Sexo

En 2030 on n’aura plus de rapports sexuels, on regardera Netlfix

En 2030 on n'aura plus de rapports sexuels, on regardera Netlfix
Teste le sexe au téléphone avec une vraie femme chaude : Voir les profils des femmes disponibles
Si l’on en croit les données basées sur les seules et uniques prédictions de ce scientifique, en 2030, les rapports sexuels ne feront plus du tout partie de notre quotidien. Plus que huit ans avant la fin des parties de jambes en l’air… et, à termes, de l’humanité ?

Les villes submergées par les océans, plus assez de denrées pour survivre, un quotidien rythmé par les cyclones et les tsunamis, un pic de dépressions et d’anxiété… On connaît déjà les scénarios catastrophes liées au réchauffement climatique et au boom des technologies qui nous pendent au nez. Ce qu’on connaît moins par contre, ce sont les prédictions qui concernent notre activité sexuelle !

Selon une étude publiée en 2016 par David Spiegelhalter, un chercheur britannique à l’université de Cambridge, c’est sûr, on ne kenera plus du tout en 2030, soit dans moins de dix ans.

Selon lui, le temps qu’on passe de plus en plus sur nos écrans finira par complètement remplacer les moments de coucherie.

Le chrono est lancé.

On ferait de moins en moins l’amour

En France, en moyenne, on aurait 8,7 rapports sexuels par mois, soit un peu plus de deux rapports par semaine. Parallèlement, on passerait de plus en plus de temps à tapoter sur nos écrans :

« Pas moins de cinq heures chaque jour ! C’est le temps que passent les Français devant leurs écrans selon une étude de Santé publique France, qui s’alarmait d’une hausse de 50 % en dix ans tout comme d’une sédentarité accrue. »

Ça laisse peu de place à la baise…

C’est aussi ce que David Spiegelhalte constate, dans une mesure plus globale et surtout, nettement plus défaitiste, puisqu’il prédit qu’on ne fera plus du tout l’amour d’ici 2030.

Pour en venir à cette conclusion, le scientifique a sondé des couples entre 16 à 64 ans en les interrogeant sur la fréquence de leurs rapports sexuels par mois. Résultats : le nombre de relations sexuelles mensuelles serait en chute à chaque décennie :

« Les couples faisaient l’amour en moyenne cinq fois par mois dans les années 1990, quatre fois dans les années 2000, et finalement plus que trois fois dans les années 2010. »

Pour lui, le coupable n’est autre que l’hyper-connexion. Avec les services de streaming comme Netflix et l’omniprésence des réseaux sociaux et des écrans dans nos quotidiens, l’intimité aurait du mal à se faire une place. Sursollicités et surstimulés, nos activités de scrolling infinis voleraient la vedette à la bonne vieille partie de jambes en l’air :

« Cette connexion massive, conjuguée à la consultation constante de nos téléphones… Il y a quelques années, la télévision était éteinte à 22h30, et il n’y avait rien d’autre à faire. […] Aujourd’hui, les gens ont de moins en moins le temps de faire l’amour »

Le pronostic n’est déjà pas foufou, mais le scientifique va plus loin. Pour lui, ce désamour pour le sexe aura fatalement des conséquences sur la fertilité et la démographie mondiales !

C’est pas si terrible que ça, en fait

Alors ça y est, on n’a plus qu’à attendre patiemment la fin du sexe torride, un chrono à la main ? Déjà, on peut fortement douter du fait que les gens finissent par ne plus avoir de relations sexuelles du tout.

Et puis, comme le précise la docteure en psychologie et sexologue Marie Tapernou à RTL, cette baisse de rapports est peut-être simplement liée au fait qu’on se force de moins en moins à faire l’amour si on en n’a pas envie. Et ça, c’est une bonne nouvelle :

« Peut-être qu’avant, on faisait moins attention au fait que c’était important que les deux partenaires en aient vraiment envie. Peut-être qu’il y avait un peu plus de relations sacrifices. Aujourd’hui, on est beaucoup plus à militer contre ça, et à dire « Non, le consentement est important dans les deux sens. » »

Et comme le dit le bon vieil adage : « Ce n’est pas la quantité qui compte, mais la qualité ». D’autant plus que le raisonnement du scientifique suppose que si on ne binge watchait pas Emily in Paris sur Netflix, on serait automatiquement aussi chauds que des lapins en rût, comme si le sexe était une activité par défaut, quand on n’a rien d’autre à branler, et pas un moment intime qu’on choisit de partager…

Bonne nouvelle, depuis, le Britannique est revenu sur sa prophétie, basée sur rien d’autres que des déductions bancales.

En juin 2016, David Spiefelhalter a fait savoir sur Twitter qu’il ne s’agissait en fait que d’une blague. Ha, ha…

Source ! Madmoizelle.com

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

post recap2023

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Visio coquine et tel rose

Naviguer par Catégories

Tel rose pas cher

Supprimer la publicité en devenant Premium

En devenant Membre Premium, vous nous soutenez et pour vous remercier, nous supprimons toute la publicité. En prime, vous avez accès à des histoires de sexe et du contenu exclusif rien que pour vous !

Visio Skype

skype tel rose amateur

Bloqueur de publicités

Notre site web est rendu possible par l'affichage de publicités en ligne pour nos visiteurs. Veuillez envisager de nous soutenir en désactivant votre bloqueur de publicité.
Nous utilisons des cookies pour personnaliser le contenu et les publicités, pour fournir des fonctionnalités de médias sociaux et pour analyser notre trafic. Nous partageons également des informations sur votre utilisation de notre site avec nos partenaires de médias sociaux, de publicité et d'analyse. View more
Cookies settings
Accepter
Refuser
Politique de confidentialité
Privacy & Cookies policy
Cookie name Active
NOTRE POLITIQUE SUR LES COOKIES
En visitant notre site Web et en utilisant nos services, vous comprenez et acceptez la façon dont nous traitons les données personnelles conformément à notre politique de confidentialité. Nous respectons votre vie privée et le droit de contrôler vos données personnelles. Nos principes directeurs sont simples. Nous allons être ouverts avec quelles données nous collectons et pourquoi. Veuillez prendre un moment pour les lire. C'est important ! Les cookies sont de petites quantités d’informations stockées dans des fichiers au sein même du navigateur de votre ordinateur. Les cookies sont accessibles et enregistrés par les sites internet que vous consultez, et par les sociétés qui affichent leurs annonces publicitaires sur des sites internet, pour qu’ils puissent reconnaître le navigateur. Les sites Internet peuvent uniquement accéder aux cookies qu’ils ont stockés sur votre ordinateur.
En utilisant le Site Internet , vous consentez à l’utilisation des cookies déposés par notre Site. Le site Internet utilisent des cookies aux fins suivantes :
  • Usage du site : pour nous aider à reconnaître votre navigateur comme celui d’un visiteur précédent et pour enregistrer les préférences que vous avez déterminées lors de votre précédente visite sur le Site. Par exemple, nous pouvons enregistrer vos informations de connexion de sorte que vous n’ayez pas à vous connecter à chaque fois que vous visitez le Site ;
  • Réseaux sociaux : pour vérifier si vous êtes connectés à des services tiers (Facebook, Twitter, Google+…) ;
  • Ciblage : pour nous permettre de cibler (emailing, enrichissement de base) à postériori ou en temps réel l’internaute qui navigue sur notre Site ;
  • Mesure d’audience : pour suivre les données statistiques de fréquentation du Site (soit l’utilisation faite du Site par les utilisateurs et pour améliorer les services du Site) et pour nous aider à mesurer et étudier l’efficacité de notre contenu interactif en ligne, de ses caractéristiques, publicités et autres communications.
Vos Choix Concernant les Cookies et Balises Web Vous avez le choix de configurer votre navigateur pour accepter tous les cookies, rejeter tous les cookies, vous informer quand un cookie est émis, sa durée de validité et son contenu, ainsi que vous permettre de refuser son enregistrement dans votre terminal, et supprimer vos cookies périodiquement. Vous pouvez paramétrer votre navigateur Internet pour désactiver les cookies. Notez toutefois que si vous désactivez les cookies, votre nom d’utilisateur ainsi que votre mot de passe ne seront plus sauvegardés sur aucun site web. Pour plus d’informations relatives aux méthodes vous permettant de supprimer et de contrôler les cookies stockés sur votre ordinateur, consultez le site suivant : http://www.allaboutcookies.org/fr/ Comment configurer votre navigateur
  • Firefox :
    • 1. Ouvrez Firefox
    • 2. Appuyez sur la touche « Alt »
    • 3. Dans le menu en haut de la page cliquez sur « Outils » puis « Options »
    • 4. Sélectionnez l’onglet « Vie privée »
    • 5. Dans le menu déroulant à droite de « Règles de conservation », cliquez sur « utiliser les paramètres personnalisés pour l’historique »
    • 6. Un peu plus bas, décochez « Accepter les cookies »
    • 7. Sauvegardez vos préférences en cliquant sur « OK »
  • Internet Explorer :
    • 1. Ouvrez Internet Explorer
    • 2. Dans le menu « Outils », sélectionnez « Options Internet »
    • 3. Cliquez sur l’onglet « Confidentialité »
    • 4. Cliquez sur « Avancé » et décochez « Accepter »
    • 5. Sauvegardez vos préférences en cliquant sur « OK »
  • Google Chrome :
    • 1. Ouvrez Google Chrome
    • 2. Cliquez sur l’icône d’outils dans la barre de menu
    • 3. Sélectionnez « Options »
    • 4. Cliquez sur l’onglet « Options avancées »
    • 5. Dans le menu déroulant « Paramètres des cookies », sélectionnez « Bloquer tous les cookies »
  • Safari :
    • 1. Ouvrez Safari
    • 2. Dans la barre de menu en haut, cliquez sur « Safari », puis « Préférences »
    • 3. Sélectionnez l’icône « Sécurité »
    • 4. À côté de « Accepter les cookies », cochez « Jamais »
    • 5. Si vous souhaitez voir les cookies qui sont déjà sauvegardés sur votre ordinateur, cliquez sur « Afficher les cookies »
Save settings
Cookies settings