Chapitre 11
Florent regardait pensif comme Gregory portait ses affaires à sa chambre de dortoir. Sa détermination à confronter sa femme et son fils au sujet de leur incestueuse liaison a vacillé. Son dégoût et sa rage de la nuit précédente étaient toujours là, mais ses craintes lancinantes aussi.
Il y avait des considérations pratiques. Si ça se savait, le scandale détruirait ses affaires. Il pouvait imaginer les ricanements dans le dos de ses associés et concurrents, Florent le cocu, Florent dont la femme s’est tournée vers son fils pour ce que son mari ne pouvait lui donner !
Ensuite, il y a eu les ramifications juridiques. L’inceste était illégal. Christine et Gregory iraient en prison ? Qu’est-ce qu’il craignait ? La loi pouvait décider qu’il le savait et le tolérait. Putain de bordel de merde ! Des visions de scandale, de ruine et peut-être de prison ont traversé son cerveau enfiévré.
Puis il y a eu une peur viscérale du rejet. Et s’il s’était confronté à l’un d’eux ou aux deux et qu’ils s’étaient choisis l’un l’autre ? Son ventre a fait un saut périlleux à l’approche. Pourquoi ma bite est dure ?
Alors qu’ils transportaient les affaires de Gregory dans sa chambre de dortoir, il remarqua que Christine et Gregory semblaient entrer en collision plus qu’il n’était nécessaire. Malgré la foule, il lui a semblé qu’ils finissaient toujours près l’un de l’autre.
Normalement, il rejetterait ses soupçons comme de la paranoïa. Il paraphrasait lamentablement la vieille blague dans son esprit : ce n’est pas de la paranoïa que de les voir se livrer au sexe oral.
Florent n’était pas habitué à une activité intense, surtout dans cette chaleur accablante. Il s’est senti un peu faible. Ses genoux refusaient de le tenir. Il a vu un banc en béton juste à l’extérieur du dortoir de Gregory. Il a fait tomber sa charpente bien dodue. Il a nettoyé la sueur que ses efforts avaient produite.
« Florent, ça va ? »
Il a regardé le visage inquiet de Christine.
« Je vais bien. J’ai juste besoin de souffler un peu ! »
« Eh bien, vas-y doucement. Gregory et moi pouvons finir ça ! »
Il a acquiescé d’un signe de tête. Elle lui caressa affectueusement la joue. Elle s’est tournée et a continué vers le camping-car. Florent savait que Gregory était parti par là un instant auparavant. S’il la suivait maintenant, les verrait-il à nouveau le faire cocu ?
Il s’est secoué mentalement. Il avait besoin de se ressaisir. Son estomac lui faisait mal à cause de son anxiété. Il ferait mieux de trouver des antiacides.
Il se leva et se dirigea vers le camping-car. Alors qu’il s’approchait, il pouvait les entendre bavarder. Devrait-il annoncer son arrivée ?
Chapitre 12
Gregory et Christine étaient une étude sur les émotions mixtes. Il y avait de l’exaltation à l’entrée à l’université et une nouvelle phase dans leur vie à tous les deux. Il y avait de la tristesse à l’idée qu’ils n’auraient plus l’accès presque illimité qu’ils avaient l’un à l’autre.
Christine, malgré sa résistance initiale, aimait l’exubérance pure et simple que son fils apportait au sexe. Sa jeunesse et sa virilité signifiaient qu’il avait un désir sexuel presque insatiable. Elle pensait tristement que l’exubérance signifiait que parfois sa chatte était tendre pendant des jours.
Une pensée errante l’a harcelée. Elle avait besoin de reprendre la pilule. Sa main s’est égarée vers son abdomen. Elle s’est révélée en sentant la graine de Gregory éclabousser son utérus. Elle frissonnait délicieusement en pensant aux millions de nageurs dont son fils l’avait comblée. Cependant, elle devait se prémunir contre une grossesse désastreuse.
Elle en était venue à aimer l’exaltation de l’arrêt cardiaque, la spontanéité du sexe illicite. Le risque d’exposition augmentait cette exaltation. On n’avait pas le temps pour les subtilités des préservatifs.
Son rythme cardiaque s’est accéléré. Une fine lueur de sueur est apparue sur sa lèvre supérieure alors qu’elle se souvenait de certaines de leurs évasions étroites. Christine se secoua pour sortir de sa rêverie. Elle a senti le désordre trempé de sa culotte entre ses jambes. Elle se sentait délicieusement vicieuse en retournant vers le camping-car. Combien de femmes de 45 ans avaient des amants de 18 ans ? Combien de femmes avaient baisé leur fils sur un avion de ligne ?
Ce sexe était incroyable. La proximité des autres passagers et des hôtesses de l’air l’a rendue plus excitée qu’elle ne l’avait jamais été dans sa vie. Puis pour découvrir que c’est son fils, son fils de 18 ans, qui l’a baisée. Christine pensait que ses jambes ne pouvaient plus la retenir, car elle se souvenait d’avoir tiré la couverture en arrière et vu que c’était Gregory. Un mini orgasme l’a amenée à faire une pause dans son voyage de retour au camping-car.
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