassemblés et ont sorti leur boîte repas. Moi je n’avais rien prévu mais au moment du café un black m’a tendu sa thermos.
Vas-y c’est du bon mon mec me le prépare tous les matins
-Ton mec ?
-Ben oui je suis gay comme pas mal ici et on s’entend bien. Tu n’y as pas gouté toi avec ta petite tronche d’amour ?
Euh non j’ai une petite amie mais elle se coince quand je veux aller plus loin.
Il a eu un éclat de rire. Eh les mecs on a un puceau !
Pas vrai !
-Et si, il vient de me le dire. Tu n’as mais joué avec un pote ?
Non, enfin juste se la montrer c’est tout.
-Et à nous, tu nous la montre, on est entre nous et le patron n’est pas chien si on bosse bien après.
Vous êtes fous on fait ça entre nous, pas devant tout le monde.
-Bah, je t’ai dit on est entre homme et on a tous vu nos bites. Aller, baisse ton froc, montre-nous.
On était dans un creux du terrain et j’ai vérifié autour, personne à part les potes ouvriers. J’ai baissé mon froc sans réfléchir que j’avais mis un string rouge pour ne pas avoir trop chaud.
Mignon comme tout, attends je vais te mettre en forme. Il a passé la main sur le string, j’ai reculé et buté sur une planche, tombant en arrière. Belles fesses ! T’as jamais pensé à mettre un truc dans ton cul ?
J’ai rougi, non.
-Et à ta nana tu n’as pas essayé ?
Je lui ai caressé la chatte mais pas plus.
-Comme ça ? Il passait le doigt sur la ficelle du tissu puis en dessous.
Arrêtez ce n’est pas marrant.
-En tout cas ta bite n’a pas l’ai de détester.
Je la sentais tendue dans le tissu.
-Les gars on lui apprend les bonnes choses de la vie ? Ouai je pense qu’il a besoin d’être décoincé.
Deux mes m’ont chopé les bras et j’avais beau gigoter le string a été descendu aux chevilles. Dévoilant ma tige qui ne connaissant pas ce truc avait débandé. Le black pour être plus à l’aise avait passé la tête entre mes cuisses les tenant ouvertes.
Il souriait de me voir tout rouge et a dégagé son sexe qui m’a paru énorme pas rapport à celui du pote avec qui on se l’était montré.
Jamais sucé une bite, gamin ?
Non et je n’ai pas envie de le faire.
-Pourtant pour qu’elle passe dans tes fesses il faut qu’elle soit bien humide. Relevez-lui la tête. Juste au-dessus de ma queue. Aller ouvre ta petite gueule ! Il m’a pincé le nez et pour respirer j’ai entrouvert les lèvres. Il a appuyé le gland dessus. Aller un effort, tu verras comme c’est bon une bite de black. J’ai eu du mal mentalement mais j’ai fini par entrouvrir puis ouvrir la bouche. Elle me remplissait bien et l’a fait glisser sur ma langue plusieurs fois.
-Tu vois, ce n’est pas si dur. En fait il avait touché ma glotte et j’avais eu une crise de rejet, son gland bavait de salive. Maintenant tu vas devenir une copine et te rendre ta première bite.
Tu es fou ! Ton sexe ne peut pas entrer dans mes fesses !
-Mais si ! et tu vas t’ouvrir comme tous les mecs s’ouvrent à la bite Il m’a doigté et je me suis retenu pour ne pas attirer le patron. Je criais en silence, son gros doigt coulissait dans mes fesses. Aller les potes écartez lui les fesses que je l’encule.
Oh non !
Je me suis pris une baffe, on ne dit pas non à ma queue ! Jamais ! Il a poussé, poussé plus fort et d’un coup mon anus s’est ouvert. J’allais crier quand un des mecs a mis la main sur ma bouche. J’ai senti le sexe entrer bien au fond avant de me limer comme j’imaginais limer ma copine. Au début j’ai gueulé de douleur qui s’est atténuée lentement et j’ai sursauté quand il s’est retiré.
-A qui le tour, on va en faire nôtre lopette, il gueule plus et commence à apprécier. Une jeune de mon âge a pris la place et s’est enfoncé sans gêne dans mon petit trou. Moins bien monté il a pénétré facile. Il devait être en manque car il a joui vite.
Ce soir, tu préviens tes parents que tu dors sur place dans l’algéco. Et si t’es pas là demain et que je te retrouve, t’as droit à une volée de coups de ceinture. Rhabille-toi et au taf ! Salope.
Avant de me rhabiller j’ai vidé tout ce que j’ai pu de mes boyaux et remis mes fringues. Je me sentais vraiment sali mais honnêtement plus sur de moi, comprenant que je devais être bi et non simple hétéro car ils m’avaient fait bander. Le black a du parler au chef de chantier et j’ai eu un travail moins pénible. Il m’a fait appeler.
-Le soir, l’algéco est vide, si tu as besoin d’un coin tranquille, tu surveilleras en même temps cette nuit. Il y a une douche dans un coin mais sans paroi. Juste pour se rafraîchir. Enfile ces bottes tu guideras les coulées de béton qui sortent de la toupie. Ils te montreront.
Le soleil cognait et comme les autres je me suis mis en marcel, Il collait à ma peau Je voyais bien des regards Les pieds dans le béton qui sortait de la toupie, Il suffisait de guider vers les endroits nus de béton. Je réfléchissais aussi à comment aborder le sujet avec mes parents. Le coup de klaxon nous a averti de l’arrêt et ils sont allés les uns après les autres sous la douche, j’ai pu voir leurs bites et malgré moi j’ai bandé. Nu comme eux on ne pouvait pas rater ma queue raide.
Pour rigoler j’ai reçu des claques sur les fesses ce qui n’a rien arrangé au contraire, j’ai juste couiné. Quelques-uns m’ont dit à tout à l’heure. Ce n’était pas tous les plus beau mais à mon avis les mieux montés. Surtout les beurs.
Je me suis rincé puis habillé et retourné chez moi. Pas mal accueilli par mon père.
-ça te fait du bien de travailler t’as bonne mine.
J’ai mangé comme un affamé avant d’aller me coucher. Merde au fait papa il faut que je retourne là-bas surveiller le chantier. J’avais oublié.
Va, s’ils te font confiance c’est bon signe. Je suis monté me changer, mettant un slip dans ma poche et je suis reparti sur le chemin je ne pensais qu’aux bites des mecs et à mes fesses, trempant mon jean et le slip dans la poche.
Le black était là. Tu as mis du temps. Entre et fous toi à poil. Les mecs attendent. Entre et fous toi à poil. Dépêche j’ai des potes qui attendent.
Hein ? Ce n’était pas prévu.
Maintenant ça l’est ! Et pour commencer viens sur mes genoux. Il s’était assis sur une chaise. Pas dans ce sens lopette. Je veux voir tes fesses. Là comme ça.
Il a commencé une fessée au début pas trop douloureuse mais qui en chauffant m’ont fait mettre les mains devant mes fesses.
Pas de ça ! Ecarte tes fesses et j’arrête.
Bien sûr j’ai ouvert mes fesses. Il a pris un flacon sur la table et en a mis sur ma rondelle, c’était froid mais son puis ses doigts m’ont vite chauffé.
-Alors écoute bien, je vais rester là, les mecs vont entrer un par un ou par deux et se vider dans un de tes trous. Ne me fait pas honte, suce ce qu’on te met devant le nez et laisse-toi enfiler si le mec veut ton cul. Entre chaque tu peux prendre une douche sur et dans tes fesses. Tu pourras te branler si tu veux même si t’as plus de jus qui sort. Assieds-toi sur le lit et obéi au mec.
Il a ouvert la porte un grand mec est entré, a sorti sa bite mi molle. Fait la bander de la langue ! Pas eu le temps de trop voir sa tête mais sa queue si ! Pas de prépuce et une fois raidie je la sentais bien dans la bouche. Lève-toi et appuie les mains sur le matelas. Il a appuyé sur mes reins et s’est introduit en moi. Je l’ai bien accepté avec le produit que le black avait passé et en quelques coups de reins il s’est retiré pour gicler loin sur mon dos.
Il m’a claqué le cul. Bonne petite pute. Je l’ai vu glisser du fric au black. Je me suis lavé le dos et aussitôt un autre est entré. Plus jeune mais regard vicieux.
Toi tu vas me pomper et fait gaffe ma queue est fragile je ne veux pas sentir tes dents. Tu avaleras mon jus sans serrer juste des lèvres ! Reste debout mais penche-toi, cul vers la porte, un pote arrive pour t’enfiler direct. J’ai gais gaffe aux dents. Il y a eu un courant d’air et je n’ai pas vu qui mais la bite devait être belle car j’ai grogné quand il m’a enculé. Du coup j’ai reçu une baffe sur le derrière.
Cette fois ils ont été plus long et je couinais sur la queue dans la bouche quand j’ai serré les lèvres et avalé le jus qui sortait de la queue dans ma bouche. Une contraction dans mes fesses m’a fait comprendre que le mec jouissait. Une fois sortis les mecs il a fermé la porte le temps que je me lave le cul et rince la bouche.
-Tu sais que je viens de gagner plus qu’en 15 jours de taf avec toi ! Tu tiens le coup ?
Oui ça va je crois que j’aime avoir une bite dans le cul.
-Tu n’as pas fini. Et ça va être des potes blacks. Ils vont te démonter le cul.
Comment ça démonter ?
-Disons que la taille de leurs bites est plus large et plus longue.
Bah autant essayer et je peux me branler alors ça va. Mais si ça ne rentrait pas ?
-De bons coups sur les fesses détendront surement ton trou qui va devenir une chatte. Tu adores déjà te faire prendre, alors avoir le cul bien ouvert ne va pas te déplaire.
S’il se referme après je veux bien souffrir un peu.
-Bon, reposé ? Alors je les fais entrer.
Ils n’étaient pas très grand mais la bosse que je devinais entre leurs cuisses si !
La voix rauque ils ont eu un sourire.
-Déjà prête et bandée ? On v vérifier si tu bandes encore tout à l’heure. Ils ont ouvert leurs braguettes et dégagés leurs bites. De vrais monstre de bites. Sans capuchon et en pointe en deux coups de mains ils étaient raides.
Fous ton dos sur le matelas et lève les cuisses bien ouvertes qu’on voit ton cul ! Jo la prochaine fois rase lui le cul, j’aime voir le trou quand j’en sort.
Il a fléchi les cuisses et a positionné son gland. T’es bien graissé ça va passer.
J’ai ouvert la bouche dans un cri muet quand le gland est entré.
Je vais jouer un peu avec le début du trou, j’adore, les files comme les mecs gueulent de plaisir quand ça frotte juste au début du trou, après c’est mon plaisir que je prends en ramonant. Il m’a limé juste l’entrée du trou, prenant son pied à m’entendre râler de plaisir et d’un coup m’a pénétré bien au fond pour cette fois me limer dans le but de jouir dans mes fesses. Je voyais son visage sourire puis se crisper par plusieurs fois. Je sentais littéralement son jus buter avec force au fond de moi.
Il s’est retiré matant sa rondelle se refermer mais pas entièrement.
Il est bien ton bâtard il s’ouvre bien et grogne peu. Aller frangin à toi.
L’autre n’avait pas la même voix et m’a fait mettre à quatre pattes, lui tournant le dos, cuisses grandes ouvertes et a sorti son engin que je n’avais pas vu. Une première baffe sur les fesses. Creuse les reins. J’aime voir ta chatte gluante du jus de mon pote, avec lui je vais défoncer ton anus et en faire une vraie chatte.
Il n’avait pas le gland en pointe mais bien rond et l’a poussé dans le jus de son pote. Cette fois j’ai crié, car sur toute la longueur sa queue avait la même épaisseur et a lentement enfoncé son membre, le retirant tout aussi doucement. Toi tu aimes la queue des vrais mecs. Même pas sorti à fond il l’a renfoncé. Je ne criais plus mais poussait de petits gémissements. Il a joué longtemps avant que je sente le jus passer en grossissant encore sa verge.
Celui-là il faut le mettrez au tapin, t’as plus de fric à te faire ou alors organiser des soirées spéciales au hangar.
-On va voir je vais parler avec lui.
J’ai vu passer les billets et ils sont partis.
J’avais le trou en compote mais je n’avais pas détesté les bites, même les dernières. On s’est fait combien ?
Toi rien, moi je gagne et toi tes la marchandise. Va te laver le cul pendant que je compte.
J’avais bien besoin de l’eau sur moi. J’en ai profité pour me laver l’intérieur de mon cul, bien plus souple qu’il était en arrivant. Je suis allé le voir. Alors t’as gagné combien ?
-Il faut qu’on parle avant, assis toi comme moi. Tu as déjà vu des films sur ton PC où les mecs étaient attachés et torturés par toutes sortes d’objets, dans les fesses, fessées à la limite de saigner, les tétons aspirés, un masque sur la tronche et d’autres choses aussi agréables sur le sexe et ta bite,
J’en ai vu oui et je me suis branlé devant. Pourquoi tu me parles de ça ?
-Tu t’es imaginé à leur place ?
Parfois oui mais j’aime la bite et faire plaisir.
Louis
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