La route était longue
La route était longue et nous étions partis en pleine nuit.
Nous voulions arriver assez tôt et avions donc choisi de rouler de nuit pour pouvoir profiter au maximum de ce premier week-end en amoureux depuis bien des années.
Il était presque 6 heures et il était temps pour moi de faire une pause : un passage aux toilettes, un café et un peu de marche pour me dégourdir les jambes. Brigitte avait allongé son siège depuis une bonne heure et semblait profiter de son séjour dans les bras de Morphée.
Brigitte c’est ma femme. Nous sommes un couple de quadras aux liens amoureux extrêmes.
Je suis plutôt grand et bien bâti, même si la brioche a remplacé le chocolat au niveau du ventre, Brigitte trouve ça plus confortable et ça me fait du bien de savoir que les formes de mon corps n’influencent pas son amour pour moi.
Elle est assez grande également, au corps parfaitement dessiné à mes yeux. Elle est ce qu’on appelle pudiquement une femme forte, taillée comme un sablier : de grosses fesses et des hanches larges, une taille très marquée et une opulente poitrine. Son corps est resté ferme même si le poids des ans et la gravité ont fait leurs œuvres.
Mais revenons à ce voyage. Je décide de faire cette pause et prends donc la direction d’une aire de repos. Le parking accueille déjà quelques voitures mais il reste énormément de place. J’ai pour habitude de me garer sur les places assez isolées et éloignées, Brigitte restant assez souvent assoupie dans la voiture pendant que je profite de ces petites minutes de détente, je préfère qu’elle soit tranquille.
La place que je choisis est dans la dernière rangée et la voiture et donc face à une légère pente de gazon au sommet de laquelle sont juchés de petits arbres surplombant une haie de buissons pas franchement entretenus.
Je regarde Brigitte qui n’a pas ouvert un œil. Sa robe longue d’un magnifique mauve lui va à ravir. Sa position allongée et son absence de soutien-gorge laissent sa poitrine tendre le tissu à l’extrême et les fines bretelles peinent à faire le travail, semblant pouvoir craquer à tout moment.
L’une de ses jambes, relevée, le pied posé sur le siège, a fait remonter sa robe sur son genou qui repose contre la portière.
Comme elle ne bouge pas, je décide donc comme souvent de la laisser là et de partir en recherche de ma dose de caféine. La station est plutôt bien équipée et je trouve mon bonheur sans problème.
Le café en main, je ressors m’allumer une clope. Je jette un œil et vois qu’un véhicule s’est stationné non loin de notre voiture… Rien d’étonnant sur un parking d’autoroute. Je laisse mon esprit vagabonder en sirotant ma boisson et en tirant tranquillement sur ma cigarette.
Boisson et clope terminées, je me dirige maintenant vers les toilettes. Mon affaire terminée, je m’oriente de nouveau vers la voiture pour reprendre la route. J’aperçois alors un homme qui semble très intéressé par ma petite citadine, il a les yeux rivés sur la fenêtre passager et semble dévorer Brigitte des yeux. Je m’inquiète peu, ma femme est à l’abri des vitres closes et des portières sont verrouillées.
Je suis assez loin, le parking étant assez vaste, et, machinalement, je décide de contourner l’asphalte pour longer le parking par le gazon, ma trajectoire me permet de passer derrière la haie et d’arriver à mon véhicule sans être vu de ce type qui ne décroche pas les yeux de ma femme. Me déplaçant silencieusement, je finis par arriver, camouflé par les buissons, à portée de vue du pare-brise, et ainsi, je découvre ce qui fige cet homme : une bretelle de Brigitte a fini par céder à la pression, laissant échapper un magnifique sein d’albâtre. Brigitte est tout de même pourvue d’un voluptueux 115 g.
C’est au moment où je découvre cette vision idyllique que Brigitte bouge. Le tissu de sa robe glisse alors, découvrant l’entièreté de sa fabuleuse poitrine, ses magnifiques aréoles sombres entourant de superbes tétons qui semblent étonnamment durs et gonflés. Son mouvement a également pour effet de libérer le tissu, retenu entre son genou et la portière, qui retombe alors sur sa hanche, laissant une vue plongeante sur la petite culotte blanche de ma bien-aimée.
Je devrais courir et éloigner cet homme, mais je reste interdit et absorbé par la vue de ma femme offerte aux yeux de cet inconnu. Lui aussi reste absorbé, mais pas sans réaction, je vois qu’une bosse s’est formée dans son pantalon qu’il malaxe de sa main.
Je décide de voir ce qu’il compte faire, de toute façon, ma femme est à l’abri.
Brigitte bouge de nouveau et sa nouvelle position offre une vue imprenable sur ses seins et sur sa culotte, le tissu de sa robe étant remonté un peu plus haut, ses jambes sont maintenant largement écartées et je peux même apercevoir le renflement de son pubis et la forme de ses lèvres charnues à travers le tissu qui semble un bien maigre rempart à la vue de ce curieux badaud.
Le voyeur se tripote toujours mais je vois maintenant qu’il tire sa braguette et, après quelques secondes, il sort sa queue tendue par la vue du corps de Brigitte, et commence doucement à se masturber, faisant de lents va-et-vient et prenant le temps de bien décalotter son gland déjà violet de son érection.
De ma cachette, je profite de cette scène qui me semble surréaliste. Mais une nouvelle surprise m’attend : une main de Brigitte vient de bouger pour se poser sur l’un de ses énormes globes, le pouce et l’index exactement sur la pointe du téton qui semble encore plus tendu qu’à mon premier regard.
Ses yeux sont toujours clos, et pourtant, je vois clairement ses doigts triturer son téton, le roulant et le pinçant doucement pour le faire gonfler et grandir.
Brigitte semble toujours dormir mais sa deuxième main vient aussi s’affairer sur son deuxième téton ! Rêve-t-elle ? Un de ses rêves érotiques où elle se touche parfois ?
Je ne peux décoller mes yeux du spectacle de cet homme se caressant face à ma femme quasi nue sous son regard voyeur. Le spectacle ne me laisse pas indifférent et une belle bosse s’est formée dans mon jeans. Je déboutonne mon pantalon et glisse mes doigts le long de ma verge turgescente. Je ne porte jamais de sous-vêtement et ma queue est toujours accessible rapidement.
Un regard vers mon amoureuse, je me rends compte que ses yeux sont seulement mis clos : elle est réveillée et a décidé de donner un peu de plaisir à son voyeur.
Elle exhibe facilement sa poitrine à la plage, mais je ne l’avais jamais vue le faire de cette façon, et surtout pas en dehors du contexte sable et soleil.
Ici, c’est plutôt asphalte et soleil levant. La lumière du soleil pénètre justement dans l’habitacle et éclaire Brigitte d’une magnifique façon… Ses seins lourds sont parfaitement dessinés et ses doigts ont fait leurs œuvres, tendant ses tétons au maximum, leur donnant l’aspect de belles framboises gonflées et charnues.
La lumière me donne également un point de vue sur sa culotte qui ne semble plus si blanche, elle a plutôt l’air auréolée d’humidité. Visiblement, ma compagne est elle aussi excitée de la situation et elle me le confirme rapidement : l’une de ses mains a quitté sa poitrine pour glisser sur le tissu qui sépare encore le regard de notre voyeur, et le mien, de ses magnifiques lèvres d’en bas. Les doigts de Brigitte glissent sur ce textile, le pressant légèrement. Cette tension et l’humidité de son intimité ont pour effet de coller sa culotte à sa chatte, ne laissant que peu d’imagination à ce qui se trouve, encore pour l’instant, camouflé.
Je regarde ma femme se caresser à travers sa culotte et cet homme se toucher ouvertement, toujours en la regardant. Le temps semble s’écouler différemment, tant de choses se déroulent sous mes yeux émerveillés et finalement si peu de temps s’est écoulé depuis que j’ai vu cet homme tourner autour de ma voiture.
J’aperçois maintenant les doigts de Brigitte qui se glissent sous le fin textile, s’arrêtent quelques secondes pour fourrager dans sa toison brune bien fournie que j’aime caresser, et filent finalement se loger sur ses lèvres. Le voyeur s’est rapproché de la fenêtre et sa longue queue est maintenant très proche, parfaitement visible de ma femme qui simule toujours le sommeil.
Brigitte se tortille et je vois qu’elle vient en fait de retirer sa culotte. Les cuisses serrées, une main toujours collée sur son sexe, elle ouvre légèrement sa fenêtre et glisse sa culotte par l’ouverture avant de refermer rapidement.
L’homme ne se sent plus d’excitation et récupère rapidement ce tissu pour le placer sous son gros gland.
Brigitte a maintenant les yeux ouverts et regarde notre homme se branler vaillamment pour elle.
Elle se glisse sur son siège et écarte les cuisses pour donner une vue plongeante sur son intimité à son mateur qui n’en perd pas une miette.
Moi non plus je ne rate rien, ma position surplombant toute la scène, je vois maintenant les doigts de mon aimée s’affairer sur son sexe dégoulinant de cyprine. Elle est vraiment excitée et semble motivée à jouir devant ce parfait inconnu. Deux doigts se sont glissés dans son antre de plaisir et font de l’aller-retour, sa chatte bien ouverte et rose ressort divinement sur le fond de ses poils bruns.
Elle se tend sous l’intensité de ses mouvements qui se font plus forts et plus rapides, tout comme ceux de notre voyeur qui se paluche, la verge collée à la vitre.
Brigitte le fixe, ouvre la bouche et tire la langue comme pour gober cette queue qui s’agite devant ses yeux, semblant vouloir accueillir son jus, donnant le coup de grâce à cet homme qui décharge son foutre sur la fenêtre et la culotte dans un râle silencieux mais intense.
Brigitte jouit aussi, son corps se cambre, ses yeux se ferment et son souffle se coupe. Elle tremble puis s’affale sur son siège.
De mon côté, l’excitation est supérieure à tout ce que j’ai connu mais je réussis à ne pas gicler.
Brigitte reste dans sa position, sexe ouvert aux regards, les poils collés par son jus. Le voyeur remballe son matériel et rejoint son véhicule, il semble plus que satisfait de son aventure matinale et démarre très rapidement. Je peux maintenant sortir de ma cachette et m’approcher de Brigitte qui maintenant me sourit. J’ai toujours ma queue à la main mais je fouille ma poche pour trouver mes clefs et déverrouiller la porte.
J’ouvre et Brigitte laisse ses cuisses s’ouvrir largement sur son sexe béant que je m’empresse de lécher de toute ma langue, aspirant ses lèvres et son clito, me délectant de ce jus que j’aime tant boire à même la source. Je réussis à lui procurer un nouvel orgasme.
Je me redresse et lui demande innocemment où sont passés sa culotte et ce qui justifie une telle position sur un parking public. Elle me rétorque que je ne devrais pas non plus me balader la queue à la main et qu’elle avait bien vu que je la matais, le soleil découpait mon ombre dans le buisson. Je lui souris et elle aussi. Je m’approche et glisse mon chibre dans sa grotte ouverte et elle m’accueille chaleureusement. Elle jouit rapidement une troisième fois sous mes profonds va-et-vient et je me retire pour éjaculer abondamment sur son sexe et sa toison.
Le spectacle m’ayant plus qu’excité, l’adrénaline n’est pas encore retombée et je m’adonne à une chose que Brigitte adore et que je ne peux que rarement lui offrir, même si j’adore ça moi aussi : je m’agenouille et me mets en charge de nettoyer mon jus de son sexe et de son pubis.
Je le fais rarement car, après avoir giclé, l’excitation redescend vite et rend cet acte plus difficile pour moi, même si j’en raffole.
Toute à mon affaire, elle presse ma tête sur son intimité. Je me recule un peu et lui avoue que j’aurai voulu la voir se faire prendre par cette queue inconnue pour pouvoir la nettoyer de son jus. Elle me sourit et répond que le week-end n’est pas terminé.
Je me redresse et l’embrasse à pleine bouche, partageant le goût de nos jus mélangés avec celle qui occupe mon cœur.
Nous nous rhabillons et Brigitte remet en place ses bretelles, toutes les deux en parfait état. Plus rien ne justifie que ses seins se soient dénudés par accident. Elle a donc choisi de se montrer à cet homme. Elle me surprendra toujours !
Nous reprenons la route mais mon imagination bat son plein, curieuse de ce que Brigitte peut bien avoir en tête…
Brigitte et Philippe
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