Soumis à mon Voisin
Bonjour avant de vous raconter ce qu’il vient de m’arriver quelques mots de présentation. Je suis un homme proche de la soixantaine, marié et qui avait eu jusqu’à ce jour une sexualité très banale. Je vis la semaine en région parisienne pendant que ma famille vit en province.
Cela c’était jusqu’à il y 3 semaines, date à laquelle j’ai croisé M dans l’ascenseur. M est un voisin habitant à l’étage au-dessus du mien. Il est d’origine nord-africaine, est marié et a des enfants. Ce soir-là nous avons jusque échangé quelques mots, car il ne me connaissait pas. Je lui ai indiqué que j’étais arrivé il y a quelques semaines dans l’immeuble et que je demeurai dans l’appartement à gauche de l’ascenseur.
Le lendemain de cette rencontre, en début de soirée, on sonne à la porte. Je suis surpris, car je ne connais personne, mais je vais quand même ouvrir. M est là souriant, il me dit qu’il vient m’avertir à propos des travaux qui ont lieu dans l’immeuble et me prévenir que la durée prévue sera largement dépassée. Intéressé par ces informations je le fais rentrer et lui propose un verre qu’il accepte. Il s’installe sur le canapé pendant que je prépare les boissons. Lorsque je reviens je m’installe à côté de lui n’ayant pas de fauteuil ou de deuxième canapé dans cet appartement. Là nous discutons un certain temps sur les différents travaux et lorsqu’il a fini son verre je lui en propose un second. Il décline tout en mettant la main sur ma cuisse pour me faire signe qu’il n’est pas utile que je me lève. Je suis surpris par ce contact et ne bouge plus. Il me regarde et me sourit puis tranquillement viens poser sa main un peu plus haut sur ma c.. Je suis comme pétrifié et je ne dis rien, après quelques secondes il enlève sa main et la replace tout en haut de ma c…, comme je ne réagis pas il finit par poser sa main sur ma b. La situation me choque et m’excite à la fois. Je ne bouge toujours pas… alors il s’enhardit et ouvre mon pantalon très lentement un bouton après l’autre puis ma braguette qu’il descend. Il pose la main sur caleçon, et me caresse au travers du tissu. Comme je ne réagis pas il me prend la main et me la mets sur son sexe avec ces simples mots : à toi. Je ne suis tiraillé entre mille sentiments, mais il poursuit vas y cela n’est pas dangereux… je caresse légèrement son sexe au travers du tissu, il bande légèrement. Je poursuis, mais c’est certainement pas à son gout, car il se lève, se mets face à moi et défait son pantalon et son slip. Là je découvre un sexe long, pointu et décalotté, sans gland très marqué. Il me dit « suce » ce que je refuse, car je n’ai pas de préservatifs. Il me dit bon OK, branle-moi alors… je caresse avec douceur ce membre, salivant un peu dessus pour le lubrifier. Je le sens se durcir et devenir d’une très belle taille. Cela dure plusieurs minutes, je vois que M semble apprécier aux soupirs qu’il fait. Il a les yeux fermés et semble gouter au plaisir que je lui procure.
Soudain, il ôte ma main, prend son sexe de sa main, et se branle plus rapidement que je ne le faisais. Il ne tarde pas à émettre quelques râles avant de décharger son foutre sur mon visage et ma chemise. La quantité est importante, bien plus que ce je fais lorsque je me branle. J’en ai partout, sur le visage, les lunettes, les cheveux la chemisent. Il me regarde, se marre et me dit tu n’as plus qu’à te nettoyer maintenant. Si tu avais avalé, cela aurait été plus simple…
À une prochaine et il s’en va quittant l’appartement en me laissant couvert de sperme et excité. En me déshabillant pour me changer je ne peux m’empêcher de me masturber et je jouis rapidement.
Deux jours se passent sans nouvelle de sa part. Je suis entre soulagement et déception. Soulagement, car j’ai peur de la suite, déception, car ce que nous avions fait m’avait excité. Ce soir-là je descends par acquit de conscience à la boite aux lettres et je trouve un mot. Il est très court : achète des capotes.
Je passe la nuit et la journée du lendemain à me demander ce que je dois faire et finalement je m’exécute. Direction le supermarché ou je prends une boite de préservatifs.
Le soir je suis excité en me demandant si M va venir, et ce qu’il va me demander. 30 minutes passent puis on sonne à la porte. C’est lui. Je lui fais signe d’entrer, ce qu’il fait et je le suis. Il arrive dans le salon, se retourne et me dit : tu sais pourquoi je suis là ? Oui pour recommencer comme l’autre fois. Il me regarde sourit et fait non de la tête, puis il me dit : « ’aujourd’hui tu vas me sucer ; donne-moi tes capotes et mets-toi à genoux devant moi »’. Je lui donne les capotes et je me mets à genoux devant lui. Il me regarde, se marre, puis baisse son pantalon, et me dit : « ’ caresse-le », allez faut tout te dire ? »’. J’obéis en reprenant en main ce sexe qui m’impressionne et me plait. Au bout de quelques minutes, il me dit, arrête. Là je le vois ouvrir la capote et se la mettre sur le sexe. Il la déroule complètement, me regarde et dis : à toi. Tu voulais du plastic, tu l’as. Alors, applique-toi. Je m’approche, je tremble un peu ne sachant pas trop comment m’y prendre, il s’impatiente et fais un petit mouvement vers moi. J’ouvre la bouche et goute à ce bâton de chair, j’ai le gout du lubrifiant de la capote en bouche, ce n’est pas terrible, mais j’essaie de mon mieux de lui donner du plaisir en cherchant à identifier ses acquiescements ou ses soupirs de satisfaction. Je passe ma langue sur sa hampe, descends vers ses boules, les aspire doucement, reviens vers le gland lentement en promenant le bout de ma langue… Cela a l’air de lui plaire, car je le sens réagir. Il grogne, soupire et puis d’un seul coup il prend ma tête entre ses mains, et commence et m’enfoncer de plus en plus profondément son engin. J’ai du mal à supporter ce traitement que je trouve très désagréable, j’ai des hauts le cœur, mais il poursuit sans s’occuper de moi. Soudain il se retire, là je pense qu’il en a fini avec moi, mais non, il retire le préservatif, se masturbe en me regardant et soudain il explose. Je sens son jus me couvrir le visage et les cheveux. Sa première éjaculation avait été forte, mais là c’est encore plus important. Je me suis arrêté de compter les jets à 5… je suis couvert de son jus. Comme l’autre fois il se marre se retourne et se dirige vers la sortie. Soudain il se retourne et me demande mon numéro de tél. Je lui donne. Il le note me regarde et me dit tu auras bientôt de mes nouvelles….
vivement la suite , peu ètre un gang bang 3 copains antillais qui passe ce pauvre vieux en tournante
Tu aimerais bien lire ça dans la suite ein @timotei-mv33 ?? Ça t’excite grave ce genre d’histoire visiblement
heee que veux tu dans ma situation il me faut du sauvage pour orgasmer
Ptdrrrr
Sacrée coquine lol
Belle histoire, je n’ai pas connu encore d’homme de couleur !cela me fais fantasmer
hummmm … intéressant ! y a t il une suite svp ?….