LOANA BASCULE DANS LA SOUMISSION
Un peu plus d’une semaine est passée, après ce réveil matinal inhabituel. La journée de travail qui suivit lui parait interminable, il faut dire qu’elle l’esprit ailleurs. Depuis le temps aidant, elle arrive à y penser de moins en moins. Même si honteusement, elle y pense parfois, lorsqu’elle a fait l’amour avec Abdel et ses trois compères. Elle essaie alors de se l’enlever immédiatement de l’esprit, mais le souvenir reste encore tenace.
Loana sort tranquillement de son job d’été. Il fait beau, elle se balade un peu avant de rentrer. Elle croise Karim sans vraiment le voir.
– Bonsoir Loana.
– Oh ? Bonsoir, heu ?
– Karim !
– Bien, tu te balades aussi ?
– Non, je suis avec des copains, on est en train de boire un coup au café, au coin là-bas. On t’attendait.
Loana est surprise de le rencontrer là.
– Tu m’attendais, pourquoi ? Je rentre chez moi, maintenant.
– Tu ne veux pas venir boire un petit coup avec nous ?
– Oh, non ! Je dois rentrer, ma mère m’attend.
– Abdel m’a dit que tu serais contente de venir, si je te le demandais !
Elle sent le piège arriver. – Je suis avec deux copains, je leur ai beaucoup parlé de toi, depuis l’autre jour avec Abdel.
– Quoi ? Tu leur as dit quoi ?
– Ben, ce qui c’est passé, que tu es très jolie et même que tu baises bien.
– Salaud ! C’est Abdel qui m’y a obligée ! A faire, ce que j’ai fait ! Laisse-moi, je suis pressé.
Au nom d’Abdel prononcé, elle sait que le piège se referme sur elle.
– Bon, je dirais à ton père que tu ne veux pas le faire avec nous, il sera fâché, tu le connais.
– Quoi ! Mais, tu me fais du chantage !
– Oh, non ! Mais, C’est Abdel qui m’a dit que c’est toi qui remplaces ta mère. Mes amis nous attendent, je leur ai dit, que je venais te chercher et tu ferais tout ce que je te demanderais.
Loana, se rencontre que son beau père a mis ses menaces à exécution.
– Allez, vient, mes potes sont sympas !
– Tu leur as dit tout, ce que vous m’avez fait faire l’autre jour ?
– Ben oui, c’était tellement excitant ! J’y ai pensé plusieurs fois. Depuis j’ai toujours envie de le refaire avec toi.
– Bon ? Tu viens ou je téléphone à Abdel, que tu refuses de remplacer ta mère ?
– Tu te rends compte de ce que tu me demandes ? Je n’ai jamais fait ça, j’ai trop honte.
– Mais non, ne t’en fais pas ? Comme c’est la première fois que tu remplaces ta mère. On va être plus cool avec toi.
– D’accord ! Mais, tu me jures de ne pas parler de l’autre jour, hein ?
– D’accord, mais, dites-moi ? Tu n’as pas de soutien gorge ? Alors, déboutonne encore un bouton du haut et du bas de ta robe, pour être plus sexy encore et exciter mes potes.
Loana n’en peut plus. Elle doit se livrer à Karim. Pourtant, il l’avait bien fait jouir l’autre fois.
Elle s’exécute.
– Voilà ! Tu es content ?
– Tu as de jolies jambes. Je vais t’appeler Loana ? C’est mieux que pute pour toi ; tu m’as bien fait jouir l’autre jour, malgré tout ! Regarde mon pantalon et l’effet que cela me fait d’apercevoir les pointes de tes seins en marchant.
– Arrête, tu veux me faire passer pourquoi ? Ce n’est pas très sympathique !
– Tiens regarde ! on arrive, mes potes nous ont aperçus. Il faut aussi que tu sois gentille avec mes potes, sinon ?
Les deux jeunes africains, assis à la terrasse du café ne sont guère plus âgés que Karim. Elle remarque tout de suite, que leurs yeux ne perdent pas de temps, pour plonger dans son décolleté ou mater ses jambes. Elle sent bien qu’elle a le feu aux joues et que cela doit se voir. Elle a beau se répéter que c’est Abdel qui l’oblige à faire ça. Ils la détaillent, la déshabille du regard sans vergogne. On lui propose une chaise dégagée de la table, comme pour mieux l’observer, lui mater les cuisses. Elle est vraiment mal à l’aise, mais sent une sourde excitation poindre dans son ventre.
– Salut ! disent-ils en chœur, avec un sourire irrespectueux.
– Bonjour ! Dit-elle, avec un ton de lasitude.
– Loana, tu ne portes une culotte aujourd’hui ? Mes potes ne veulent pas croire, ce que je leur ai raconté, on a fait un pari et je ne veux pas le perdre. Proclame Karim
Loana regarde rapidement autour d’elle en espérant que personne n’a entendu la question. – Bien-sûr que j’en porte une, car je travaillais aujourd’hui.
En conquérant, les doigts de Karim s’attaquent aux boutons de sa robe.
– Qu’est-ce que tu fais, enlève tes mains de là, je t’en supplie. Tout le monde nous regarde !
– Montre-nous tes seins, un petit peu. Laisse-moi faire. Alors les mecs, elle a de beaux nichons, pas vrai, la fille de mon collègue ?
– Arrête ! enlève tes mains, Karim, lâche mes mains, laisse ma robe en place.
– C’est exact, elle a un string bleu, vous avez vu ?
– Ouais ! Terrible, elle n’a poils à la chatte. Tu avais raison Karim.
Karim lui maintient les cuisses écartées.
Loana se rebelle.
– Ah, non pas de photo, arrêtez ! Pas de photos !
– Bon ! Loana ! tu vas aller aux toilettes chez les hommes et laisser la porte ouverte ! Tu enlèves ton string et ouvre complètement ta robe et attend assise sur la lunette des chiottes. Allez, va, je suis sûr que tu ne veux pas que je téléphone à Abdel ?
– Et si quelqu’un entre ?
– Tu lui fais un sourire et il profitera du spectacle. Avoue que tu aimes, qu’on te mate hein ? Tu ne peux plus reculer, détends-toi, ça va aller !
Loana hésite sur la marche à suivre. Pourtant, elle redoute la réaction d’Abdel à la connaissance de son refus. – Bon, tu y vas sinon ? Je téléphone. Dit-il en le brandissant.
Soumise, Loane se lève de sa chaise.
– Ca y est, les gars, je vous l’avais dit, la machine sexe se met en branle. Allez, on y va, on va voir si elle obéit.
Elle rentre dans le chiotte le plus propre. Karim et ses copains sont groupés devant.
– Parfait, tu es une bonne pute hein ? Ouvre te robe et donne-moi ton string, tu ne vas plus en avoir besoin. Tu vas commencer par me sucer la queue.
– PFFFFFFFF !
– Reste assise sur les toilettes et écarte bien les cuisses qu’on te voit la chatte. Elle mouille les gars, avant même qu’on la baise. Tiens, prends ma queue, elle bande pour toi, Loana !
Loana, avance son visage et gobe la queue de Karim. Elle l’aspire, la suce. Tout en se disant intérieurement : Mon dieu comment suis-je tombée si bas ?
– Allez, suce, aspire, prend mes couilles dans tes mains et joue avec, comme l’autre fois chez toi.
Le Karim ne tient pas bien longtemps.
– ARRFF ! je viens, je vais juter, tiens prend ça la pute, avale le tout. Nettoie bien ma queue maintenant, je ne veux pas salir mon caleçon. Loana avale la purée de Karim, nettoie avec sa bouche, sa queue qui ramollit dans sa gorge. – A toi Malik ! Proclame Karim, rangeant sa queue.
Malik a déjà sorti sa queue, elle est plus imposante que celle de Karim – Lève-toi la pute, qui aime se faire baiser ! Dis-le tout haut que tu as envie de ma queue.
– Tais-toi et prends-moi et finissons-en.
– Non, je veux que tu me demandes de te baiser, je veux que tu te soumettes à ma bite.
– Oui, oui, prends-moi, baise-moi, enfile-moi, défonce-moi !
Le Malik est scotché par la rétorque. – Oh ! je n’en demandais pas tant. Tourne-toi et cambre ton cul de salope. Elle se lève du chiotte, se tourne et pose ses mains sur le réservoir d’eau. Il soulève sa robe et la roule dans le cou et sur les épaules de Loana. – Tiens ! voilà ma bite et je vais faire rougir, ta chatte de pute blanche. Tu la sens hein, il te ramone bien l’africain. Eh ! elle mouille, c’est une vraie fontaine cette pute les mecs. Ma bite glisse toute seule. Je vais jouir, tu vas sentir mon jus d’africain te remplir le ventre, Blanchette ! Mais ? Elle jouit là, il te fait jouir l’africain. Ça y est ! les mecs, elle est chaude cette pouffiasse. Oui ! je viens ! Tiens prend ça !
Loana jouit aussi en étouffant ses râles de plaisir. Malik courbé sur son dos empoigne ses seins et les malaxe au rythme de sa jouissance. Il reste un moment ainsi, le temps de reprendre son souffle.
Derrière lui, Abdou lui tape sur l’épaule et clame. – A moi, maintenant qu’elle est bien chaude. Moi, je vais l’enculer la pute. Lève bien ton cul. Et demande-moi de t’enculer, je veux t’entendre.
– Oh ! Oui, bien sûr, tu peux m’enculer, encule-moi avec ta grosse queue. Je suis ta pute.
Il présente sa queue à l’entrée des reins de Loana. Dans un sursaut de prudence, il enfonce sa queue dans la grotte ruisselante du jus de Malik. Après deux, trois va-et-vient et qu’il a bien graissé sa queue, il l’enfonce dans le trou de balle de Loana en proclamant. – Elle est étroite, elle ne doit pas encore donner souvent son trou du cul. Pousse ma belle, ouvre-toi bien pour recevoir mon gourdin. Ça y est il entre, je m’enfonce.
Loana grimace un peu sous la légère douleur de l’introduction du braquemart. – Doucement, tu me fais mal, doucement ! Elle est grosse ! Ça fait un peu mal, allez enfonce-la, défonce-moi ? Je veux aussi jouir.
– Tiens salope, la voilà ma queue, tu la sens bien au fond de ton cul blanc. Abdou entame un va-et-vient infernale. Il s’accroche à ses hanches et la tire sur sa queue, pour ensuite, la repousser. Il lui fait faire le va-et-vient sur sa queue. Lui reste statique, car elle vient d’elle même s’enculer sur sa queue.
Il pousse un gros râle de plaisir. – OH ! RROOR ! oui, je viens, c’est bon, tiens prend mon foutre dans ton cul !
Soudain ! Une voie forte rompt la jouissance des deux protagonistes.
– Qu’est-ce qui se passe ici ? Qu’est-ce que vous faites ? bande de cons
– C’est une salope de bourgeoise qui se fait ramoner le cul ? patron. Elle est d’accord, écoute comment elle gémit cette salope. Tu veux la baiser aussi ? Elle ne demande que ça.
– C’est vrai qu’elle a un bien joli cul. Et en plus, vous filmez la scène ? Vous êtes vraiment des salauds. Je vais aussi me la faire, mais pas de photos avec moi d’accord. Vous l’avez baisée sans capotes ?
– Nous sommes tous clean.
– Alors pousse-toi, c’est à moi à présent.
Loana, inquiète de sa situation d’être à la disposition de n’importe qui, geint. – Non ! Je n’en veux plus, laissez-moi partir, s’il vous plaît. Le patron veut profiter de l’aubaine.
– Sûrement pas, je veux en profiter moi aussi, de tes nichons et de ton cul de salope. Putain quels nichons, ils sont bien fermes et ils pointent durs les gars ! Elle est en chaleur votre copine. Je vais aussi lui prendre le cul. Allez pouffiasse, tend ton cul, tes reins, tes fesses. Elle est toute dilatée ta rondelle !
Le patron se tourne vers Abdou. – Tu me l’as bien préparée, j’entre comme dans une chatte. Elle est bonne les gars merci de l’aubaine. Allez pouffiasse, remue ton cul sur ma bite, je sens, que je vais jouir, finir de te remplir le ventre. OUOUIIII ! JE JOUIII ! Putain qu’elle est bonne ! Oh ? Toi aussi ? Tu jouis salope ! je le sens bien. Dis-le, dis-le-moi.
– Oui, que c’est bon, je vous sens bien ! allez bien au fond, remplis-moi de ton jus ! vas-y encore, encore, OOH ! OUOUIII ! Je jouis ! Mon dieu, je deviens folle. Bourrez-moi, encore, encore.
Le patron s’agrippe à ses hanches et son ventre écrase les fesses de Loana. – Tiens salope ! Prend ça ! Pouffiasse ! Tiens ! Tiens.
Le patron se vide collé aux fesses de Loana. Sa robe est passée par-dessus sa tête. Elle ne voit pas qu’un serveur est venu voir ce que faisait son patron. Qui lui fait signe de ne pas faire trop de bruit.
Il le fait se mettre à côté de lui la queue à la main.
Le patron se met légèrement de travers toujours collé aux fesses de Loana. Il sort sa queue du fondement de Loana, qui malheureusement pousse un râle de dépit.
– Tu veux que je t’en remets une cartouche ma belle ? Dans un grognement, elle remue la tête en signe d’approbation.
Subrepticement, il retire sa queue du cul de Loana, et le serveur l’embroche à son tour. Il entame tout de suite, un va-et-vient. Elle recommence à jouir tout de suite. Heureux de sa réaction, le serveur s’accroche à ses hanches et la sodomise sous le regard des quatre spectateurs.
– Oh ! OUUIII ! Votre queue est toujours aussi raide.
Le serveur l’encule avec frénésie, il lui martèle les fesses à grands coups de reins.
Elle recommence à jouir bruyamment. Le serveur lui aussi jouit en vociférant.
– Elle est bonne cette salope ! Merci patron.
Soudain, Loana se relève d’un coup, rejetant la queue qui jouit dans son boyau. Elle se retourne furieuse qu’elle ait été dupée.
– Salaud ! Salaud ! Je ne suis pas une pute !
– OH ! Ta gueule salope ! Tu jouissais avec lui aussi ! Lui crie le patron.
Loana regarde les cinq bonhommes devant l’entrée du chiotte. Comme, elle sent son ventre gargouiller, elle s’assoit sur la cuvette du chiotte.
– Allez salope, on te laisse retourner chez toi et reviens quand tu veux, tu auras toujours une bite pour défoncer ton joli cul.
Sûr ces belles paroles, ils sortent tous des toilettes hommes en laissant Loana qui vide son ventre dans la cuvette en chouinant d’avoir été trompé par le patron. C’est dépité et nue sous sa robe, qu’elle rentre prendre une bonne douche chez elle.
Sam Botte
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