LE RETOUR D’ABDEL
Cela fait trois jours qu’Abdel avec la mère de Loana et de Luc, sont revenus de vacances, qu’ils ont passé au bled d’Abdel.
Loana n’a plus cours et elle attend la réponse pour un job d’été. Luc et les parents sont au travail.
Elle est allongée au soleil sur un transat dans le jardin. Elle commence à soupirer, lorsque le museau d’Harpo vient se coller à sa petite culotte, quelle porte encore à la fin de ses menstruations.
Il en a dû en percevoir les effluves émanant de son intimité. Il est comme elle en manque de sa femelle. Très rapidement, elle écarte le fond de sa culotte et il lui procure un petit orgasme avec sa langue. Soudain, il tente de lui monter dessus, car il veut la saillir. Comme elle entend une voiture au loin et qu’elle a peur de se faire surprendre dans le jardin.
Aussitôt, elle se relève, enlève sa petite culotte et elle va dans la maison. Arrivé dans le salon, Harpo dans un bond, l’attrape aux hanches avec ses pattes avant. Il l’a fait tomber les bras en avant dans le salon. Elle se retrouve à quatre pattes. Elle essaye de se relever, mais l’emprise de ses pattes avant autour de sa taille la cloue au sol. Après tout ? Se faire prendre ici ou dans sa chambre, peu importe du moment qu’elle a sa jouissance.
Ensuite, elle sent sa verge venir buter tantôt contre sa vulve ou son anus. Son liquide séminal jute sur ses chairs et ruisselle entre les lèvres de sa moule. Sans qu’elle s’en rende compte, il est en elle. Son sexe allait et venait à un rythme soutenu.
Au fur et à mesure de son pilonnage, elle a la délectation de sentir sa queue grossir dans sagrotte d’amour. Une fois de plus, elle tombe dans la torpeur de sa dépravation, savourant les assauts répétés d’Harpo. Il a introduit son bulbe dans son paradis. Il se met à enfler distendant pour son plus grand plaisir les chairs de son vagin. Les palpitations de son bulbe dans sa moule ballonnée, lui donnent un autre orgasme.
Ensuite, des jets semence chaude lui inondent l’utérus. Elle a des spasmes dans son ventre, la faisant émettre des râles sous ses orgasmes qui se répètent. Harpo halète sur son dos, sa bave coule sur ses épaules, elle est au paradis.
Toute prise à son plaisir, elle n’entend pas une voiture se garer dans l’allée et la porte de la maison s’ouvre quand, soudain, elle entend horrifiée la voix d’Abdel.
– Putain de salope ! Tu es pire que ta mère ! Tu n’es qu’une sale dépravée, hors de ma vue, je ne veux plus jamais te voir. Rassemble tes affaires et quitte définitivement la maison.
Anne, rentre sans réfléchir n’osant pas imaginer l’acte odieux qu’elle découvre dans le salon.
Sa fille Loana à quatre pattes en train de se faire saillir par leur chien Harpo. Elle pousse un cri d’horreur.
Loana râle de désespoir, car elle tente de se défaire du sexe de Harpo qui est en elle. Mais à cause de la panique, elle n’y arrive pas, au contraire, Harpo s’accroche encore plus à elle.
Abasourdie par la situation, Anne prend les choses en main en lui parlant avec douceur.
– Loana, ma chérie ! Décontracte-toi, pousse comme si tu faisais pipi, pour te débarrasses d’Harpo !
– Je ne peux pas, je suis bloqué. Son nœud est encore trop gros pour sortir.
– Oh ! Oui, je sais ma chérie.
Anne glisse une main entre sa fille et son chien. Tant bien que mal, elle arrive à défaire son chien des fesses de Loana. Celle-ci s’écroule sur le sol du salon et une marre mélangée de foutre et de cyprine s’écoule de sa chatte béante. Elle se retourne et fait signe à son mari de faire sortir Harpo et lui dit.
– Abdel ! Vu son l’état physique et émotionnel, je m’occupe de Loana.
Elle tend une serpillière à sa fille qui essuie les traces laissées sur le sol.
Elle aide sa fille à se relever et elle l’accompagne dans la salle de bain. Lorsqu’elles y sont toutes les deux, Anne referme le verrou de la porte ?
– Alors dis-moi ma chérie, il t’a bien baisée ?
Loana est au comble de la confusion, elle est gênée et tente désespérément une excuse.
– C’est un accident ! Je ne voulais pas ça, c’est ?
– Allons ! Arrête ! J’ai bien senti avec ma main que tu y as bien prise du plaisir. Loana bafouille et les larmes noient ses yeux.
Anne la prend dans ses bras et bise ses yeux remplis de larmes.
– Ma chérie ? Ne te mets pas dans cet état-là ! Écoute bien ce que je suis devenue moi aussi. Je ne l’ai pas encore fait avec Harpo, mais attend que je te raconte ce qu’Abdel a fait de ta mère.
Alors, Anne narre sa descente dans la fange.
– Je suis tombé follement amoureuse d’Abdel lorsque je l’ai rencontré. Je voulais finir ma vie avec lui. Il m’acceptait avec mes deux enfants, si je me soumettais à ses désirs et à sa volonté de faire de moi ce qu’il voulait. Pour être sa femme, j’ai bien-sûr accepté par amour ses conditions. Écoute ! Depuis, je suis devenue son esclave sexuel rapidement, il m’a fait faire tout ce qu’il voulait comme il le fera avec toi.
Au début, il m’a fait baiser en sa présence, par un cousin de passage. Il y a eu aussi le neveu de passage. Nous faisions l’amour à trois, mes deux trous étaient comblés. Ensuite, c’est trois, quatre, cinq, six neveux ou cousins qui ensemble venaient me baiser.
J’étais heureuse car j’avais des orgasmes à répétitions. Je suis devenue sa kahba et j’en étais heureuse.
Comme tu t’en doutes ? J’ai dégorgé pas mal de biroutes. Tu parles, une française blonde à beaucoup de succès dans son pays. Les fatmas me regardaient avec dégoût, mais je m’en fous du moment que je rends heureux mon Abdel. Nous sommes allés pour la deuxième fois chez Abdel dans son bled. Il m’a fait subir la même chose qu’au premier voyage.
Ce que tu ne sais pas ? Pendant notre voyage de noce au bled dans son pays de naissance, il m’a fait baiser par tous les mâles de sa famille, et il a une très très grande famille. Et un soir après avoir été baisée par trois de ses soi-disant oncles.
Un soir dans une bergerie, j’étais nue et à quatre pattes sur de la paille au sol. Je venais de me faire baisé et enculé par quatre membres de sa famille soi-disant. J’étais à quatre pattes dans la bergerie, mes deux orifices débordant de sperme, je m’étais abandonnée au bien-être, un des oncles a ouvert la porte pour aller fumer dehors. Il y en a un qui sort fumer un joint. Un chien est rentré et s’est précipité entre mes fesses.
Je suis restée là à quatre pattes avec mes deux puits d’amour suintant de sperme. Le chien s’est mis à lécher ma moule et mon anus. Je trouvais ça bon, j’avais du plaisir. Ensuite, j’ai voulu me relever, mais un des hommes m’a ordonné. – Reste comme ça à quatre pattes ! C’est ta place de chienne française. On va voir, si tu es vraiment une bonne chienne.
J’obéis ? Désireuse de voir ce qui aller suivre, je laisse la bête me lécher l’entrecuisse et même mon petit trou. Le chien récupérait de sa langue la mouille qui coulait de mon vagin. Je ne sais pourquoi mais tout en continuant de lécher ma fente ça électrisait aussi mon petit cul. Je cambrais bien mes fesses. Soudain ; j’ai senti le souffle de l’animal qui est monté sur mon dos. Sa verge cherchait un trou pour s’y engouffrer. Elle a trouvé mon vagin tout de suite. Il m’a saillie et j’en ai joui énormément. J’ai découvert la présence de son bulbe en moi. Nous sommes restés collés un petit moment. Lorsqu’il s’est séparé de moi, j’ai voulu me relever, mais ils m’ont dit de rester comme ça. Puisque j’étais une chienne de française.
Ils ont fait rentrer un autre chien qui m’a rapidement monté. Mais lui, c’est mon anus qu’il a trouvé. Alors, il m’a enculé et j’en ai joui aussi. En attendant qu’il me libère l’anus avec son bulbe. Il y en a un qui est venu. Il m’a empoigné les cheveux et m’a relevé le visage. Comme j’avais la bouche ouverte pour râler ma douleur. Il m’a envoyé un gros cracha dans la bouche pour après y enfourner sa bite. Je l’ai sucé durant le temps que le chien libère mon cul. J’ai dû avaler sa jouissance.
Cela a excité les autres, car ils m’ont fait prendre par d’autres chiens à chaque fois et qu’il me faisait leur tailler une pipe et avaler leur jouissance. Les chiens me prenaient par le premier puits d’amour qu’ils trouvaient. Comme j’ai été filmé par leur portable. En rentrant chez Abdel, il était déjà au courant de l’orgie canine.
Le lendemain, Fatima sa sœur m’a emmené chez un oncle.
Elle parlait avec son oncle en arabe devant moi. Il me regardait avec mépris. Fatima m’ordonna de l’accompagner. Nous allâmes derrière la bicoque dans une petite grange. Il y avait du bordel entassé dans la grange. Fatima tira une sorte de petite table basse au milieu de la grange.
– Tu te mets à poil et tu t’allonges dessus sur le ventre, chienne !
En regardant la petite table basse et l’insulte de Fatima ? Je supposais qu’ils allaient me faire encore saillir par des chiens. Parce que j’avais bien vu qu’elle avait montré à son oncle une vidéo sur son portable.
Alors, je me suis déshabillée et me suis couchée sur la petite table. J’avais les seins écrasés sur le bord de la table ? Mes pieds touchaient à peine le sol. Fatima est venue me prendre les poignets qu’elle descendit à chaque pied avant de la table. Elle les attacha au pied avec de la grosse ficelle. Elle fit de même avec mes chevilles aux pieds arrière de la table. Je me suis dit que ce ne seraient pas des chiens qui me prendraient, car je crois que la table est trop haute.
Une main de Fatima m’enduisit la moule d’une crème qui avait une forte odeur ?
Très vite, je sentis ma moule s’échauffer, une envie d’être prise me prit rapidement.
Le vieil oncle rentra dans la grange avec un âne. Il humait l’air très intéressé. Les oreilles dressées et son énorme sexe se balançait entre ses pattes !
Il commença à lui caresser le sexe, qui se mit à grossir de manière démesurée, une longue tige dont le gland était percé d’un trou. Il l’approcha alors de ma bouche et le frotta sur mes lèvres. Je le laissais faire et je donnais quand même des petits coups de langues. Puis il amena la bête derrière moi et il lui posa les pattes sur la table, de chaque côté de mes hanches.
Fatima empoigna le membre d’un air dégoûté et le plaça à l’entrée de ma vulve entrouverte et très mouillée. Elle plaça le gland de la pine exactement là où il fallait, c’est-à-dire, que le bout de son sexe mouillé, était à l’entrée de ma vulve.
Je retenais mon souffle. Comment un engin pareil pouvait-il pénétrer dans ma moule ? Dans un juron en arabe, l’oncle donna une bonne claque sur la croupe de l’âne.
L’âne donna un énergique coup de reins et sa pine s’enfonça d’un coup dans mon paradis !
Je poussais un gros râle plaintif. J’avais l’impression d’accoucher à l’envers.
Ensuite, l’âne commença un mouvement de va-et-vient. Je ne râlais plus de douleur. Incroyablement, mon vagin se dilata et s’adapta à la verge qui l’enflammait. J’entendis Fatima commenter.
– Pour accueillir cet énorme engin, il faut avoir une vulve comme une entrée de garage. Ce pauvre âne ne doit pas sentir grand-chose ? Faudrait qu’il lui mette sa bite dans le cul à cette chienne !
Soudain, j’ai eu un peu peur, qu’elle mette sa menace à exécution. Cependant, ils me laissaient m’accoupler bestialement avec l’âne. Il avait un bon rythme et je manifestais de plus en plus mon plaisir. A chaque coup de croupe, le bout de sa verge heurtait le col de mon utérus et me provoquait des orgasmes à répétition. La saillie était brutale, intense et courte.
L’âne accéléra, puis il eut plusieurs soubresauts, il jouissait en hennissant. Quand l’âne retira sa verge, un flot de semence s’échappa de ma vulve qui resta béante. Ensuite, il se passa quelque chose de magique ? Ma vulve se rétracta lentement et redevenait presque normale.
Sam Botte
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