L’éveil de Loana Chapitre 4

LOANA BASCULE DANS LA ZOOPHILIE

Loana à quatre pattes dans le salon de ses voisins, avec un collier à chien autour du cou, ou sa voisine Sofia vient d’y accrocher une laisse ? – Aller ! Tu viens à quatre pattes comme la chienne que tu es et que tu vas devenir. Loana regarde son frère d’un air implorant. – Luc nous a donné son avale pour faire de sa sœur une chienne docile.

Elle emmène sa jeune voisine sur la terrasse où sont assis leurs chiens. Ils n’ont rien loupé de leurs ébats, ils ont senti l’odeur de la femelle en chaleur. Ils ont déjà leur verge sortie et raide.
Luc positionne sa sœur face à la truffe d’Harpo. Elle sent sa truffe lui sentir l’entrecuisse et passer un coup de langue sur sa moule baveuse d’envie. Elle aime cette sensation, d’ailleurs, elle tend un peu plus sa moule. Elle écarte un peu plus les jambes. Sous les coups de langue, elle devient une vraie chienne en chaleur et elle est prête à se faire saillir.

Pendant, que Harpo la lèche en couinant, Polux leur tourne autour. Sofia prend un poignet de sa jeune voisine. Elle lui fait saisir la verge de Polux. Elle lui fait faire le mouvement de la masturbation. Marc fait coucher Polux devant le visage de Loana. Alors, Sofia lui pose une main sur la tête et la pousse vers le ventre de son chien. Avec un rictus de dégoût, elle ouvre quand même la bouche. Elle prend la verge dans sa bouche en regardant son frère.

Loana suce, aspire la verge de Polux comme elle le fait à son frère. Par contre, le goût fort envahit sa bouche, cependant elle la trouve douce et excitante. En se penchant sur la verge de Polux, ses fesses remontent. Harpo en profite pour lui monter sur le dos. Avec ses pattes avant, il enserre la taille de sa jeune maîtresse et il l’attire vers sa verge. Elle la sent dure, taper contre sa vulve enflammée de désir.

D’une main, Sofia saisit la verge d’Harpo. Elle l’a fait monter et descendre entre les lèvres de la moule de sa jeune voisine. Sous la caresse de la verge, Loana ouvre un peu plus ses cuisses et gigote son arrière train pour que la verge entre dans son paradis. Elle a des élancements d’envie de plaisir. Elle continue de sucer la verge de Polux, et à chaque fois que la verge d’harpo est arrêtée à l’entrée de sa grotte d’amour. Dans l’envie d’être prise, elle aspire au fond de sa gorge la verge de Polux. De bonheur, il commence à expulser du sperme au bout de sa verge. Dans son délire d’envie d’être prise, elle avale le tout.

Tout à coup, Sofia remonte plus haut la verge d’harpo. Soudain, elle s’enfonce dans son anus entrouvert en suintant du mélange de sperme de Marc et Luc. Dans son élan, il rentre facilement son bulbe dans le rectum humide de sperme humain de la jeune femelle. Sa verge grossit encore et elle se retrouve prisonnière du mâle. Elle sera obligée de le satisfaire.

Loana râle fort de plaisir. Harpo halète dans son dos. Il sodomise à grands coups d’arrière train. Excité, il lui défonce son petit trou de balle. Polux profite que la bouche de la jeune femelle ne s’occupe plus de sa verge, pour se redresser. Il veut la monter aussi. Cependant, Harpo grogne pour qu’il recule et il montre ses crocs. C’est sa jeune femelle, alors, il a le droit de la saillir en priorité. Polux revient devant la femelle et par devant. Il monte ses pattes avant sur ses épaules. Il glisse ses pattes sous les aisselles de Loana. Il les serre et attire la femelle vers son bas ventre.
Elle se retrouve avec sa verge au niveau de ma bouche. Sofia attrape la laisse et lui ordonne d’ouvrir la bouche. C’est ce qu’elle fait, elle est ailleurs, dans un autre monde.

Le trio de spectateurs l’encourage. Marc filme avec sa caméra l’orgie bestiale. La jeune femelle commence à sentir monter une jouissance encore inconnue. Avoir une verge à sucer pendant qu’une la sodomise, quel délice. Polux pousse sa verge dans sa bouche accueillante. Elle sent le bulbe de sa verge grossir et buter contre ses lèvres. Elle la suce et la téte avec application. Harpo l’excite encore plus à la sodomiser fortement. Être prise comme une femelle, ça va lui plaire éternellement.

Elle sent monter un orgasme. Ne pouvant parler, elle râle de plus en plus fort. Elle relève ses fesses bien écrasées, elle jouit en même temps que son Harpo. Il éjacule longuement dans ses entrailles en mélangeant son sperme à celui de ses prédécesseurs. Polux profite du relâchement de la mâchoire de la jeune femelle. Il pousse sa verge au fond de sa gorge. Son bulbe passe la barrière dentaire, et lui coince la bouche grande ouverte. Il éjacule au fond de sa gorge et elle avale peu à peu sa semence au goût sauvage.

Après la tempête orgasmique, les deux amants libèrent rapidement la jeune femelle. Sofia munit d’un gobelet qu’elle glisse entre les fesses de sa jeune voisine. Elle l’attrape par le collier et lui fait redresser son dos et descendre ses fesses sur l’ouverture du gobelet. Sofia roule une pelle d’amoureuse à sa jeune voisine qui se relâche. Elle sent son boyau se vider dans le gobelet ?

La pelle dure un bon moment. Ensuite, Sofia soulève les fesses de sa jeune voisine. Elle se saisit du gobelet et le présente aux lèvres de Loana. – Bois le plaisir de tes amants !
Affolée, Loana regarde son frère. Il lui fait de la tête le signe d’approbation. Vaincue, elle ouvre les lèvres, plisse les yeux d’horreur et déglutit le contenu du gobelet. Sofia l’oblige à lécher l’intérieur.

Une heure plus tard, remise de ses émotions et toujours nue. Sofia emmène Loana tenue en laisse, suivit de Marc et Luc dans une grande remise, derrière la Maison. Ils débouchent dans la pièce où sont stockées des bottes de pailles, ça sent bon le foin et le cheval.

Il y a là dans une sorte box un poney blanc.
– Tient, vous avez aussi un poney ? Demande Luc.
– Comme tu vois Luc et il est en pleine forme. Nous allons lui offrir une nouvelle ponette. Alors, apporte-nous une botte de paille et cette couverture-là. Ta sœur a envie de s’allonger un peu ?

Luc a compris de quoi il retourne et il prend et pose la botte de paille au milieu du box. Il plie la couverture en deux et la pose délicatement dessus. Se tournant vers sa sœur, il lui ordonne.
– Allonge-toi là-dessus sur le dos et écarte bien les cuisses. Tu vas connaître un autre mâle et il arrive.

Tout en l’approchant de sa jeune voisine, il lui flatte le flanc en lui parlant doucement.
– Tout doux mon beau ! Une nouvelle femelle t’attend !
– Luc, tu vas le tenir pendant que je le chauffe un peu.
Le frère de la sacrifiée se saisit du licol. Marc s’empare d’un chiffon, qu’il tamponne sur les naseaux du poney.

Sofia, caresse la moule de sa jeune soumise et lui parle pour la rassurer.
– C’est un chiffon imbibé de l’urine d’une jument en chaleur. C’est parfait pour stimuler l’ardeur de mon amant. Eh ! Oui ! À moi aussi, il m’a déjà monté !

Le poney se retrouve au-dessus de Loana, c’est bien plus impressionnant qu’un chien. Elle entrevoit un instant la pine du poney. Elle l’évalue d’une grosseur de six ou sept cm de diamètre et d’au moins trente de long, avec un gland gros comme une orange. Voyant son regarde affolé, pour la rassurer, Marc lui dit.
– N’aie crainte Loana, tout va bien se passer. Il monte souvent Sofia et cela se passe toujours bien.

Pour bien la préparer à cet accouplement contre nature, Sofia frotte le gland de l’équidé contre la moule de sa jeune voisine, afin de bien l’exciter. Elle sent un gourdin de chair qui s’agite entre ses jambes. Elle sent une protubérance chaude et humide se frotter sur les lèvres de sa moule. C’est le moment que choisit Marc pour s’approcher de Loana. Il lui glisse son sexe dans la bouche et ses mains s’emparent de ses seins. Il lui clame.
– C’est bien ma belle. Décontracte-toi ?

Elle le suce avec application, tandis qu’il lui pince les tétons et les tord. Doucement, la peur d’être éventrée par le poney s’estompe. L’envie d’être encore prise par l’inconnu l’excite. Elle espère connaître un nouveau un plaisir. Elle ferme les yeux et se concentre sur la queue qui gonfle dans sa bouche.

Sofia frotte à présent le gland aussi gros qu’une orange, à l’entrée de sa moule, qui bave d’envie.
Le gland s’arrête à l’entrée du paradis de la femelle ou la porte est à présent bien ouverte.
Son vagin se décontracte et lentement l’énorme gland y pénètre millimètre après millimètre. Dès qu’il sent la douceur vaginale, donne un coup de reins et enfonce sa pine. Une main de Sofia vient lui branler le clitoris avec douceur. Soudain, elle s’abandonne, toutes ses peurs s’envolent et son corps se donne au plaisir tant attendu.

Sa moule se dilate, ses chairs s’ouvrent. Elle est surprise de ne ressentir aucune douleur, seulement une excitation intense. Marc se répand dans sa bouche. Elle avale goulûment sa liqueur en tétant sa queue qui tressaute sur sa langue. Sofia lâche l’engin de son poney, qui en le dilatant, est maintenant tout au fond de son puits d’amour. Son vagin s’est moulé à l’énorme organe qui s’y est introduit. La jeune femelle commence à onduler de la croupe pour mieux en apprécier la dimension.

L’équidé doit sentir que cette pouliche est aussi réceptive au mâle. Alors, le voilà qu’il se met à la saillir avec entrain.
– Ça y est ! Tout est rentré ! Clame son frère.
– Regarde ! comme ta sœur y prend du plaisir à servir de ponette ?

La moule de la jeune femelle est à présent bien distendue. Le braquemart du poney coulisse à merveille dans son ventre, comme un piston dans son cylindre bien huilé. Loana n’a encore jamais éprouvé une telle impression. De l’entrée jusqu’au fond, la moindre partie de sa moule réagit aux pénétrations répétées de ce gourdin de chair. Elle râle la bouche grande ouverte pour ne pas s’évanouir sous les ondes de l’orgasme, qui submergent tout son être.

Soudain, l’équidé émet un long hennissement.
– Ça y est ! Il va l’inonder de tout son sperme !
Proclame de joie Sofia, qui se fait sodomiser par Luc.
De longs jets d’un liquide bouillant se giclent dans son puits d’amour et ça lui déclenche un autre orgasme monstrueux.

Après avoir vidé ses bourses, l’équidé débande très vite et il libère le paradis de la jeune femme.
Loana, épuisée par cette formidable saillie, reste allongée sur la botte de paille. Elle ne bouge pas, heureuse, et repue de ce qu’elle vient de se prendre dans sa grotte d’amour qui n’en fini pas de se vider par instant, de la semence blanchâtre et épaisse, sous les spasmes vaginaux.

Luc et Marc se rapprochent de la jeune soumise et son frère lui clame.
– Quelle jouissance ma belle ! Tu verrais ta grotte, elle reste grande ouverte.
– Oui ! Elle a vraiment joui comme une ponette en chaleur. Sa vulve ne se refermera que d’ici deux à trois jours. Proclame Sofia qui est déjà passée par là.
Loana s’en fouts, car elle vient d’avoir une jouissance étourdissante !

Elle reste ainsi une bonne demi-heure avant que son frère l’aide à se redresser. Elle marche comme s’y, elle avait chevauché longtemps un tonneau. Elle marche difficilement mon entrejambe a fait des efforts pour s’adapter à cette saillie. C’est toujours nue, qu’elle regagne la maison. Après une collation. Le frère et la sœur retournent dans leur demeure.

Le soir dans son lit, elle fait son examen de conscience avant de s’endormir.
Cette journée a été une énorme découverte dans sa soumission à la zoophilie. Elle n’a eu d’énormes orgasmes à répétition. De voir Sofia avec son mari et aussi son frère la regarder jouir des diverses saillies, qu’ils lui imposaient. Le plaisir sexuel s’est doublé d’une jouissance intellectuelle.
Désormais, elle sait qu’elle ne pourra plus revenir en arrière.

Elle porte en permanence le collier de chien et la laisse, qui pour être plus discrète, pend dans son dos toute la journée sous ses vêtements. Elle ne porte toujours aucun sous-vêtement pour être le plus souvent accessible et disponible. Elle est devenue l’esclave, le jouet sexuel de son frère ainsi que de Sofia et son mari.

Elle est devenue une femelle à la disposition de son frère et de ses voisins, toujours nue dans toutes les circonstances, laissant son vagin, son rectum, ainsi que sa bouche à leur entière disposition. Ils envisagent de la louer à un club canin très fermé, où elle sera sailli, par tous les membres du club ainsi que leurs maîtres.

Elle se dit : Qu’elle aurait dû réagir au début. Mais, à présent, c’est trop tard. Et en plus, elle n’a pas envie que cela s’arrête ?
Depuis, Loana passe beaucoup de temps chez sa voisine, un peu jalouse de partager ses amants avec elle. Cependant, la jeune voisine vient à présent accompagné de son Harpo. Cela les arrange bien, puisqu’il y en a toujours un de prêt, même quand elles n’en peuvent plus.

Sam Botte

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