Suite de la partie 2
Tiens chérie écoute cette chanson ; de Gerald de Palmas sur la route ! Il n’y a pas que lui qui est sur la route Brigitte et Philippe le sont aussi ! Oui sur la route du week-end sexe !
Je suis impatiente de connaître ce que Marie Claude adoptera comme tenue vestimentaire pendant ce week-end ! Nue ou habillée ?
Tient on parie. Yes tu dis quoi chéri. Les deux comment ça ? Écoute chéri la réponse est soit nue soit habillée mais pas les deux ! Je te fais le pari que je vais avoir raison ! Et pourquoi monsieur aurait-il raison ? Ah vous les hommes ! Voilà elle est fâchée elle me dit monsieur ; Et je peux te dire que tu as perdu ton pari d’avance ! Aller chéri soit sérieux ! Je suis sérieux madame ! Parce que tu m’appelles madame maintenant. Tu m’as bien appelé monsieur alors nous sommes quittes ! Bon je te taquine chérie écoute moi bien voilà la réponse Ce soir habillée d’accord avec moi.
OK ! Demain samedi nue le matin habillé le soir. Pas d’accord ? Si ! Ben alors tu as perdu, pas tout à fait chéri, reste dimanche pareil matin nu après-midi habillé.
Et toc !
Bon monsieur j’ai faim il est encore loin ton relais routier. Mauvaise perdante, madame ! On arrive dans deux minutes !
Voilà tu es contente maintenant. Tu vas pouvoir remplir ton ventre ! Oh ça va ! Après avoir garé la voiture elle craignait de ne plus avoir de place vue le nombre de camions. On va voir chérie on va bien trouver une place pour deux, sinon ! Sinon quoi ? Sinon tu t’assois sur mes genoux ! Je m’attendais à avoir une réplique du genre monsieur, je me trompais elle eut un grand sourire. Je suis certain qu’elle a une idée derrière la tête ; Je veux connaître pourquoi ce sourire chérie ! Je pense que tu voulais dire m’asseoir sur ta queue pour déjeuner ! Tiens pourquoi ne pas essayer cela à la maison ça économise des chaises. Aller viens on va manger !
Tu vois chérie de la place il y en assez ! Et en plus tu fais de l’effet avec ta tenue, quand tu es rentré plus personne ne parlait tous te regardaient je te jure que plus d’un devait avoir du mal aux bas-ventre, plus d’un allait certainement se soulager avant de reprendre la route.
Quand arriverons-nous à Strasbourg ? Une demi-heure si tout va bien, pourquoi ? Non, rien, c’était juste pour savoir ! Toi tu me caches quelque chose ! Rien, laisse-moi tranquille !
Oh là ça ne va pas aujourd’hui tu ne vas pas gâcher la soirée que va penser Marie Claude et Muriel. (Pas de réponse)
Heureusement, il n’y avait pas grand monde dans la salle où nous étions. Aller vient on règle l’addition et on reprend la route ! J’arrive je vais faire pipi ! Je t’attends à la caisse ! D’accord !
Tout d’un coup j’entends hurler Brigitte cela venait de la direction des toilettes, je me suis précipité suivi par ce qui pouvait être la patronne arriver dans le couloir je trouvais Brigitte nue sa jupette à ses pieds son t-shirt arraché en pleurs, je cherchais à savoir ou il était le salaud qui a fait cela elle m’a fait signe qu’il est rentré dans les toilettes hommes. La patronne a appelé une de ces serveuses qu’elle doit prévenir la gendarmerie, pendant ce temps je suis allé aux toilettes pour chercher l’individu qui m’était enfermé à l’intérieur d’un des deux WC ! L’homme vociférait des mots indécents, à mon avis il devait être ivre. Pour qu’il ne sorte pas des toilettes hommes, elle a fermé la porte à clé. La patronne m’a dit qu’elle monte chez elle chercher quelque chose à mettre sur son dos. Merci c’est gentil ! Chérie est ce qu’il t’a touché à par déchirer tes vêtements. Non il voulait me baiser il avait la braguette ouverte le sexe dehors !
La patronne est revenue avec quelques effets, Brigitte a enfilé une robe, quand la serveuse est arrivée avec les gendarmes et accompagner par trois pompiers dont une infirmière.
Les pompiers ont demandé à la patronne d’avoir un endroit où ils peuvent donner soins à Brigitte pendant que les gendarmes s’occupent de l’individu qui est sorti sans créer de problème.
Quant à Brigitte elle n’a pas été blesser, seulement en état de choc elle se remettait progressivement et a pu être entendue par les gendarmes. Vu que Brigitte n’a subi aucune blessure corporelle ni viol ni attouchements nous avons décidé de ne pas porter plainte.
La jupette était récupérable seulement taché une des serveuses à procéder à un nettoyage et elle a proposé à Brigitte de lui offrir un t-shirt qu’elle a en double dans son casier.
Je regardais l’heure et je ne pouvais être à l’heure à Strasbourg. J’ai appelé Marie Claude. Oui bonjour Philippe! Écoute Marie Claude nous aurons environ une demi-heure de retard, je t’expliquerais plus tard ! Alors ne m’attendez pas comme convenu devant le kiosque à journaux, nouveau point de rendez-vous au buffet de la gare ! D’accord Philippe ! Bisous !
Je ne sais pas ce que la patronne et les serveuses qui ont vus que Brigitte était nue, critiquaient-elles sa façon de se sous- vêtir, approuvaient-elles ou c’était l’indifférence totale.
Chérie, tu penses pouvoir reprendre la route. Nos amies nous attendent, mais rassure-toi elles sont au courant que nous aurons du retard cependant je n’ai rien dit pour ce qui vient de t’arriver ! D’accord on y va ! Merci pour votre aide mesdames ! Au revoir !
Chérie, ce n’est vraiment pas ta journée aujourd’hui, vraiment de la malchance. Allons oublis d’ici peu tu retrouveras Marie Claude et Muriel ! J’ai hâte de retrouver aussi le domicile ! Je te comprends !
Tu as mon téléphone chéri. Oui tient prend le ! Je vais appeler Damien ça me changera les idées ! Oui tu as raison, tu ne veux pas attendre nous arrivons à la gare. Oui chéri, je l’appellerais dès que tu seras garé et j’irais m’installer derrière, je n’ai pas envie à ce que tout le monde me traite de salope ! Comme tu veux ! Enferme-toi pendant que je vais les chercher ! Elle s’est installée sur la banquette arrière, j’ai condamné les portes et suis aller à la rencontre de nos deux invitées.
Le buffet de la gare était plein et je n’arrivais pas à les trouver. C’est Muriel la première qui m’a aperçu, je les embrassais leur souhaitant la Bienvenue. Elles portaient les mêmes robes que dans le train, sauf que cette fois-ci il me semble elles ne portaient pas de soutien-gorge.
Brigitte n’est pas là ?
Elle attend dans la voiture !
Venez-je vais vous raconter ce qui lui est arrivé tout à l’heure, mais pas ici il y a trop d’oreilles !
J’ai pris le sac de voyage et nous sommes sortie !
J’ai alors raconté le pourquoi de notre retard.
La pauvre elle doit être choquée et je comprends pourquoi elle ne veut voir personne pour le moment !
Arrivée à la voiture, en nous voyant, Brigitte est sortie de la voiture et s’est jetée dans les bras de Muriel et de Marie Claude en les embrassant à tour de rôle. Elle a enfin retrouvé le sourire. Aller on va rentrer maintenant et on n’y pense plus, laisse ces mauvais souvenirs derrière nous ! Marie Claude à mes côtés, Brigitte et Muriel derrière main dans la main n’arrêtait pas de se faire des bisous sur la bouche tout en se racontant ce qui s’est passé depuis la dernière fois. Marie Claude, pour pouvoir rentrer dans leurs conversations se tournait légèrement sur le siège passager et la surprise pour moi ! Elle ne portait pas de culotte, et pas de soutien-gorge j’avais la confirmation maintenant. Et conclusion si elle est nue sous sa robe Muriel l’est aussi ! Telle mère telle fille dit le proverbe !
Brigitte ! Oui chéri ! Damien t’a répondu. Oui mais en vitesse ! Et ? Rien de spécial il m’a dit qu’il sera à la maison demain matin vers les 5 heures !
Tu dois être contente, demanda Muriel qui toujours dans les bras de Brigitte n’arrêtait pas de se rouler des pelles ?
Marie Claude se retourna vers sa fille mais cette fois-ci en gardant les jambes bien serrées s’adressa à sa fille Tu me laisse aussi goutté, ne garde pas tout pour toi chérie !
Philippe si tu peux t’arrêter. Pas de problème chéri ! Oh pardon c’est une habitude Marie Claude ! Je sais je te pardonne ! Merci Marie Claude !
Il s’arrêta Marie Claude et Muriel échangèrent leurs places, Brigitte enlaça Marie Claude et la série de roulements de pelles continuèrent.
Muriel à l’avant interpella Philippe, Muriel souleva le bas de sa robe et dit regarder ! Hum qu’elle est belle ! Puis elle rabaissa sa robe. Brigitte dit à Philippe de regarder sur la route !
À vos ordres chéris !
Chéri téléphone ! Répond-s’il te plaît ! Allô papa ? Non Julie c’est maman ! Il n’est pas là papa. Si mais il conduit ! Attends-je mets le haut-parleur ! Va s’y il t’écoute ! Oui Julie qui a-t-il ? Jean Paul a apporté la sono et tous son matériel il l’a mis dans le garage ! C’est bien chérie, et les courses. Isabelle m’a accompagné et j’ai tout rangé ! Super ! Jean Paul et Isabelle sont-ils encore là.
Non ils viennent de partir et ils reviendront demain après 15 heures !
Maman oui chérie ça va ? Oui ma chérie pourquoi me demandes-tu cela ? J’ai fait un rêve la nuit dernière j’ai rêvé que tu allais avoir un problème ! Euhhhhh non tout va bien Julie ! Maman je suis certaine que tu ne me dis pas la vérité ! Julie c’est papa ta maman va très bien ne te fait pas de souci pour elle, écoute-moi on en reparlera dans un quart d’heure, va ouvrir le portail stp
Philippe ! Oui chérie ! Tu as dit quelque chose à Julie ? Non c’est le premier appel depuis hier et de toute façon tu étais à côté de moi !
Elle doit avoir un sixième sens votre fille ! Possible Marie Claude !
Dans cinq minutes, on sera chez nous ! Muriel connais-tu la région ? Non, c’est la première fois, c’est très joli n’est-ce pas maman. Oui ma chérie, j’aimerais bien y vivre !
Voici l’entrée du village ! À votre droite vous avez l’unique commerce du village boulangerie épicerie à gauche la mairie-école et l’église. Je tourne à gauche au bout de cette rue à la lisière de la forêt c’est là que nous habitons.
Nous voilà arrivés, je me gare le long de la haie, Chérie tu fermes le portail si tu veux bien ! Oui chéri, pendant que tu fermes je prends le sac de ces dames et leur montre la propriété ! Brigitte revint nous rejoindre et voilà l’endroit ou demain soir aura lieu le dîner dansant j’ai monté un chapiteau où j’appelle le baisodrome (Muriel et Marie Claude se sont regardé en souriant), et là nous déjeunerons et dînerons. Super c’est grand nous allons aimer !
Voilà Julie qui arrive tout sourire, toute belle, me saute au cou, bonjour papa chéri ! Me roulant une courte pelle comme nous avons l’habitude de faire pour se dire bonjour ou au revoir.
Puis ce fut le tour de Brigitte bonjour maman chérie ! Bonjour chérie ! Après ce bonjour langoureux Brigitte présenta à Julie tout d’abord :
Julie voici Muriel ! Bonjour Julie ! (Une courte hésitation) oui Julie embrasse-moi comme tu as fait avec tes parents ! Ce roulement de pelle s ‘éternisait puis pour terminer :
Julie voici Marie Claude sa maman ! Bonjour Marie Claude ! Bonjour Julie ! Et la pas d’hésitation.
Julie va vous montrer votre chambre, nous, nous allons nous mettre à l’aise, et nous nous retrouverons ici dans un quart d’heure si vous le voulez bien ! D’accord ! Nue ? Comme vous voulez selon votre convenance !
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