ABDEL LA PREND EN MAIN
Trois jours plus tard, Loana rentre de son job d’été, qu’elle a trouvé.
Elle rentre dans la maison direction le salon. Elle reste immobile dans l’entrée du salon. Trois hommes sont là assis autour de la table de la salle à manger. Un tapis de jeu et des cartes trône au milieu de la table.
– Oh ! Excusez-moi ! Je dérange, elle est ou maman ? – Ta mère est partie chez le coiffeur et elle rentrera après avoir fait les courses. Approche que je te présente mes collègues. Mohamed, Ahmed, Karim. – Bonsoir Loana ! Répondent en chœur les trois hommes. – En attendant ta mère. Assis toi là ! Lui ordonne Abdel en lui désignant un fauteuil à coté de la table basse.
– D’abords, Je vais boire quelque chose, j’ai une de c’est soif !
Lorsque Loana va dans la cuisine, Abdel lui emboîte le pas et vient le rejoindre. Pendant qu’elle se remplit un verre de jus de fruit, il sort quatre bières du frigo.
– Tiens ! Tu peux apporter ses bières sur la table de la salle à manger, il faut que je me lave les mains.
Pendant que Loana apporte les bières, il sort de sa poche, un petit flacon d’élixir et verse plusieurs gouttes de l’élixir dans le verre de jus de fruit de sa belle fille. Ensuite, il revient à la table de jeux, il s’assoit pour rependre sa partie de carte.
Avec son verre de jus de fruit à la main. Loana s’installe dans le fauteuil et regarde les trois hommes. Il y a là deux maghrébins d’une cinquante d’années environ et d’un jeune africain nommé Karim. Il surveille Loana du coin de l’œil. Elle sirote son jus de fruit. Lorsqu’elle est à la fin du grand verre, étonné elle voit qu’Abdel pose ses cartes, se lève, prend le verre de Loana et va le remplir à la cuisine. Il revient avec le verre plein à ras bord et le redonne à Loana.
– Bois pendant que c’est frais, je sais que tu aimes ça.
Abdel reprend sa partie de carte et voit que sa belle fille vider son verre. Elle remue sans cesse dans le fauteuil. Elle a chaud, très chaud même. Ses sens s’enflamment, les pointes de ses seins durcissent. La tête lui tourne, une sourde excitation l’envahie. Elle se lève, remue son fessier et se rassoit. Ou plutôt, elle se laisse carrément retomber dans le fauteuil.
Elle a la tête qui tourne un peu. Elle est comme dans un état second. Elle a envie de se dévêtir, pour qu’on lui fasse l’amour.
– Oh ! Loana a très chaud. Je vais lui en resservir un bon verre !
Proclame son beau-père et aussitôt, il se lève. Il revient avec un verre remplit à ras bord. Il lui met dans la main et il l’aide à boire en lui saisissant le coude et le pousse vers le haut. Subitement, elle s’étouffe et elle tousse, pas mal de liquide déborde et s’écoule sur son menton et même entre ses seins.
– Oh ! comme je suis maladroit, attend, je vais t’essuyer.
De sa main, il commence à enlever le liquide qui lui coule sur le menton. Puis sa main descend le long de son cou pour finalement arriver dans le décolleté de sa robe.
Il plonge carrément sa main dans l’échancrure de sa robe. Au début, il lui caresse la poitrine, à travers la dentelle de son soutien-gorge. Ensuite, c’est dans le soutien-gorge, qu’il cajole ses seins. Il lui empoigne un sein, qu’il sort de son soutien-gorge et il commence à le malaxer doucement d’abord, de plus en plus fort ensuite.
Pendant qu’Abdel, a sa main dans l’échancrure de sa robe et qu’il lui triture les seins, il commente à ses partenaires.
– Ah ! les gars, elle a des seins bien fermes cette fille Des véritables bombes !
Loana reste toujours droite, elle émet que des petites protestations, presque inaudible. – Hé ! Qu’est-ce que tu fais là ? OH, non ! Laisse-moi ?
Soudain, tout en continuant à lui triturer les seins dans l’échancrure de sa robe, de son autre main, Abdel l’attire vers lui. Sa bouche avide se colle sur la bouche de sa belle fille. Sa langue force ses lèvres et il l’embrasse fougueusement et passionnément.
– Allez !viens dans ta chambre, tu as envie comme moi de baisé. Proclame Abdel en l’aidant à se lever du fauteuil. Elle le regarde droit dans les yeux, et n’y tenant plus, elle recolle ses lèvres sur la bouche de son beau-père.
Ils se roulent une pelle intense. Elle avance son pubis sur la main qui s’est posé dessus.
Aussi excité qu’elle, Abdel l’accompagne dans sa chambre. Il la déshabille entièrement et l’allonge sur le lit.
Dans cet état d’excitation, elle n’a plus la volonté de résister, elle réalise à peine la situation dans laquelle elle se trouve.
A son retour dans la salle à manger, les autres demandent à Abdel.
– Mais, qu’est-ce tu lui as mis dans son verre pour qu’elle se laisse peloter comme ça ?
– C’est la même chose que je mets dans celui d’Anne, ça les excite et affaiblissent leur volonté de résister, elle est totalement à nous.
Loana se branle la chatte dans la chambre. Elle a envie d’une queue, quelle qu’elle soit. La chambre est dans l’obscurité, car Abdel a fermé les volets électriques avant de sortir.
La porte de la chambre s’ouvre et se referme rapidement, sans que Loana, toute à sa masturbation ne s’en aperçoive.
C’est une main, qui se glisse entre ses cuisses, qui la surprend. Elle pense que c’est son beau-père, qui revient pour la baiser.
Il fait très sombre et la main s’insinue entre ses cuisses, qu’elle écarte. Elle le laisse faire. Les doigts glissent sur ses petites lèvres et naturellement, elle écarte plus les jambes.
Son sexe s’humidifie encore, lorsque les doigts se glissent à l’intérieur.
Soudain, elle prend conscience qu’il ne s’agit pas d’Abdel. Elle devrait paniquer, se révolter, mais la bouffée de chaleur qui la submerge est plus forte que tout et elle laisse faire cette main inconnue.
Elle écarte plus largement les cuisses et relève un peu les fesses, offrant son sexe ouvert.
Les doigts s’enhardirent et la pénètrent plus profondément, la faisant gémir de plaisir.
Loana ondule doucement du bassin pour mieux sentir cette pénétration délicieuse.
Les doigts experts titillent en même temps son clitoris et elle sent soudain une onde irradier son ventre. Elle est en train de jouir.
Elle est bouleversée d’avoir autant de plaisir en si peu de temps. Elle reprend doucement ses esprits lorsque qu’elle sent le poids de l’homme s’allonger sur elle. Sa bouche chaude se pose sur son cou dégageant ses cheveux. Loana sent contre les lèvres de sa moule, le sexe dur et gonflé. Elle ne fait rien pour empêcher ce qui va suivre. Un de ses mains guide son sexe dans le sien. La pénétration est lente, mais profonde, son sexe la remplit bien et elle le sent gonflé à l’extrême.
La situation est terriblement excitante et en même temps culpabilisante, car elle n’a pas la volonté de se révolter contre son beau-père. Loana se rend compte que l’homme s’est soulevé sur les coudes, il lui empaume les seins, agace les tétons. Il frappe son pubis contre le sien, elle sent la montée du plaisir. Quand elle lève les bras pour enlacer l’homme, elle peut sentir la sueur même à travers sa chemise. Il a immédiatement pressé son corps sur le sien et il lui chuchote à l’oreille. – Bonne petite pute, tu as vraiment une bonne petite chatte.
Son amant occasionnel commence de lent va-et-vient. Elle colle sa bouche dans le cou de l’homme, afin de ne pas crier son plaisir. Il lui fait l’amour avec beaucoup de douceur, allant et venant en elle sans bestialité, mais avec beaucoup de sensualité. Loana jouit une nouvelle fois avec délice et elle sent le sexe gonfler encore dans son puits d’amour. Alors, dans un râle étouffé, il se vide au fond de sa grotte d’amour. Elle sent son sperme chaud l’inonder, son sexe n’en fini pas d’être secoué par des spasmes.
Il se retire et elle sent les dernières gouttes tomber sur son pubis. Elle contracte son vagin afin de ne pas souiller les draps et de le regretté le lendemain. L’obscurité ne lui permet pas de savoir lequel des quatre hommes l’a baisé et avant même qu’elle puisse lui demander, il a quitté la pièce.
Elle reprend doucement ses esprits et elle se lève pour aller aux toilettes pour tenter d’effacer les traces de ce délicieux avilissement. La maison est plongée dans le noir. Elle reste un moment sur les toilettes, laissant s’écouler le sperme de son amant.
Lorsqu’elle sort, elle entend les voix des hommes dans le salon. Ils chuchotent et elle se demande ? Si ce n’est pas Abdel qui est venu la baiser, alors c’est lequel ?
Elle se recouche sur le lit et sciemment, elle laisse la porte entrouverte, espérant qu’un autre amant viendra éteindre le feu qui lui ravage la moule et sa turbine à chocolat.
Il ne lui faut pas longtemps, pour qu’elle entende les pas de quelqu’un et qu’elle devine la porte s’ouvrir. Une silhouette se glisse dans la chambre. Loana ne bouge pas, le laissant venir. Une main se pose sur sa cheville et remonte doucement le long de sa jambe, en effleurant ma peau.
Les doigts entrent en contact avec son intimité humide, mais ne s’y attardent pas. Ils continuent de remonter vers ses seins jusqu’aux tétons qu’ils pincent. Un doigt vient ensuite se poser sur sa bouche et glisse entre ses lèvres. Elle se met instinctivement à le sucer, mimant une fellation dont elle raffole.
Après plusieurs mouvements, le doigt ressort et c’est alors la sensation d’un sexe chaud qu’elle a sur les lèvres. Elle les ouvre, aspire la queue et se met à sucer cette bite dure et gonflée.
C’est la première fois, qu’elle le fait à un quasi inconnu. Pourtant, elle s’applique tandis que des doigts jouent avec sa moule. C’est une caresse plus brutale, que tout à l’heure, mais qu’elle apprécie tout autant.
Soudain, elle sent deux autres mains lui écarter les jambes. Elle est un peu surprise en constatant qu’ils sont désormais deux dans la chambre. La voix d’Abdel se fait entendre. Elle comprend que c’est sa queue qu’elle a dans sa bouche.
– Comme, tu es une chienne ? Laisses-toi faire, tu vas adorer.
Elle se donne un peu tandis, qu’une bouche vient de se poser sur a moule, C’est terriblement excitant et elle se remet à sucer avec avidité le sexe de son beau-père.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, Abdel propose d’inverser les rôles. Une nouvelle queue se présente à sa bouche, tandis que son beau-père s’installe entre ses cuisses. Il la pénètre et entame un va-et-vient. Instinctivement ses muscles vaginaux enserrent l’envahisseur, plongeant Loana dans la honte. Alors que son beau-père va-et-vient langoureusement dans sa grotte embrasée.
Elle ne peut empêcher ses jambes de la trahir, se verrouillant dans son dos.
– NOONONO ! ONONON ! RONRONRON ! Elle cherche à excuser la trahison de son corps. A présent, elle râle au travers de ses dents serrées, suivant le rythme de ses coups de boutoir. Alors, qu’elle sombre dans un orgasme qu’elle refuse, perdant toute notion du temps.
Loana le sent baver dans son cou, sous l’oreille. Elle se sent rassurée. Elle a un nouvel orgasme très rapidement sous ses coups de reins puissants. Il jouit peu de temps après et un autre le remplace.
Loana essaye de se concentrer sur la manière de procéder. Cette queue est différente, pas pareil. Celui-là a un curieux mouvement du bassin, il décrit des cercles en entrant et en sortant. Il la pénètre et ressort droit, rectiligne comme un piston de locomotive.
Il jouit à son tour, mélangeant son sperme à celui de son beau-père.
Il se retire et la laisse ainsi, cuisses, largement ouvertes, du sperme s’écoulant de mon sexe et souillant les draps.
Ensuite, un autre prend la place. Le nouveau venu est bien raide. Loana le sait, car il dilate sa moule et ses lèvres enserrent le membre conquérant. Ce membre ressemble à celui de son frère, mais il est légèrement différent. La raideur continue à se mouvoir dans sa grotte, lentement, mais avec un sentiment de maîtrise totale sur elle. Julie ferme les yeux et se concentre sur la bite, qui la pénètre, qui se retire. Encore et encore. C’est plutôt bien, mais elle est si fatiguée.
Qui est-il ? Pendant qu’elle se pose la question, sa respiration devient plus rapide. Il augmente l’amplitude de ses coups de boutoir, elle sent sa bite taper au fond de sa grotte. Elle lui semble plus grande, plus grosse que celle de son frère. Le martèlement continue, elle ferme les yeux, elle essaye d’augmenter son plaisir en serrant sa moule pour lui.
Ses jets puissants frappent le fond de son puits d’amour, l’inondant de sperme chaud. Sa respiration a ralenti et ses hanches ont cessé de bouger. Il est repu.
Il est couché sur elle de tout son poids, elle peut sentir la rudesse de son visage dans son cou.
Son membre rétrécit à présent. Elle est bien, elle a bien joui, elle s’assoupit, heureuse.
Celui qui vient de la sortir de ses brumes est bien différent cette fois. Il n’a pas de chemise et sa peau est sèche au toucher. Allongé sur elle, il pousse son gland contre sa moule, écarte les lèvres, cette queue semble être encore beaucoup plus grosse.
Malgré l’humidité laissée dans son puits d’amour par les dernières visites, il a du mal à le pénétrer. Dans son excitation, elle ouvre les jambes plus largement pour faciliter l’introduction. Sa bouche s’ouvre pour prendre plus d’air. Elle se dit :
Je suis trempée et relâchée. Pourquoi est-ce douloureux ? Qui ça peut être avec une queue aussi grosse.
Cet homme ne se rend-il pas compte qu’il est trop volumineux pour elle ?
L’homme bouge ses hanches avec un rythme régulier maintenant. Pénètre plus profondément dans son puits d’amour à chaque coup de bassin. Elle s’ouvre lentement, douloureusement, elle le laisse prendre possession de son ventre. Plus loin, plus profond, il va y arriver bientôt. Son pubis contre le sien. Il y est enfin arrivé au fond. Il la remplit et lui l’écarte bien sa grotte. Ses hanches bougent différemment de celles des autres.
A début, c’est un peu douloureux, envahissant. Mais la magie opère, elle transforme la douleur en plaisir. Loana veut lui parler, exprimer son plaisir, au lieu de cela, elle garde la bouche fermée, elle étouffe son plaisir.
L’homme déplace son corps, ajuste son poids côté gauche. Utilise sa main libre, il lui caresse les seins, les presse alternativement, agace les tétons. Il pompe lentement, négligemment, utilise toute la longueur de sa bite, ressort presque totalement, pour revenir l’instant suivant heurter le fond de sa grotte. Il la baise à la paresseuse, c’est l’étrange plaisir d’être détendue et d’être pénétrée profondément, et ça continue indéfiniment, alors elle recommence à jouir.
Elle veut lui crier son plaisir, mais elle s’efforce d’atténuer ses râles de jouissances.
Il suce ses tétons. Ils sont si durs et si sensibles. Il sait bien comment l’exciter. Elle clame. – Oh ! OUI !Baise-moi ! Oh oui, baise-moi fort !
Loana veut lever ses jambes pour ceinturer la taille de l’homme qui la possède, mais le drap la gêne et ses jambes sont faibles. Ensuite, il déplace son corps et s’étend de tout son poids sur le sien. Il la pénètre profondément, il commence à travailler des hanches dans un mouvement circulaire.
C’est un homme différent. Il utilise de meilleures techniques, il est merveilleusement puissant et il lui procure un meilleur plaisir qu’elle n’a jamais ressenti. Un orgasme rêveur la maintient entre ciel et terre.
– OH ! Toi ! tu sais vraiment bien comment me faire jouir. Tu es merveilleux !
Un peu plus tard, Loana redescend de son formidable orgasme. Elle ouvre les yeux, l’étranger est toujours là, couché sur elle, l’écrasant de toute sa masse. Il ne bouge presque pas, la caressant juste.
La queue dans son puits d’amour lui semble encore énorme, même avec toute l’humidité, qu’elle peut sentir autour d’elle. Elle a eu un orgasme en continu.
Leurs deux corps sont en sueur. Même en semi-érection, il reste énorme. A-t-il eu un orgasme et éjaculé au fond de son puits d’amour ?
Faiblement, elle commence à bouger ses hanches, essayant de reproduire les sensations, pour voir si les merveilleux orgasmes ont bien été réels.
Elle reste discrète, même en jouissant, car elle sait que c’est un coup monté par son beau-père. Elle ne veut pas qu’il l’entende jouir et qu’il sache qu’elle adore ce genre de baise. Lorsqu’elle commence à bouger sous lui, l’homme pense qu’elle en veut encore, stimulée et avide de baiser encore. Instantanément, il recommence à travailler dans sa grotte vers son prochain orgasme.
Ses seins sont triturés et embrassés. Le pompage continue sur le même rythme, encore et encore. Il utilise toujours la même technique. De longs coups lents, profonds, il sort presque entièrement de sa moule et replonge au plus profond, heurtant le col de son utérus. Il a une rotation circulaire du bassin qui fait frotter les pubis l’un contre l’autre. C’est de bons coups, longs, lents et bons. Il utilise toute la longueur de sa queue et toute la profondeur de son puits d’amour.
Elle râle de plaisir et peut sentir ses lèvres s’accrocher très étroitement à la queue qui la pilonne. Elle tente de lever ses jambes, et son sensuel amant l’aide en les soulevant et en les bloquant avec ses bras derrière ses genoux. La caresse de son énorme braquemart résonne, à présent dans tout son bas-ventre, elle commence à râler langoureusement.
– Oh la pute ! Tu es vraiment bonne !
Il parle d’une belle voix, profonde et masculine. Soudain, elle sent le corps de l’homme trembler, palpiter, de puissants jets de sperme inonde son puits d’amour.
Elle réalise enfin qu’un étranger vient de jouir et d’éjaculer en elle, sans préservatif, l’inondant du jus à faire des bébés. Elle devient terrorisée. Respirant puissamment, il continue de s’épandre en elle et son volume l’étire. Il est trop tard pour s’inquiéter d’une grossesse.
Cette chaleur vaginale déclenche un énorme orgasme qui l’envoie au septième ciel. Alors, elle désire qu’il continue, elle serre l’homme dans ses bras. Elle a repoussé le drap et ses jambes sont encore accrochées autour de lui, tandis qu’il les tient dans ses bras.
Dans les brumes de son orgasme, Loana entend la voix d’Abdel et la lumière s’allume – Putain, Karim, avec ses pattes en l’air comme ça, on peut voir sa moule ouverte et distendue par ton énorme queue ? Avec la lumière, tu dois voir à quoi ressemble sa chatte avec ton gros gourdin planté dedans ?
– Peux-tu faire quelques photos comme avec Anne ?
– OK, lève-toi un peu plus haut sur tes genoux (Clic, clac) Maintenant, penche-toi que ça lui donne un angle (Clic, clac) C’est ça, fais lui vraiment gonfler la chatte.(Clic, clac)
– Attend ! je sors ma bite de là et fais une photo de sa chatte ouverte avant qu’elle ne se referme.
– Ça y est, soulève-toi un peu, ta bite bloque la vue de sa chatte (Clic, clac)
Ensuite, elle entend la voix dire dans un rire. – Rien qu’avec les photos, elle va me rapporter du blé cette petite pute !
Elle est horrifiée par ses propos, et il continue de parler.
– J’ai fait une erreur en te laissant te joindre à moi pour baiser cette chienne. J’ai cru que tu ne la lâcherais jamais. Je te laisse encore une demi-heure avec elle, après, tu dégages !
Karim lui attrape ses jambes par-derrière les genoux, qu’il pose sur ses épaules. Cela a pour effet de soulever le bassin de Loana.
– Trente minutes de plus, c’est plus que suffisant ! Hein ? Ma belle. Il glisse ses mains sous ses fesses. Il dirige sa queue encore raide, enrobée de sperme et de sécrétions, contre la petite porte arrière des reins de Loana.
Il pousse sa queue à l’intérieur de son boyau.
Même si un étranger. Il s’y prend merveilleux bien, Julie se sent en sécurité. Pelotonnée dans les bras puissants, couverte par cet homme aux muscles épais, avec un sexe énorme qui lui dilate l’anus. Il la sodomise tranquillement, sa queue coulisse à merveille dans son boyau.
Il n’est pas vraiment encore bien raide, pourtant, même en semi-érection, elle le sent imposant.
Dans cette position de soumission, elle est obligée d’accepter tout ce que son amant veut lui faire subir. Rapidement, son rectum se moule à l’engin qui le visite, à présent tout l’inconfort a disparu. Il est parfait, il la remplit merveilleusement jusqu’à la limite, la lubrification de leur jouissance, lui permet de glisser dans un mouvement sans heurt.
Inévitablement, tous ses sens sont attentifs. Son anus lui renvoie des ondes sensuelles de plaisir.
Heureuse, elle enveloppe ses bras autour de Karim son amant et l’embrasse dans le cou.
Son tendre baiser semble l’encourager. Il pose ses lèvres sur les siennes. Elle essaye de répondre, elle enroule sa langue autour de la sienne. Le baiser le motive. Il est plus gros et plus dur.
Son trou de balle est distendu et martelé, c’est divin. Les bords sont étirés comme avec Polux, les coups de queue transmettent avec reconnaissance les vibrations à son clitoris.
Elle sent grossir la vague de l’orgasme. Un tsunami ! Mais ce n’est pas fini. Dans son boyau accueillant ce membre merveilleux, qui est toujours en train de la poignarder. Elle est surprise, quand un autre orgasme puissant déferle. Il la draine, vide sa tête, épuise ses forces.
Elle se libère, c’est son meilleur orgasme de la soirée.
Prépare-toi à cette dernière salve, ma belle, je vais te remplir le ventre de mon jus !
Après cela, la merveilleuse queue continue son travail, mais elle est trop fatiguée pour jouir à nouveau. C’est tellement merveilleux. Elle flotte dans un nirvana nébuleux, le cerveau grisé de bonheur, l’anus défoncé par un marteau-pilon fracassant. Heureuse, elle enlace cet homme, le serre fort contre elle, jusqu’à ce qu’elle reçoive une décharge de chaleur dans ses entrailles.
Elle réalise que tout est humide et visqueux, son vagin est distendu, ainsi que son trou de balle et le lit sous elle aussi. Heureuse et fatiguée, elle s’endort rapidement.
Après un moment, la porte se referme et la pièce redevient sombre.
Le lendemain au réveil, elle regarde l’heure, il n’est pas loin de midi. Elle s’enveloppe dans le drap et va directement dans la salle de bain pour prendre une douche. Elle fait couler l’eau et se glisse dessous, nettoyant toutes les traces de ses ébats de la soirée.
Elle s’enroule dans une serviette et sort de la pièce. Elle tombe alors nez à nez avec son beau-père. Il la pousse gentiment à l’intérieur.
– Alors, tu as passé une bonne nuit ? Lui demande-t-il avec un large sourire
– Oh, oui, merci.
– Mes potes m’ont dit, que tu es une sacrée baiseuse. Que tu es une bonne petite pute, alors tu es à moi à présent. Tu baiseras avec qui je veux, tu seras ma pute, comme ta mère.
Ainsi, elle a eu des rapports avec les trois autres collègues.
Loana fait mine de ne pas comprendre et tente de sortir en l’évitant, mais il attrape la serviette et l’arrache, dévoilant son corps nu.
– Choufe ! ce que t’es bandante. Clame Abdel en la plaquant contre le mur.
Elle le prévient qu’elle va crier et appeler sa mère, cependant cela ne le stoppe pas.
– Vas-y fais-le, elle sait que tu t’es faite sauter toute la soirée, par mes trois collègues !
Loana est coincée. Il s’enhardit fort de son pouvoir sur elle. Ses mains glissent sur ses seins, qu’il malaxe et embrasse, ses mains descendent, alors sur son sexe. Ses doigts experts la pénètrent et elle s’abandonne dans ses bras.
– Allez ? Montre-moi que tu es une bonne petite pute ma belle, viens me sucer ! Loana s’agenouille et débraguette Abdel pour sortir sa queue en semi-érection. Elle la prend du bout des lèvres dans sa bouche, elle commence à le branler de sa main.
– Profites-en, salope, pompe-moi bien à fond, avale mon jus, fais-toi plaisir, petite pute !
Abdel l’encourage et elle commence à le sucer profondément.
Elle se résigne et commence une fellation torride sur sa queue déjà bien grosse et dure. Elle y prend rapidement du plaisir et s’applique sur ce morceau de choix.
Rapidement, sa queue est complètement dure, il commence à gémir pendant qu’elle le suce.
Soudain, Anne vient d’apparaître à l’entrée de la salle de bain. Loane à genoux devant son beau-père ne la voit pas.
– T’as vu ça ? Ta fille me suce la queue avec entrain ! Elle est aussi salope que toi ! Je te l’ai bien dit que c’est une chaude, la meilleure, après toi, qu’on ait baisée. Elle m’a dit aussi, que ma bite est beaucoup plus grosse que celle de son frère et qu’elle a eu beaucoup plus de plaisir avec la mienne.
Soudain, Abdel la saisit par les cheveux, commence à se répandre au fond de sa gorge. Ensuite, il lui tire la tête en arrière, sortant de sa bouche accueillante, pour faire jaillir son sperme sur son visage et sur ses seins.
Il se tourne vers Anne. La voix d’Abdel se fait cruelle tandis qu’Anne franchit le seuil de la pièce.
– Nettoie ! avec ta langue, le visage et les seins de ta fille.
Anna s’agenouille devant sa fille.
– Est-ce que c’était bon, ma fille ? Roucoule-t-elle. Loana se sent dégradée, mais en même temps, elle sent une humidité envahir sa grotte.
Anna lèche d’abord les seins maculés de sa fille et elle constate, que ses seins s’affermissent et que les tétons bandent. Sa fille aime la lèche de sa mère sur ses seins.
Ensuite, elle lui lèche le front, les joues, le nez. Arrivé au menton.
Loana approche ses lèvres de celles de sa mère. A ce contact, elle ouvre la bouche et laisse sa fille plonger sa langue entre ses lèvres.
Les deux bouches s’embrassent et c’est avec une joie perverse, qu’elle vient glisser sa langue entre leurs lèvres.
Elles s’embrassent avec fougue, leurs gémissements s’étouffent au fond de leurs gorges. Sentant qu’à présent, elle ne pourra plus faire machine arrière, Loana interrompt leur baiser pour lui dire dans un souffle.
– Maman ? Il va faire de moi une pute comme toi qu’il a dit ! – Oui ! Ma fille et tu y trouveras aussi du plaisir, comme moi.
Cela dit, elles réunissent leurs lèvres pour un baiser fougueux. Anne en profite pour caresser sa fille. Elle plonge une main entre ses cuisses, qu’elle écarte au contact des doigts.
Elle branle sa fille. Au début, elle est hésitante, mais il l’implore d’enfoncer un doigt, puis deux, puis trois profondément à l’intérieur de sa grotte d’amour. Loana sent l’orgasme gronder. Elle aspire la langue de sa mère dans sa bouche. Elle étouffe son orgasme dans la gorge de sa mère.
Sous le regard d’Abdel, nues allongées dans la salle de bain, elles ont fini par se donner du plaisir dans un soixante-neuf terrible.
Allongées dans la salle de bain, épuisées de plaisir toutes les deux, Anne interroge Loana sa fille.
– Tu as déjà vu ton frère tout nu ?
– Oui, maman.
– Et comment tu peux comparer la queue de ton frère à celle d’Abdel ?
– Euh ?
– Tu as déjà fait l’amour avec ton frère ? Dit-moi tous ma fille ?
Loana hésite un peu et puis se lâche.
– Oui ! Maman ! Je suis sa soumise. Il m’a tous appris sur le sexe. Il m’a défloré lorsque j’étais inconsolable à la mort de papa. Depuis, il fait tout ce qu’il veut de mon corps. Il me fait jouir intensément, j’ai de nombreux orgasmes avec lui. Je l’aime ! Maman. Je suis à lui ! – Mais que veut faire avec moi Abdel ? Il m’a dit que je serais sa pute comme toi ?
– Écoute, ma fille. Je t’ai déjà raconté, ce qu’il a fait de moi depuis que nous sommes ensemble. Et depuis qu’il t’a surpris avec Harpo. Il veut te faire la même chose, qu’il a fait avec moi. Tu seras aussi sa Kahba comme ils disent au bled.
Sam Botte
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