Il suffirait qu’elle se masturbe quelques petites minutes, pour calmer son excitation. Mais le plus gênant, c’est que son frère est assis avec son téléphone à la main, juste devant elle.
Julie fixe son frère pour vérifier qu’il ne la regarde pas, pendant qu’elle dirige discrètement sa main gauche vers son entre cuisses.
Une fois que sa main a atteint sa jolie chatte lisse, Julie pousse un long soupir de satisfaction. Elle écarte doucement les jambes, et commence à se caresser l’intérieur des grandes lèvres, en prenant soin de les écarter. Deux de ses doigts se perdent à l’intérieur de sa chatte, faisant des allers-retours toujours plus profonds. Elle tente de rester la bouche fermée, pour qu’aucun son de plaisir n’en sorte. Le risque de se faire prendre par son frère est immense, et ça l’excite encore plus.
Soudain, Brigitte se retourne pour avertir les enfants qu’ils vont s’arrêter près d’un lac pour y passer la nuit. Dans la panique, Julie à tout arrêter, remettant ses mains sur la table.
– Cool, j’espère que je pourrais y installer ma tente ! S’exclame Damien qui adore dormir en pleine nature.
Il est 21 h 30, et voilà qu’ils arrivent enfin sur les lieux. La nuit tombe.
Ils se sont arrêtés sur un petit parking en plein milieu de la forêt, l’endroit est désert, car très peu connu. Le lac, se trouve à 200 m à pied. Il faut traverser un sentier au milieu de la forêt pour y arriver. C’est un immense lac naturel, peu touristique. La baignade y est autorisée. Après avoir pris quelques photos, la famille retourne au camping-car pour préparer le campement.
De son côté, Damien installe sa tente.
Philippe, allume un feu après avoir pris le temps de trouver quelques pierres et des branchages.
Brigitte prépare les grillades, et Julie installe des rondins de bois autour du feu, en guise de fauteuils.
La nuit tombée, ils se rassemblent autour du feu de camp. Chacun fait cuire sa grillade, à l’aide d’un bâton qu’ils tiennent au-dessus des flammes.
Les discussions divergent.
Plus tard dans la soirée, Philippe propose que chacun raconte une histoire effrayante.
Mais Brigitte, sensible à ce sujet, propose plutôt une histoire romantique.
Aucune objection, c’est elle qui raconte la première histoire. Et au fil de la soirée, chacun en raconte une.
Il est minuit passé, le ciel est entièrement dégagé et un petit vent frais se lève, traversant les cheveux, caressant les visages et les cuisses ouvertes des deux filles en jupe.
Pour se réchauffer, Julie sort une guitare de sa valise. Elle demande à sa famille, quel morceau ils souhaitent entendre. Tous très impatients de l’entendre, ils leur laissent le choix de la chanson.
Julie réfléchit quelques secondes, et elle se lance sous un air de James Blunt. La famille l’écoute avec attention. Elle chante vraiment très bien, alors elle enchaîne les chansons pendant une bonne heure, suivie par les parents qui se prennent dans les bras, et Damien.
Après cette agréable soirée, il est temps pour Philippe et Brigitte de rentrer au camping-car pour dormir. Ils se disent bonne nuit, et ils laissent Damien et Julie seuls autour du feu.
Après dix minutes, ils entendent de petits gémissements provenant du camping-car. Ils regardent tous les deux dans la même direction, car ils ont été surpris. Brigitte, tente de retenir ses gémissements.
Comprenant ce qu’il s’y passe, Damien s’est mis à avoir une érection. Il propose à Julie, d’aller voir ensemble par la fenêtre la scène de sexe.
Mais les lumières sont éteintes, ils n’y verront rien. Et en plus, les parents verront leur ombre avec la lumière de la lune.
Julie et Damien rigolent, et ils décident de laisser un peu d’intimité à leur parent en marchant sur le sentier qui les mène au lac.
– Oh ! L’eau est froide ! Dit Julie après y avoir mis un pied.
– J’ai envie de prendre un bain de minuit… Pas toi ? Demande Damien
– Plutôt un bain de deux heures du matin, non ? Rigole Julie.
– Oui bon… Ça n’empêche pas !
– Elle est hyperfroide, arrête !
Damien enlève son tee-shirt et son bermuda, et une fois dans l’eau il enlève son caleçon.
– Attends… Tu as vraiment enlevé ton caleçon, là ! ? Demande Julie.
– Oui, tu as bien vu ! Il n’y a personne, et dans l’eau, on ne se verra pas.
– Tu es un grand malade ! Dit-elle.
– Allez, rejoint moi !
– OK, mais si je tombe malade, c’est de ta faute ! Et ne me regarde pas quand je me déshabille !
Une fois que Damien a la tête tournée, Julie retire sa jupe, laissant apparaître son string blanc qui reflète avec la lumière de la lune, et sa chemise, gardant aussi son soutien-gorge de la même couleur que le bas.
Elle se mouille la nuque, les bras et les jambes, et se jette entièrement à l’eau pour rejoindre son frère. Elle tremble de froid. Elle se réchauffe comme elle peut, en se frottant les épaules avec ses bras.
– Il faut bouger pour se réchauffer ! Dit Damien en éclaboussant sa sœur.
– Ah arrête ça mouille !
– Normal, c’est de l’eau !
Julie se venge en essayant de lui mettre la tête dans l’eau. Mais à force de chamailleries, elle lui à toucher le sexe en pleine érection avec sa cuisse, bien que l’eau soit froide.
Un blanc s’installe, car les deux sont très gênés.
Mais Julie brise la glace :
– Je vois que l’eau froide ne calme pas tes envies, frangin ! Dit-elle en rigolant.
– Excuse-moi, je n’ai pas fait exprès.
– J’espère que ce n’est pas moi qui te mets dans un état pareil !
– Ah ah, non ne t’en fait pas.
Les chamailleries reprennent, et dans le jeu, Damien lui dégrafe son soutien-gorge, dévoilant les seins de sa sœur. Ses tétons sont durs, sûrement à cause du froid.
– Arrête de mater mes seins, pervers !
– Hé, c’est toi la perverse ! Tu parles de mon érection, mais tes tétons qui pointent durs, c’est pourquoi ? !
– C’est le froid gros bêta !
– Au point où tu en es, tu peux carrément enlever ton string qui ne te sert à rien. De toute façon, tu ne risques rien, je ne vois rien dans l’eau.
– Hé bien… Pourquoi pas, on est en vacances !
Elle enlève soigneusement son string blanc, et le jette dans l’herbe.
– Interdiction de mettre la tête sous l’eau, d’accord ? !
– OK frangine, pas de souci.
Plus les minutes passent, et plus Julie prend froid, au point d’en claquer des dents.
Damien se propose de la réchauffer avec ses mains, et contre toute attente, elle accepte. Elle se retourne pour être dos à lui. De ses mains, Damien frotte ses épaules.
Sans faire attention, il s’approche de plus en plus d’elle. En grelottant, Julie s’interroge :
– Tu crois qu’ils ont terminé, les parents ?
– Je ne sais pas. Sûrement. Répond-il.
Subitement, son sexe se dresse contre les fesses de Julie. Elle le sent se dresser entre sa raie. Ni une ni deux, elle s’avance pour s’en éloigner.
– Il est temps qu’on rentre, on a passé une bonne soirée.
– C’est vrai.
Tous les deux, sortent de l’eau. Julie sort la première, totalement nue sous le regard de Damien qui la précède, lui matant ses jolies fesses. Il est en totale érection, et il ne peut s’en cacher.
Julie se retourne, et elle remarque son érection qui pointe vers elle. Elle se baisse pour ramasser ses vêtements, dévoilant à son frère son petit anus et sa chatte refermée par le froid.
À ce moment-là, il n’a qu’une envie. L’envie de prendre sa sœur par-derrière, et de lui enfoncer son membre tout au fond de la chatte. En se retournant, Julie remarque que son sexe a doublé de volume, et qu’il en a profité pour observer sa chatte.
Ils ne disent rien, et reprennent le sentier en sens inverse, sans même avoir pris la peine de se rhabiller. Ils arrivent au camping-car totalement nu. Ils se réchauffent autour des braises, profitant des craquements des dernières flammes et du calme de la forêt.
Julie interrompt ce calme :
– Excuse-moi de te demander ça, Damien. Mais tu pourrais m’accompagner à l’entrée du sentier s’il te plaît ? J’ai besoin de faire pipi, et je n’ai pas tellement envie d’y aller seule.
– Oh… Oui pas de problème, je te suis.
Ils arrivent au sentier, mais Julie à trop peur de s’aventurer dans les broussailles. Toujours totalement nue, elle s’accroupit non loin de Damien qui l’observe avec timidité. Voir la chatte de sa sœur était déjà un exploit, mais la voir écarter ses lèvres vaginales pour uriner pratiquement devant lui, c’était encore inimaginable il y a quelques heures. En revenant vers lui, elle lui dit :
– Ça va, tu t’es bien rincé l’œil ? !
– Ouais pardon, c’est juste que je ne m’y attendais pas.
De retour au camp, il est temps pour Julie d’aller se coucher dans le camping-car.
Au moment d’enclencher la poignée, la porte ne s’ouvre pas. Les parents se sont enfermés le temps qu’ils fassent l’amour, mais ils se sont endormis directement après. Julie avait tellement hâte de retrouver son sex-toy dans la capucine. Elle ne le montre pas à Damien mais elle a terriblement envie de se masturber. De son côté, Damien en a lui aussi très envié, et il compte en profiter un maximum, car il est seul ce soir.
Encore assis autour du feu, et pensant que Julie est entrée dans le camping-car, il en profite pour se caresser et décalotter son gland. Commence alors une série de va-et-vient à la belle étoile.
Avec sa seconde main, il se frotte l’entrée de son anus, en y mettant des coups de pressions avec l’un de ses doigts pour l’introduire entièrement au fond. Son anus se dilate légèrement pour y laisser entrer un second doigt.
En revenant vers le feu, Julie observe toute la scène qui se déroule devant ses yeux. Damienne ne l’a pas vu, et continue de se masturber le cul et le sexe.
Sa bite est aussi grosse que celle de son père, quoiqu’il lui manque 2 ou 3 centimètres de plus.
Damien retire les doigts de son cul, pour se les lécher afin de faciliter la pénétration.
De son côté, Julie ne résiste plus. Elle pose ses affaires, et commence à se peloter les seins et à lécher ses tétons. Elle s’accroupit, et se masturbe la chatte énergiquement. Elle pénètre deux doigts dans la chatte et se doigte jusqu’à l’orgasme, qu’elle tente de camoufler en mettant sa main devant la bouche.
Damien se murmure à lui-même « oh oui, vas-y continue de me sucer Julie ! Je vais jouir, jouir dans ta bouche ! » Mais dans ce silence, même les murmures se font entendre… Julie à tout entendue.
Damien éjacule toute sa semence à plusieurs mètres de distance. Les jets de sperme n’en finissent pas. Il se secoue le pénis, pour faire sortir les dernières goûtes « oui Julie, avale mon foutre jusqu’à la dernière goutte ! »
Les mots de son frère, excitent Julie qui décharge à son tour un jet puissant sortant de son vagin. C’est la première fois qu’autant de liquide sort de sa chatte, jamais elle n’a été autant excitée.
Elle attend plusieurs minutes avant de le rejoindre, pour pas qu’il pense qu’elle l’a vue.
– Coucou, c’est encore moi. Dit-elle en avançant vers la lumière du feu.
– Oh… Il y a longtemps que tu es là ? !
– Non, je viens seulement d’arriver. Ment-elle, avec sa chatte encore toute mouillée, que Damien remarque.
– Tu as besoin de quelque chose ? Dit Damien
– En fait, ils m’ont enfermé dehors… Les parents ! Alors, je voulais savoir si c’était possible de dormir dans ta tente ?
– Euh… Elle n’est pas très grande, il faudra qu’on se serre.
– Ce n’est pas grave… Je vais remettre ma culotte pour pas qu’il y ait de malentendu ou d’accident, comme tout à l’heure dans l’eau.
– Oh ça… Excuse-moi Julie…
– Non, t’inquiètes ! Ce sont des choses qui arrivent quand deux personnes se baignent nue. Dit elle en souriant et en coupant Damien dans sa phrase.
Julie ouvre la tente, mais Damien l’interrompt.
– Euh Julie !
– Oui ?
– Tu es très belle…
– Oh… Merci ! Tu es aussi très beau, même quand tu bandes plus ! Lui dit-elle en rigolant.
– Ne mouille pas trop les draps… Réponds Damien
– Hé ! Pourquoi tu dis ça ?
– Tu sembles bien humide entre tes cuisses… C’est pour ça !
Ne savant plus quoi dire, Julie entre dans la tente et la referme.
Elle s’allonge sur le dos, remontant la couverture jusqu’à son cou.
Elle est rejointe par Damien quelques minutes plus tard. Il s’installe sans trop faire de bruit, pour ne pas réveiller Julie qui dort déjà. Il s’allonge à ses côtés, mais en gardant une distance raisonnable, totalement nue et sans couverture, car c’est Julie qui à tout prix.
Les minutes passent, et Damien s’endort.
Plus tard dans la nuit, il est 3 h 48 du matin.
Julie se réveille en sursaut. Avec ses mouvements pendant son sommeil, la couverture est descendue jusqu’au nombril.
Ses seins sont à l’air libre.
Dans son sommeil, Damien s’est rapproché de sa sœur sans le vouloir. Elle est toujours sur le dos, et lui s’est mis sur le côté. Mais dans un mouvement de bras, il a posé sa main gauche sur l’un des seins de sa sœur. C’est la raison pour laquelle elle s’est brusquement réveillée.
Elle tente de repousser sa main, mais elle revient toujours sur son sein.
Mais soudain, Damien se met à caresser et a palpé son sein, toujours dans son sommeil.
Julie lui murmure, « Damien réveil toi ! »
Mais il n’a aucune réaction. Elle le laisse faire, il finira bien par arrêter. Mais plus les minutes passent, et plus elle commence à y prendre goût. Elle sent sur sa cuisse, le sexe de son frère durcir et pointer vers elle. « Oh non Damien. Arrête… » Dit-elle en murmurant avec sa respiration qui s’accélère. Damien n’entend rien, il dort toujours. Doucement, sa main descend vers son nombril, pour terminer sa course sous le string blanc, dans l’entre cuisses complètement trempées de sa propre sœur. Sa main glisse largement sur sa chatte, il la caresse lentement. Julie écarte les cuisses pour lui faciliter la masturbation. La respiration de Julie s’accélère, et se coupe net au moment où Damien la pénètre de ses deux doigts. « Mon Dieu, je me fais doigter par mon propre frère, et je le laisse faire ! » Elle gémit sans vraiment de retenues.
Plus loin, la porte du camping-car s’ouvre. C’est Philippe qui en sort pour satisfaire une envie pressante. Au moment d’ouvrir la porte, il se rend compte qu’ils ont oublié de la déverrouiller hier soir pour Julie. Il se dirige non loin de la tente des tourtereaux pour se satisfaire. Au moment de sortir son pénis de son simple caleçon, il entend des gémissements provenant de la tente de Damien Il se pose des tonnes de questions, en espérant que les gémissements qu’il entend, ne sont pas ceux de sa fille. Il espère pour Damien qu’il a ramené une fille, autre que sa sœur dans la tente. Pourtant, en regardant à proximité, il n’y a aucune trace de Julie. « J’espère qu’il n’est pas en train de faire jouir sa sœur ? ! Non, c’est impossible. »
Il ne souhaite pas intervenir, et il mettra les choses au clair dans la matinée. Soudain, au moment de retourner dans le camping-car, il trouve les affaires de Julie en vrac sur le sol.
Sa jupe, sa chemise et son soutien-gorge blanc mouillé. « Mais pourquoi, c’est elle déshabille ici ? Et pourquoi son soutif est mouillé… ? Mmmh… Étrange ! »
Dans la tente, Julie se caresse les seins pendant que son frère la doigte. À son tour, elle souhaite le branler. Elle allume la lampe de son smartphone, et éclair son pénis pour voir son érection de plus près. Là, elle se stoppe. Elle se souvient du premier arrêt qu’ils ont fait sur l’aire d’autoroute, et de cette belle bite avec un grain de beauté qu’elle à entièrement sucer, jusqu’à avaler son foutre.
En regardant la bite de son frère, elle remarque que c’est exactement le même grain de beauté, au même endroit. Elle se fige, les yeux fixés vers le haut, comprenant qu’elle a sucé la bite de son propre frère, et qu’elle à avaler son foutre.
Elle arrête les caresses, retire de sa chatte les doigts de son frère, et s’en éloigne.
Elle tente à présent de terminer sa nuit, mais elle ne peut plus s’endormir sachant cela.
7 h 30, la fraîcheur du matin réveil Philippe, qui descend du camping-car avec une tasse de café à la main. Il s’installe sur un tronc d’arbre près des braises.
Un peu plus loin, il voit Julie sortir de la tente les seins totalement à l’air libre, et son string blanc cachant son entrejambe, sauf ses fesses. Cela ne fait plus aucun doute pour lui, Julie et son frère ont eu des rapports sexuels. Elle s’avance vers son père, sans le voir, quand soudain, elle se retrouve face à lui. Surprise, elle cache ses seins avec ses bras.
– Ça ne sert à rien de cacher tes petits seins, Julie, je viens de les voir dans leurs intégrités ! Dit Philippe avec un ton froid.
– Oh… Oh pardon papa… ! Julie est totalement gênée.
– Que faisais tu dans la tente de ton frère, quasiment nue ? !
– Je… Euh… Bah en fait…
– Oui… Je t’écoute Julie !
– Hier soir, je voulais aller me coucher… Mais la porte du camping-car était fermée… Alors je suis allée dans la tente de Damien il dormait déjà quand je suis rentrée.
La petite excuse de Julie, tien plutôt bien la route. Mais Philippe l’interroge sur le pourquoi de sa tenue.
– Avant d’aller dormir, je suis allée me rafraîchir dans le lac. Et c’est quand je suis revenue que j’ai vu que j’étais seule.
– Pour quelqu’un qui a peur de se promener en forêt seule la nuit, tu as fait fort ! Enfin… Et pour ta tenue ?
– Bah… Je suis allée dans l’eau en gardant ma culotte (elle n’ose pas dire « string » devant son père), les seins nus. Mais vu que mes affaires sont dans le camping-car, je n’avais rien pour me changer. Mais je te rassure, que je me suis enroulée d’une grosse couverture en rejoignant Damien !
Elle est forte, elle a réponse à tout. Mais son père souhaite la piéger, avec une question gênante.
– Je suis sorti cette nuit, vers 4 heures du matin. Et j’ai entendu des bruits étranges provenant de la tente. En m’approchant, je me suis aperçu que c’était des gémissements. Quelque chose à dire à ce sujet ?
– Euh… C’est difficile de discuter de ça avec toi, papa. C’est très gênant pour moi.
– Tu sais que tu peux tout me dire, Julie.
– Je sais papa… Je me suis… Masturber.
– Avec ton frère à tes côtés ? !
– Oui, mais… J’ai vérifié qu’il dormait profondément avant de faire ça.
– Tes gémissements ne l’ont pas réveillé ?
– Oh non, pas du tout !
– Bon… D’accord… J’accepte de te croire Julie. Mais la prochaine fois, évite de faire ça avec ton frère à côté. Tu sais comment sont les hommes… Même si Damien est ton frère, il reste un homme. Et quand une fille fait ce genre de choses devant un garçon, généralement ça dérape.
– D’accord papa, compris. Je vais aller faire ma toilette au lac.
– OK, profite bien. À tout à l’heure.
Le temps de prendre une petite veste, et Julie empreinte le sentier. Son père, la regarde s’éloigner en observant ses fesses et son string qui ne cache presque rien.
Brigitte, rejoint Philippe à l’extérieur.
– J’aime quand tu fais le papa sérieux, tu sais… Lui dit-elle.
– Je n’ai pas été trop méchant ?
– Non… Seulement froid.
– T’en mieux.
– Mais dis-moi… Il y a de ça quelques mois, tu n’étais pas si froid quand tu as surpris ma mère en train de lécher la chatte de ma sœur, au contraire ça ta même plus ? !
– Exactement ! Et d’ailleurs, ta mère à un très beau cul. J’ai bien senti qu’elle était pratiquante de la sodomie, quand j’ai entré ma bite dans son cul. Mais là, il s’agit de nos enfants. Nos propres enfants.
– Oui, elle le pratique souvent avec mon père. Quand tu as entré ta bite dans son gros cul, je peux t’assurer qu’elle a pris son pied ! Je vous ai surprises pile au moment où tu introduisais ta grosse bite en elle. Je crois qu’elle n’a jamais eu le cul aussi ouvert.
– Tu aurais dû nous rejoindre, tu sais.
– Non, je trouve l’inceste immoral et dégoûtant, mais je respecte ceux qui le pratiquent. En plus, il y avait aussi ma sœur avec vous. Elle m’a dit qu’elle avait beaucoup apprécié recevoir ta bite dans son trou du cul étroit.
– Je suis content que tu le prennes aussi bien.
A Suivre
Brigitte
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