Virginie, dans la trentaine, avec des courbes généreuses qui attiraient les regards, aimait les sensations fortes, surtout celles qu’elle pouvait se procurer toute seule. Mariée, mais toujours en quête de nouvelles expériences, elle trouva ce jour-là une manière excitante de pimenter son trajet quotidien. Dans sa voiture, elle laissa ses doigts errer sous sa jupe, ses gémissements à peine audibles, ses yeux fermés, imaginant des scénarios torrides.
C’est alors qu’elle remarqua un jeune homme sur une moto. Il la regardait, son casque relevé, un sourire espiègle sur le visage. Il semblait avoir compris ce qu’elle faisait, et plutôt que de passer son chemin, il resta à son niveau, ralentissant, la suivant, ses yeux fixés sur elle. Virginie, sentant une chaleur monter, ne s’arrêta pas; au contraire, elle continua à se toucher, maintenant pour lui, ses mouvements plus explicites, un défi lancé.
Le motard, avec un signe de tête, lui fit comprendre de le suivre. Virginie, poussée par un désir soudain, obéit, le suivant à travers des rues de plus en plus désertes jusqu’à une zone industrielle, où les bâtiments abandonnés offraient des cachettes parfaites pour leurs intentions.
Ils s’arrêtèrent enfin dans un coin isolé, le jeune homme descendant de sa moto avec une agilité qui attisa encore plus le désir de Virginie. “Tu aimes jouer avec le feu ?” demanda-t-il, sa voix jeune mais pleine d’assurance. Virginie, sans mots, acquiesça, ses doigts toujours entre ses jambes.
Il s’approcha, ses mains habiles écartant sa jupe, découvrant son sexe déjà humide. “Tu veux plus que tes doigts, n’est-ce pas ?” dit-il, et elle répondit par un gémissement affirmatif. Il l’embrassa, un baiser profond, explorateur, tandis que ses mains caressaient ses seins pleins, jouant avec ses tétons à travers le tissu de sa robe.
Virginie, dans un élan de désir, se retourna, se penchant sur le capot de sa voiture, offrant son cul rebondi. Le motard, avec une hâte palpable, déboutonna son pantalon, sa bite déjà dure s’échappant. Il caressa son sexe, le préparant, avant de glisser sa bite en elle, la prenant par-derrière. Chaque coup de reins était un défi aux conventions, chaque gémissement de Virginie un hommage à cette aventure inattendue.
Mais il voulait plus. Il fit glisser ses doigts vers son anus, le lubrifiant avec sa propre salive, et avec une douceur imprévue, il commença à l’explorer. “Tu veux tout, hein ?” murmura-t-il, et Virginie, dans un état de désir presque animal, acquiesça, se préparant à cette double sensation.
Il entra en elle, d’abord doucement, puis avec plus de force, chaque mouvement un mélange de douleur et de plaisir qui la fit crier. Virginie, entre l’excitation et la nouveauté, se laissait aller, ses propres doigts trouvant son clitoris, ajoutant à son plaisir. Le jeune homme, sentant sa jouissance monter, accéléra, ses mains maintenant fermement sur ses hanches, la possédant totalement.
Ils jouirent ensemble, le motard se déversant en elle, Virginie dans un orgasme qui résonna dans l’espace désert. Ils restèrent ainsi quelques instants, reprenant leur souffle, la réalité de ce qu’ils venaient de vivre s’imprimant en eux.
Puis, sans un mot, le jeune homme remonta sur sa moto, la saluant d’un signe de tête, un sourire coquin sur les lèvres. Virginie, encore tremblante, se rhabilla, le désir satisfait mais l’esprit déjà en train de revivre cette expérience.
Elle rentra chez elle, ses pensées remplies de cette rencontre sauvage, son corps marqué par le plaisir et la transgression. Cette aventure sur la route resterait un secret, une escapade qui avait transformé une simple masturbation en voiture en une aventure érotique inoubliable.
Murielle
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