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L’éveil de Loana Chapitre 1

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Loana a vingt-et-un ans. Elle est blonde naturelle, aux yeux bleus, très mignonne de visage, d’un mètre soixante-neuf et mince puisqu’elle pèse à peine cinquante-sept kilos. Elle a de beaux seins avec un superbe quatre-vingt-dix B, avec de mignons tétons bruns très réactifs et qui pointent très facilement à la moindre émotion.
Elle a des jambes très fines qu’elle allonge en portant des escarpins à talons hauts et des fesses à faire damer un saint. Sa chatte est entièrement épilée très soigneusement.

Luc est le frère aîné de Loana aîné, il a vingt-trois ans. Ils ont la même mère, cependant, ils ne sont pas du même père. Le père de Luc s’est enfui avant sa naissance.
Elle considère Luc comme son frère de sang. Malgré, que son géniteur est mort dans un accident de voiture, lorsqu’elle était dans sa seizième année. Depuis, leur mère en couple pour la troisième fois avec un maghrébin

Elle aime son frère plus que tout, car il l’a dépucelé, lorsqu’elle était inconsolable à la mort de son père. Elle aime son frère. Il lui a tout appris et lui a fait découvrir son corps et les plaisirs de la chaire. Loana s’est dit qu’elle est faite pour la queue, qu’elle est une cochonne et ça lui plaît. Elle aime le sexe, elle aime la bite de Luc et elle aime qu’il la baise comme il dit. Elle se soumet sexuellement à son frère.

Ils habitent à la sortie d’un petit village pas loin d’une grande ville. Ils sont assez isolés et leur voisin ont une grande propriété avec un jardin et une piscine.
La famille s’entend bien avec eux. Loana est un peu copine avec la voisine qui a la quarantaine ainsi que son mari. Elle a invité quelques fois Loana à profiter de la piscine.

Leur mère est partie pour une quinzaine de jours avec son mari Abdel. Ils rendent visite à toute la famille d’Abdel.
Comme ils ont toute la maison pour eux, Luc oblige sa sœur à vivre nue à l’intérieur. Il ne manque pas d’imagination pour faire varier les contraintes corporelle ? pour accentuer les plaisirs sexuels.
Le deuxième jour d’absence des parents, il fait très beau et chaud.

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Luc fait mettre sa sœur le ventre sur un tabouret repose pied scandinave. Qu’il avait au préalablement équiper de roulettes pour mieux la faire aller et venir sur sa queue sans faire d’efforts. Loana se met à quatre pattes avec son ventre sur le tabouret. Ses siens pendent au bord du tabouret. Ses genoux sont posés sur le sol ainsi que ses mains. Luc vient lui sangler les genoux et les poignets aux quatre pieds du tabouret.

Loana se demande : Pourquoi elle a cette sensation d’être soumise, elle obéit sans rien dire, sans doute l’excitation qui la dévore une fois de plus.
Il s’agenouille entre ses jambes pour lui dévorer la chatte. Tout en lui dévorant la moule, il passe un doigt chinois vibrant sur son clitoris. Avec les vibrations des picots sur le doigt et avec la langue de Luc dans le corridor de son puits d’amour. Elle atteint son premier orgasme en secouant sa tête dans tous les sens.

Luc se redresse et se positionne derrière sa sœur. Cul nu, la queue bien raide, il pénètre le paradis de Loana bien lubrifier.
Il enchaîne des va-et-vient infernaux. Elle râle fort sa jouissance.
– AAARRRAAA ! AAAARRFFFF ! RORRRRR ! Luc, tu me baises bien !
Elle se concentre sur son frère qui la baise. Elle veut sentir ses jets de sperme la remplir. Il commence à accélérer ses va-et-vient, il va bientôt se répandre en elle. Soudain son premier jet de sperme se projette au fond de son paradis, suivi par d’autres. Accroché à ses hanches, il se vide dans sa grotte d’amour. Tout en lui labourant la moule, Luc râle de bonheur.
Son éjaculation associée aux serrages de ses hanches, déclenche au plus profond d’elle, un violent orgasme.
Il reste collé à ses fesses tout en lui caressant le dos et les seins. Car, il sait qu’elle aime qu’il reste en elle après s’être répandu dans son paradis. Elle aime le sentir débander dans son puits d’amour.

– OHE ! Luc ! tu es là ? C’est moi André ! OHE ! Luc ?
Les cris venant de l’extérieur rompent le charme de la situation. – Ne bouge pas ? Je vais voir se qu’il veut !
Luc se retire de la moule de sa sœur. Il se reculotte et sort voir ce que veut André son voisin.

Dans la précipitation, il laisse la porte d’entrée bien entrouverte.
Loana, toujours liée au tabouret scandinave à roulette est dans les lymphes de sa jouissance.
Lorsque, la tirant de sa torpeur, elle sent un frisson de plaisir la traverser de part en part. Elle sent comme une langue lécher son entre-cuisse. Elle mit quelques secondes à émerger et elle finit par m’apercevoir que c’est Harpo, leur labrador qui lui lape la moule. Sa langue parcourt toute son intimité baveuse de leur copulation d’amour. Elle sursaute, elle essaye de remuer sa croupe pour le repousser ? Cependant, elle reste sur le coup de l’émotion un instant.

Harpo la lèche en lui arrachant un gémissement, sa langue parcourt toute sa moule, allant même jusqu’à frotter son petit trou de balle. Elle râle de plus en plus et elle mouille abondamment. Elle sursaute d’émotion à chaque fois qu’il titille son clitoris. Ses coups de langue s’insinuent partout, jusque dans sa grotte qui s’ouvre de plaisir.
Harpo se régale du plaisir mélangé de ses maîtres, qui coule de la grotte de sa jeune maîtresse, n’en laissant pas échapper une goutte. Il l’envoie une nouvelle fois au paradis des plaisirs dans un orgasme phénoménale.

Il arrête son léchage s’élève pour poser ses pattes avant sur les épaules de la prisonnière. Elle tourne la tête pour le regarder faire des petits mouvements de bassin dans le vide. Elle veut crier à Luc de venir la secourir, mais elle retient son cri en voyant la porte d’entrée grande ouverte. Elle ne veut pas que le voisin la voit ainsi prisonnière à la merci de leur chien. Dès l’instant où la verge d’Harpo sent l’ouverture de son paradis. Il donne de grands coups de reins. Il la pénètre d’un seul coup et s’enfonce jusqu’au plus profond du ventre de sa jeune maîtresse autant qu’il le peut. Loana pousse un gros râle de plaisir qui alerterait la famille, s’il y avait eu quelqu’un dans la maison.

Loana est devenue une chienne, Harpo la lime à une cadence infernale, la faisant râler bruyamment à chaque aller-et-retour. Elle mouille comme jamais, elle est tellement lubrifiée que sa verge sort plusieurs fois de son paradis pour s’y renfoncer toujours plus fort à chaque fois.
Sa verge est bien grosse, elle lui écarte bien les parois vaginales à chaque passage et lui procurant probablement le plus grand plaisir qu’elle a jamais connu.

Loana atteint l’orgasme au moment où Harpo décharge toute sa chaude semence à l’intérieur de son paradis. C’est encore une quantité impressionnante de liquide qui remplit son ventre. Comme le bulbe à la base de sa verge a gonflé à l’intérieur de sa moule. Après avoir éjaculé, ils restent soudés l’un à l’autre. Elle râle de plaisir durant les quelques minutes qu’ils restent arrimés. Lorsqu’il parvient à se désaccoupler, le jus de la saillie s’échappe de sa moule et coule par terre. Pour finir le travail, Harpo vient nettoyer de sa langue, le filet de sperme coulant encore de sa moule.

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Ensuite, Harpo vient lécher le visage de sa jeune maîtresse qui était repartie dans les lymphes du plaisir. Elle revient au présent en secouant la tête pour qu’Harpo ne la lèche plus. Lorsqu’elle a voulu lui dire de partir, la langue du chien pénètre dans sa bouche.
Elle sent tout à coup une autre langue lui lécher la moule ? Prise par surprise, elle se met à pousser un cri. En tournant la tête, elle voit que c’est Polux, le chien du voisin qui est entré, probablement par attirer par l’odeur du sexe.
Le berger allemand ne perd pas une seconde pour la monter, il s’affale de tout son poids sur son dos, ses griffes lui font du mal sur les épaules. Tout de suite, il commence à donner des coups de reins dans le vide, jusqu’il trouve l’entrée de sa moule déjà prête à l’accueillir.

Loana se rend vite compte que sa verge est encore plus grosse que celle d’Harpo. Polux la pénètre de sa longue et épaisse verge. Il la fait jouir pendant qu’Harpo continue à introduire sa langue dans la bouche ouverte.
De nouveau, tellement sa moule bave bien, d’un coup de rein malheureux, la verge de Polux ressort. Lorsqu’il entreprend de pénétrer à nouveau la femelle, c’est contre son anus que la verge bute. Sans faire la moindre différence, il force une fois et aussitôt une deuxième fois sans succès. La troisième fois lorsqu’il force plus fort, son petit trou de balle cède et libère le passage à la grosse verge.

Elle relève d’un coup sa tête, criant de douleur. Elle tente de faire descendre Polux en essayant de faire chavirer le tabouret scandinave, sur lequel elle est entravée. Cependant, rien n’y fait, il est trop lourd et il s’accroche. Loana a bien mal, son anus n’a encore jamais été visité par son frère. Hors, le dépucelage est violent, elle crie encore de douleur. Elle commence même à pleurer en essayant de faire descendre le chien.

A bout de souffle, elle abandonne et accepte finalement sa soumission. Elle laisse Polux la sodomiser. Saverge s’enfonce entièrement dans son trou de balle, beaucoup plus étroit que cette dernière. Il fait de puissants va-et-vient, poussant à chaque fois sa queue aussi loin que possible, ses testicules butent sur l’entrée de son paradis.

Assez rapidement son trou de balle se détend et peu à peu, elle cesse de râler, la douleur commence à disparaître laissant la place à un nouveau plaisir. Comme elle râle la bouche ouverte. Elle laisse Harpo lui ramoner sa gorge avec sa langue. A croire, qu’il fait ça pour la consoler. La verge de Polux continue à grossir dans son boyau. Elle sent que son trou du cul vierge, il y a encore quelques minutes, se déforme et s’élargit au rythme des coups de reins de Polux.

Soudain, il donne un violant coup de rein. Elle sent son bulbe entre dans son rectum. Polux est soudé et il ne bouge plus. Sa verge continue à grossir, dilatant son boyau à l’extrême. Plus son boyau se dilate, plus ses chairs se tendent. Ensuite, elle sent sa semence chaude se répandre dans ses entrailles. Alors un plaisir immense l’envahit. Elle jouit à en perdre tous ses repères.

Polux est ancré dans son derrière. Elle sent sa verge vibrer dans son rectum et avec la chaleur intense de sa semence qui se répand en grande quantité dans ses entrailles. Un orgasme formidable la secoue de la tête au pied.

Pendant qu’elle jouit les yeux fermés. Elle n’a pas vu que Luc qui est rentré chercher Polux, la regarde jouir d’être saillie par le chien du voisin. Il retourne fermer la porte d’entrée rapidement. Il revient près de sa sœur qui continue de jouir de la verge dans son boyau.
Il se débraguette et après avoir repoussé Harpo. Il met sa queue tendue sus les lèvres de sa sœur. Elle l’aspire aussitôt et l’avale au fond de sa gorge.

Pendant qu’elle suce la queue de son frère, la verge de Polux dégonfle doucement dans son boyau. Dans un bruit de ventouse, lorsque la verge de Polux s’extirpe de son anus. Elle fait une aspiration et elle en avale la jouissance de son frère.
A présent, que ses orifices sont libres, elle lance à son frère un regard de désolation. Il se baisse et lui libére les poignets. Lorsqu’il passe derrière elle pour libérer ses genoux. Il voit que Polux la saillie dans son trou de balle.

Elle est trempée de sueur. Plusieurs orgasmes se sont succédé, dans un concert où les halètements canins répondaient aux râles de plaisirs de la femelle.
Luc met les chiens dehors.
Loana libéré reste un longtemps immobile sur le tabouret. Elle a une expression étrange.

Loana sort de sa torpeur orgasmique. Elle met une main sur ses fesses, pour examiner les dégâts. Son anus est bien ouvert, laisse échapper du liquide. Elle en recueille un peu sur ses doigts, qu’elle porte à sa bouche pour voir si le goût est différent, de celui de son frère.
Ensuite, elle file dans sa salle de bain examiner une nouvelle fois son trou de balle. Elle est à présent rassurée, car il a commencé à se resserrer. Elle glisse un doigt à l’intérieur, ce qui lui procure un plaisir jusqu’alors inconnu et ce qui malgré la douleur récemment ressentie, lui donne envie de recommencer.

Bien entendu, Luc vient la rejoindre.
– Alors ma belle ça va ? Tu sais que tu m’as épaté, tu n’as pas froid aux yeux toi. Tu as aimé ?
– J’ai mal au cul et si tu ne m’avais pas attaché sur ton tabouret roulant ! je ne me serais pas fait prendre par les chiens. Oui, je l’avoue ! j’ai aimé, je n’aurais jamais pensé que c’est aussi bon d’être grimpé par des chiens.
– Ah ? Si je comprends bien, tu recommenceras de nouvelles expériences comme celles-ci ?
– Oui t’as bien compris, mais que dirais-tu de me rejoindre sous la douche et de me baiser toi aussi ?
– MMMM ! J’espère que je n’ai pas fait de toi une nympho.
– Oui, je suis une nympho, mais c’est cela que tu aimes chez moi.

Luc se met nu et vient la rejoindre sous la douche et pas plus dérangé que ça par les assauts canins quelques instants plus tôt. Il l’investit lui aussi de sa puissante queue et se déverse bien au fond de son paradis, venant mélanger son essence masculine avec celle d’Harpo.
Il se retient à mi-chemin de sa jouissance. Subitement, il retourne sa sœur et finit de déverser sa jouissance qu’il mélange à celle de Polux, au fond de ses entrailles.
Luc décide d’aller faire du café.

De la cuisine, Luc entend que sa sœur se fait couler un bain, après la douche ?
Quand il entre dans la salle de bains, elle est immergée dans un bain de mousse. Elle le regarde timidement, avec un sourire de petite fille qui a fait une grosse bêtise.
Il la rassure d’un sourire. Il lui passe une main dans les cheveux et lui masse la tête.
Plus tard, après le dîner, ils osent enfin parler de cette extraordinaire expérience.

Elle lui raconte comment la verge d’Harpo lui a donné des sensations absolument différentes de celle de son frère. C’est plus visqueux, plus pointu, plus long aussi, elle la sentait très profondément.
Le rythme aussi est différent et plus rapide. La chaleur de son corps sur ses reins lui faisait un bien si fou, qu’elle serait restée dans cette position encore plus longtemps.

Lorsqu’elle lui raconte la saillie anale de Polux. Elle avoue avoir souffert au début, cependant elle a connu une jouissance inégalée. Et la sensation de la chaleur de sa fourrure contre elle, une merveille.
Tandis qu’elle lui donne les détailles, Luc voit dans ses yeux un nuage rêveur, que perce toutefois une lueur malicieuse. Elle clame.
– C’est incroyable ? Je me suis fait prendre par deux chiens ! Et j’ai aimé ! j’ai joui ! Je recommencerais bien ?

Luc n’en croit pas ses oreilles ?
– Tu feras comme ? Tu en auras envie. Cependant, promets-moi une chose, celle de ne plus jamais te faire saillir en dehors de ma présence.
– Tu as ma parole. Répondit-elle.
– Regarde ? A t’écouter, je bande dur. Clame Luc en se déculottant.

Elle vient s’agenouiller entre ses jambes. Elle avale complètement sa queue et lui prodigue une fellation mémorable. Il se vide les couilles dans son gosier, elle avale son sperme jusqu’à la dernière goutte et laisse sa queue se dégonfler dans sa bouche.
– Tu crois que Harpo me sodomisera lui aussi ? Parce que, je veux encore essayer, avec toi avant lui. – Essaye, tu verras bien, qui ne tente rien n’a rien. Moi, je te prendrais bien le cul pendant que tu le suces ?
– Ouais ! Ça marche pour moi ! Qu’elle s’exclame. – Tu m’excites de plus en plus, tu deviens vraiment une vicieuse, j’adore.

Sam Botte

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